When darkness falls and surrounds you ► Nirvana

Jeu 5 Nov 2015 - 11:11

On entra dans l'appart et la jeune femme, tout à coup cria que c'était chez elle. Regardant les alentours, je ne comprenais pas pourquoi tant de joie émanait d'elle. « T'es sûr ? Qui peut vivre dans ce taudis ? » Peu importe, cet appartement était bizarre, me foutait les jetons mais c'était mieux que la rue, dehors il faisait froid, noir et il y avait des lampadaires maléfiques. Apparemment la chef des putes peignait des tableaux flous comme moi, étais-je flou ? On était peut être dans une autre dimension, fait en pixels.. Rien qu'à cette idée je rigolais ! Il faudrait écrire un livre dessus ! Ou peindre des tableaux.. D'ailleurs elle avait pas parlé de tableaux ? Je ne savais plus, trop absorbé par sa langue qui bougeait de manière bizarre, comme quelque chose qu'on pouvait déformer à volonté. « Ta langue a peint les tableaux ? » Je l'imaginais bien enrouler sa langue autour d'un pinceau et faire des tâches partout. Bon ça voudrait rien dire mais Pacossi, Pocossa, Pikachu.. Ah non Picasso avait fait ça et il était connu ! « Tu veux pas m'peindre aussi avec ta langue ? Ils sont où tes tableaux d'ailleurs ? Je veux voir c'que t'as fait avant que tu me lèches l'visage ! »

(Invité)

Dim 8 Nov 2015 - 10:27

Mes tableaux enfermés dans ma chambre, dans le placard de ma chambre ne laissant même pas la place à mes fringues pour se poser. Je veux lui montrer mes œuvres, qu’il me donne son avis de super expert à deux balles. Mon visage tout prêt du sien. Je sais pas. Je ne comprends pas ce qu’il se passe là. J’vais embrasser ce mec avec son haleine fétide digne du chien d’la voisine ? Tu veux pas m'peindre aussi avec ta langue ? Ils sont où tes tableaux d'ailleurs ? Je veux voir c'que t'as fait avant que tu me lèches l'visage ! Je le prends par la main pour le trainer, mon p’tit cul qui se dandiner devant lui, sous ses yeux de petit cocker tout excité surement. Arrivés dans la chambre je le pousse de mes deux mains sur son torse, pour qu’il tombe à la renverse sur mon lit, pas fait, tout.. en pagaille total. Regarde bien Bernard ! Oui, je sais pas comment il s’appel, ce sera Bernard. Je lui sors un premier tableau, on gonzesse, à poil, tout en rose et vert. Des couleurs flash qui me feraient presque mal aux yeux. C’est beaaaaau hein ? C’est comme moi, c’est beau ! Je le regarde, en ricanant comme depuis tout à l’heure. J’pourrais essayer d’te peindre tu sais. T’es carrément sexy comme ça ! Tu pourrais faire du nu, hein ? Pour l’aaart Bernard !

mise en page par .Stay Away

Dim 8 Nov 2015 - 10:53

Je ne voyais plus que ses fesses remuer devant moi, bavant limite dessus, ne remarquant même pas qu'elle m'emmenait ailleurs. Je la suivais, ne réalisant plus rien, son cul attirant mon attention. Alors, sans rien comprendre, je me retrouvais d'un coup sur un matelas qui devait lui servir de lit, à regarder un truc flash. Peut être était-ce son tableau, je comprenais rien à ce qu'il représentait, les couleurs me faisaient mal aux yeux. Je discernais des formes, une femme ? Dans ce cas là, elle devait être comme celle devant moi ! Incompréhensible ! « Mais c'est toi non ? » demandais-je avant de réaliser que celle sur son tableau était à poil. J'étais sûr qu'elle tentais de me faire passer un message subliminal, surtout avec son truc de nu. Ce que je comprenais pas était qu'elle demandait à un certain Bernard de le faire pour elle alors qu'ici il n'y avait que nous deux. « Laisse tomber Bernard ! Je m'en charge, tu vas le voir l'oiseau» lui dis-je, enlevant mes habits, me tenant maintenant sans rien devant elle, prêt à ce qu'elle me dessine. Mais d'ailleurs ! Je pouvais la peindre aussi, ça serait marrant, une sorte de concours ! Rigolant, je repris tout de suite mon sérieux, tentant de passer un marché : « Si tu me peins alors je dois te peindre aussi ! Donc tu te mets toute nue, maintenant. »

(Invité)

Mar 10 Nov 2015 - 15:29

Laisse tomber Bernard ! Je m’en charge, tu vas le voir l’oiseau. Je ricane, mes dents qui pincent mes lèvres quand il se met à poil, plutôt très vite même. Genre.. C’est des vêtements faciles à enlever il avait prévu de choper quelqu’un ce soir, nan ? Il est à poil, sur mon lit, totalement pas fait. Je sors une toile vide, vierge de toute trace, de peinture. Blanche, absolument blanche. Si tu me peins alors je dois te peindre aussi ! Donc tu te mets toute nue, maintenant. Je lève un sourcil en sa direction, un petit sourire étrange sur les lèvres. Mais qu’est ce qu’il croit lui. Bernard pas très intelligent. Bernard plutôt con hein. Il comprend rien ce mec là. Il est grave nul. Je peins toujours nue espèce de naze. Mon t-shirt, lentement retiré vers le haut, devant lui, sous ses yeux qui me brûlent la peau, presque. Mon jean, il ne me reste que mes sous-vêtements. Tout fini par terre, en vrac, comme tout le reste dans cette chambre. Ouaaaw ! T’as l’oiseau qui grandit ! J’ricane une nouvelle fois, mes yeux admiratifs sur ses parties intimes qui se font plaisir. Okay, tu vas me peindre, viens. J’prends cette partie du tableau, toi celle là ! Ouaais. Mes pots, entier de peinture juste à côté, ouvert à prendre l’air. Une main dans le pot vert, vert mather. La main de shrek qui me pousse en extension de bras. J’suis sur que tu sais pas dessiner gros boulet ! Je passe ma main sur la toile, sur ma partie, ligne discontinue, pas très droite, pas très.. C’est flou le monde ! Pourquoi la vie est floue comme ça ?

mise en page par .Stay Away

Mer 11 Nov 2015 - 11:13

La femme au comportement étrange me traitait maintenant de naze, comme si je ne comprenais rien à l’art, la peinture, aux artistes. Mais, étrangement, je m’en foutais totalement car elle était maintenant en sous-vêtements devant moi, me dévoilant une partie de son corps mais cachant ses plus beaux atouts. Cela ne m’empêchait cependant pas de sentir que mon entrejambe appréciait cette vue sublime. On allait baiser ça y est ? Non toujours pas, voilà qu’elle me prenait pour me mettre devant un truc blanc et plein de pots de couleurs dispersés autour. Apparemment j’étais supposé faire comme elle : tremper ma main dans les pots et faire des marques sur le tableau, comme des enfants de cinq ans qui décorent des assiettes. « Ne me sous estime pas l’artiste ! C’qui compte c’est l’inspiration, pas l’talent » rétorquais, fourrant ma main dans la peinture jaune et la posant sur le tableau. Mais il y avait rien de drôle à colorier une toile blanche ! C’était juste jaune maintenant. Quoi que.. C’était assez fascinant de se dire qu’en dessous du jaune il y avait du blanc. Voulant réessayer l’expérience, je cherchais autre chose de blanc, remarquant le soutien-gorge de l’artiste à ma gauche. Ouais, ça ferait l’affaire. « LONGUE VIE AUX POUSSINS » criais-je pour la déstabiliser et ainsi poser ma main sur le peu de vêtement qui recouvrait sa poitrine, en profitant pour tripoter un peu. « Et si on dessinait l’un sur l’autre ? Comme ça tu serais une véritable œuvre d’art vivante, en plus d'une artiste arrogante ! »

(Invité)

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