Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityWhen darkness falls and surrounds you ► Nirvana
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When darkness falls and surrounds you ► Nirvana

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« Bonne chance petit frère » me dit-elle avant de se barrer de cette maison de fou, de quitter cette famille qui ne valait plus grand chose. Putain mais pourquoi t'as fait ça Andrea ?! Tu m'as abandonné comme un petit chien dont tu ne voulais plus t'occuper, t'aurais pu me prendre avec toi mais non, tu m'avais laissé avec cet homme pour qui je n'étais plus rien, ouais ce même homme qui s'était ôté la vie suite à ton départ. Et me voici maintenant déambulant dans la rue, une bouteille à la main, pensant à la vie que j'aurai pu avoir si la chance avait voulu me sourire. Mais à la place de ça, c'étaient les ténèbres qui m'avaient recueillis, me laissant plonger dans l'alcool comme un clochard. Ouais, j'étais minable et alors ? Au moins j'avais comprit que ce monde était pourri, que je devais m'attendre à ce qu'il y ait toujours plus d'obstacles sur mon chemin et que la seule chose qui m'aiderait à les surmonter était cette liqueur qui me réchauffait le cœur. Mon âme était aussi sombre que la nuit, quelques lampadaires éclairaient la rue, me permettant ainsi de distinguer une silhouette au loin. Il s'agissait d'une magnifique femme, m'approchant d'elle je remarquais qu'elle était dans le même état que moi, inondée par l'alcool. « Apparemment je ne suis pas le seul à qui cette boisson tient compagnie ! » dis-je, tentant de faire un sourire mais je n'étais tout simplement pas d'humeur à prétendre que tout allait bien.
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Toi, ferme ta gueule okaay ? Baisse les yeux, tout de suite ? Tu baisses les yeux.. Aaaie. Une bonne, rouge, ma main sur mon front. Front cogné contre un autre lampadaire qui m’a mal regardé. Gros imposant, son allure qui fait mal aux yeux. Des lignes troublées par ma vodka que j’ai laissée traîné dans la rue d’a côté, vide, peut être trop vide. J’aurais même bu le verre, sérieusement. J’avance, en rigolant, en souriant aux cailloux, aux voitures. Des mecs me sifflent, sans aucun respect pour moi-même la connasse bourrée sur un putain de trottoir, en minijupe, des jambes hyperlongues sublimées de creepers qui ne subliment pas du tout. Je vois cette ombre arriver sur moi, une ombre qui bouge. Il parle, putain. Le lampadaire parle ! Merde ! Je me stoppe, mimant une position e combat qui ressemble plus à une pose caca qu’autre chose. TU BOUGES PAS LE.. LAMPA.. BOUGES PAS BORDEL ! Je me redresse, mes deux pieds à terre, ma main qui s’avance vers l’ombre inconnue. C’es chaud, poilus, d’la peau.. Des cheveux ? Naaaaan, j’suis pas une pute. Y’en a trois là-bas plus loin. Je le pousse, d’une épaule pour continuer mon chemin, marcher, une tâche putain de difficile.
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Le lampa ? M'avait-elle prit pour un lampadaire ? Ces trucs là étaient mais ça ne servaient à rien la plupart du temps, un peu comme moi. Si ça se trouvait, je me réincarnerai en lampadaire.. Au moins je pourrais observer les femmes faire le trottoir ou des couples faire l'amour contre moi ! Ouais.. Ça devait être sympa une vie comme ça. La femme devant moi m'arracha de mes pensées philosophiques en m'informant que trois putes se trouvaient là bas. J'éclatais de rire, ne comprenant pas vraiment le rapport avec les lampadaires.. Au moins les putes servaient à quelque chose ! « Tu veux qu'on baise contre un lampadaire ? » proposais-je comme ça, d'un coup. Après tout peut être était-ce un message subliminal qu'elle m'avait envoyé. Posant la main sur mon jean, je tentais d'ouvrir ma braguette, sans la trouver, ne réalisant qu'elle était déjà ouverte. « Eh dis tu veux pas m'aider ? Ma braguette a décidé de se casser ! Un peu comme tout le monde d'ailleurs ». Oui, tout le monde dans ma putain de vie s'était barré, la rendant merdique. Portant la bouteille à mes lèvres, je prenais quelques gorgées, comme pour oublier que c'était l'enfer sur Terre.
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Dure vie malmenée par un doux liquide aussi fourbe qu’une main sur un cul. L’alcool qui brule mon corps, tout entier, mon cerveau, mon estomac, mon foie.. Absolument tout qui puisse me garder en vie finalement. J’suis peut être condamnée à mourir ce soir, dans un caniveau, renversée par un fou en voiture qui m’aura violée puis découpée en morceaux. Mais j’garde le sourire, la pêche enfin je crois. J’suis même sure que ca à plutôt l’air de ressembler à pas grand chose vu d’extérieur. Une vraie loque, bousculée par ce mec la. Damn, c’est qui lui ? Le lampadaire qui parle. J’le pousse, pour passer, mon chemin qui mène à mon caniveau de mort. Tu veux qu'on baise contre un lampadaire ? Je m’arrête pour rire, fort. Trop fort. La vieille connasse qui essaye de dormir, son chat sur le bide pourrait se réveiller. T’es qui ? Un violeur en série ? C’est lui mon assassin ? Damn, j’sais même pas à quoi il ressemble vraiment. Je m’approche de lui, gentiment. Doucement, le démarche pas du tout stable. Eh dis tu veux pas m'aider ? Ma braguette a décidé de se casser ! Un peu comme tout le monde d'ailleurs. J’lui arrache sa bouteille des mains, d’une force totalement.. Imperceptible. Dans un geste lasse, mou, la bouteille finie au sol, écrasée, petits morceaux qui roulent sur le trottoir. L’alcool c’est maaal, ca empêche de bander. Je rigole, encore une fois pour m’éloigner quelques pas en arrière. Compte pas sur moi pour combler ton manque d’aamis ok, on s’connaît paas !
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Mon regard se porte sur les résidus de bouteille qui sont là, par terre sans réaliser que c'était la mienne, plaignant celui qui n'avait maintenant plus d'alcool. Comment allait-il supporter ce monde de merde dans lequel même le rire de la femme devant moi semble être un cri insupportable ? « Bah si je bande pas je fais quoi alors ? » Question sans grand intérêt que même les philosophes les plus idiots ne devaient pas se poser. Mais peut être avait-elle raison, peut être que l'alcool empêchait de bander.. Et alors ? Je préférais ne rien comprendre à la vie que me taper des putes toute la journée. « J'ai peut être pas d'amis mais toi t'as pas de poitrine ! Toute manière y a plus qu'à.. » j'interrompis ma phrase en plein milieu, cherchant vainement ma bouteille, « merde elle est où ? » criais-je paniqué, comme si des fantômes m'étaient apparus. Paranoïaque, maintenant agenouillé par terre, je cherchais où elle pouvait s'être cachée, sans grand succès. Me relevant, je croisais le regard de la femme devant moi et tout s'éclaira d'un coup, comme un lampadaire en plein milieu de la nuit : « T'es une sorcière ! Tu l'as mise où ma bouteille ?! Tout allait bien jusqu'à ce que tu débarques avec ton armée de putes. » Je tentais misérablement de l'approcher mais mes pieds n'étaient apparemment pas d'accord sur le chemin à prendre, me faisant ainsi tomber lamentablement. Ma vue se brouilla alors, les larmes commençaient à couler sur mes joues gelées : « Ouais, tout allait bien putain. »
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L’alcool comme les drogues empêche un max de bander comme il se doit, empêche de faire un super piquet du bâton, pourtant que t’es claquée, t’as l’impression d’être une bête de sexe incroyable qui se déhanche comme un vrai dieu et qui arrive à monter dans les nuages, loin, trop haut. Les nuages des nuages, mais enfaîte naaaan. Tu dors juste la tête dans les chiottes, la bite à l’air qui tente de se lever pendant ton p’tit rêve cochon. Il est bourré, il est trop bizarre. J’ai peut être pas d’amis mais toi t’as pas de poitrine ! Toute manière y a plus qu’à.. Je regarde ma poitrine, dénudée, gros décolleté, le débardeur qui part en couille sur le côté, mon soutien-gorge qui se voit à moitié. Yoooooho. Il cherche un truc par terre comme un enfant qui cherche son légo miraculeusement disparu quelque part, on ne sait où. Qu’est ce tu fais est espèce de con ? Il se relève, l’air offusqué, moi qui ne comprends rien. Le sourire dans le vide, les yeux qui essayent de rester ouverts. T’es une sorcière ! Tu l’as mise où ma bouteille ? ! Tout allait bien jusqu’à ce que tu débarques avec ton armée de putes. Je donne un coup de coude las dans le vide, sur ma droite, ma gauche, mon autre gauche aussi. Héé les filles, on parle de nouuuuuus. Les copines.. ! Il tombe, la chute, comme une vraie merde sans nom, le mec ne se relève même pas. Rieeeen. Qu’est ce qu’il fait ? Il est mort ? Ouais, tout allait bien putain. Je ricane en le tirant par son t-shirt, au niveau de ses épaules bien larges. Tu pleeeeurres ? Pourquoi tu pleeeures ? Impossible de relever cette masse en sanglot, devant moi. Merde. C’quoi son délire ? Je m’accroupis, devant ce mec, qui chiale, bourré, la braguette ouverte à la recherche d’une bouteille éclatée sur le sol. J’écarte mes bras le temps de le prendre contre moi. L’air de rien, un p’tit câlin au milieu d’la rue, par terre, comme des clochards. Fais un câlin à tata Vana. Puis fermes ta braguette hein, l’oiseau va sortir !
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Les larmes coulaient sur mes joues, mais pourquoi je pleurais putain ?! C'était pour les faibles ça ! Ceux qui avaient des sentiments, enfin c'est ce qu'ils disaient. Moi, je savais même pas ce que c'était ce truc, l'amour, la tristesse. Non, j'étais un dur, un vrai de vrai, un qui chiale pas pour pour bouteille devant une femme qui parle aux lampadaires. Mais, il faisait chaud tout à coup et il y avait des bras qui m'entouraient et une voix qui me disait de lui faire un câlin puis de fermer ma braguette. Si ça se trouvait je devenais schizophrène ! Ou j'entendais juste des fantômes... Mais pourquoi l'oiseau ? En quoi ça les dérangerait que mon énorme aigle sorte ? Bah, ce monde était plein de mystère, inutile que je me casse la tête avec ça. D'un coup, je me relevais, voyant ainsi la femme, Vana je supposais, par terre. « Bah qu'est ce que tu fous là ? T'as l'air tellement petite comme ça ! » lançais-je avant d'éclater de rire. Putain on était vraiment un désastre, deux jeunes cons qui ne comprenaient rien à la vie mais qui tentait d'en avoir une belle quand même. Mettant mon doigt devant moi, je louchais dessus, perdant ainsi le fil de ma pensée. « T'as déjà remarqué à quel point les doigts pouvaient être boudinés ? C'est étrange un doigt.. Et pourtant tu peux faire plein de trucs avec » commençais-je à dire, m'interrompant, encore une fois perdu dans la contemplation de ce doigt étrange. Maintenant je comprenais pourquoi les plus grands artistes buvaient ou se droguaient, cela donnait une toute autre dimension aux choses du quotidien.
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Vraiment trop bizarre d’enlacer ce type bourré, qui pourrait me vomir à tout moment dessus comme.. je pourrais le faire aussi. On est putain de bourré, deux.. Loque, bourré en pleine rue à la recherche du sens de la vie. Il se relève, ce que je fais aussi, d’un pas beaucoup plus lent, une allure pas très déterminée. Il regarde son doigt, il louche presque. Absorbé, par son doigt. T’as déjà remarqué à quel point les doigts pouvaient être boudinés ? C’est étrange un doigt.. Et pourtant tu peux faire plein de trucs avec. Je fixe aussi, le bout de sa main, son doigt, fixe qui ne bouge pas, les p’tites rayures dessus, un doigt quoi. Fascinés, tous les deux comme deux gros cons. C’est joli quand même je trouve.. La bouche entre ouverte à la vue.. d’un doigt. Je prends sa main finalement, ma langue qui se rapproche de son index que je lèche, un coup de langue, va savoir pourquoi, comment. Peut être qu’il s’est gratté le cul, juste avant. Viens chez moi. C’est pas loooin, tu pourras dormir, juste dormir, sur le canapé hein. J’rigole en entourant son cou de mon bras pour l’forcer à marcher à mes côtés. Aller viens, on va cheez mooooi !
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Hypnotisé par mon doigt, par les détails dessus comme l'empreinte digi je ne savais plus quoi, le truc qui nous servait à être identifié, comme des robots. Oui peut être qu'on était des robots, après tout chacun était unique par cette marque. Non, les robots, eux, étaient tous identiques et je ne ressemblais en rien du tout à cette femme qui lécha mon index d'un coup, comme ça, sans prévenir. Sursautant, je l'observais avant que mon regard se pose sur ce doigt mouillé qui était mien. Celle là elle était imprévisible, voilà qu'elle me demandait d'aller chez elle maintenant ! Peut être voulait-elle voir l'oiseau finalement ? Mais non, l'oiseau ne verra que le canapé. Sans réfléchir une seule seconde, je la suivais. « T'es pas une psychopathe qui va me découper avec une tronçonneuse hein ? Parce que même si j'ai du fric, je vaux rien du tout ! » Bah ouais, après tout c'était peut être ma dernière nuit, si j'étais kidnappé, personne ne viendrait à mon aide, tout le monde ayant été blessé par moi et mon incorrigible connerie. « Y aura de l'alcool au moins ? J'ai perdu ma bouteille ! »
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T'es pas une psychopathe qui va me découper avec une tronçonneuse hein ? Parce que même si j'ai du fric, je vaux rien du tout ! Je ricane, encore, encore, encore une fooois. Comme j’ai fait toute la soirée. Il est rigolo ce mec, je trouve. Il est marrant. Il est pas moche en plus je crois. Je sais pas. J’le vois flou.. Ou alors c’est lui qui est flou. Peut être je sais pas. La tronçonneuse est plus lourde que moi, j’aurais du mal à te découper ! On avance, mon bras autour de son épaule, arrivés devant mon immeuble, les clés à la main, celle qui est surement la bonne. Je sais pas, J’vois rieeen. Ouaaaais de l’alcool, partout, des poneys aussi. Y’a des poneys dans ma chambre. Je pousse la porte pour rentrer dans l’appartement, la porte qui claque derrière nous. C’est chez moooooi ! Toute fière de cette appart, que j’ai depuis pas longtemps. Ca change de la caravane non ? C’est spacieux, assez de place pour deux bourrés.. Qui veulent faire.. des choses hein. Est ce que tu veux vooooir, mon dernier tableau. J’crois qu’il te ressemble il est flou, comme toi ! Je m’approche de lui, la démarche pas très sûre, mon visage à quelques centimètres du sien. Le bout de ma langue qui titille presque ses lèvres. Ouaaaaw, c’est hottta calienta hein !
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