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NOAH + do you really think that i'm a slut ? (hot)

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Tu as envie de le secouer, de lui montrer que oui, t'es certainement une traînée à ses yeux mais que tu vaux plus que ça, que t'es plus qu'une fille qui écarte soi disant les jambes. Parce que non, tu n'écartes pas les jambes pour tout le monde, t'as besoin qu'on te prouve qu'on ne veut pas que te baiser. Oui, parce que lui, tu es sûre qu'il veut juste que tu finisses dans ses draps, après il te jettera comme une malpropre, te remerciant -ou non- pour la partie de jambe en l'air que vous venez d'effectuer. Et encore, t'es persuadée qu'il te dira pas merci, qu'il sera capable de remettre son pantalon et de partir. Mais t'attends de voir, t'attends de voir jusqu'ou il pourrait aller. T'es obligée de jouer avec lui, jouer avec le feu en lui procurant des caresses charnelles et lascives. En tentant de le faire craquer, mais visiblement, il ne veut pas. Pas encore, il veut peut-être encore que tu lui prouves que t'es plus joueuse que tu ne laisses paraître. Et tu te dis qu'il faut qu'il arrête parce que sinon il allait éveiller le démon qui est en toi. Ses mots pourraient sont blessants, mais tu ne relèves pas. A part le fait qu'il parle de la Cabot House, et ça tu ne supportes pas, on ne parle pas de ta maison comme cela. Non, ta maison c'est presque toute ta vie, t'es sa présidente et tu ne laisseras personne entâcher ce que tu penses de cette maison “Ne parle pas de la Cabot House alors que tu ne sais rien de cette maison et des filles qui en font partie. Tu ferais mieux de te la fermer si c'est pour dire des inepties pareilles.” T'attrapes ta robe et tu serres le tissu entre tes mains en soupirant pour te calmer, si vous continuez sur ce terrain, il risquerait vraiment de s'en prendre une. Heureusement, il fuit, et tu fermes les yeux pour te calmer, pour faire redescendre la pression. Pour faire redescendre toute cette colère et pour que ton esprit arrête de faire un ascenseur émotionnel. C'était tellement violent, une minute tu le désires, t'as envie qu'il te fasse voir ce qu'il a dans le ventre et la minute qui suit t'as envie de le frapper, de lui claquer la tête contre le mur et de l'insulter. Tu ne supportes pas cet excès de snobisme et tu te demandes jusqu'où il peut aller. Il te parle des steaks, et tu applaudis pour te moquer de lui “C'est sûr que c'est important de savoir qu'un animal se fait tuer pour que tu puisses te taper un orgasme culinaire.” la Brigitte Bardot en toi ressort, et t'es bien fière de ne plus manger de viande, mais après avoir prononcer cette phrase, tu sens la réponse cynique qui arrive. Et tant pis, tu le laisseras dire, t'as tes convictions et c'est pas lui qui te fera changer. Tu le détestes, tu le hais autant que tu le désires. Et ça te tue, comment un homme comme ça peut attirer du désir dans ton corps ? Alors qu'il y a encore une vingtaine de minutes, vous vous preniez la tête parce que t'avais renversé ton verre sur sa chemise à 1000 dollars. C'est bon mon gars, le pressing ça existe. Tout ce que tu lui dis ne le touche pas, ou du moins c'est ce qu'il dit et tu ne peux t'empêcher de lâcher un petit rire quand il te dit que tu es d'une naïveté déconcertante “Tu ne me connais pas. Je te le répète.” Et t'as pas envie qu'il te connaisse pour le moment, c'est pour cela que tu fuis, tu claque la porte de ta chambre, tu ne veux plus avoir à faire à lui. Enfin si. Mais non. Pas pour le moment, t'es encore contradictoire dans tes pensées, et tu le détestes de te faire cela. La main dans tes cheveux, tu soupires, les yeux fermés, tu essayes de canaliser toutes tes émotions, de les faire taire et tu regardes les débris de verre sur le sol en soupirant. Y'a pas de femme de ménage ici et c'est toi qui va réparer ses conneries. Tu sursautes légèrement quand tu vois la porte qui s'ouvre à la volée et tu fermes une nouvelle fois les yeux avant de les réouvrir quand ses lèvres s'écrasent sur les tiennes. Putain tu prolonges le baiser et tu noues tes bras autour de son cou, tu sens ton coeur qui s'accélère et une dizaine de sensation te perforent de part en part, surtout vers le bas. Lorsqu'il te pose sur la table, tu ouvres sa chemise à la hâte avant de la lui retirer, puis tu décèles vos lèvres avant de le pousser pour qu'il se recule. Tu le forces à se reculer et tu le forces à s'asseoir sur le lit en montant à califourchon sur lui. Tu déposes tes lèvres avec hargne sur les siennes et tes mains glissent légèrement vers son entrejambe que tu t'appliques à caresser pour le faire craquer. Rapprochant tes lèvres de son oreille, tu lui murmures en un souffle “Oui, j'aime avoir le contrôle.” Et tu écrases une nouvelle fois tes lèvres sur les siennes, avant de parcourir son cou de tes lèvres, le mordillant légèrement. Et ouais, t'es fière, même si tu sais qu'il n'abandonnera pas de sitôt.

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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


Noah sentait la tension grimper mais était encore insatisfait : elle n’était pas à son paroxysme, et il pouvait encore mieux faire. Il était heureux de voir qu’il troublait Solveig, la jeune fille commençant à perdre son sang froid face à lui et lui ne cessant pas de sourire et de lui rire au nez de son air impérieux et complètement désabusé, comme si strictement rien n’avait ni valeur ni intérêt. Il ne relevait même plus ses mesquineries ou ses insultes, comme ces psittacismes sur le végétarisme, ça le faisait doucement sourire. Plus une fille perdait pied, plus elle se mettait à raconter n’importe quoi, et franchement, une fille rousse, féministe et végétarienne, quel stéréotype !  En revanche, la réflexion précédente sur la Cabot House le fit un peu moins sourire, il ne savait pas quel était le rang de Solveig dans la maison, mais Noah dans le fond respectait complètement cette sororité. Il n’avait de cesse de vouloir faire qu’un partenariat stable et durable s’installe entre sa maison et celle de Solveig et avait même déjà proposé son aide à Chloé, son amie d’enfance qui fait partie des roses. Mais, il ne ressentit pas le besoin de se défendre ni de contredire les paroles de la jeune fille : en tant voulu elle comprendrait que tout ceci n’est qu’un jeu de torture séduction entre eux deux.



Puis, vient le moment de l’adrénaline aiguë, celui ou Noah, tout en gardant encore le contrôle, entre dans l’arène avec férocité, comme s’il avait quelque chose à prouver, comme s’il voulait lui faire fermer sa bouche définitivement, ou tout simplement comme s’il en avait envie et qu’il se servait de n’importe quelle excuse pour ne pas avoir à l’admettre (Un peu comme ça). Il était impossible de ne pas céder à la tension quand le taux de bipolarité était si fort, quant l’attraction était aussi vive et déconcertante que la répulsion qu’ils éprouvaient chacun à l’égard l’un de l’autre. Il sautait sur la jeune fille et la portait avec férocité et rage jusqu’à la table qu’il avait balayé d’un geste précis de la main. Il sentait qu’elle répondait à son baiser, qu’elle se rapprochait de lui, qu’elle en avait envie – alors l’excitation du jeune homme grimpait en flèche. Elle était assise sur la table, et lui continuait de l’embrasser avec fougue, une main sur sa joue, l’autre sur le bas de son dos. Noah laissa la jeune fille lui arracher sa chemise qui se retrouve par terre avant de se laisser propulser et tomber sur le lit, Solveig à califourchon sur lui. Il se laisse de nouveau embrasser, elle peut bien avoir sa minute de gloire dominatrice. Il en profite pour caresser avec puissance le dos de la jeune fille, sa peau laiteuse et blême qu’il trouve jolie tout à coup, et d’une main lui dégrafe son soutient gorge.  Elle lui susurre à l’oreille qu’elle aime contrôler la situation et d’un mouvement brusque, Noah se renverse de manière à venir se retrouver entre les jambes de la jeune fille, relevant l'une d'entre elle, légèrement pliée, pour qu'elle se retrouve bien calée sur la hanche de Noah, appuyé sur ses mains posées de part et d'autre de la tête de Solveig : « Je ne suis pas du genre à me laisser faire », lui dit-il un sourire narquois aux lèvres, avant de laisser ses chaussures tomber sur le sol et de remonter dans le lit en collant Solveig encore plus à lui ( comme ça ). Entre ses jambes, il faisait en sorte, malgré son pantalon et la culotte de la jeune fille, de coller leurs parties intimes histoire de faire monter l’excitation et de regarder Solveig céder avant lui. Il se met à l’embrasser, cette fois tout doucement et lentement, dans le coup, avec beaucoup de tendresse, en la mordillant quelques fois, tandis qu'une de ses mains se balade sur le corps de la jeune fille.






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Ça te manquait cette sensation, un peu trop même d'ailleurs, la sensation que t'as quand tu désires quelqu'un tellement fort que ça active toutes les parcelles de ton corps, que t'as envie de crier ton désir à haute voix. Même si cette sensation te manquait, t'avais juste envie de claquer ce jeune homme. Lui et son arrogance, lui et sa façon de te rendre folle, de t'attirer dans ses filets sans que tu puisses rien faire. Les mots, les phrases s'enchaînent. Les piques aussi. Mais pour toi, t'as gagné une petite victoire quand il ne réagit pas au fait que tu parles de la Cabot House, en tant que présidente, t'es fière de ta maison. Tu ne sais même pas d'où il vient, dans quel maison il est. Mais à en juger de son costume qui a été copieusement arrosé et de l'air Arrogant qu'il prend, tu penses à un Eliot.

Tout ton être irradie de désir quand, enfin il dépose ses lèvres sur les tiennes. Quand tu le sens qu'il se lâche, qu'il s'abandonne. Ses mains, ses caresses expertes te tirent des frissons, des soupirs. Tu  ne pouvais pas résister, non c'était terminé. T'étais obligé de le laisser faire, toi, tu te colles un maximum contre lui et tu sens que ça lui plaît. Ca te fait sourire, tu gardes tes lèvres sur les siennes. T'as envie de lui dire que t'as envie de lui. T'as l'impression que vous êtes comme deux aimants, il t'attire, tu le repousses avant de lui arracher sa chemise et de le pousser contre le lit à ton tour avant qu'il ne t'attire tout contre lui. Tu en profites pour mordiller sa lèvre tandis que ses mains te caresse, et tu lâches des soupirs incontrôlés. T'es obligé de lui dire que t'aimes dominer, t'aimes surtout quand il est en dessous de toi, pour qu'il voit qu'il n'est pas celui qu'il pense être. Quand tu sens ses doigts qui dégrafent ton soutien-gorge, tu te redresses en passant une main dans tes cheveux et tu envoies voler ton soutien-gorge qui rejoint la chemise du jeune homme. Mais c'était sans compter au côté maniaque du contrôle du brun, qui retourne la situation. Tu le laisses positionner ta jambe à sa guise et tu la colles un peu plus quand sa voix t'envoûte une nouvelle fois, tu mordilles ta lèvre et tu lâches un petit rire sournois. Tu passes ses mains dans ton dos et tu enfonces légèrement tes ongles dans la peau de ses épaules tandis que la proximité de vos parties intimes est de plus en plus réduite. Tes mains se baladent le long de son dos avant qu'une de tes mains malicieuses glissent sur l'attache de son pantalon pour l'ouvrir. En espérant qu'il comprenne. Tu prolonges son baiser en fermant les yeux, ta main malicieuse le caressant légèrement. Tu veux qu'il craque, tu veux qu'il devienne fou. Tes lèvres passent de ses lèvres à sa mâchoire que tu mordilles légèrement, avant de blottir tes lèvres dans son cou que tu mordilles lui aussi. Puis cette main qui continues à le caresser se glisse légèrement entre son pantalon et le tissu de son boxer, t'attends impatiemment. Tu te met à murmurer “J'ai envie de toi...”  Tu bous d'impatience, t'as juste envie qu'il comprenne, qu'il te fasse vibrer puisque apparemment il sait bien faire cela. Et en attendant, c'est toi qui a baissé les armes en premier, et t'es sûr qu'il va encore faire son fier.

:fck:
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


Cette rencontre avait tous les ingrédients nécessaires pour plaire à Noah : une belle fille complètement folle, un degré élevé de colère, une tension électrique, et un désir sexuel inavoué. Noah ressentait tout un tas de frisson lui parcourir le corps au fur et à mesure qu’il se rapprochait de la jeune fille. Leurs deux corps en ébullition étaient comme deux aimants en proie à une électricité qui semblait les attirer de plus en plus l’un vers l’autre. Plus il l’embrassait, plus le jeune homme s’enivrait, commençant à perdre tout contrôle sur ses sens et à admettre petit à petit qu’il avait effectivement envie d’elle. Après tout, qui aurait dit non à sa place ? Lorsqu’il fut allongé sur le dos, elle à califourchon sur lui, il sentit que le désir était partagé et que la jeune fille avait envie de lui. Mais, il voulait l’entendre dire, il voulait se délecter d’une victoire avouée à haute voix. Même s’il perdait la tête dans ses bras et sous l’avalanche de baisers chauds et de morsures animales qu’elle lui offrait, il ne pouvait s’empêcher pour l’heure d’être encore plus exciter à l’idée d’emporter leur querelle des égos. Elle balança son soutien-gorge et Noah pu apercevoir un corps parfaitement dessiné aux courbes fines et délicieuses qu’il s’empressa de souligner du bout des doigts en la regardant. Lorsque tout à coup, pris d’une ivresse plus forte encore, celle qui veut faire de lui un loup sauvage, un dominant, il renversa la vapeur et se retrouvait sur elle. Il ne cessait d’accentuer les mouvements de va et vient de son bassin, car même tout habillé, elle pouvait ressentir son excitation et lui se languir d’un plaisir intense à venir. Il se surprit à aimer ses baisers, à adorer ses coups de crocs sur sa mâchoire et son cou et ne pu résister à l’idée de surenchérir en l’embrassant avec bien plus de fougue au point de s’en couper le souffle. Il sentit la main de la jeune fille défaire son pantalon et venir se loger entre lui et son caleçon. Il n’y avait plus d’équivoque, la scène parlait d’elle-même, et l’excitation de Noah s’était définitivement traduite de manière physique, dans son caleçon. La jeune fille continue de l’embrasser et lui en fait de même en caressant sa cuisse, ses fesses, et remontant le long de ses côtes jusqu’à son cou et ses cheveux qu’il empoigne fermement. Lorsque tout à coup une phrase vient briser sa perdition et accentuer son ivresse malsaine. Elle lui dit qu’elle a envie de lui. Noah sent une crampe lui tirailler les entrailles. Il s’arrête une fraction de seconde, voulant réfléchir très vite à ce qu’il se passe : est-ce qu’il est prêt à se donner à cette aventure et montrer sa faiblesse émotionnelle, ou bien est-ce qu’il veut continuer à jouer pour se protéger ? Alors, avant de répondre à cette question, il s’en pose une plus pertinente : est-ce qu’il a confiance en Solveig ? Et la réponse évidemment, est non, pas du tout. Il est persuadé qu’elle joue avec lui. Qu’en fait, les deux jouent l’un avec l’autre et c’est à celui qui réussira à rester debout le plus longtemps. Alors Noah cesse de l’embrasser, la regarde dans les yeux un instant, l’air sérieux et grave. Il culpabilise et s’en veut d’avance de ce qu’il va faire, mais ainsi vont les jeux de torture et les esprits sadiques et masos, après tout elle a voulu s’attaquer à lui. Il se relève complètement, debout aux pieds du lit, et la regarde allongée, le souffle haletant. Il a envie d’elle, bien sure qu’il a envie d’elle, en fait il la trouve même extrêmement belle. Mais le monstre à l’intérieur de lui prend le dessus et Noah se referme comme une huitre, son esprit cloisonné derrière une armure de glace. Sans rien dire, il referme la braguette de son pantalon, remet sa chemise, et ne regarde plus Solveig désormais. Quand il la regarde, il a peur de faiblir, et pour l’heure, il veut se montrer cruel pour ne jamais prendre le risque d’être blessé par elle. Il s’avance vers la porte de la chambre l’ignorant complètement, attrape la poignée, l’ouvre. Et se tourne lentement vers la jeune fille. Il ne regarde que son corps, pas du tout son visage. Là, il attrape un billet dans sa poche. L’air sérieux et grave qui trahit sa sensibilité, il réussit à le masquer avec un regard noir de dédain qu’il plonge dans les yeux de Solveig. Alors, il balance le billet sur le lit, comme s’il s’agissait d’une vulgaire passe, et ajoute d’une voix à la fois chevrotante et taciturne : « C’est tout ce que je voulais entendre ». Il sort de la chambre, ferme la porte derrière lui, et s’arrête un instant pour calmer ses ardeurs.






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Tu ne pensais qu'en allant au Homecoming, tu terminerais dans ta chambre à la Cabot House, chambre que tu t'étais appliqué à garder hors limite de tout contact physique et sexuel pour ne pas avoir à ressasser tes souvenirs malsains et tristes. Tu ne pensais pas que tu allais renverser ton verre sur un homme aussi con que séduisant et que surtout, il allait te rendre dingue de la sorte. Oui parce que la, ton état relevait de la folie et tout ce que tu voulais c'était que d'un côté, il parte mais que de l'autre, il te rende encore plus dingue. Chose qui parait impossible puisque t'as l'impression d'avoir déjà atteint le paroxysme de ton désir et que rien ne pourrait le faire augmenter. A part peut-être ses caresses et les baisers qu'il s'applique à t'offrir. Mais tu ne sais pas ce qu'il veut, tu ne sais pas clairement si ce n'est qu'un funeste jeu et s'il va te lâcher comme ça, d'une seconde à l'autre ou si, il a vraiment envie de pousser le vice jusqu'au bout. Non t'en sais rien et ça te bouffe. Tu ne supporterais pas qu'il joue de toi, pas maintenant, pas dans ces moments la. C'est pour ça que tu t'appliques dans tes baisers, tes caresses et tes morsures. Tes caresses lascives et tes morsures tentatrices. T'as envie de le rendre fou, qu'il en redemande encore et encore. Tout ce que tu veux c'est lui prouver que t'es tout sauf une traînée, que t'écartes pas les jambes au premier venu -même si la, inconsciemment, c'est le premier venu- tu veux lui prouver que la Cabot House ne contient pas que des écervelées qui pensent plus à écarter les jambes qu'à étudier. Mais il te faudra du temps, de la patience et beaucoup d'explications. Oui, il faut que tu lui expliques que tu n'es pas celle qu'il croit mais tu sais que ce sera aussi dur qu'un match de boxe ou qu'un semi-marathon. Mais t'es prête  à prendre le temps qu'il faudra pour le faire. Parce que t'aimes pas qu'on te juge comme ça aussi vite et c'est ce qu'il fait. Il te juge. Lorsque tu te retrouves la poitrine nue contre lui et qu'il fait courir son doigt le long de ta peau laiteuse, tu frissonnes, le chemin de ses doigts déclenchent des frissons incontrôlés. Ta main s'immisce entre le tissu de son pantalon et celui de son caleçon et ça te tord de l'intérieur, quand tu le sens qui réagit à tes caresses, tu déglutit avec difficulté sentant ton pouls qui s'accélère. Ton coeur qui s'emballe. Ses caresses te tirent des soupirs incontrôlés une nouvelle fois et même une légère plainte quand il empoigne tes cheveux. Puis tu lui dis, t'avoue que t'as envie de lui. Ouais parce que c'est ça la vérité, tout ton être, tout ton corps a envie de lui et tu sais que lui aussi. Tu le sais, tu le sens. Tes lèvres scellées sur les siennes, tu continues à l'embrasser de cette manière tendre et bestiale à la fois jusqu'à ce que tout s'arrête. Pantelante, haletante, tu le regardes se lever. Le coeur au bord des lèvres. Tu haletes légèrement, et tu cherches son regard, le coeur battant. Mais qu'est ce qu'il fait ? Il te fuit ? Non. Impossible. “Mais..” Tu ne comprends pas, qu'est ce que t'as fait de mal ? Tu fronces les sourcils, te redressant, le buste totalement nu et lorsqu'il balance un billet sur ton lit, t'as l'impression que la terre s'effondre. Pourquoi ? « C’est tout ce que je voulais entendre » T'es blessée, t'as l'impression que ton coeur veut s'extraire de ta poitrine, tu ne sais pas si t'es triste ou en colère. Tu ne sais pas si t'as envie de le gifler ou de pleurer d'avoir été bernée comme ça. Tu te lèves alors, renfilant ton soutien-gorge et le haut de ta robe, les jambes tremblantes, un goût d'inachevé dans la bouche et rageusement t'attrapes le nécessaire pour nettoyer les bouts de verres que t'envoie plus balader qu'autre chose. T'as la haine, t'es énervée comme jamais. Enfoiré. Tu te rapproches de la porte, le billet dans la main et tu l'ouvres à la volée. Il est la. Tu lui balances son billet à la figure. “J'ai pas besoin de ton fric. Tu voulais quoi au juste ? Me blesser ? Bravo t'as réussi. T'avais pas le droit de faire ça. T'avais pas le droit. Ouais tu m'as blessée, va le dire à tout tes petits copains si t'es si fier de toi.” Tu le regardes de haut en bas, et tu lèves les yeux au ciel, pour ravaler tes larmes. Tu te sens pathétique. Mais au lieu de pleurer, t'écrases ta main contre sa joue et tu rentres dans ta chambre en claquant la porte “Connard” que tu murmures entre tes lèvres en tapant dans le mur. Poupée blessée. Tu sais pas ce qu'il t'a prit. Sûrement un accès de faiblesse et tu te sens vraiment débile. Comment t'as pu croire qu'il aurait pu se passer un truc. Comment.
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


A l’instant où il refermait la porte de cette chambre, Noah savait qu’il avait quelque chose de terrible. Et qu’il ne serait sans doute pas prêt d’avoir de nouveau une occasion comme celle-ci avec elle. La vérité est que d’une part il n’était pas célibataire. Même s’il s’accommodé très mal des notions de fidélité, il ne pouvait s’empêcher de sentir une certaine retenue. Sans savoir pourquoi. Ensuite, et il le sait très bien, il n’aurait pas agit de la sorte s’il ne commençait pas vraiment à s’intéresser à la jeune fille. S’il n’en avait rien à faire, il aurait couché avec elle et serait parti comme ça, sans rien dire. Quelle perte après tout ? Mais, lorsqu’il était dans ses bras, lorsqu’il l’embrassait, lorsqu’il sentait ses caresses et ses morsures, il avait cette espèce d’ivresse incontrôlable qui le gagnait, cette espèce de feu dans le ventre qui lui faisait pressentir que Solveig pourrait le blesser, d’une manière ou d’une autre. Il n’avait pas envie de s’ouvrir à elle émotionnellement, trop apeuré, trop terrorisé à l’idée de baisser les armes. Alors, réagir comme il l’avait fait, comme un connard insensible, était de loin la meilleure solution. D’abord parce qu’il avait la sensation de gagner au moins en apparence. Mais gagner quoi au juste ? Dans le fond, tout ceci n’avait qu’un fâcheux gout d’amertume. Et ensuite, parce qu’il pouvait prendre la fuite sans avoir à admettre qu’il pouvait, lui aussi, faiblir et être fragile.

Il restait là, devant cette porte, ne trouvant pas le courage de partir tout de suite, tentant vainement de concentrer ses émotions, de reprendre ses esprits, et de réaliser la situation. Lorsqu’il vit Solveig apparaitre. Il se tourna vers elle instinctivement, sans sourire, l’air blasé et froid, distant, presque glacial. Il voyait bien qu’il l’avait blessé et bizarrement, ça ne lui plaisait pas. Il n’aimait pas faire du mal aux gens. Jouer, oui, quand les deux étaient consentant. Mais faire du mal comme ça … même lui ne pouvait le concevoir. Il gardait ses émotions bien bloquées au fond de sa gorge et finit par rétorquer d’un ton colérique, la voix haute : « Je n’ai pas besoin ni de le dire à mes copains, ni de m’en vanter. Et tu sais très bien qui a commencé tout ça. Et ce n’est pas moi. Si tu n’avais pas les épaules assez solides pour suivre le jeu, alors il ne fallait pas surenchérir ». Il disait ceci, mais savait que ce n’était là que justification. Et il détestait ce sentiment de victoire à moitié savourer. Il aurait préféré que Solveig soit elle aussi une conasse, qu’elle lui en mette plein la gueule qu’elle fasse quelque chose, n’importe quoi. Mais pas de dire qu’il l’avait blessé. C’était presque insupportable. Il prend une gifle, qu’il n’avait pas volé cette fois et relève la tête vers elle. Il arrange le col de sa chemise et la regarde partir avant de descendre les escaliers, de récupérer sa veste sur le sofa et de partir.






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