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NOAH + do you really think that i'm a slut ? (hot)

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Tu ne supportes pas que l'on t'insulte de traînée, alors forcément quand les mots sont sortis des lèvres du jeune homme, t'as déraillé, t'as pété un plomb. Tout ça à cause d'une malheureuse tâche de vodka sur sa chemise. En même temps, il n'avait qu'à pas se trouver sur ton chemin, quand t'es un peu saoule (voir beaucoup) Maladresse est ta meilleure amie. Alors forcément, fallait que tu tombes sur un Eliot et que tu tâches son costume à 1000 dollars, fallait que ça te tombe dessus. T'avais pas envie de te défendre au début, tu t'en fichais comme de la peste, mais non, le mot écarter les jambes te révulsait et t'avais l'impression d'entendre Chuck quand il a demandait le divorce, t'entend encore ses mots qui tournent dans ta tête quand il t'a dit que c'était plus possible, que de toutes façons, t'avais tout foutu en l'air parce que t'avais pas été capable de te retenir d'écarter les jambes devant le premier mec venu. Sauf qu'il ne sait pas ce qu'il se passait dans ta tête à ce moment-là. T'étais pas bien, t'avais l'impression d'être emprisonnée dans une prison dorée, parce que oui, tu n'étais pas malheureuse mais t'étais triste. T'as proposé au jeune insolent d'aller vous prendre la tête ailleurs pour ne pas salir la réputation de ta maison, tu pousses alors la porte d'entrée de la Cabot House et tu le regardes, ton regard de feu se plonge dans le sien et tu craches presque tes mots « Je t'interdis de dire que j'suis plus capable d'écarter les jambes que de marcher droit, tu connais rien de ma vie et j't'ai pas demandé de te trouver sur mon chemin. Alors maintenant, excuse toi, parce que sinon, ça risque de mal se passer. » Tu ne sais pas ce que tu dis mais tu sens l'alcool qui redescend et tu sais que tu seras plus à même d'avoir une conversation sérieuse avec cet homme, dont tu ne connais ni le prénom, ni rien en vérité.
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


Finalement, quand ça ne voulait pas marcher, ça ne servait à rien d’insister. Deux soirées communes, deux échecs cuisants pour le jeune Noah dont la colère gagnait en intensité. La jeune fille qui venait de le bousculer et de bousiller son costume avait l’air ivre mais surtout furieuse. Peut-être avait-il touché un point faible en l’insultant furtivement de trainée. Quoiqu’il en soit, elle l’avait tiré jusqu’à la Cabot House, ne voulant pas faire d’esclandre public, et de toute façon, comme il n’avait rien à faire, ni même envie de se coucher dans cet état, Noah l’avait suivit. Sur le trajet, qui n’était pas très long, ils ne se parlèrent presque pas, et Noah sentit la tension monter. Il pensait presque que la jeune fille allait le tirer à lui pour lui faire la peau. Un peu de mystère et de danger, il n’en fallait pas plus pour titiller sa curiosité.

Les voilà à l’intérieur de la Cabot House. Noah balaya d’un bref coup d’œil le bâtiment, c’était un peu comme Noël avant l’heure d’entrer dans la maison des plus jolies filles du campus. Il marcha sur les pas de la jeune fille, dont il ne connaissait toujours pas le prénom, et se contentait de garder sa démarche impérieuse, son air froid, et son sourire narquois en coin. Elle se tourne vers lui et dans un regard noir lui déblatère des inepties qu’il écoute sans prendre au sérieux. S’excuser ? Pour qui s’est-elle prise ? Elle était loin de savoir à qui elle avait à faire et Noah n’était fermement pas décidé à lui rendre la tâche facile. Plus la fille s’énervait, plus il devenait insupportable. Alors, il feignait l’indifférence, ironisant la situation en appuyant férocement son sourire narquois. Il cessa de regarder la fille et tourna dans la pièce, contemplant les murs, les portes, les meubles, comme si tout ici suscitait bien plus d’intérêt que la jeune fille. Soudain, il se tourna vers elle, sans lui faire totalement face, et de ses gestes impérieux lui dit : « Excuse-moi mais, il faut admettre que c’est assez tendancieux d’inviter un inconnu dans ta maison après qu’il t’ait traité de … fille facile ». Sa voix lente, taciturne et grave traduisait un calme apparent qui voulait agacer la jeune fille. Noah fit quelques pas en sa direction avant de poursuivre, une main dans le dos, l’autre soulignant ses paroles par des gestes : « Je ne connais rien de ta vie, certes. Et à vrai dire, je n’en ai que faire. C’est toi qui m’est rentré dedans ce soir, alors au lieu de réagir comme tu l’as fait, de manière complètement immature, t’aurais mieux fait de descendre de ton piédestal pour éviter d’entendre ce que je pensais de toi ». Il continue d’avancer vers elle jusqu’à se trouver face à face : « Personnellement, je n’éprouve aucun remords à juger sur les apparences. Et vue ta réaction, je soupçonne un passé bien plus lascif que ce que tu veux laisser entendre. Si tu étais convaincu de ne pas être une trainée, tu n’attendrais pas d’un inconnu comme moi qu’il te dise le contraire. Alors je réitère. ». Il arqua un sourcil pour la narguer, son sourire se faisant de plus en plus grand : « Tu es une trainée ». Il s’éloigna de quelques pas, tournant toujours autour de la pièce et de la jeune fille, et en riant il ajouta : « Et je n’ai d’ordre à recevoir de personne, encore moins d’une fille que je connais à peine. Fais moi voir comment c’est quand ça se passe mal, ça m’excite ». Il lui fit un clin d’œil clairement moqueur sans rien enlever à son air impérieux, arrogant et clairement insupportable.  





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Tu crois rêver, depuis quand un homme se permet de te dire que tu es une traînée alors qu'il ne connaît rien de ta vie. Et puis pour une fois que tu finis saoule, cela ne fait pas de toi une traînée. N'importe quoi. Tu te persuades dans ta tête embrumée par l'alcool que c'est simplement des idées infondées que t'es pas une traînée. Mais comment on appelle une fille qui a trompé son mari avec son employé ? Il n'y a pas de mots pour qualifier cela et il fallait que tu croises la route de cet homme pour que tout tes souvenirs te reviennent en mémoire, le jour où tu as officialisé ton divorce en signant ce papier, le jour où tu l'as vu pour la dernière fois en compagnie d'une autre femme que toi, bien plus élancée, bien plus jolie. Tu ne sais même pas pourquoi, tu te retrouve à l'emmener dans ta maison, la Cabot House, c'est le seul lieu où tu es protégée, quand tu veux être seule, réfléchir, tu viens dans ta ancienne chambre que tu continues à payer pour avoir un havre de paix quand rien ne va dans ta tête, dans ta vie. Tu continues à lui cracher ta haine, mais tout ce que tu es, c'est que tu es pathétique. Pourquoi il s'excuserait alors que c'était de ta faute, que t'as pas été foutu de regarder droit devant toi, tellement t'avais bu ? Les soirées comme ça, c'est peut-être pas pour toi finalement. Il recommençait à te dire que t'es une fille facile, que t'avais pas à l'inviter après qu'il t'ai dit ça parce que ça confirmait ces dires. Et il faut bien se l'avouer que t'aime pas quand on te résiste, t'aimes pas quand on te tient tête et ça, tout le monde le sait. Personne ne tente de se frotter à toi quand t'es énervée, personne. A part lui visiblement, et ça a l'air de te plaire. Même si ses manières te débectent t'as envie qu'il continue à te prendre la tête. Quel piédestal ? Un sourire narquois se dessinait à son tour sur ton visage de poupée et tu le fixais, tu le suivais du regard. Tu ne veux pas parler de ton passé et rien que d'y penser cela te fait frissonner. “ Je t'ai déjà dit de ne pas juger mon passé. Si tu me paraissais un peu moins con, je t'en parlerais peut-être.” Tu plantes ton regard dans le sien, continuant de serrer les dents pour éviter de lui en mettre une. Et il répète une nouvelle fois que tu es une trainée. Tu soupires, en le regardant de haut en bas, son costume tâché et son égo aussi énorme qu'une pastèque te font pitié. Il veut que tu lui montres comment c'est quand ça se passe mal. Tu te recules alors, le jaugeant une nouvelle fois et lèves les yeux au ciel avant de rétorquer “Ca t'excite ? C'est sûr que t'es tellement imbu de ta personne que tu peux pas donner de plaisir aux femmes, alors t'es obligé de te soulager tout seul, ça doit être embêtant au bout d'un moment.” Tu te diriges alors vers le mini bar qui se trouve dans la pièce et tu attrapes une bouteille à moitié vidée que tu t'appliques de lui renverser sur son costume une nouvelle fois. “Oh pardon.” Tu fais semblant d'être désolée et tu te mets à exploser de rire Et il faut que tu saches que personne ne donne d'ordres à Solveig Blackbird, t'es pas le premier à vouloir m'en donner, et certainement pas le dernier. Alors prend tes cliques et tes claques et tire toi si t'es pas content de discuter avec une trainée” T'as pas envie qu'il parte, t'as envie de le pousser dans ses retranchements parce que tu trouves ça amusant. S'il était joueur c'était encore mieux, parce que tu n'attends que cela de pouvoir jouer. T'attendais sa réaction en t'installant dans le canapé, et tu savais que ça allait certainement être explosif.
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


Noah était complètement enchanté par la situation, c’était tellement excitant de se quereller et de trouver une nouvelle personne à torturer. Il entendait que chacun de ses mots venaient blesser la jeune fille, et plus elle s’en montrait offusquée, plus il insistait comme pour la pousser dans ses derniers retranchements.  Manque de pot pour elle, il avait très bien perçu l’intérêt qu’elle portait au jeune homme. Il ne savait pas dans quel sens, si c’était en bien ou mal, mais un intérêt était toujours un intérêt, et au fond, peut-être que se bagarrer lui plaisait autant qu’à lui.

Dans une même phrase, elle lui dit de ne pas juger son passé, l’insulta de con, et surtout qu’elle lui en aurait peut-être parlé dans d’autres dispositions. Intérieurement, Noah eut le rire du diable : c’était entériné pour lui, elle venait de commettre une erreur fatale en se rendant humaine et affectée par quelque chose. Noah venait alors de découvrir sa faiblesse, qu’il allait fermement empoigner et agiter jusqu’à pulvériser la jeune fille. Elle était sans doute très énervée, mais elle ne connaissait pas encore Noah, elle n’avait aucune idée de l’étendue de son côté malsain, ni à quel point il pouvait sciemment se montrer cruel. Il lui rit au nez avant d’ajouter, toujours son sourire aux lèvres, et le ton calme, comme il avait la sensation d’avoir le dessus sur elle : « Je t’ai déjà dit que je jugeais ce que je voulais, tu peux oublier toute notion de morale et de bonne conscience avec moi. Et surtout, je suis ravis de te sembler aussi con, non pas que je veuille paraître méchant mais … entre nous, je n’en ai strictement rien à faire de toi, de ta vie, et de tout ce qui y touche ». Il souligna cette phrase d’un regard noir dans les yeux de la jeune fille, pour voir jusqu’où elle était prête à encaisser. Tandis qu’il continuait sa ronde et lui dit à quel point ça l’excitait quand les choses se passaient mal, la jeune fille le dévisagea d’un air supérieur le critiquant sur sa virilité. Noah eut un petit rire nerveux, c’était tellement bas et petit de venir essayer de l’atteindre sur ça, d’autant qu’il avait assez confiance en lui pour savoir que c’était faux. Et secrètement, à ce moment là, il se fit la promesse de coucher avec elle juste pour lui montrer qu’elle avait tord. Il s’avança lentement vers elle, sans quitter son sourire infernal, avant d’ajouter : « Tu sais ce qu’on dit, on est jamais mieux servit que par soi-même ». Il vint s’arrêter devant elle, de manière à ce qu’ils se retrouvent face à face : « Et puis entre nous, tu serais surprise de voir tout ce que je suis capable de donner aux femmes comme toi.  ». Il passa sa main sur la joue de la jeune fille pour la narguer un peu plus, avant de la remettre dans sa poche. Et, pour essayer de la blesser encore plus dans son égo et dans son âme, il ajouta : «  A ton avis, combien de garçon, quand ils te regardent, ne voient qu’un moyen de se vider mécaniquement ? Combien de garçon pensent à d’autres filles, bien plus intéressante, lorsqu’ils te font l’amour ? Et surtout, combien d’autres garçons que moi t’ont déjà traité de trainée ? ». Il marqua un léger temps de pose avant de sourire de plus belle : « Tu vois, tu peux dire ce que tu veux de moi, au pire je serais un gougeât imbus de lui-même et égoïste, au mieux un héro adulé pour ses performance sexuelle. Quoiqu’il en soit, j’aurais toujours le bon rôle. Toi en revanche, tous les hommes normalement constitués partiront toujours de cette idée de base qui est « elle est une trainée, jusqu’à preuve du contraire ». C'est si cruel, ça doit être embêtant au bout d’un moment d’être une fille, toute cette injustice ». Il sourit complètement satisfait de lui-même les yeux rivés sur ses réactions.  Il la voit se diriger vers le minibar et Noah ne peut s’empêcher de sourire dans son coin, amplement satisfait de la situation. Il déchante rapidement en voyant la jeune fille lui renverser de l’alcool sur son costume. Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes avec ses putains de fringues à la fin ? Il la regarde rire avec des yeux noirs de colère. Non, il était certain qu’il n’allait pas partir, pas comme ça, pas en lui donnant l’impression qu’il avait perdu. Il la regarda s’installer sur le canapé, dos à lui, et laissa un silence tendu planer dans la pièce. Après quelques secondes, il se dirigea vers le minibar ou sans rien dire, il se servit un verre de cognac qu’il but cul sec. Il marchait tout doucement, si bien que ses pas résonnaient dans la pièce. Après quelques deux minutes, il s’avança vers le canapé où se trouver Solveig, donc. Il s’appuya sur le dossier à l’aide de ses mains, de part et d’autre des épaules de la jeune fille, et se pencha légèrement par-dessus son épaule laissant planer une tension palpable : « A vrai dire, je préfère quand tu la ferme. ». Au même moment, sa main droite vint se balader sur l’épaule de la jeune fille, l’effleurant tout doucement, à l’aide de deux doigts, en revenant vers la gorge et descendant lentement entre ses seins, sous sa robe, à même la peau, sans aucune pudeur.






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Tu deviens folle, tu ne supportes pas le manque de respect et il faut croire que malgré ses apparences de gentleman et son costume hors de prix, le respect il ne connaît pas. Ou alors c'est un jeu, un stupide jeu et il a placé un masque sur son visage pour ne pas paraître faible ou tu ne sais pas quelle connerie encore. Tu ne supportes pas non plus qu'on te parle comme si t'étais la pire des choses qui pouvait exister sur terre et surtout tu ne supportais que l'on te juge alors que personne ne savait rien sur toi. Tout le monde était au courant de ce que tu voulais bien laisser paraître mais pas de tout, du mal-être que t'avais pu éprouver en fin d'année l'année dernière “Comme j'en ai rien à faire de la tienne.” Ta réponse sort du tac au tac et tu te retiens de ne pas le gifler. Tu pourrais aussi partir, mais tu ne partiras pas vu qu'en partie tu es chez toi. Tu  n'es pas dans ta chambre, mais dans le salon de la Cabot House, tu es sur un terrain neutre en somme. Tu pouvais encaisser beaucoup de choses et s'il voulait se lancer sur ce terrain la, il n'avait qu'à préparer son sac de couchage, et son oreiller parce qu'il risquerait d'y passer le reste de la nuit. Parler de sa virilité était peut-être quelque chose qu'il ne fallait pas faire mais tant pis, elle se risquait à le faire de toutes façons, si elle pouvait l'attaquer sur tout les terrains elle le ferait, toutes les armes sont bonnes à prendre. Visiblement cela ne l'atteint pas. De toutes façons, qu'est ce qui pourrait l'atteindre ? Pauvre imbécile têtu qu'il est ? Sa main se dépose sur ta joue et tu la repousses d'un geste sec. “Je m'en fous de ce que tu peux me donner, j'ai pas besoin de toi pour me satisfaire vu que visiblement j'suis une traînée.” Limite t'as envie de lui cracher au visage, qu'il comprenne qu'on ne s'attaque pas à toi comme ça. Mais tu te retiens, t'es vice-présidente de la Cabot House ça te mettrais mal à l'aise s'il commençait à colporter des rumeurs sur toi et tu sais que ça donnerait une mauvaise image de cette maison que tu aimes tant. Ses mots sont comme des poignards qu'il t'enfonce en plein coeur et t'as envie de le faire taire. Soit en le baillônant, soit en l'embrassant. Sauf que tu n'as aucune envie que tes lèvres touchent les siennes et tu ne veux pas non plus le baillonner, il serait bien capable de te faire du mal même si tu y parvenais. En usant d'autres ruses. Un héro. N'importe quoi, un rire narquois se tire de tes lèvres alors que tu le regardes avec une once de dégoût dans les yeux, t'as envie de vomir rien que de penser qu'il pourrait te toucher. Ses mots te blessent mais tu ne montres rien, tu n'as rien à lui montrer, il ne le mérite pas.  Tu le regardes de ton canapé qui se sert un verre au mini bar et un “Vas y te gêne pas” sort de tes lèvres à la façon d'un murmure, tu le regardes, la colère ayant prit place dans ton regard, ta main te démange, tu as envie de lui en coller une. Vraiment. Qu'il redescende sur terre, qu'il arrête de se prendre pour Mister Univers et qu'il dégage. Tire toi pauvre con, retourne jouer dans la cour des connards dans ton genre tes pensées te font sourire, mais tu perds rapidement ce sourire quand tu le sens qu'il se rapproche de toi. Putain.  T'as le coeur qui manque un battement, tu te demandes ce qu'il fout. Tu sens ses mains chaudes qui contrastent avec ta peau constamment gelée et tu frissonnes, tu fermes les yeux un instant et ses paroles te reviennent en mémoire, il préfère quand tu la ferme, sa main baladeuse sur ta peau laiteuse, tu serres les dents puis tu attrapes son poignet avant de le dégager. Tu ne sais pas ce qu'il te prend mais tu passes au dessus du canapé alors que tu aurais pu passer sur le côté et tu plantes ton regard dans le sien, un air de défi présent dans tes yeux. Ta main s'attarde alors sur son torse, tes doigts glissent doucement vers son entre-jambe que tu entreprends à caresser lascivement avant de retirer ta main. “Tu veux jouer ? Alors jouons. Mais tu ne sais pas à quoi tu t'attend.” Tu lèves les yeux au ciel en passant une main dans ta crinière de feu et tu montes les escaliers pour atteindre ta chambre, tu sais qu'il va te suivre et tu comptes bien lui faire vivre un enfer. Il va voir de quoi la trainée est capable, et toi tu le sais, que t'es capable du pire comme du meilleur.
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


La tension était bien palpable, presque électrique à en donner des frissons de plaisir. Noah se délectait de la colère qu’il pouvait lire dans le regard impétueux de la jeune fille. Elle le gifle une première fois, et lui se fige instantanément réunissant tout son courage pour garder son sang froid avant de relever la tête vers elle et de maintenir son sourire pédant, narquois et moqueur. C’était assez étrange comme situation tout s’était passé tellement vite, en moins de deux il se retrouvait à la Cabot House. Maison qu’il appréciait de surcroît d’autant qu’il avait toujours été d’avis que la Eliot et la Cabot marche de concert face aux autres maisons d’Harvard. Mais, Solveig était bien trop insupportable à son gout, bien trop sûre d’elle, bien trop caractérielle et Noah ne pouvait s’empêcher de la pousser à bout. Elle rejetait chacun des gestes du jeune homme, comme la main qui venait glisser sur sa joue. Lorsqu’elle lui eut dit qu’elle n’avait pas besoin de lui comme il l’insultait de traînée, Noah lui répondit sans perde son air impérieux ni son charisme diabolique : « Il y a une frontière subtile entre le besoin et l’envie. Et l’envie, même une traînée pourrait y succomber ». Il ne cessait de la fixer en la provocant comme s’il se mettait à mélanger la tension nerveuse qui régnait à quelques gouttes de sensualité. C’était comme de marcher sur un fil tendu au-dessus du vide, à la fois agréable et terrifiant. Noah se servit un verre et ne releva pas sa remarque : comme s’il allait se gêner de quoique ce soit. Et l’attitude qu’avait adoptée la jeune fille depuis ce début de soirée ne méritait pas qu’il lui accorde la moindre once de respect ou de sympathie.

Il caressait à peine, en l’effleurant,  la peau laiteuse de cette jeune rousse qu’il trouvait froide, aussi froide qu’un matin d’hiver. Il sentit une connexion étrange, comme un courant électrique à la jonction parfaite de l’attraction et de la répulsion. Il sent la main de la jeune fille lui attrapait le poignet, presque en plantant les ongles dans sa peau, avant de le dégager. Il fut surpris par sa cascade et recula d’un pas complètement amusé par sa réaction. Il continuait de sourire diaboliquement en la regardant, arquant de temps à autre un sourcil. Elle se met face à lui et le regarde avec cet air de défiance qu’il apprécie et qui le stimule. Il perd à peine de son sourire, tentant de rester impassible, tandis qu’elle se met à caresser son torse puis son entre-jambe. Noah sentit instinctivement l’excitation monter, une excitation contrôlé tant il appréhendait les actes de la jeune fille : ça ne l’aurait pas étonné qu’elle l’allume pour le laisser en plan, il n’était pas né de la dernière pluie, et n’était pas aussi facile à manipuler. Il fit comme ci ça ne lui faisait rien, soutenant le regard de défiance. Lorsqu’elle le mit au défis de jouer, il lui répondit d’une voix lente et taciturne, presque à demi-mot : « J’ai hâte de voir ce que tu as dans le ventre » - sans sourire cette fois, le regard noir, presque sérieux. Comme s’ils s’étaient arrêtés de s’amuser comme des enfants et monter d’un cran dans le côté malsain et cruel. Il la regarde s’éloigner, ne la quittant pas des yeux. Elle monte les escaliers pour se diriger vers les chambres semble-t-il. Noah marque un temps de pause, se disant à lui-même qu’il était temps de jouer – par-dessus tout, qu’il était temps qu’elle comprenne qu’elle n’était pas son adversaire mais son jouet. Il laissa sa veste sur le dossier du canapé et revint au minibar ou il se servit un deuxième verre de cognac qu’il but cul sec avant d’emporter la bouteille avec lui à l’étage. Il rejoint Solveig dans une des chambres, ne prêtant aucune attention à cet environnement inconnu, les yeux rivés sur elle. Il s’avance jusqu’à se trouver face à elle, sans rien dire, restant là une fraction de seconde à la regarder. Elle pouvait sentir le souffle chaud du jeune homme, toute l’énergie qui se dégageait de son corps. Il posa d’un geste net la bouteille sur une table qui se trouvait à côté d’eux avant de lui faire exactement ce qu’elle avait fait à Noah quelques minutes auparavant. Sans la quitter des yeux, sans bouger les lèvres, ni le visage, il posa sa main droite sur la cuisse droite de la jeune fille et remontait doucement, sous sa jupe, à même la peau. Il n’arrêta pas sa course avant de se retrouver au niveau de son entre-jambe, sur sa culotte, qu’il se mit à caresser. Tout doucement, très lentement, en prenant le temps de faire accroitre le désir. Il ne quittait pas la jeune fille des yeux qui semblait avoir le feu dans l’enfer dans le regard. Et après quelques secondes, il enleva sa main qu’il vint remettre dans sa poche. Il esquissa un petit sourire avant de se pencher de manière à pouvoir venir lui parler à l’oreille, leurs corps ne se touchant pas, mais n’étant qu’à quelques millimètres l’un de l’autre : « Je ne joue pas quand il n’y a rien d’intéressant à gagner. Encore moins quand l’adversaire n’est pas de taille. Et pour l’heure, c’est facile, et ennuyeux ». Il recule sa tête et rit en la regardant, avant de s’éloigner de quelques pas, attrapant la bouteille de Cognac et buvant une bonne gorgée.





PS. Pardon j'ai fais un peu long, j'étais inspiré
:hum: :loukas:




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Tu ne supportais pas ça, la tension, le fait qu'il te contrôle certainement inconsciemment. Non, tu détestes ça, clairement. Comment un être aussi imbu de sa personne pouvait avoir autant de contrôle sur toi ? Tu le sens qu'il te plaît, tu le sens du sommet de ton crâne à la pointe de tes pieds en passant par tout les endroits possibles et imaginables, surtout la, en bas. Tu ne supportes pas la personne qu'il est, mais tu ne peux t'empêcher de le défier, de le chercher pour qu'il atteigne le point de non-retour tant attendu. Tu es heureuse aussi d'avoir trouver un adversaire à ta taille et tu espères sincérement qu'il sera à la hauteur. Il te parle d'envie et tu le regardes comme s'il était la plus pathétique des choses. “ J'préfère te regarder en crevant la bouche ouverte que de succomber à l'envie de finir dans les mêmes draps que toi.” Tout tes sens s'éveillent quand tu dis cette phrase, comme si tu criais au manque, mais tu n'en fais rien. Tu te contentes de continuer de le défier et tu prend place dans ce canapé, le regardant agir à sa guise. Tout s'enchaîne à une vitesse que tu n'imaginais pas quelques secondes auparavant, il se retrouve à te toucher et toi tu le repousses, comme si c'était réellement ce que tu voulais, tu le repousses et tu te plantes devant lui, pour une nouvelle fois jouer avec le feu. Tes mains baladeuses et tes caresses lascives te perdront un jour. Peut-être qu'au fond il a raison, peut-être que tu n'es qu'une traînée. La Cabot House est présidée par une traînée et une jeune fille un peu perdue dans les méandres de l'amour. Quel bel exemple. Tu te poses des questions, est-ce que tu fais bien, est-ce que tu ne le regretteras pas ? T'en sais rien, t'es perdue la. Tu te perds à le caresser, à le titiller et tu sais qu'il va répliquer. Puis, tu le fais entrer dans le jeu, tu lui proposes de jouer sans indiquer tes règles, alors tu sais qu'il va tout faire pour mettre ses propres règles du jeu en action. T'as l'impression de fuir, de te tirer comme une voleuse mais non, tu montes juste dans ta chambre, dans ce terrain qui est censé être neutre. Oui, tu n'as jamais couché avec un garçon ici, tu ne veux pas de souvenirs charnels et déchirants dans cette chambre, mais tu ne sais pas non plus où votre jeu va vous mener. Peut-être qu'il n'y aura que des gestes, qu'il n'y aura pas d'action. Des gestes, des paroles et rien de plus. Mais même si tu ne le connais pas, tu te doutes que le contraire se passera. Alors tant pis, tu regretteras, tu verras bien. Peut-être, peut-être pas. Après tout, tu deviens incontrôlable, t'es pas stable en ce moment mais tant pis, tu t'en fous, il te faudra un électrochoc pour te remettre sur le droit chemin, quelqu'un qui te dira que t'as merdé, que t'es la pire des merdes. Quelqu'un que tu connais, pas un pauvre inconnu qui t'insultes de traînée. « Alors monte.» Lorsque tu le vois qui entre dans ta chambre, tu ne bouges pas, tu ne cilles pas. Le bruit de la bouteille claque sur la tête et tu ne laisses entrevoir aucune réaction. Tu restes stoïque même quand sa main se fraye un chemin sur la peau de tes cuisses, puis entre tes jambes. Tes muscles se contractent et tu ne dis rien, tu ne lâches même pas un soupir. Rien. Tu joues la fille froide, sans aucun sentiment alors que tu brûles intérieurement, tu ne peux quand même pas cacher tes réactions, tu sens tes joues qui rougissent légèrement et tu te détestes, tu détestes le fait qu'il puisse voir ce que tu ressens rien que parce que ta peau est capricieuse. Lorsqu'il retire sa main pour la fourrer dans sa poche, tu lâches un soupir de soulagement et ses mots te donnent des envies de meurtres. Tout ton intérieur crie au désir et t'as envie qu'il fasse encore plus augmenter ton désir, mais tu ne dis rien, tu te tais et tu le regardes, encore et encore qu'il boit une gorgée de la bouteille e cognac. Il te prend pour une traînée ? Très bien. Agis comme tel, t'as raison, après tout, peut-être qu'après il se rendra compte que ce n'est pas le cas. Tu te rapproches alors de lui et tu le pousses doucement contre l'un des murs de la pièce, le coeur battant à mille à l'heure. Puis tu le fixes et d'une voix qui se veut sensuelle, tu dézippes ta robe et tu la laisses tomber à tes pieds, te retrouvant alors en sous-vêtements devant cet homme que tu trouves pourtant insupportable. “Rien d'intéressant à gagner ?” Tu te rapproches alors de lui, toujours jucher sur tes talons et tu te met à déboutonner lentement sa chemise, avant de lui murmurer au creux de l'oreille “Ennuyeux ?” Tes lèvres s'attardent sur son cou que tu te met à mordiller avant de te reculer subitement. “Si tu trouves que je ne suis pas un adversaire à ta taille, la porte est toujours ouverte.” Et tu t'installes sur ton lit, le fixant, le tentant. Peut-être qu'il ne craquera pas, mais tu peux aussi avoir toutes les armes pour le faire craquer. Tu n'es plus à ça près.
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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


Tout dans la vie de Noah n’était qu’une grande mascarade, un jeu impétueux dans lequel il s’agissait de flirter avec le danger, de jauger la patience de ses adversaires et de n’en faire qu’une bouchée. Il était un vicomte de Valmont, ce personnage des Liaisons Dangereuses en apparence machiavélique, sadique et malsain qui n’avait pour seul but que de séduire, de faire frémir, d’attraper à pleine dents les jeunes brebis qui osaient s’attaquer à lui. Et il fallait du temps pour le mettre à découvert, du temps pour ôter toute l’attirail de sa cruauté et le mettre à nu sous un jour plus humain. Il avait toujours eu ce rapport ambivalent aux femmes : la plupart, il les considérait comme des trainées imbues d’elles-mêmes et malhonnêtes. Il n’avait aucune confiance en elle se doutant qu’à tout moment elles pourraient lui planter un couteau dans le dos. Il les méprisait même. Mais lorsqu’une de ces femmes arrivaient à gagner son respect, alors Noah l’adorait comme une déesse vivante, parce qu’il n’y a rien de plus beau pour lui que la pureté et la candeur que peuvent dégager certaines d’entres elles. Solveig était de la première catégorie pour l’heure. Et Noah, comme à son habitude, n’avait de cesse d’imaginer des stratégies de manipulation et de séduction dans un but purement narcissique : se prouver qu’il vaut mieux que les autres, et lui prouver qu’il vaut bien mieux qu’elle.

La phrase de la jeune fille résonnait dans sa tête  « je préfère te regarder en crevant la bouche ouverte que de succomber à l’envie de finir dans les mêmes draps que toi ». En voilà une stimulation, en voilà une bonne manière d’actionner son ego et tout mettre en œuvre pour lui prouver le contraire. Après être monté dans la chambre, alors qu’il la caresse avec tout le tact qui sied à ce genre de pratique sensuel, Noah fixe la jeune fille qui reste stoïque. Bien qu’elle fût une excellente actrice à cacher ses pulsions corporelles, il sent au fond d’elle la résistance de celles qui ont peur de succomber. Ce qui l’excite encore plus : ainsi veut-elle jour les filles froides, ainsi allait-il tout mettre en œuvre pour la réchauffer. Elle aurait très bien pu repousser sa main dès le départ, à l’instant même où elle se posait sur sa cuisse. Mais elle n’en fit rien. Peut-être essayait-elle de lui montrer que ça ne l’atteignait pas ? Peut-être à l’inverse, voulait-elle faire monter les enchères. Quoiqu’il en soit, ses joues rougies trahissaient ses émotions profondes ce qui fit rire très fort, intérieurement, Noah. Il gagnait du terrain, et c’était délectable.

A peine allait-il reposer sa bouteille sur la table, que Noah se trouvait transporter par la jeune fille et plaqué contre un mur. La bouteille se brisa sur le sol dans un fracas détonnant, ce qui le fit sourire de plus belle, et sans émettre aucune résistance, il se laissa faire. Avait-il enfin libérer la bête ? Probablement, oui. Noah soutenait son regard, y ajoutant plus de malice que de noirceur comme pour lui faire comprendre qu’il était amusé et n’avait aucunement peur d’elle. Elle enlève sa robe face à Noah qui balaye son corps d’un coup d’œil. Il faut avouer qu’il est plutôt apetissant. Il ne cligne pas même d’un cil, la laissant faire à sa guise, se disant à lui-même « montre moi ce dont tu es capable ». Puis elle vient déboutonner la chemise du jeune homme d’un geste très sensuel en répétant à son oreille « ennuyeux ? ». Noah ne bouge toujours pas. Lorsqu’elle se met à mordiller son coup il ferme les yeux très forts un instant comme pour contrôler toute monter d’adrénaline ou de plaisir. Elle lui signifie que la porte est grande ouverte et va s’installer sur le lit. Noah la regarde un instant en détaillant chaque partie de son corps, un sourire narquois pendus aux lèvres. Après quelques secondes, il se redresse convenablement, se retrouvant non plus appuyé sur le mur, mais droit face à elle. Il reboutonne sa chemise tout doucement en la regardant, et une fois ceci fait, il s’approche d’elle d’un pas lent. Arrivé à son niveau, il se penche totalement de manière à pouvoir lui parler en face à face, leurs visages à seulement quelques millimètres l’un de l’autre. Et il répète d’une voix mielleuse et moqueuse : « Ennuyeux. », avant de se redresser et de marcher en direction de la porte de la chambre. Avant de sortir il se tourne vers la jeune fille et ajoute d’un ton largement sarcastique : « Quand je mange un steak, je n’aime pas qu’il soit pré mâché. Alors quand une fille est aussi facile à déshabiller, je ne vois pas quel plaisir je pourrais en tirer. Il n’y a aucun intérêt à jouer quand l’adversaire marque des buts contre son propre camp. ». Sa métaphore était méticuleusement choisie : en la comparant à un steak, il la comparait à de la viande et venait, une fois de plus, de l’insulter. Il sort de la chambre et s’avance pour descendre les escaliers.





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T'as envie de le frapper, de lui en mettre une pour qu'il arrête de faire son snobinard, tu détestes cela, t'as envie de le secouer comme un pauvre prunier pour qu'il arrête. Tu te demandes s'il est comme ça avec toutes les filles et surtout s'ils arrivent à ses fins en se comportant comme un connard. Toi, tu es à deux doigts de craquer, de lui dire d'arrêter ce jeu mesquin et de te montrer ce côté héro qu'il a soi disant, mais t'as trop de fierté, t'as pas envie de lui faire plaisir parce que ce serait trop simple pour lui et ça lui confirmerait le fait que t'es une traînée. Sauf que t'es tout sauf une traînée, t'es pas comme ces filles qui sortent le soir, une jupe tellement courte qu'elle ne porterait rien ça ferait pareil tout ça pour se faire prendre par le premier mec qui passe. Toi tu joues dans la séduction, tu cherches. Mais tu ne couches jamais avec un inconnu, non, la plupart des hommes tu les connais. Il serait l'exception qui confirme la règle, et tu ne t'en plaindrais certainement pas. Mais pour le moment, t'es plus occupé à savoir ce dont il a envie, t'es plus occupé à lui faire augmenter son désir alors que tu ne sais même pas si tu seras foutu de passer à l'acte. Mais tu es persuadée au fond de toi qu'il a envie de ça aussi, parce que sinon, il ne ferait pas tout ça, les caresses, les tentations. Non, t'es sûre qu'il te veut aussi. Sauf que tu n'arrives pas à lui demander, pour toi ça reviendrait à baisser les armes et ce n'est pas toi. Tu sais ce que tu vaux, et tu ne te reconnais pas, tu te demandes si la personne qui a pris place dans ton corps n'est pas ton double maléfique, mais ça te plait bien, cet espèce de tension, d'attraction entre vous deux. Et si c'est ton double maléfique, t'es bien heureuse qu'il soit sorti ce soir. Plus une trace d'alcool dans le sang, ça te rassures, si jamais il se passe quelque chose tu seras consciente. Tu t'appliques à ne rien laisser paraître quand il te caresse et tu es soulagée quand il arrête. T'as envie de poursuivre le jeu, de pousser le vice jusqu'au bout. Qu'il te désire encore et encore jusqu'à craquer. Sauf qu'il n'a pas l'air d'être très réceptif à tout ce que tu fais. Tu te demandes s'il a deviné qu'il te faisait bouillir, qu'il était à deux doigts d'obtenir ce qu'il voulait. Tu prends les devants, le contrôle et lorsque la bouteille s'éclate sur le sol, un sourire satisfait se dessine sur tes lèvres et tu essayes tant bien que mal de prendre le contrôle, lui donnant vue sur ton corps et ta peau laiteuse, s'il regarde bien, il pourra voir un frisson qui parcourt ton corps à moitié nu. Mais tu te doutes qu'il ne le remarquera pas. Puis tu joues avec la peau de son cou, t'as envie qu'il te fasse la même chose, envie qu'il te montre ce qu'il peut être, ce qu'il peut te donner puisqu'apparemment il est doué. Et t'as envie de savoir. Mais tu continues à garder tes distances, en t'installant sur le lit. Tu penses qu'il va craquer mais quand tu vois sa démarche, lente et qui te torture, tu sais que ce n'est pas gagné. Ton regard se plonge dans le sien et tu te laisses hypnotiser comme une adolescente amouraché d'un mec qui n'en a rien à foutre d'elle et tu grognes légèrement à son ennuyeux et tu rétorques « Snob, connard et mytho. T'as vraiment rien pour toi. » Et tu le vois qui se tire comme un voleur, prenant ton désir et tes envies avec lui, après avoir fait allusion au fait qu'elle n'était qu'un bout de viande. Tu soupires et tu te lèves d'un bond avant de renfiler ta robe. Et tu te pointes en haut de l'escalier, tu descend les escaliers et tu te plantes devant lui. « Alors premièrement, le bout de viande il t'emmerde, tu me vois comme un steak très bien, tant mieux pour toi. » Tu serres les dents, t'as envie de lui en coller une. « Et ensuite, arrête de dire que tu pourrais être un héro adulé pour ses performances sexuelles alors que tout ce que tu fais, c'est aguicher les gens et ne pas porter tes couilles. Donc je doute fortement que tu en ai. Mais casse toi, vas y.  J'ai pas besoin de toi. J'ai pas besoin d'un mec qui sait pas se servir de ce qu'il a entre les jambes. Pauvre con. » Tu le juges de haut en bas et tu remontes les escaliers, claquant la porte. Pauvre con insupportable.Tu pousses rageusement du pied les débris de la bouteille de Cognac qui a été injustement gâché et tu te poses sur ton lit. Tu te demandes aussi s'il va revenir et surtout s'il a été blessé dans son égo de connard égocentrique.

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✧ Cabot House ✧Solveig & Noah


C’était un plaisir délectable que de celui de se battre contre une proie déjà acquise. Il sentait que la jeune fille avait envie de lui. En fait, il ne fallait pas être bête pour s’en apercevoir. Son souffle s’accélérer d’un dixième de pulsation lorsque Noah s’approchait d’elle, ses mains avaient ce tic machinal de se contracter comme pour serrer les points, et il y avait ses yeux qui ne le quittait pas. En peu de temps il avait réussit à prendre largement le dessus : il avait son prénom, elle ne connaissait pas le sien ; elle s’était déshabillé, lui était toujours tiré à quatre épingles dans son costume ; elle s’énervait alors que lui gardait son sourire narquois et impassible. Il savait déjà qu’il aurait pu avoir un rapport charnel avec elle. D’ailleurs, il en avait très envie, l’avant-gout de ses caresses laissait présager une partie de jambe en l’air torride, et quel homme aurait pu résister à une aussi jolie rousse ? Mais il était clairement impossible pour lui d’avouer qu’il avait envie d’elle, encore moins de passer à l’acte officiellement. C’était bien trop marrant de faire comme s’il ne ressentait rien : les filles avaient ce dont de se sentir supérieure, de croire qu’elle pouvait avoir ce qu’elles voulaient d’un claquement doigt. Mais c’était sans connaitre Noah : il était tout l’inverse. Plus il désirait quelqu’un, plus il fuyait. Tandis qu’il reboutonne sa chemise les deux jeunes gens se fixe, une connexion malsaine s’établi entre leurs deux esprits. Elle l’insulte de snob , connard et mytho, et lorsqu’elle lui dit « t’as vraiment rien pour toi », Noah rétorque du tac au tac : « Hormis ma dignité peut-être ? Il est vrai que c’est un attribut peu rependu chez certaines Cabots, mais je m’en satisfait pleinement ». Il exquise un large sourire, complètement faux, pour bien l’agacer, avant d’attraper la robe de Solveig et de la lui balancer dessus. Comme pour appuyer ses mots de gestes : lui faire ressentir le fait qu’elle était méprisable, une moins que rien, qu’il s’empresserait d’oublier si tôt qu’il aurait traversé cette porte.

Il commençait à descendre l’escalier lorsque Solveig vint se poster devant lui. Elle était habillée et Noah esquissa un large sourire moqueur : « Non non non. Je n’aurais jamais osé insulter les steaks comme ça, ils sont bien trop important ». Il fit semblant de faire les gros yeux comme s’il venait de dire une bêtise – bien sure c’était une manœuvre ironique, manière de montrer à Solveig qu’elle était vraiment moins que rien, même moins importante qu’un vulgaire bout de viande. Il sent en elle qu’elle s’énerve, ses dents qui grincent, ses mains qui se contractent de plus en plus vite, son regard noir. Noah se délecte de cette situation avec plaisir sans pour autant enlever son sourire arrogant du visage. Plus elle s’énerve, plus il est satisfait. Puis, elle se met à déblatérer des inepties sur ses performances sexuelles tentant dans un vain élan de courage lâche d’atteindre son égo. Noah soupire grossièrement en hochant la tête de gauche à droite. Bien sure que c’était de l’ironie lorsqu’il disait que certaines filles pouvaient le voir comme un héro : il s’agissait seulement d’expliquer à la jeune fille que chaque personne pouvaient se faire son avis, certaines le voir comme un héro, certaines comme un diable pathétique. Il était surpris de la voir prendre cette pauvre phrase, surtout sortit de son contexte, autant à cœur : « C’est vrai que toi tu n’avais que de bonnes intentions. Tu te déshabillais pas du tout pour m’allumer, uniquement pour faire l’amour après m'avoir giflé, insulté et caressé salement», répondit-il ironiquement. C’est vrai quoi, elle disait qu’il se contentait d’allumer sans passer à l’acte, mais c’est clairement l’hôpital qui se fout de la charité ! « Comme j'aimerais ressentir quelque chose, comme j'aimerais que tes mots m'atteignent », Noah sourit mielleusement avant de descendre une marche de plus pour se trouver vraiment collé à Solveig, réactionnant toute l’énergie négative qui se dégageait de leurs deux corps : « Ta pathétique et pour ne pas dire insipide tentative de me blesser dans l'ego en parlant de mes attributs génitaux ou de ma manière de m’en servir échoue vulgairement. Je ne suis pas un pantin, comme toi. Je ne ressens pas le besoin de prouver l’inverse de ce qu’il se dit de moi. Et si c’est ce que tu pense de moi, grand bien te fasse. Penses-tu seulement une seule seconde que tes mots puissent avoir un quelconque impacte sur ma vie ? Je suis un connard, mytho et snob. ». Il lui ricana au nez avant d’ajouter : « tu es d’une naïveté déconcertante ».

Solveig fuit dans sa chambre et Noah descend quelques marches de l’escalier avant de s’arrêter net. Il n’est pas complètement satisfait, pas temps qu’elle reste debout ou réussit encore à se regarder dans une glace. Ce qu’il détestait encore plus que les gens qui le blessaient, c’était ceux qui essayaient vainement de le faire sans y parvenir. Il fallait qu’elle comprenne qui était au-dessus de l’autre. Il remonta les escaliers à tout allure, ouvrit la porte d’un geste brusque qui fit retentir le claquement de la porte dans tout le bâtiment et se jeta sur Solveig. Il ne la laissa ni se rendre compte de ce qu’il se passait, ni le moyen de pouvoir dire non. Il savait qu’elle en avait envie, et il voulait lui transmettre toute sa fougue de manière à ce qu’elle cède définitivement à la tentation du diable. Il arriva face à elle et se mit à l’embrasser avec rage et envie, quelque chose d’à la fois tendre et brutal, qui traduisait bien toute la situation. Sans lui laisser le temps de réagir, il l’empoigne par les cuisses et la porte à califourchon, les jambes de la jeune fille de part et d’autre des hanches de Noah. Ainsi, en la portant, il s’avance vers la table sur laquelle était posée sa bouteille de cognac quelques minutes auparavant piétinant de ses chaussures le verre qui jonche le sol. Et sans s’arrêter de l’embrasser, d’un geste brusque, il balaie d’une main tout ce qui se trouve sur cette table et assoie Solveig dessus avant de remonter ses mains le long des cuisses de la jeune fille.






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