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Zen, soyons zen... ✗ CODY

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Aujourd'hui, j'avais très peu de cours, alors j'en ai profité pour travailler tranquillement à la bibliothèque pour rattraper encore un peu mon temps perdu. L'hôpital avait fait que j'avais du mal à me remettre dedans et du coup, j'avais constamment l'impression d'être en retard sur les autres. Peut-être aussi que si je faisais moins la fête et que je me concentrais un peu plus sur mes études, ça irait mieux. J'avais du mal à m'en sortir toute seule, j'en avais envie, mais je me rendais compte que la tâche était difficile. J'avais peut-être besoin d'une personne pour me donner un bon coup de pied au cul... Je travaillais donc à la bibliothèque et le seul moment de pause que je me donnais, c'était quand je me rendais dans la salle informatique pour faire des photocopies. Tout allait très bien jusqu'à ce que la machine m'indique non précisément que plus rien ne va. Il faut rester zen... Je commence alors à faire la gym de la photocopieuse, c'est-à-dire à ouvrir tout ce que je peux ouvrir pour ensuite le claquer sans ménagement. Je faisais ça comme si j'étais toute seule alors que pas du tout, alors imaginez un peu le potin du diable que je pouvais faire... Puis, très vite je commençais à grogner, ne comprenant toujours pas comment fonctionne la machine. Putain, je sors avec un geek et je suis en train de me battre avec une énorme photocopieuse. Aucun rapport, je sais, mais quand même...
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W/ ALASKA.
Cody ne foutait rien. Enfin si, officiellement, il était devant l’écran de son ordi, seul au fond d’une salle parmi les rangées de bureaux, dissimulé derrière les machines, en pleine réflexion sur l’axiome de la transitivité, un truc archi passionnant. Oui, mademoiselle Ironie est dans le secteur. Mais officieusement, il avait le nez en l’air et comptait les carreaux au plafond, se disant que s’il arrivait à trouver le nombre exact, il s’endormirait moins con ce soir. Bref, il ne faisait pas gaffe aux gens qui allaient et venaient, puisqu’il avait l’habitude que son silence soit entrecoupé de bruits d’imprimante et de photocopieur. Mais là, Cody comprit qu’un truc n’allait pas, qu’il y avait à une personne – comment dire poliment ? – limitée, puisqu’au lieu du traditionnel ’titchi titchi titchi uuuuuh’ (on applaudit cette imitation de photocopieur), c’est plutôt un ’BAM BOUM clap clap PAF’ (j’attends mon Oscar) qui parvint jusqu’aux oreilles du Winthrop. Il grimaça, et leva la tête histoire de voir l’identité de cette personne dotée de l’incroyable talent de ne pas savoir utiliser un photocopieur, et constata qu’il connaissait cette personne. Alaska. Ils ne s’étaient pas adressés la parole depuis cet été, un peu beaucoup sous l’initiative de Bleeker. Du coup, son premier réflexe fut de se renfoncer tranquillement dans sa chaise et recommencer à compter les carreaux du plafond (puisque naturellement, il avait perdu où il était), mais rien que la présence d’Alaska dans la même pièce l’irritait. Et puisqu’il était le seul gugus dans la salle, il se leva de sa chaise et arriva en silence jusqu’à Alaska. Il commença par refermer tous les clapets ouverts par la Mather, avec rapidité et précision, avant D’ALLUMER la machine – ce qui était quand même plus pratique. Il appuya ensuite sur le gros bouton vert et des copies se mirent à sortir aussitôt. Bref, en deux temps / trois mouvements, affaire réglée. Puis, silencieusement, revint à sa place pour retourner à ses affaires. Voilà, elle pouvait faire comme Maître Gims et se tirer maintenant.
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Je n'arrivais pas à faire une malheureuse photocopie et j'avais un peu honte de ne pas savoir me dépatouiller toute seule avec la machine. Heureusement, il n'avait pas l'air d'y avoir du monde... Enfin, je crois. À vrai dire, je n'ai pas regardé autour de moi en entrant dans la pièce. C'est-à-dire que je n'ai pas cherché à savoir si j'allais déranger ou autres, non, j'avais foncé droit sur la machine et j'étais directement entrée en combat contre elle. Je n'étais pas douée pour tout ça, je détestais les machines et la technique en général. De toute façon, j'étais trop maladroite pour prendre soin de tous ces trucs-là. Je commençais alors à faire un vacarme pas possible, essayant de comprendre pourquoi ça ne fonctionnait pas. Visiblement, je dérangeais l'unique personne de la pièce puisqu'elle s'était levée pour me venir silencieusement en aide. Cody Bleeker s'y connaissait en photocopieuse. En même temps, ça ne m'étonnerait même pas qu'il est déjà posé ses fesses dessus. Je reculais d'un pas, le laissant faire, restant moi aussi très silencieuse. Il refermait tout ce que j'avais ouvert et il appuyait sur le bouton power. Ok, d'accord, chapeau bas l'artiste, il suffisait d'appuyer sur le bouton pour allumer la machine. Note à moi-même : être moins stupide. J'osais même pas le remercier et puis de toute façon, il était déjà retourné à sa place. Je faisais alors mes quelques photocopies et je ramassais mes affaires quand cela fut terminé. Cody me faisait la gueule et je ne savais pas pourquoi. Je détestais cela, tellement que moi aussi je lui faisais la tête. Mais en même temps, il y avait une question ou une remarque plutôt, que j'avais envie de lui poser depuis cet été et je ne pouvais repartir sans le faire. Puis, c'était le bon moment non ? On était que tous les deux dans la salle informatique. Je m'approchais donc, m'asseyant à côté de lui et le regardant tandis qu'il regardait le plafond. « Tu m'as jamais dit en quoi mes seins étaient rigolos... » Et franchement, je voulais savoir !
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W/ ALASKA.
Pour le coup, Cody avait abandonné l'idée de compter les carreaux du plafond. En même temps, il était un peu teubé, il venait juste de comprendre qu'il suffisait de compter ceux de longueur, puis de la largeur, avant de les multiplier, ce qui faisait 16*20 soit 320. 320 carreaux au plafond de la salle info du deuxième étage de la bibliothèque de Harvard, voilà, vous vous endormirez moins cons, je cultive mes lecteurs. En fait, présentement, il analysait les bruits, il les chassait, comme un gros matou qui détecte sa souris. En l'occurrence, une souris polaire. Mais alerte rouuuuge enfin verte Mather quand il entendit Alaska arriver vers lui. Trop de pression, Cody s'immobilisa, se disant qu'il utiliserait la technique du mur pour la dissuader d'entamer toute conversation. Mais elle lui posa une question sur ses seins et Cody s'esclaffa deux secondes, avant de se remettre en Suisse, es decir garder un visage neutre. Elle le faisait rire, cette conne. Paye la qualité de ton masque Cody Bleeker. Tu crois voler sur Air France et tu réalises que tu risques ta vie sur Ryanair. Fixant l'écran face à lui, il répondit donc le ton monotone malgré le contenu de ses paroles ; « Mais si, je te l'ai dit. T'as un boobs qui dit merde à l'autre, on dirait qu'ils sont fâchés. T'en as un c'est les USA dans les années 60 en pleine guerre froide qui pointe à peu près normalement, et l'autre c'est la Russie qui se croit mieux que tout le monde et qui souffre de gigantisme. Alors il pointe vers le ciel, sûrement pour préparer la conquête spatiale. Enfin j'suis pas un expert en boobs. » Qu'elle demande à son mec, Paraît qu'il en avait vu plus de paires qu'un vendeur de chaussures à la retraite. Bref, il fit genre de reprendre le travail en allant sur Google et en tapant 'axiome de la transitivité'. Les mots étaient tellement compliqués qu'Alaska prendrait peur rien qu'en les lisant. Belle stratégie Bleeker. Je sais, merci.
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Alors qu'il venait de m'aider à faire démarrer le bazar, j'avais finalement décidé de le rejoindre pour lui parler de mes seins parce que j'avais toujours voulu qu'il me dise en quoi il était rigolo. « Mais si, je te l'ai dit. T'as un boobs qui dit merde à l'autre, on dirait qu'ils sont fâchés. T'en as un c'est les USA dans les années 60 en pleine guerre froide qui pointe à peu près normalement, et l'autre c'est la Russie qui se croit mieux que tout le monde et qui souffre de gigantisme. Alors il pointe vers le ciel, sûrement pour préparer la conquête spatiale. Enfin j'suis pas un expert en boobs. » Je faisais une petite moue en le regardant. Il avait été le seul mec à me dire un truc du genre, en même temps, c'était Cody... Oui, oui, c'est une excuse valable. Mes seins sont presque identiques, j'en suis certaine. En tout cas, ils étaient tous les deux inexistants. Je n'avais pas été dotée d'une poitrine généreuse, en même temps, je n'étais pas certaine que ça m'irait. Enfin, là n'est pas le propos. Je m'installais à côté de Cody, je n'étais pas d'humeur à me prendre la tête, j'avais envie de discuter avec lui, ça faisait longtemps. Je n'allumais même pas l'ordinateur en face de moi, j'étais totalement tournée vers lui et je le regardais en fronçant les sourcils. « J'espérais une autre explication... voilà tout. Avoir un sein russe et un autre américain pour une fille anglaise qui s'appelle Alaska, tu peux comprendre qu'il y a de quoi être chamboulée ! » m'exclamais-je avec un haussement d'épaules. Je le regardais toujours avec intensité, m’accoudant à la table. « Tu me boudes ? » lui demandais-je doucement avec les mêmes yeux que le chat potté dans Shrek.
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W/ ALASKA.
Parler faisait un peu chier Cody qui avait planifié de faire la gueule à Alaska jusqu’à – environ – l’an 2020. Après cette date, il aurait la trentaine, et donc la sagesse qui viendrait avant. Mais il fallait TOUJOURS qu’Alaska vienne contredire ses plans. Résultat, il parlait de la conquête spatiale de son sein droit. Ou gauche. Cody ne se rappelait plus lequel était d’origine Russe, et il faisait un peu trop la tête pour justement la tourner vers l’Anglaise et vérifier. Puis à mater le décolleté d’une fille à qui tu fais la gueule, tu perds en crédibilité. « Je comprends. Comme on dit ’on ne mélange pas les torchons et les serviettes.’ » Ce qui est rassurant c’est que je ne suis pas la seule à avoir des expressions de ieuvs. Enfin, c’était surtout pour lancer une petite pique bien placée làààà, parce que c'est pas nouveau, Cody et Alaska, ils n'avaient rien à faire ensemble. Et là, elle posa la question ultime, le tumboudesdelamort, le genre d’attaque que même un Pikachu niveau 100 n’oserait pas. « Non. » répondit-il finalement en haussant les épaules, demeurant imperturbable face à son écran. Surtout parce qu'il sentait qu'elle le matait comme un chat devant un aquarium. Il laissa quelques secondes de silence, le temps pour Alaska d’espérer, avec qu’il ne tranche ; « En ce qui me concerne, tu n’existes plus. » Ce qui faisait toujours plaisir à entendre, je le conçois. Oh mademoiselle l’Ironie, vous êtes encore là ?
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« Je comprends. Comme on dit ’on ne mélange pas les torchons et les serviettes. » Bim, dans ma pomme. On sentait quand même bien qu'il ne voulait plus me voir et que c'était devenu tendu entre nous. Le truc, c'est que moi, je suis une Bisounours et que je ne comprends pas toujours très bien quand ça va mal. Je me contente de pincer mes lèvres, en le regardant toujours et finalement lui demander une bonne fois pour toute ce qu'il en est. Me boude-t-il ? « Non. » Nouveau pinçage de lèvres. Je ne crois pas, parce qu'au ton de sa voix et à sa façon d'être, je sens le malaise. Il n'a aucune envie de me voir et ce depuis cet été et notre petite virée à Las Vegas. Je n'avais pas réellement saisi quoi que ce soit, cela avait été assez soudain et je n'avais pas eu d'autres choix que d'encaisser. J'attends encore un peu, silencieusement, comme si je sentais qu'une suite allait arriver. « En ce qui me concerne, tu n’existes plus. » Outch. Finalement, j'aurais préféré ne rien entendre du tout. Je grimace rapidement en le regardant toujours, mais je décide de rester positive et... collante. Il n'allait pas se défaire comme ça de moi. « Je suis contente de savoir que j'ai existé dans ton monde Cody Bleeker ! » m'exclamais-je doucement, un sourire aux lèvres. Je ne suis peut-être pas normal comme fille, mais je n'avais réellement pas envie de m'énerver aujourd'hui. So, je faisais celle qui était imperturbable. « Pourquoi tu boudes ? » continuais-je en le regardant toujours. Crache le morceau Bleeker.
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W/ ALASKA.
C'est bien, Alaska avait kiffé vivre à Codyland un temps. Mais voilà, le Codyland est comme tout voyage ; y a un moment où il faut rentrer à la maison. Donc ouais, au fond, pourquoi en voulait-il à Alaska ? Elle avait traversé la frontière, vu du pays, goûter aux saveurs locales, avant de prendre un billet retour. Anyway, il roula des yeux, parce que sa phrase sonnait vachement comme un 'j'ai adoré profiter de toi dans un moment où le gars que je voulais vraiment n'en avait rien à foutre de ta gueule, t'as été une putain de bonne distraction grooos'. Ouais, Cody est parano maintenant. « Cool ta vie. » lâcha-t-il froidement, un peu gratuitement faut avouer. Puis elle demanda le pourquoi du comment de sa bouderie, ou plutôt de la non-existence anymore d'Alaska dans la vie de Cody. Et là, gros silence. Un tel silence qu'on entendrait presque les mouches voler s'il y avait des mouches qui, effectivement, volait. En l'occurrence, on décrypta parfaitement le moment où Cody ravala sa salive, contenant tant bien que mal sa colère à l’égard d’Alaska. Ça ferait presque renaître les sentiments qu’il avait le malheur d’avoir pour elle, ces sentiments qui, pourtant, s’étaient endormis pendant deux mois. Jusqu’à ce qu’elle ne s’assied à ses côtés. « Je ne sais même pas pourquoi. Non, vraiment. J’aurais dû m’en douter, n’est-ce pas ? J’veux dire, j’étudie l’économie. C’est un peu le domaine où on base chaque théorie sur le fait que l’individu est rationnel. C’est quoi être rationnel ? C’est le mot scientifique pour ne pas dire opportuniste. Opportuniste, c’est le mot sympa pour ne pas dire égoïste, calculateur, profiteur, à la recherche de son propre intérêt avant celui des autres. J’veux dire, quand t’as le choix entre un produit A et un produit C, que tu as une préférence claire pour A, mais qu'il a trop de barrière pour y accéder, c’est être parfaitement rationnel que de se rattraper sur son substitut, le produit C. Et après, quand les barrières sur le premier s’efface, c’est être rationnel que de lâcher le C pour le A. » Il ne se détachait pas de son écran, mais cliquait nerveusement sur la souris qui avait du bol d’être un tant soit peu solide. Non parce que si la souris avait été l’animal, j’peux vous dire qu’au vu de la pression de Cody Bleeker, elle aurait fini en steak haché. « Donc tu n’as rien à te reprocher Alaska, tu es rationnelle, c’est bien, c’est tout ce qu’on attend de toi. Maintenant, barre-toi. » Beh quoi, elle avait eu une explication claire et concise, digne de lui, quoi.
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« Cool ta vie. » C'est à ce moment précis que je comprenais que j'allais regretter de m'être assise à ses côtés, mais je persistais tout de même à vouloir savoir ce qui n'allait pas. J'allais finir par contre qu'il était impossible pour Cody et moi d'être des simples amis, dommage, il était une personne que j’appréciais et avec qui il était agréable de passer du temps. Oui, parce qu'on avait quand même été un peu des amis avant cet été. « Je ne sais même pas pourquoi. Non, vraiment. J’aurais dû m’en douter, n’est-ce pas ? J’veux dire, j’étudie l’économie. C’est un peu le domaine où on base chaque théorie sur le fait que l’individu est rationnel. C’est quoi être rationnel ? C’est le mot scientifique pour ne pas dire opportuniste. Opportuniste, c’est le mot sympa pour ne pas dire égoïste, calculateur, profiteur, à la recherche de son propre intérêt avant celui des autres. J’veux dire, quand t’as le choix entre un produit A et un produit C, que tu as une préférence claire pour A, mais qu'il a trop de barrière pour y accéder, c’est être parfaitement rationnel que de se rattraper sur son substitut, le produit C. Et après, quand les barrières sur le premier s’efface, c’est être rationnel que de lâcher le C pour le A. » J'y croyais pas. C'était vraiment ce qu'il pensait ? J'étais surprise et choquée et ça se voyait sur mon visage. Je mordais l’intérieur de ma joue pour ne pas exploser sur ma chaise. Je le scrutais toujours pendant que lui fuyait clairement mon regard, préférant regarder son écran. « Donc tu n’as rien à te reprocher Alaska, tu es rationnelle, c’est bien, c’est tout ce qu’on attend de toi. Maintenant, barre-toi. » Je ris nerveusement quelques secondes avant de retrouver mon sérieux tout aussi vite. S'il pensait vraiment que j'allais partir... il se mettait le doigt dans l’œil. « Alors c'est ce que tu penses vraiment ? Que je t'ai pris pour un con parce que je ne pouvais pas être avec Alexander ? Cody... J'ai commencé à fréquenter Alexander bien avant qu'on s'embrasse. Aussi bien avec lui qu'avec toi, rien n'était calculé. » À aucun moment aller vers Cody n'avait été un plan B ou je ne sais quoi d'autre. Je n'avais pas joué avec lui. « J'ai commencé à avoir des sentiments pour lui et j'ai suivi tes conseils ! » Parce qu'au final, Cody m'en avait appris plus que n'importe qui sur l'amour. Il m'avait dit d'arrêter d'avoir peur et de foncer. Alors voilà, nous y étions.
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W/ ALASKA.
Bref. Encore une fois, la grande duchesse Alaska, ou plutôt la petite princesse capricieuse, obtenait ce qu'elle voulait. Apparemment, ça marchait comme ça avec elle. Elle s'incrustait dans la vie des gens, les couvrait d’yeux de biche et de mots doux, jusqu'à ce qu'ils cèdent. Ce que Cody fit, exprimant le fond de la pensée. Et la réponse de Laska fut encore plus ridicule que le conflit lui-même, ce qui ne faisait aucunement regretter la décision du Canadien de la chasser de sa vie. Sans le moindre filtre, il lui jeta à la figure ; « J'ignorais qu'être une belle garce faisait partie de mes conseils. Après, c'est vrai, tout est sujet à interprétation. » C'est vrai quoi, tu crois que Baudelaire décrit son buffet, mais en fait c'est l'introspection de l'auteur sur sa vie, son enfance, et son goût douteux pour les trucs qui puent la mort. Du coup, chaque fois que Cody lisait dans une pub IKEA 'table en bois massif', il se demandait s'il ne s'agissait pas là des confessions intimes d'un Suédois. Et oui, le catalogue IKEA n'est peut-être rien d'autre que la poésie suédoise du 21è siècle. Fin je m'égare. Pendant ce temps-là, Cody eut le temps de fermer sa session sur l'ordinateur, se lever et adresser enfin le premier regard de la journée à Alaska. Afin de clore cette fabuleuse conversation pleine d'amour et de bons sentiments, il conclut, ponctuant ses phrases d’un rire nerveux, tant il se sentait con après les dernières breaking news by Alaska ; « Wow, j’ignore ce qui est le plus humiliant pour moi. Réaliser cet été que tu baisais un autre alors qu’on se fréquentait autrement qu’entre amis, ou apprendre aujourd’hui qu’au moment où j’avais des sentiments pour toi, tu commençais à en avoir pour lui. Je vais méditer là-dessus. » Il se pencha pour récupérer son bouquin et termina ; «  Maintenant, cette conversation est désagréable pour toi comme pour moi, alors je m'en vais. Je te souhaite une belle vie de ton côté et puisse le sort t'être favorable. » Non mais sérieusement, il sortait sur une quote d’Hunger Games dans un moment aussi crucial ? Bref, il quitta la pièce, ne souhaitant pas supporter une minute de plus l'atmosphère étouffante de la salle info en présence de Laska.
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