Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBrioman ♡ C'est pas que tu m'as manqué, mais si quand même - Page 2
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Brioman ♡ C'est pas que tu m'as manqué, mais si quand même

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Soliman était essentiel pour moi et je savais que le jour où.. j'sais pas, il retrouverait quelqu'un pour former un couple ou qu'il allait s'marier, j'allais être super jalouse. Même si il n'était "que" mon meilleur ami. Parce que c'était Soli quoi, c'était pas n'importe qui. Et j'comprenais en fait toutes les mimiques qu'il me faisait, ces appels avec son regard pour me dire "hey m'oublies pas, j'suis là, t'es mienne". « Compliqué, comment ça ? Parce que moi j’en ai de l’argent, je peux financer ton divorce, ça ne me dérange pas ! » AHAHHA, il est près à m'financer mon divorce pour m'avoir rien que pour lui. Il est troooop cute, j'l'aime tellement fort. J'lui souriais, l'air malicieux, complice surtout. T'es si généreux pour me récupérer.. Vous jouez pas dans la même cours avec Wade, ne t'inquiète donc pas, ça va aller. Ptete un peu moins ton épaule, même si c'était qu'un petit coup de rien du tout ça. « Jeune fille, tu vas voir si je suis sensible ! » J'poussais un cri quand ses mains arrivèrent sur mon corps pour l'ultime châtiment. J'essayais de me débattre mais j'rigolais tellement que c'était même pas possible. Arreeeeeeteuh J'n'ai aucune résistance, c'est ouf, après 2s j'pleure de rire, c'est pitoyable. Tu le regretteras un jour. Ouai un jour, t'as vu j'm'y prends à l'avance ahaha. Puis si à l'instant, j'venais de rire, ça m'faisait encore plus ressentir le besoin de dire à Soliman qu'il était important pour moi. Car des moments comme ça, j'avais cru que c'était fini à tout jamais et c'est vraiment horrible comme sentiment, de se dire que c'est ptete fini à tout jamais ces moments de complicité, que la vie peut être arrachée à un être cher en l'espace de quelques secondes.. « AH NON ! Tu ne pleures pas, t’as pas le droit ! » J'l'observais avec une petite mine, essayant de me reprendre mais disons que c'était assez complexe vu la profondeur de mon mal être par rapport à sa maladie. Okay, okay. J'levais les mains en signe de rédemption, un petit sourire sur les lèvres face à la virulence de ses propos ahaha. « On fait une petite pause dis ? Juste… Juste quelques minutes ! » Ca m'plaisait pas de le voir aussi.. essouflé alors qu'on avait pas tellement marché. Le cancer était allé jusque là dans ses poumons, c'était terrifiant. « Je ne sais pas, j’en ai envie, c’est indéniable, mais je ne pense pas que je pourrais me remettre dans les cours à fond tant que je n’aurais pas fini… Tu sais… De me remettre de tout cela ! » J'acquiesçais. Tu vas faire quoi alors maintenant ? Occuper tes journées à m'faire chier ou à m'envoyer des snaps de tout ce que tu fais, genre même quand tu mets tes chaussettes ? J'le taquinais, mais ça enlevait un peu la pression de cette conversation.
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Mes doigts me démangent, mon chéquier autant, si ce n’est plus encore. Je ne sais pas pourquoi, enfin si, j’ai ma petite idée sur la question. Briony et moi c’est une histoire assez spéciale, personne ne peut comprendre ce qui nous uni tous les deux, je pèse mes mots quand j’affirme qu’il est impossible de vivre une amitié aussi intense, passionnelle deux fois dans une vie. On ne peut pas dire que cette affirmation me déplaise, j’aime cette différence, le fait que tous les deux nous formions quelque chose d’unique. Nous avons partagé tellement de combats, traversé tellement d’épreuves ces dernières années qu’il me parait à présent impossible de me décoller, de m’éloigner d’elle. Nous sommes liés l’un à l’autre. Always and forever, comme toi et moi espèce d’enfoiré ! Je n’aime pas trop qu’elle soit mariée à un autre homme, de là à dire que je me suis toujours imaginé à la place du chanceux ? Je ne sais pas, ce n’est pas des choses auxquelles je pense. Ce n’est pas moi, je n’aime pas réfléchir, lorsque quelque chose doit se produire, je ne le provoque pas, je laisse la nature s’occuper de m’entrainer sur telle ou telle route, j’écoute mes désirs sur le moment et je ne prévois rien. « T'es si généreux pour me récupérer.. » J’acquiesce et esquisse un sourire fier, fier de ma bêtise. « Appelons cela un investissement ! » Et voilà que je lui tire la langue à nouveau, parce qu’il ne s’agit pas vraiment de générosité… Plutôt de possessivité. C’est presque maladif, surement malsain. Elle me pince la vilaine et je ne tarde plus à répliquer, en attaquant d’une toute autre manière, avec des chatouilles. Elle se dandine, pleure de rire et me redonne un sourire trop longtemps oublié. Tu vois ce sourire ? Tu sens le bonheur s’immiscer là où tu t’étais invité toutes ces années ? Tu perds du terrain, tu auras bientôt tout perdu. Elle me menace, enfin… Je crois que c’est l’objectif ! J’incline la tête, relève les sourcils, le regard enclin à la provocation. « Je suis censé avoir peur ? » Elle a raté son coup, si tel est le cas. On plaisante, on glousse, on fait les cons, on marche et il ne m’en faut pas plus, en plus des émotions procurées par mon retour, par les retrouvailles avec ma meilleure amie, par tout cela… Il ne m’en faut en effet pas davantage pour me sentir épuisé, j’ai besoin de quelques minutes pour me reprendre, pour reprendre mon souffle. J’en ai diablement besoin ! Mon cerveau ne te suffisait pas, il a fallu que tu t’attaques à toutes mes capacités, sale fils de… Briony m’interrompt au parfait moment avec sa question à laquelle je réponds, sincère. « Tu vas faire quoi alors maintenant ? Occuper tes journées à m'faire chier ou à m'envoyer des snaps de tout ce que tu fais, genre même quand tu mets tes chaussettes ? » Je ris et attrape l’une de ses mains, pour pouvoir entremêler mes doigts autour des siens. « Tu as tout compris, et même en sortant de la douche ! » Je continue, un vilain sourire pervers aux lèvres. « Figure-toi que j’ai trouvé du travail, en attendant ! Pas un temps plein, parce qu’il me faut du temps pour moi, pour mes séances de rééducation, pour les suivis médicaux, pour me reposer… Mais suffisamment pour me sentir un peu plus vivant qu’actuellement ! »
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Ca serait mentir que de dire que ça ne me plaisait pas qu'il soit possessif avec moi ahahaha. C'était toujours plaisant quand quelqu'un se bat pour soi, parce que ça montre bel et bien que je compte fort pour lui malgré le fait que j'étais déjà au courant. Il m'aimait aussi fort que je l'aimais et rien ne pourrait changer. On était plus forts qu'un tas d'autres groupes d'amitié éphémères qui tiennent deux ans tsais. « Appelons cela un investissement ! » Ravi d'le faire rentrer dans le CAC40 ma foi ahahaha. Le fourbe commença ensuite à me torturer et d'mon côté, j'essayais d'lui faire peur histoire d'être libérée mais faut croire, vu son regard, que j'étais loin d'être convaincante dans le rôle. C'est bien dommage. « Je suis censé avoir peur ? » PFFFFFFFFFFFFFFFF. Okay, la comédie n'est définitivement pas dans la liste de mes champs de compétence. Tant pis ahaha. Joues le jeu steuplait, pour mon égo. Penses à mes chevilles qui sont en train d'un coup de devenir friables. J'pourrais pu marcher à cause de Soliman, moi j'vous le prédis. J'lui demandais ensuite si il allait retourner à Harvard indirectement, curieuse de savoir tout simplement quels étaient ses projets d'avenir car je voyais mal le jeune homme vivre une vie dite normale de gars qui vient de survivre du cancer. Il allait vouloir aller plus vite que la musique comme d'hab. « Tu as tout compris, et même en sortant de la douche ! » Oh le coquuiiiin. J'lui retournais son sourire pervers, entrant dans son jeu. J'suis intéressée là ! Hâte de voir mes prochains snaps ahahha. « Figure-toi que j’ai trouvé du travail, en attendant ! Pas un temps plein, parce qu’il me faut du temps pour moi, pour mes séances de rééducation, pour les suivis médicaux, pour me reposer… Mais suffisamment pour me sentir un peu plus vivant qu’actuellement ! » Je serrai plus fort sa main qui avait trouvé la mienne entre temps, comme si on cherchait à ne pu se quitter par tous les moyens possibles. J'étais contente qu'il se ménage tout en se reprenant en main. Ca c'tait mon Soli. Tu vas faire quoi ? Etre mon valet ? Owi. J'suis fière de ce que tu fais pour avancer.
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Pour la première fois depuis une éternité je ne pense plus au cancer, à tout ce qui m’a privé de ce que représentait le bonheur parfait, la vie parfaite telle que je la concevais. Il s’en est passé des choses, un tas de rebondissements, de coups qui auraient pu m’enchainer à terre, m’engloutir pour que je ne puisse plus jamais brandir ma tête hors de l’eau. Il y a tellement de scénarios qui auraient pu se produire lorsque l’on pense à mon combat contre la maladie et autant de nouveaux scénarios potentiels pour la suite. Je n’aurais plus jamais la certitude d’être en bonne santé, on ne peut de toute manière jamais l’avoir réellement, et j’aurais toujours cette pression, cette petite voix dans ma tête qui me rappellera que j’ai une épée à quelques centimètres de ma tête prête à s’abattre sur mes épaules à n’importe quel moment. Une simple petite impulsion et je n’aurais plus rien, j’aurais lâchement perdu le combat. Briony est une bouffée d’oxygène au milieu de cet Océan funeste, elle me vide la tête et me fait penser à autre chose, encore plus lorsqu’elle ne parvient pas à obtenir la réaction qu’elle attendait de moi. Je lève les mains en l’air et recule non sans être théâtral. « Oh mon dieu, pitié, ne me fais pas de mal, ô toi, grande prêtresse qui m’effraie au plus haut point ! » C’est bien ce qu’elle m’a demandé non ? De feindre la peur pour lui faire plaisir ? Je suis loin de ma nomination pour la meilleure performance de l’année, mais c’est exactement l’effet recherché alors bon… Je demande à faire une pause, essoufflé, ramené à la réalité par les séquelles de mon combat, celles qui seront amenées à s’effriter jusqu’à disparition plus ou moins totale à force de courage et de travail. L’occasion de parler de l’avenir et de plaisanter encore un petit peu, j’ai encore plus horreur du sérieux qu’avant. « J’ai la pression maintenant, il va falloir trouver l’angle parfait, l’artistique et une mise en scène surprenante ! » Je poursuis en haussant les sourcils, malicieux. J’ai encore du mal à définir mes plans pour l’avenir mais j’ai déjà une base et la main de Briony qui se resserre contre ma paume me donne suffisamment confiance pour que j’en parle. « Psychologue, j’ai trouvé un poste spécialisé dans la protection et le suivi judiciaire de la jeunesse. De quoi me remettre dans le bain avant, peut-être, d’achever mon doctorat ! »
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« Oh mon dieu, pitié, ne me fais pas de mal, ô toi, grande prêtresse qui m’effraie au plus haut point ! » Je rigolais à cette bien piètre performance cinématographique. Mais ça m'faisait du bien de sourire et de lâcher prise avec mon meilleur ami. J'avais tellement eu peur qu'il perde la vie, qu'il ne soit pu qu'un souvenir dans mon esprit et une présence dans mon coeur que désormais chaque moment était béni de Dieu littéralement. Oui oui, rien que ça. T'es parfait. dis-je en déposant un baiser sur sa joue. Si en temps ordinaires j'avais du mal à être câline, j'voulais pas me contenir avec Soliman. J'm'en foutais qu'il me prenne pour de la glue. « J’ai la pression maintenant, il va falloir trouver l’angle parfait, l’artistique et une mise en scène surprenante ! » Je rigolais encore une fois. J'attendais avec impatience ces snaps en sortant de la douche, ça promettait d'être coquin j'adooore. Bon, faudra que j'fasse gaffe à ce que Wade ne les voit pas, sinon il allait se poser des questions m'voyez ahaha. J'aurai le droit de screener dans ce cas ? Oh bah oui, si il m'envoie la perfection ça serait con que j'puisse pas la garder pour toujours, ça serait du véritable gâchis. « Psychologue, j’ai trouvé un poste spécialisé dans la protection et le suivi judiciaire de la jeunesse. De quoi me remettre dans le bain avant, peut-être, d’achever mon doctorat ! » Oooooh j'suis vraiment ravie d'entendre cette nouvelle, cela devait tellement le combler d'avoir pu trouver ce travail inespéré suite à son traitement contre son cancer. Ca veut dire que tu vas bosser jusqu'à septembre c'est ça ? Puis rentrée à Harvard à ce moment là ? Et tu vis alors maintenant, car on a rien voulu m'dire.
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Suis-je beaucoup trop collant si je décide de quémander un nouveau gros câlin à Briony ? Elle m’a tellement manqué, pendant un petit moment j’ai pensé ne plus jamais pouvoir la revoir et cette simple idée de partir, de quitter ce monde sans avoir pu lui dire au revoir convenablement est peut-être la raison pour laquelle je suis toujours là aujourd’hui… Je ne pouvais pas perdre le combat sans avoir l’occasion d’être près d’elle à nouveau, elle m’a sauvé la vie ! « Viens par là ! » J’exige en me servant de sa main pour l’obliger à se rapprocher et à m’enlacer à nouveau. « J’ai eu tellement peur de ne pas te revoir ! » Je suis obligé de le confesser, il y a un millier d’autres choses que j’aimerais pouvoir lui dire mais le moment n’est pas propice à ce genre de confessions, plus tard peut-être… En temps et en heure seulement. Je déconne comme un abruti sur mes prochains snaps coquins, de quoi l’amuser et me faire sourire encore un peu plus, j’ai rarement autant eu le smile ces trois dernières années. « Tu as le droit mais à condition de ne pas balancer mes photos sur les réseaux sociaux, je refuse d’être la nouvelle Kim Kardashian ! » N’oublions qu’à quelques détails près, avec un peu de sexe en plus, c’est ainsi que Kim Kardashian est devenue une star. Je lui dévoile un peu plus en détails mes projets pour les mois à venir, le temps que je puisse retomber sur mes pattes et réfléchir à mon avenir, je ne m’en sors pas trop mal, ma situation pourrait être cent fois pire. « Si je décide de me remettre à mes études ce sera en septembre, oui, pas avant. Maintenant ? Je vis en ville, mes parents m’ont acheté une maison pour que je puisse être tranquille. Ils ont oublié que j’étais tout seul cela dit, je ne risque pas d’être à l’étroit avec les cent-cinquante mètres carrés de la baraque ! » Je commente, amusé par mes parents et leur folie des grandeurs.
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