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Tu veux ou tu veux pas / Summer

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Qu’est ce qui brille sous les étoiles ?


Elle aurait donc du mal a choisir une de ses conquêtes en avait-elle tant que ça, elle me faisait rire à être aussi honnête avec moi, j’en étais sure, je devais me méfier d’elle j’allais vite me bruler les ailes à trainer avec elle, j’étais un homme qui se laisse très vite séduire, c’est ça de grandir avec des filles. « Et si un conçurent arrive la maintenant, tu choisies de rester avec moi ou de partir avec lui ? Que je sache si je dois encore essayer de plus te plaire ? » Je souris sans la quitter des yeux avant de l’écouter continuer à me répondre, elle était totalement craquante avec ses allusions, je m’approche de son oreille pour lui chuchoter doucement ma réponse. « Pour commencer j’adore tes chevilles et secondo, je ne te laisserai pas disparaître trop longtemps dans les toilettes, je viendrai te chercher comme un prince sur son cheval blanc…bon sauf si tu décides de draguer une jeune femme séduisante, je crois que j’aurai plus de mal à te ramener à moi. » je m’en moquais réellement de son orientation sexuelle, la je l’avais pour moi seulement et ça me plaisait plus que ce champagne, que cette soirée. La faire sourire était mon but, pendant des années j’ai écouté mes sœurs me parlaient de leurs amoureux, de ce qu’elles avaient ressenti, les papillons dans le ventre et pour être honnête depuis Aria, je n’avais plus connu ça, mais la je ressemblais de nouveau à un petit garçon qui goutait de la glace pour la première fois. « Alors donnons-nous cette soirée rien que pour nous. »

Je la laisse se pencher vers moi pour me dire sa réponse, je fis ma petite moue de réflexion, en la regardant dans les yeux, que devait-elle faire pour me faire taire, en fait rien, je n’étais pas ce genre de mec qui s’empresse de donner un potin pour se sentir fort, génial ou important, je suis Gabin Roméo Cahill, mon second prénom joue parfois contre moi. «  Peut-être que nous pourrions envisager que je t’emmène déjeuner un jour, je pourrais passer te prendre à l’hôpital, et te kidnapper de ton travail et comme tu veux me faire taire tu serais obligé de m’accorder ce repas ? » J’adore la regarder se recoiffer mais aussi me répondre, me sourire, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle me propose d’annuler ses rendez-vous pour moi. «  N’annule rien pour moi, passe après tes consultations, je pense que je peux t’attendre, mais juste pour savoir, je te reçois habillé ou je me mets déjà torse nu en t’attendant ? » Je rigole de ma remarque en lui caressant doucement la cuisse, je ne peux me mentir elle me plait plus que beaucoup de chose depuis un bout de temps.

ET voilà, elle me fait encore rougir, j’ai l’impression d’être aussi rouge que quand ma jumelle m’a retrouvé au lit avec une de ses amies, qui techniquement était aussi mon amie, mais j’étais devenu rouge comme une tomate, c’était la honte se faire prendre au lit à seize ans par sa sœur. Je la laisse me faire part de son avis de m’avoir comme conquête, et ca me plait plus ou moins. « Et juste pour savoir, est-ce une chance d’être une de tes conquêtes ou juste un trophée ? Parce que d’après notre conversation tu me dois déjà une consultation et un repas et comme je suis un homme convaincant, tu ne vas pas te débarrasser si vite de moi, je dois aller trois fois à l’hôpital ce mois-ci, donc j’aurai surement le temps de passer te voir dans le service pédiatrique ». Je venais de dire n’importe quoi, il fallait que j’arrête de parler sans réfléchir cette jeune femme allait partir avant que j’ai eu le temps de réellement lui plaire.

S’embrasser encore et encore, j’aurai pu le faire toute la soirée, j’étais charmé, envouté par la jeune femme, jusque maintenant tout me plaisait chez elle, mais elle me sorti de mes pensées en m’apportant avec elle pour danser dans notre salon privé, ce n’était pas vraiment  un slow, mais nous dansions ensemble l’un près de l’autre. «  On est d’accord sur ce point là, je n’ai aucune envie de te partager, et puis tu vas devoir rendre des comptes à tes amies si on se montre trop proche l’un de l’autre. » je danse près d’elle avant de l’attirer à moi et de l’embrasser furtivement. « Et puis je serai gêné d’embrasser une chieuse devant ses amies sans qu’il ne sache qui je suis. » Je la garde près de moi, je me moque de la musique, je n’entends qu’elle et je ne vois qu’elle en se moment, la bouteille de champagne me rend encore plus in love de Summer. Elle me pose une question qui me fait vraiment rire. «  Je ne suis pas ce genre d’homme, je n’ai pas t’attache, pas de femme, pas d’enfants, simplement une grande famille, pour faire simple j’ai une grande sœur, une jumelle, puis il y a des faux jumeaux et pour finir ma petite sœur et pour aller jusqu’au bout, je suis tonton de l’enfant de ma grand sœur et je vais être parrain de l’enfant de ma jumelle…Tu veux savoir autres choses sur moi tant qu’on est dans les confidences ? » Il y a un sujet que je n’aborderais pas avec elle, c’était mon dossier de greffe de rein et pourquoi ma famille n’était pas compatible avec moi, mais je savais pertinemment que si elle se renseignait à l’hôpital elle tomberait sur mon dossier médical et les résultats des tests de compatibilités de mes proches. Je lui dirais peut-être si ca devient plus sérieux entre nous, je ne veux pas qu’elle me voie comme un malade qui doit impérativement trouver un rein pour finir son année scolaire.

AVENGEDINCHAINS
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Tu veux ou tu veux pas ?"Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back", She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me."
We were victims of the night, The chemical, physical, kryptonite. Helpless to the bass and the fading light.Oh, we were bound to get together, bound to get together.



L’idée que Gabin puisse me proposer de déjeuner avec lui un jour, me donnait l’impression qu’il pourrait être intéressé par une relation bien plus digne qu’un simple coup d’un soir avec moi, et j’avoue que ça me plaisait beaucoup. Pouvoir tenter une relation sans prise de tête avec un homme comme lui, à sortir en couple sans pour autant se faire de promesse avait quelque chose de très alléchant. Je n’hésitais donc pas à faire preuve d’enthousiasme à sa proposition : «  j’adorerais que tu passes me chercher pour un déjeuner…ou un dîner ?! Est-ce que ça ressemble à un rendez-vous officiel entre toi et moi ?! » Lui demandais-je par curiosité, même si j’espérais vraiment qu’il me réponde que oui, c’était un VRAI rendez-vous !
J’avais plaisanté sur le fait d’annuler mes rendez-vous rien que pour lui, bien que je n’avais rien de prévu en réalité si ce n’est quelques cours, mais qui se finissaient bien avant 19h…donc rien qui ne m’empêchait de me présenter au domicile de Gabin pour "jouer au docteur". Je le rassurais donc sur le sujet, parce que Gabin avait pensé que j’allais vraiment changer tous mes plans pour lui. Je lui caressais la joue, et touchait le coin de sa bouche de mon pouce tout en riant légèrement : « T’en fais pas, j’ai rien de prévu ce jour-là. Mais par contre, je veux bien que tu enlèves ton t-shirt avant que j’arrive ! Je suis sûre que je serais ravie d’un tel accueil le jour où je sonnerais à ta porte » et je souriais de plus belle, à la fois gênée et ravie d’oser lui dire ce genre de chose : Gênée parce que je n’étais habituellement pas du genre à faire du rentre dedans avec les gens, mais Ravie parce que Gabin se montrait assez réceptif à mes paroles et qu’il ne jugeait pas mon audace. Et rien que pour cela, je pouvais lui promettre de venir tous les jours le voir s’il le souhaitait, parce qu’il avait cette facilité déconcertante de me mettre à l’aise, tout en me faisant rougir, et me faire ressentir tout un tas de chose bizarre dans tous les corps. Vraiment ! Gabin était doué pour me faire succomber, et il n’y avait qu’à voir la manière dont je me soumettais à chacun de nos baisers pour comprendre qu’il m’avait déjà conquise…et pour une fois, je n’y voyais vraiment aucun inconvénient : je me sentais suffisamment en confiance avec lui, ici et maintenant.

Voilà pourquoi j’avais également osé lui dire que c’était bel et bien la première fois que les choses se passaient aussi vite dans ma tête et dans mon corps, au point de réponse aussi facilement à ses avances. Et je fus surprise de le voir rougir à mes propos : il me semblait se poser la question de savoir si je le considérais comme une conquête qui pouvait déboucher sur un début de relation ou est-ce que j’ai mal compris ?! Je devais prendre les devants cette fois-ci. J’allais peut-être le regretter, parce qu’avouer ce que je voulais avouer allait sans doute avoir quelques conséquence. Si jamais, il n’était pas sur la même longueur d’onde que moi, notre conversation risquerait de virer au malaise. « Ok, euhm… » je me redressais un peu devant lui et prenait ses mains pour lui répondre en toute franchise : « En réalité, je ne serais pas contre l’idée que…toi et moi…on puisse envisager bien plus qu’un simple soirée ici, ou un déjeuner un jour, et une visite médicale à domicile, le jour suivant » déclarais en rigolant… « Si tu es partant pour envisager quelques rendez-vous, dîner - et "plus si affinités"- avec une chieuse comme moi, je crois que j’en serais la première ravie ».

Quelques minutes plus tard, on se mettait à danser lui et moi, peut-être bien plus collés qu’on ne l’aurait dû étant donné qu’il ne s’agissait pas d’un slow, mais à vrai dire, je m’en fichais totalement : j’avais besoin de ses bras autour de moi, et de son visage près du mien. Je pouvais ainsi profiter au maximum de sa présence, de sa chaleur, tout en fondant littéralement devant son sourire enjôleur dont j’allais avoir de plus en plus de mal à me penser à la fin de cette soirée. Et pendant que l’on dansait, j’avais osé lui poser des questions sur sa famille. Sur le coup, je fus ravie qu’il me réponde, mais au fur et à mesure qu’il énumérait les membres de sa famille, j’avais eu peur qu’il pense que je faisais preuve d’une curiosité mal placé. Est-ce que le fait que je lui demande à qui il faisait allusion à propos des jumeaux, ça l’avait mis mal à l’aise ? Je fronçais discrètement le regard, tentant de me rassurer mais dès qu’il me demanda si je voulais savoir autre chose sur lui pendant qu’on y était, je me freinais moi-même dans ma curiosité. Oui j’avais bien quelque chose à lui demander : il avait évoqué le fait qu’il devait passer plusieurs à l’hôpital dans les jours à venir, et j’avais eu envie de lui demander pourquoi cependant…quelque chose me donnait envie de ne pas le faire. Je ne sais pas vraiment quoi : est-ce qu’il s’agissait de sa dernière question ? Ou du fait que j’avais peur de passer pour une concierge qui se mêle de tout ? Ou peut-être était-ce cette sensation bizarre dans l’air - entre nous – qui me donnait l’impression que Gabin n’avait peut-être pas envie que je lui en demande de trop. Alors je décidais de faire confiance à mon instinct et de secouer la tête par la négative avant de répondre sincèrement à Gabin : « Non…je n’ai pas envie d’avoir une curiosité mal placée. Et puis… » Je baissais la tête un instant, me pinçant les lèvres avant de rajouter « Le plus important, c’est ce qu’il se passe ici, entre nous, maintenant, non ?! Le reste ça n’a pas d’importance. Je n’ai pas besoin d’en savoir plus sur ton sujet. Les confidences viendront d’elles-mêmes au fur et à mesure, t’es pas d’accord ?! » Et je me mettais sur la pointe des pieds pour combler la distance entre lui et moi, pour capturer ses lèvres sans un baiser, mes bras lui entourant le cou pour m’agripper à lui et garder un minimum l’équilibre…


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Je la regarde encore et encore et ce n’est que le début, je le sais, mais je ne peux lui montrer que je suis un pantin accroché au bout de ses lèvres qui attend le moindre signe, le moindre geste. « C’est un rendez-vous officiel dés que tu m’auras clairement dit oui, un rendez-vous ou nous serons juste tous les deux, ca sera un tête à tête puisque tu as des choses a m’en prendre en tête à tête. » je lui fais un clin d’œil avant de sourire de plus belle. Je pose ma main sur sa main qui se pose sur ma joue avant d’entrelacer mes doigts dans les siens, je la regarde rougir avant de la coller doucement à moi. « Le jour ou tu sonneras à ma porte est déjà tout décidé, ou si tu veux on peut se faire une soirée à l’hôtel, pour être dans un espace neutre, mon appartement est un peu en chantier, remarque ma cuisine, ma chambre et ma salle de bain sont opérationnelles si tu le désires, dis moi si tu veux me voir dans deux jours et je t’arrange ça. » Je pose mes mains sur les poches de Summer avant d’en retirer son téléphone portable et d’y encoder mon numéro de portable en souriant fier de moi, je me fais un appel en absence pour avoir aussi son numéro. « Comme ça tu ne pourras pas dire que tu as oublié de me demander mon numéro de portable, et j’ai hâte de lire tes texto. »

J’y avais peut-être été fort avec ma phrase, mais je n’avais pas envie de la laisser passer, la concurrence était large et j’appréciais vraiment la jeune femme qui m’avait fait sourire, cette même jeune femme que j’avais abordé alors qu’elle dansait seule au milieu de tout, cette jeune femme que je voulais déjà emmené au restaurant, cette même jeune femme qu’un tas d’autres personnes voulaient mettre dans son lit, moi je la voulais simplement à mes côtés. « Et si je te disais que je signe tout de suite en bas de tous les pages que je suis d’accord de te revoir encore et encore, de te faire sourire chaque jour, et d’essaye de te rendre heureuse en prenant la place qu’on trouvera l’un l’autre chez l’autre, je n’ai pas envie de juste te voir de temps à autres, j’ai envie de passer du temps avec une chieuse comme toi, pour reprendre tes propos. » Je laisse ma main sur sa cuisse en profitant de ses yeux, de son parfum, de son sourire, de son humeur, de tout ce qui pourra me la rappeler dans les jours à venir.

Ma dernière phrase avait été mal perçu, par la jeune femme, hors ce n’était pas le but, j’adorais ma famille et ils étaient hyper important pour moi, mais je sais aussi que ce n’est pas facile d’avoir une aussi grande famille autour de soi, mes sœurs sont très protectrice et savent tout de ma vie, je la tiens prés de moi en l’écoutant avant de l’avoir se rapprocher de mon visage, je m’abaisse légèrement pour la soulever du sol pour la tenir à ma hauteur, me laisse embrasser en profitant de chaque seconde comme si ca allait être la dernière. « Tu n’as pas une curiosité mal placée, tu es d’ailleurs terriblement sexy avec tes petites questions, je ne disais pas ça pour tourner cour à la conversation, c’est normal que tu t’intéresses à mes propos…d’ailleurs ne t’attends pas à voir ma famille ici, ils vivent au Canada et ma jumelle vit en France, la ou elle va se marier, si tu croises des Cahills un jour à l’hôpital ca ne sert à rien de les cuisiner sur moi…d’ailleurs j’ai une soudaine envie de savoir si tu as des frères, des sœurs ? Ou peut-être des enfants ? Ou pire des amants en tout genre. » Je me mets a rire avant de reposer mes lèvres sur les siennes en la posant au sol, je n’avais pas pour habitude de m’intéresser à ce que les gens avaient dans leur vie, mais la je ne voulais pas juste la revoir, j’en voulais réellement plus et j’avais l’impression que ca la tentait pas mal, mais je ne devais pas trop me faire d’idée j’allais peut-être être déçu, je la connaissais seulement depuis une heure et pourtant tout était si facile à son contact, nos baisers étaient comme si on entrait un peu plus dans nos zones de conforts personnels. J’étais seul dans cette boite de nuit avec elle, rien que nous deux contre le monde entier. « Passe la nuit avec moi aujourd’hui, je ne te ferais pas de confidence sur l’oreiller, mais je souhaite juste te garder le plus longtemps possible prés de moi, remarques je pourrais aussi peut-être te faire des confidences, te dire que tu me fais rêver en gardant les pieds au sol, te chatouiller jusqu'à ce que tu me supplies d’arrêter ou simplement regarder un film l’un près de l’autre. » Je n’avais pas envie d’aller trop vite avec elle je voulais profiter de chaque instant pour la garder au près de moi.

AVENGEDINCHAINS

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Si je comprends bien, Gabin a besoin que je confirme ses invitations comme étant des rendez-vous officiels de ma part, et cela me fit rire doucement. Il remettait sur le tapis cette histoire de tête à tête avec des choses à lui apprendre, et je me devais donc de lui répondre en lui faisant bien comprendre que j’étais tout à fait prête à aller plus loin que cette simple rencontre dans une boite. Seulement je préférais attendre pour lui répondre, décidant de ne lui avouer qu’au moment où il me demanda si je le considérais comme une conquête d’un soir ou plus. Au moins j’étais sûre qu’après ma révélation, il pouvait être bel et bien sûr que j’accepterais toute invitation de sa part !

En attendant, j’avais préféré le solliciter simplement en lui disant que j’étais partante pour aller plus loin avec lui, à partir du moment où il acceptait de sortir avec une chieuse comme moi. Et quelques parts, je pouvais très vite me rendre compte qu’il avait l’air partant. Il n’y avait qu’à voir comment il s’était emparé de mon téléphone quelques minutes plus tôt pour entrer son numéro, et faire sonner son portable pour obtenir le mien en échange. Il est vrai qu’il disait le prendre pour s’assurer que je puisse le prévenir si je souhaitais passer le voir à son appart dans deux jours, mais quelque chose me disait qu’il me donnait son numéro pour marquer – lui aussi- une officialisation à nos rendez-vous. Et ce n’était pas pour me déplaire. Enfin : en règle générale, j’aurais peu appréciée qu’on s’impose ainsi, mais avec Gabin les choses semblait différentes. Tellement simples ! Il m’annonça qu’il avait hâte de lire mes texto, et à nouveau je fis preuve de malice en lui répondant : « J’ai hâte que tu y répondes. Surtout ceux du soir, très tard. Quand je me sens seule, j’ai tendance à envoyer quelques sms à laquelle je pense. »

On continuait de danser, et je profitais de notre rapprochement corporel pour l’embrasser, me coller à lui, me pendre à son cou, attardant parfois ma bouche sur ce dernier entre deux baiser. On avait discuté de sa famille et je n’avais pas voulu lui en demander plus sur sa vie par peur d’avoir touché un point qui était sensible, voire trop privée pour Gabin. Je ne m’en formalisais pas pour autant : je comprenais qu’on puisse avoir envie de garder sa vie privée surtout devant une inconnue…j’avais alors expliqué à Gabin que je ne voulais pas me montrer trop curieuse et que j’acceptais volontiers que l’on ne parle pas de sa vie familiale, qu’on avait tout le temps pour cela. Et dans un sens, je lui faisais une nouvelle fois comprendre que je ne le voyais plus du tout comme une simple conquête mais bel et bien comme un petit-ami potentiel. Gabin voulait me rassurer cependant, me parlant de lui-même de sa famille, m’expliquant qu’il vivait au canada et je souriais quand il me disait que ma curiosité me rendait sexy à ses yeux. Il me faisait toujours autant rougir alors que j’étais persuadée d’avoir atteint l’apogée sur ce point-là ! Mais non, il me fit bien réaliser qu’il pouvait encore plus me faire fondre. Il ré-évoqua l’hôpital dans ses paroles, et le fait que je pouvais croiser sa famille un jour. Je préférais croire sur le coup qu’il disait cela dans l’hypothèse qu’il soit admis à l’hôpital un jour, mais quelque chose au fond de moi, me fit penser qu’il se cachait autre chose dans ses dires. Seulement, je ne devais pas commencer à me mêler de ce qu’il ne me regardait pas ! Je n’l’avais jamais fait jusqu’ici avec mes ex, je n’allais pas le faire maintenant. S’il y avait quelque chose à savoir de toute façon, j’espérais que Gabin me le dise de lui-même un jour, plutôt que de chercher par moi-même. C’est ce qu’il s’appelait « faire confiance ».

En attendant, je me contentais de ce qu’il m’avait dit et lui rendait la pareille lorsqu’il me demanda si j’avais des frères ou des sœurs. De la manière la plus neutre possible, je lui répondis : « J’ai une sœur ainée, et un petit frère. Cynthia qui a 2 ans et demi de plus que moi et Clay qui en a trois ans de moins que moi…on a tous des prénoms en C: une lubie de mes parents ! » avais conclu avant de réaliser que je lui disais cela alors que je m’étais présenté sous le nom de Summer. Je rectifiais alors la situation en lui volant un rapide baisé juste avant : « Mon premier prénom c’est Chloé, mais je préfère qu’on m’appelle Summer. Je joue les rebelles de la famille !» déclarais-je avant de rire gentiment. « Plus sérieusement : Je suis d’origine américaine, je viens de Floride. Du coup, toi non plus tu ne croiserais pas mes parents du jour au lendemain ! Quoique, mon frère est en phase de venir à Harvard pour ses études également. Il devrait arriver lors du prochain semestre je crois bien ! » Je n’en révélai pas plus après cela, préférant garder pour moi la petite tension qui unissait ma grande sœur et moi en ce moment. Je préfère largement m’intéresser à Gabin en ce moment –même, et au plaisir qu’il me procurait en me prenant simplement dans ses bras ou en m’embrassant. Mes mains qui entouraient son cou commencèrent à se balader dans son dos, puis terminèrent leur route vers ses hanches que j’agrippais pour le rapprocher un peu plus de moi.

C’est alors qu’il me fit une proposition qui me surprit tout en m’arrachant un frisson dans tout le corps : passer la nuit avec lui. Peu importe comme cette nuit commencerait ou se finirait, il voulait simplement la passe avec moi. Je plantais alors mon regard dans le sien, lui exprimant comme je le pouvais mon désir de rester avec lui toute la nuit s’il le souhaitait. Je me levais à nouveau sur la pointe des pieds pour approche ma bouche près de son oreille et lui murmurer suavement : « Je ne fais jamais ça habituellement…passer la nuit avec quelqu’un dès le premier soir. Mais : Tu me donnes envie d’accepter. Je suis prête à toutes les exceptions du moment que c’est avec ou pour toi. » Et je concluais ma phrase en déposant mes lèvres sur les siennes, l’embrassant avec désir, puis arrivais à placer entre deux baiser et dans un souffle :« Au diable, mes amies ! emmènes-toi ou tu veux… ». Je ne sais pas ce qu’il m’arrive vraiment…je le connais à peine, il pourrait être le plus doux des hommes ou le pire des psychopathes, je n’en avais que faire ! Tout ce qui comptait c’était cette sensation grisante que je ressentais en sa présence ; tout ce qui comptait c’était lui, sa peau, son corps, ses yeux, sa bouche, son sourire….toutes ces choses qui me faisait le désirer sans retenue ce soir !


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J’avais surement fait preuve de beaucoup de culot en me permettant de fouiller dans les affaires de Summer pour lui prendre son téléphone, mais j’avais vraiment envie de la voir encore et encore, de la toucher, je comprenais enfin ce que ma petite sœur avait éprouvé lorsqu’elle avait commencé à se droguer, pour faire comme son stupide copain, ce besoin avide, de se sentir bien, de se sentir heureux, léger comme une plume, heureusement Alix avait quitté se monde assez affreux, mais ses propos me fit quitter mes pensées, je me mordis la lèvre inférieur à mon tour avant de la recoiffer doucement en la gardant toujours près de moi. « Mademoiselle Summer, vous cachez bien votre jeu, je te pensais plus calme que ça…mais autant te dire que si tu te sens vraiment trop seule, je vais me sentir obligé d’enfiler un boxer, puis un training pour venir te tenir compagnie…mais j’ai vraiment hâte de passer mes nuits ou du moins mes soirées à te lire Sum ! » Pourquoi avais-je donc que parler de mon boxer, je ne pouvais pas simplement dire que j’enfilerai des vêtements, parfois j’étais vraiment un mec trop honnête.

Ma famille était mon havre de paix et pour rien au monde, je ne cherchais mes réelles racines, car j’aimais mes parents plus que tout, mes sœurs et mon frère faisaient réellement partie de mon équilibre depuis toujours. J’étais un Cahill, adorable, beau, sexy. Ma jeune compagne de soirée me parla de sa famille elle avait un frère et une sœur, Cynthia et Clay, je fis des grands yeux quand elle me parla que c’était les 3 C, j’avais du faire une drôle de tête car elle me donna l’explication, je la pris dans mes bras en souriant. « J’aime bien Chloé comme prénom, ca fait très francophone et maintenant que je sais réellement qui tu es, je t’appelle comment ? on reste sur Summer ? » Je garde la jeune femme quelques minutes dans mes bras avant de la relâcher doucement. Elle me fit sa carte d’identité, ou un résumé de ses origines, je n’avais pas forcément plus envie que ça de connaître son frère, enfin je voulais surtout me plaire dans ses bras avant de devoir rencontrer sa famille. « Et si on laissait notre famille sur le côté, nous ne sommes pas prêt de les rencontrer pour commencer et j’ai très envie de te découvrir avant de devoir jouer le beau-fils adorable dont rêve toutes les belles mères…laisse moi te plaire totalement. » Je lui fait un clin d’œil avant de faire un signe au serveur pour qu’il apporte deux cocktails et un coca-cola, je n’avais aucune idée de ce que voulait boire la jeune médecin. J’attrape la main de la belle et la tire vers la table en souriant. « Tu veux boire quoi ? Coca ou cocktail ? Je ne voudrais pas que tu te sentes obligée de boire pour me tenir compagnie cette nuit. » Je bois un peu de mon cocktail en la laissant faire son choix avant de continuer de danser près d’elle.

Je m’abaisse pour qu’elle puisse me chuchoter sa phrase au creux de l’oreille, je pose mes mains dans le bas de son dos pendant son aveu. « Passons la nuit ensemble alors si tu es prêt à me supporter et à faire des exceptions pour moi, je ne suis pas du genre à inviter à passer la nuit d’habitude, mais avec toi, tout est si simple, peut-être trop non ?! » Je réponds doucement à son baiser avant de l’entendre dire une phrase qui me fait beaucoup rire. « Au diable tes amies, d’accord, mais ou veux-tu que je m’emmènes ? Tu viens de me dire emmènes-toi ou tu veux…Personnellement je préfèrerais t’emmener avec moi que de partir seul. » Je la prends doucement dans mes bras avant de la faire tourner sur nous même, avant de la reposer par terre et de m’appuyer sur notre table avant de l’attirer à moi. « Et si tu essayais de me faire rêver en dansant juste pour moi, j’ai très envie de pouvoir encore te voir danser. » Je l’embrasse passionnément pour donner plus de point à mes propos, je m’approche doucement de son oreille pour lui proposer ce à quoi j’ai pensé pour notre nuit. « Alors je te propose pour notre première nuit, de quitter l’endroit dés que tu le souhaite, et puis nous avons plusieurs choix, enfin tu as plusieurs choix, on prend ma voiture et on va se promener dans la ville, ou alors on va se faire un cinéma, ou encore on reste ici, nous pouvons aussi aller chez moi regarder une film…j’ai de quoi faire des pop-corn, ou encore on peut aller passer une nuit à l’hôtel en tout bien tout honneur pour nous connaître…honnêtement je m’en moque de ce qu’on va faire, je n’aies juste pas envie de te quitter cette nuit, j’ai peur que tu ne sois qu’une illusion qui n’existera plus, ou alors ton compagnon va venir me taper de jalousie. » Je l’embrasse sur la joue en lui chuchotant « …je rigole pour la fin de la phrase, je n’ai aucune envie de me faire frapper, même si j’avoue que ca me donnera encore une opportunité de venir te voir à l’hôpital. » C’est affreux le taux de bêtises que je peux dire pour lui plaire, je le pense c’est vrai, mais je ne suis pas du genre à me dévoiler aussi vite à quelqu’un, d’habitude j’examine, je drague et puis je réfléchi si je veux plus, la j’avais voulu plus, j’avais dragué et maintenant j’observais pour être bien, le raisonnement inverse du mien.

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Le fait de discuter de nos familles se faisait en simplicité certes, mais il fallait bien admettre que d’évoquer le sujet dès la première rencontre à quelque chose d’un peu flippant. Alors cela ne m’étonna pas du tout, lorsque après déclarer à Gabin qu’il pouvait continuer à m’appeler Summer, le jeune homme me proposa de lui-même de laisser nos familles de côtés et d’apprendre à se connaitre. J’avais légèrement rit et lui avait répondu en hochant la tête « je ne voyais pas les choses autrement rassures-toi ! Pas de plan sur la comète ; on profite juste de l’instant »

Et en parlant de profiter, j’en avais effectivement bien l’intention : il m’avait proposé de passer la nuit avec lui quelques minutes plus tard, et je n’avais pas hésité un seul instant pour accepter. Il faut dire que j’aurais été idiote de ne pas le faire : il était beau séduisant, drôle, et me plaisait beaucoup. Et puis, l’entente était facile avec lui ! On avait l’air sur la même longueur d’onde, alors que demander de plus ?! Je n’allais certainement pas jouer les difficiles  en invoquant l’excuse du « jamais le premier soir », surtout qu’il s’agissait de passer la nuit simplement. Il n’avait jamais évoqué d’intentions sexuelles, et même s’il l’avait fait de toute façon, je crois que cela ne m’aurait pas déranger. J’avais préféré lui dire réellement ce que j’attendais de lui, lui exprimant mon désir de le suivre ou il souhaitait m’emmener peu importe ce qu’il déciderait.

Entre temps il avait commandé d’autre verre, et bien que l’idée d’un cocktail me fasse envie, je restais sur le coca qu’il avait choisi en supplément. Je savais que je tenais mal l’alcool, me montrant un peu guillerette dans ces cas-là. Et je ne voulais pas passer pour une fille complètement faite dès la première soirée ! Bien qu’on m’a toujours signalé que j’avais l’alcool gai et que je me montrais tout aussi adorable que d’habitude, je savais aussi que je me montrais encore plus tactile, plus entreprenante, et j’envahissais bien trop facilement l’espace personnel des gens. Hors de question de faire flipper Gabin avec ça ! Le coca serait parfait.

J’en bu une ou deux gorgée tandis que Gabin me demandais si j’acceptais d’aller danser encore un peu pour lui, avant que l’on parte quelques part. Mon verre à la main, je le portais à mes lèvres pour une troisième gorgée, puis le regardait avec malice, tandis qu’il m’attira contre lui en m’entourant la taille alors qu’il était appuyé contre notre table. Je me pinçais les lèvres l’une contre l’autre, les rafraichissant ne passant grâce au coca frais qui je venais de boire et répondit : « Une dernière danse solo sur la piste de danse ?! D’accord…mais après tu m’enlève et tu m’emmènes loin de ce brouhaha ! »

Et c’était ce qu’il avait bien l’intention de faire puisqu’il me fit plusieurs propositions sur la suite de la soirée. Partir en voiture vers le centre-ville avait de quoi être simple et sans conséquence ; l’idéal pour une promenade sans prise de tête. Le cinéma était tout aussi intéressant comme idée, mais manquait un peu d’intimité. Or, une partie de moi avait envie de l’avoir pour moi toute seule jusqu’à la fin de la soirée ! Le cadre d’une séance ciné dans le noir était vraiment agréable, mais je préférable bien plus l’idée d’aller voir un film chez lui si il s’agissait de visionner un écran pendant une bonne heure et demi…surtout qu’il évoquait les popcorns, tout ce qu’il fallait pour se faire une petite séance privé. L’hôtel, bien que très alléchant, ne permettrait pas de varier les activités dans la soirée. Et pour qu’un peu que l’hôtel soit pas super, on allait finir par le regretter. Non finalement le tour en voiture, ou le film chez lui était les deux propositions qui me tentaient le plus, de par la proximité que l’on pourrait avoir. Je lui fis part de ma réponse : « Le tour dans le centre, seuls dans ta voiture… Ou un film chez toi ! Ces deux propositions me font plus qu’envie. » Et il me fit à nouveau rire lorsqu’il évoqua qu’il avait intérêt de m’emmener avec lui au risque de voir que tout ceci n’était qu’une illusion ou qu’un pseudo compagnon viendrait me chercher tout en lui mettant la correction de sa vie. Je posais mon verre sur la table derrière lui, posait mes mains sur ses joues, lui prenant le visage en coupe. « T’as pas à t’en faire, je suis bien réelle, et personne ne viendrais te corriger ! Je suis à toi jusqu’au reste de la nuit » je déposais mes lèvres sur les siennes, pour un ultime baiser, emprisonnant sa lèvre inférieure entre les miennes et la mordillant légèrement avant de m’écarter pour lui dire « je vais danser ». Et je m’éloignais de lui, non sans avoir gardé une de ses mains dans les miennes jusqu’au dernier moment avant de le lâcher pour partir sur la piste de danse.

J’allais lui offrir la danse qu’il souhaitait, pendant que j’avais encore suffisamment d’énergie et que mon désir pour lui me donnait des ailes !



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Qu’est ce qui brille sous les étoiles ?


Pas de plan sur la comète, ca me faisait penser à mes sœurs qui s’imaginaient mariée a des hommes riches ou célèbre, ma grande sœur est avec un avocat et ma jumelle sort avec un cadre de l’entreprise de label en France, pas de quoi être à la hauteur de leurs espérances d’enfants. « D’accord pas de plan sur la comète mais pas des plans non plus sur une étoile filante…je n’ai aucune envie que tu disparaisses après m’avoir distrait. » Je lui dépose un bisou sur la joue en profitant de l’instant la savoir près de moi et en adéquation avec moi, me rend fort, mais permet aussi de profiter de l’instant un peu plus chaque seconde.

Proposer de passer la nuit avec une inconnue, ce n’était pas forcément dans ma personnalité, mais j’en suis persuader, je suis sous le charme et l’alcool me rend prince presque charmant, je serai une utopie si je me pensais prince charmant, je la regarde prendre le coca en la tenant entre mes jambes face à moi, je suis quelqu’un de pudique, qui parle avec des mots, mais pas autant tactile, je suis sobre, je ne comprends pas mon raisonnement mais j’ai envie de l’assumer, de le vivre pour la troisième fois de ma vie, j’agis comme un jeune homme qui est devant une chose qui va le rendre heureux.

Rapidement elle accepte de m’accorder une dernière danse, j’en suis plus que ravie, j’aime beaucoup la voir se déhancher et savoir que ça ne sera que pour moi me rend très fier, me rend spécial, me rend heureux pour faire cours. « Je sirote mon cocktail sans te quitter des yeux puis je viens t’enlever pour quitter se bruit et pour qu’on puisse passer notre nuit ensemble ! »

La suite de notre nuit me plait, surtout dans sa bouche, elle ne veut pas aller à l’hôtel, je ne suis donc pas un coup d’un soir, mais elle veut venir chez moi regarder un film ou se promener en voiture, il me suffit juste de mettre les deux en un, je fais mon air songeur avant de lui proposer un compromit. « On se promène dans la ville pour la traverser et on fini notre balade chez moi, j’ai un grand stock de film et je t’offre ma chambre, le canapé est super confortable, je peux même te prêter un t-shirt et un training pour toi passer la nuit chez moi, ca te convient ? » Sans m’en rendre compte l’une de mes mains s’est mit dans la main de la jeune blondinette, je décroche un sourire rassuré lorsqu’elle m’affirme être réelle, et que je ne vais pas me faire frapper. « Alors profitons de notre soirée ! » Je la laisse m’embrasser en me retrouvant la lèvre inférieure mordiller par ses petites dents, je me laisse faire avant de la sentir relâcher ses dents, je profite de cet instant pour l’embrasser de plus belle. Puis elle s’en va doucement sur la piste, j’attrape mon cocktail et commence à leur boire sans la quitter du regard, je suis un winthroop sous le charme d’une magnifique Quincy, et je me moque de ce que l’on va dire de nous, je fini rapidement mon cocktail passe payer l’adition enfile mon pull et part sur la piste de danse. Je me faufile doucement Summer et pose mes mains sur son ventre. « Mademoiselle Summer, je vous enlève de cette ambiance pour passer le reste de la soirée en tête à tête avec ma petite personne, l’invitation ne peut être décliné » Dans un mouvement, je la retourne et pose mon front sur le sien en entrelaçant mes doigts dans les siens « J’adore quand tu danses en me regardant…Tu dois récupérer tes affaires auprès de tes amies ? »

Je l’écarte de la piste de danse pour entendre sa réponse avant de partir du club, je pense que mon appartement devait être plus ou moins rangé, que j’avais des bons films, du pop-corn, de la glace et des sodas et que surtout j’avais un canapé confortable même sobre, le dernier point me paraissait peut-être faux. Au pire je devais avoir un matelas gonflable quelque part dans l’appartement.

Je prends la jeune femme par la main, récupère ma veste. « Allons voir ce film chez moi en prenant le temps de traverser la ville…j’ai très envie de connaître la vrai Chloé et pas Summer la rebelle, sauf si Chloé refuse de me parler, je garderai la dragueuse de Summer. » Je l’embrasse avant de passer ma main sur son épaule et de me diriger vers ma voiture pour l’emmener ailleurs, dans un univers juste pour nous cette nuit. J’ouvre ma voiture et m’installe de dedans en la regardant avant de démarrer.

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Tu veux ou tu veux pas ?"Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back", She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me."
We were victims of the night, The chemical, physical, kryptonite. Helpless to the bass and the fading light.Oh, we were bound to get together, bound to get together.



Lorsque je lui avais donné mon avis sur deux propositions sur toutes celles qu’il m’avait suggéré, Gabin avait finir par faire une sorte de lien entre les deux propositions : Faire un tour en centre-ville en voiture, histoire de se mettre dans une ambiance plus paisible – ce qui n’était pas négligeable après une soirée en boite de nuit – puis aller chez lui pour une séance ciné privé ! On était donc sur la même longueur d’onde et cela me rassurait. Dans un sens j’aurais pu être légèrement stressée à l’idée de finir la soirée chez lui, étant donné qu’on se connaissait à peine, mais rien n’y faisait : Je me sentais tellement bien avec lui – sans qu’il ne fasse quoique ce soit de précis en plus – qu’il m’était impossible physiquement ou mentalement de vouloir faire machine arrière. J’acquiesçais donc à sa proposition et déposais un baisé sur ses lèvres avant de me rendre sur la piste du club, pour une danse privée. Pendant tout ce moment que je ne réservais rien qu’à Gabin, je me déhanchais au rythme de la musique, ondulant du bassin tout en laissant mes mains s’aventurer dans mes cheveux, avant de virevolter sensuellement en l’air. Et durant toute la danse, je ne regardais que lui, mes yeux restant fixer sur Gabin qui m’observait sans me lâcher du regard ; encore une chose qui me faisait me donner envie de partir avec lui maintenant ! Après tout, durant mon absence pour danser, il aurait très bien pu en profiter pour poser ses yeux sur une autre femme et je jeter son dévolu sur elle ? Je ne lui étais pas exclusive, et inversement, donc il aurait tous les droits de le faire. Seulement, il ne me lâcha pas du regard et mieux encore, il était même revenu me chercher sur la piste.

Lorsqu’il arriva à mon niveau, derrière moi, il m’entoura de ses bras puissant et joignait ses mains sur mon ventre, ce qui me laissa tout le loisir et lever une de mes mains pour entourer sa nuque, et pivoter un peu la tête pour déposer un baiser sur sa joue. Cela annonçait la fin de la danse et le début d’une soirée rien que tous les deux, que j’avais hâte de commencer. Gabin me demanda si je devais récupérer mes affaires auprès de mes amies, et je pivotais sur moi-même pour me tourner tout en restant dans ses bras et lui répondit : « Oui, je vais aller les chercher. Tu m’attends ? J’fais vite » lui promettais-je en l’embrassant à nouveau, mais sur les lèvres cette fois-ci avant de rejoindre la table où se trouvaient mes amies.

Bon, il a quand même bien fallu que je m’explique 5 bonnes minutes sur le fait que je quittais mes amies bien plus tôt que prévue, et répondre rapidement à quelques question sur l’homme qui était venu deux fois sur la piste de danse à ma rencontre et que je n’avais pas hésité à embrasser la deuxième fois. Apparemment, elle n’avait pas vu ou j’étais entre le moment ou Gabin était venu à ma rencontre, et le moment où j’étais repartie danser. Et même si dans un sens, cela m’arrangeait qu’elles n’aient assisté à aucun de mes effluves en compagnie de Gabin – parce que je voulais les garder pour moi – je fus tout de même un peu déçue de savoir qu’aucune ne s’étaient inquiétée de mon absence. Mais bon, peu importe après tout ! Le principal étant que je puisse les quitter plus tôt que prévu et finir la soirée avec Gabin

C’est donc 5 minutes plus tard que je le rejoignais, et main dans la main, on quittait la boite de nuit. Pendant que l’on traversait le parking pour se rendre à sa voiture, Gabin passa son bras par-dessus mon épaule et me rapprocha de lui ; j’en profitais de mon côté pour lui entourer la taille et agripper la ceinture de son jean, à l’arrière de sa taille, et répondais à sa remarque sur ma possible double personnalité Chloé/Summer. « Chloé et Summer sont exactement pareille. C’est juste…c’est juste que j’en avais un peu marre de suivre la ligne directive programmée par mes parents – à nous appeler tous par un prénom commençant par un C – et en changeant de vie, autant changé de prénom ?! » Concluais en riant timidement, avant de répondre à son baisé. « mais t’as raison sur un point : la nouvelle Chloé – soit Summer – est bien plus entreprenante que ne l’étais l’ancienne Chloé…alors autant que tu profites de cette facette là »


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La regarder danser, tourner, se trémousser me plaisait vraiment beaucoup, surement autant que de la toucher, de la frôler ou de l’embrasser, je n’avais pas pu m’empêcher d’aller la rejoindre sur la piste en souriant simplement aux jeunes femmes qui me regardaient, en ce moment, je n’avais d’yeux que pour une jeune femme dans cette boite. Summer me laissa un instant pour aller récupérer ses affaires au près de ses amies, j’étais heureux de ne pas devoir aller avec elle, je n’avais pas forcément envie de répondre à des questions sur moi pour satisfaire la curiosité des ces jeunes femmes. Après 5 bonnes grosses minutes Mademoiselle Summer était de retour nous quittons ensemble la boite de nuit après que j’ai payé les consommations.

Je l’écoute me parler de Summer et Chloé en m’amusant avec une de ses mèches que ma main à tout le loisir de toucher. « Changement de vie ? Moi je suis content d’avoir la même lettre en début de phrase que ma jumelle, on n’est le G au carré… » je rigole avant d’ouvrir la voiture et de l’entendre reprendre sa phrase. « Mademoiselle Chloé-Summer, je n’ai aucune envie de profiter de vous, je désire passer le reste de la soirée avec vous, parce que vous me plaisez et que j’aurai pu vous faire la cours pendant des jours pour vous plaire ! » Je lui souris avant de lui poser un bisou sur le front. « Aller en voiture Chlomer ! » Je me détache d’elle et rentre dans ma voiture avant de démarre direction la ville, je roule à vitesse normale dans les rues profitant de chaque moment en sa compagnie, je me moque un peu des passants qui nous font rire. Notre petit tour en voiture prendra à peu près trente minutes avant que je ne roule vers mon domicile, un minuscule appartement contrairement à la population riche de cette école, mais j’ai un parking privé, je m’y gare, coupe le moteur. « Tu es certaine de vouloir venir chez moi ? De peut-être passer la nuit chez moi, je peux te laisser mon lit et dormir dans le sofa et comme dernier argument j’ai du pop-corn et de la crème glacé ? » Je la regarde tendrement en attendant sa réponse.

Je sors de la voiture et attends qu’elle vienne à ma rencontre pour l’emmener chez moi, mon petit endroit personnel. Je lui prends la main et l’embarque chez moi, j’ai peur, je ne sais pas à quoi elle s’attend en venant chez moi. J’ouvre la porte en restant collé à la cloison pour la laisser entre première. « Bienvenue chez moi, je te laisse faire le tour du propriétaire, je vais préparer du pop-corn ».
Je n’ai pas prévu de me jeter sur elle dés son entrée dans l’appartement, je n’ai pas envie de ça avec elle, je suis touché en plein cœur, mais je n’oserai pas lui dire que je suis son pantin, que je suis heureux de la savoir avec moi ce soir, après tout elle aurait pu refuser de continuer la soirée avec moi.
Pendant que le pop-corn cuit, je range un peu le salon pour qu’on puisse s’asseoir sur le canapé pour regarder notre film, je me rends compte que cette pièce est un musée de photos, j’ai plein de photos avec ma famille, mes sœurs, mon frère, mes neveux et nièces, mes parents, je lève les yeux au ciel en espérant que Summer ne s’attarde pas sur ses photos. Je mets le pop-corn dans un grand saladier, le pose sur la table avant de regarder ce que j’ai comme boisson « Summer, tu veux boire quoi ? J’ai du coca, de sprite, de la bière, du vin blanc ou rouge et de l’alcool. » Je me prends un bière et m’assoie sur le plan de travail en l’attendant me répondre ou me rejoindre.

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Tu veux ou tu veux pas ?"Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back", She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me."
We were victims of the night, The chemical, physical, kryptonite. Helpless to the bass and the fading light.Oh, we were bound to get together, bound to get together.



Je mettais à rire juste avant d’entrer dans la voiture parce que Gabin avait usé d’un surnom plutôt original que l’on ne m’avait encore jamais attribué : Un mélange de Chloé et Summer que je trouvais plus que drôle. Une fois installée sur le siège passager, on démarrait et prenait la direction du centre-ville pour une simple promenade tranquille, trajet durant lequel Gabin ne manqua pas d’humour, plaisantant gentiment sur quelques passants que l’on croisait ! Et une demi-heure plus tard, on arrivait devant chez lui. Il coupa le moteur et s’assura une dernière fois de mon envie de passer la soirée avec lui dans son appartement. Je regardais par la vitre passagère, m’inspirant des lieux, puis tournais la tête en direction de Gabin avec un sourire confiant et attendrie « Oui je suis sûre de moi ! Quant à savoir ou toi et moi allons dormir, je me laisserais guider le moment venu. Mais… » Je baissais la tête timidement, ne sachant pas si je devais clairement lui dire ce que je pensais au risque de passer pour une fille légère et inconséquente…oh, allez : après tout, j’avais toujours fait preuve d’honnêteté avec lui depuis le début de la soirée, ce n’est pas une fois devant chez lui que j’allais me montrer timide. Je relevais alors la tête et rougissante lui avouait : «…mais j’avoue que l’idée que l’on partage ton lit à deux ne me déplairait pas ! Je ne fais aucune proposition indécente en disant cela hein, je…je dis juste que je n’ai pas envie de dormir toute seule, dans un lieu qui ne m’est pas familier. Je préfère de la compagnie quand c’est comme ça. »

Quelques minutes plus tard, nous sortions de la voiture, et je fis le tour de cette dernière pour rejoindre Gabin qui me prit très vite la main, avec un air dans le regard qui se voulait rassurant. Seulement, une part de moi ressentait sa nervosité. Alors je le suivais sans rien dire, mais resserrais un peu plus ma main contre la sienne pour le rassurer de mon côté également. On arrivait à sa porte qu’il ouvrit, et il se décalait ensuite pour me laisser entrer la première. Je fis quelques pas à l’intérieur, et observait les lieux, jetant un regard circulaire dans tout l’appartement. Le temps pour moi de me familiariser avec les lieux, Gabin partit en cuisine pour préparer le pop-corns. Je repérais non loin la table et les chaises et prit l’initiative de retirer ma veste pour la poser sur le dossier de l’une des chaises. Je me retournais ensuite et observait la décoration de l’appartement. C’était à la fois masculin et chaleureux ! Simple sans trop de chichi, le genre d’endroit ou n’importe qui pourrait se sentir à l’aise parce qu’il n’y avait rien de trop farfelue ou trop original ! Et alors que mes yeux se posaient sur l’un des murs du salon où quelques photos trônaient, Gabin refit son apparition pour ranger un peu dans la pièce. Je souriais de l’attention, surtout que pour moi, il n’avait pas besoin de faire tout ça, son appartement n’étant pas non plus un capharnaüm, puis je reprenais mon attention sur les photos, pour enfin mettre des visages – juvénile cependant – des membres de sa famille.  Il est clair qu’avec un mur autant affublé de photos, on pouvait sentir le côté très famille de Gabin ! Et cela me rassurait il faut bien l’admettre : je préférais largement voir chez un homme son côté proche de sa famille, plutôt que de fréquenter un homme qui dénigrait ses parents ! J’avais déjà suffisamment de problème avec ma propre famille pour en plus gérer les problèmes familiaux de mon mec…mon mec ?! Non mais qu’est-ce que je raconte ?!!! Je secouais la tête, avant de lâcher les photos des yeux et me concentrer sur autre chose ! Va vraiment falloir que je recentre un peu là : Voilà que je passe un début de soirée avec Gabin et mon esprit le considère déjà comme mon dû !

J’inspirais profondément, tentant de chasser cette idée – bien que dans le fond je me devais de reconnaitre que j’avais clairement dit à Gab’ tout à l’heure que je ne le considérerais certainement pas comme un coup d’un soir, quoiqu’il puisse arriver – et répondait à Gabin qui venait de me demander ce que je souhaitais boire. « Euuhhmmm, une bière ce sera parfait » lui répondais-je juste après l’avoir rejoint dans la cuisine où je le vis assis sur le plan de travail. Je me positionnais alors debout en face de lui, posant mes mains sur ses cuisses de chaque côté de moi, et lui souriait avec envie – le désir de l’embrasser à nouveau se faisant sentir - tout en le questionnant « Alors ?! T’as quoi comme film à proposer pour la soirée ?! »puis je concédais une dernière remarque quant à son appartement et à l'ambiance chaleureuse que ce dernier émanait « Très bel appartement soit dit en passant ! Je le trouve très agréable et accueillant »


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