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Tu veux ou tu veux pas / Summer

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Qu’est ce qui brille sous les étoiles ?

Aujourd’hui c’est congé…ah non mais j’ai oublié de me réveiller, ca m’apprendra à vouloir sortir quatre jours par semaine, le vendredi, je suis incapable d’entendre mon réveil, quelle galère. Je me réveille vers 17heures, les cours sont fini, mais moi je suis en forme, je fil sous la douche, profite de se moment de bonheur avant de me sécher et de m’habiller, ce soir je sors, mais pas à une soirée de confrérie, non je vais en boite, j’ai besoin de changer d’air. J’enfile un jeans foncé puis je mets une chemise claire a manche longue, un peu de parfum, il faut plaire. Un coup rapide de peigne dans les cheveux avant de tout décoiffer d’un coup de main agacé.
Je quitte l’appartement vers 19 heures pour aller manger un bout en ville histoire de manger un truc normal…mon frigo est vide. Je mange tranquillement sans me faire embêter par quelqu’un, il est un peu plus de vingt et une heures trente quand je quitte l’endroit direction la boite de la ville.
Le parking est complet, je me gare un peu plus haut dans la rue avant d’entrer. Je n’ai aucun plein de prévu, je veux simplement passer du bon temps avec ou sans mes amis, après tout, je suis un winthroop, je sais parler aux gens et je peux même me servir de mon physique pour draguer.
La piste de danse est un peu trop peuplé pour moi, je donne un billet au barman pour avoir une table assit. Il me montre une table assez bien positionné, je vais m’asseoir en regardant les filles danser, il y’a cette blonde qui me plait, mais elle n’arrête pas de danser et ne regarde jamais vers moi. Je prends mon souffle et je pars sur la piste de danse à sa rencontre. «  Bonjour, je peux t’offrir à boire ? J’ai une table juste à côté et depuis le temps que je te vois danser je me dis que tu dois être assoiffée » Ok, c’est pas la meilleure approche mais au moins je ne fais pas l’homme trop sure de lui, je suis juste un mec sous le charme. Je lui tends la main en attendant sa réponse en souriant doucement, j’avais très envie qu’elle vienne avec moi mais je savais aussi que ce n’était pas forcément son idée. «  Je me présente je m’appelle Gabin, mais tout le monde m’appelle Gab, enfin enchanté mademoiselle… » Je fais ce que je peux pour engager la conversation et lui donner envie de venir boire un verre avec moi, il est vrai que de près elle était encore plus séduisante, mais si elle me disait non ca allait être mon troisième refus de la semaine, ca commençait à faire beaucoup pour un pauvre amant comme moi.
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Tu veux ou tu veux pas ?"Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back", She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me."
We were victims of the night, The chemical, physical, kryptonite. Helpless to the bass and the fading light.Oh, we were bound to get together, bound to get together.

Enfin la fin de la semaine !! Dieu que j’appréciais mes Vendredi soir ! Ce moment contradictoire où on se dit qu’on est suffisamment crevé pour ne plus avoir envie de bosser, et suffisamment en forme pour avoir envie de sortir jusqu’à pas d’heure ! Bon pour ma part, peu importe le jour de la semaine, si on me fournissait les bons arguments pour sortir, tout était bon à prendre pour passer une bonne soirée. C’est d’ailleurs pour cela, qu’après mon service à l’hôpital, j’avais reçu un message d’une de mes amies pour m’annoncer une soirée « Dancefloor » au Royale. Danser jusqu’à épuisement ? Ça me connaissait ! Aucune raison pour moi de refuser ce genre d’invitation.

J’étais rentrée au campus avait rejoint ma chambre à la résidence, déposant mon sac et ma veste sur mon lit afin d’avoir les mains libres pour ouvrir mon armoire et partir à la recherche de la tenue idéale pour la soirée. J’avais sorti une bonne dizaine d’ensemble, les posant sur mon lit puis sur le lit de ma coloc – tant qu’à faire autant profiter de son absence – sans pour autant être convaincue de mes choix. Une bonne douche m’aiderait peut-être à faire mon choix? Direction la salle de bain pour une rapide douche revigorante, et me voilà revenue dans ma chambre en serviette. Il me fallait une tenue tout de suite !! Mon choix se porta alors pour une simple robe moulante bleue, qui ferait sans nul doute ressortir la couleur de mes yeux. Je récupérais alors la robe, la mettant de côté, et rangeait le reste des affaires avant de retourner dans la salle de bain avec ma tenue. J’optais vraiment pour la simplicité : Un rapide séchage de mes cheveux, pour les laisser onduler naturellement, un maquillage pas trop sophistiquée, à la teinte naturelle. Seul un mascara noir sur mes cils serait la touche soutenue à l’ensemble, ajoutant encore une dimension supplémentaire à mes yeux: On m’a souvent dit qu’il s’agissait d’un énorme atout chez moi, alors je me devais d’en profiter!

Je sortis de la salle de bain une demi-heure plus tard, apprêtée ! Il ne manquait plus qu’une pochette pour mes affaires personnelles et le tour serait joué. Je pris avec moi, mon portable, mes papiers d’identité et ma carte bancaire, et envoyais un texto à mon amie pour lui signaler que je me rendrais directement sur place en taxi, sachant pertinemment qu’on irait boire durant la soirée, et qu’il me serait sans doute plus possible de conduite seule après ! Le taxi était une solution idéale.

Je sortis de la résidence et m’engouffrais dans le taxi qui m’attendait et arrivait sur les lieux 30 minutes après. Là, pas d’hésitation possible : je pénétrais dans le night-club sans problème, déposait ma veste aux vestiaires, mais gardait ma pochette avec moi. Je rejoignais mes amis installées à une table, et voilà que commençaient les discussions sans fin entre copines, parfois entre-coupées par quelques instant à la piste de dance. Et puis au bout d’un moment, lasse de parler de mecs, de cours, et de boulot, j’avais fini par « élire domicile » sur la piste, dansant sans arrêt au rythme de la musique que nous gratifiait le DJ de la soirée. Ma tête se vidait alors de toutes ces conversations et je me délectais du moment, sans vraiment remarqué qu’un regard se posait sur moi pendant que je danse. Rien ne m’atteint à ce moment-là, c’est limite même si je n’ai pas fermé les yeux à quelques reprises en dansant.

Et soudain, je sens quelqu’un s’approcher de moi : il ne s’agit pas d’une présence pressante qui s’impose dans la danse à cause du manque de place sur la piste, non ! Il s’agit vraiment de quelqu’un qui s’arrête devant moi, pour m’adresser la parole. Je décide enfin de relever la tête d’un mouvement lent, pour observer le visage de l’homme qui s’était planté devant moi. Et ce que je vis me fis loupé un battement de cœur ! Son visage, son allure, sa carrure…il s’imposait de lui-même par ses charmes évidents, et la vue me plaisait plus que de raison. Il me proposa tout de suite un verre, et sourit sincèrement lorsqu'il déclara m’avoir suffisamment regardé danser pour savoir que j’étais déshydratée. Je riais presque silencieusement, cachant mon rire en baissant la tête, me mordant ensuite la lèvre avant de reporter mon attention sur le beau jeune homme en face de moi. J’allais lui répondre, mais il me devança, préférant sans doute faire les choses bien en se présentant d’abord, avant d’attendre tout verdict de ma part.

Je le regarde me tendre la main, et je penche la tête légèrement en souriant alors de tendre la main à mon tour pour prendre la sienne et le saluer. Je jetais un rapide coup d’œil derrière lui, pour observer la table de mes amies qui discutaient toujours aussi vivement. Au diable les réunions entre copines pour le moment : cet homme plus que séduisant me proposait un verre et semblait vouloir faire connaissance, je n’allais certainement pas me faire prier.

« Enchanté Gab » lançais-je, adoptant facilement le surnom en signe de sympathie. « Moi c’est Summer….et j’avoue qu’un verre ne serait pas de refus ! Je meurs de soif » et sans réfléchir à la suite, je sortais de la piste de danse suivi par Gabin, avant de laisser ce dernier me guider vers sa table. « Tu es venu seul ? » demandais-je en designant du menton l'absence d'une autre présence à sa table « Envie d’une conquête pour la soirée, ou simplement de se vider la tête ? » le questionnais-je en lui souriant franchement. J’étais direct, et j’espérais qu’il le soit également dans sa réponse. Car si son but était de repartir au bras d’une femme, je préférais le savoir tout de suite. Ça ne changerait rien à la situation – vu que de toute façon je le trouvais suffisamment à mon goût pour tolérer une réponse dans le genre – mais ça me permettrait au moins de me faire une idée sur la suite de cette rencontre.

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@GABIN R. CAHILL
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Qu’est ce qui brille sous les étoiles ?

Elle s’appelait donc Summer, c’était très joli comme prénom, je ne pu que sourire quand elle accepta d’aller boire un verre avec moi. « Enchanté Summer…allons à ma table on sera un peu plus ou calme. » Je passe devant elle pour rejoindre ma table un peu minable tellement elle était seule et sur le coup la jeune femme remarqua rapidement le manque de gens autour de la table que j’avais payé, mais je n’ai pas le temps de répondre qu’elle enchaina avec une autre question, je mets mon bras autour de son cou en souriant de plus belle. « Alors tout d’abord, effectivement je suis terriblement seul, des amis devraient arriver, mais ils ne sont pas du genre à être à l’heure et ensuite, j’ai envie de me vider la tête et ca se passait relativement bien avant que je pose les yeux sur toi…tu m’as sortie de mes pensées avec une facilité, que je me suis dit que je devais essayer de te connaître, après je ne suis pas se genre d’homme qui prend pour un soir et puis qui jette aussi rapidement au petit matin…mais toi tu es peut-être à la recherche d’une conquête pour te vider la tête ?! » Je commande une bouteille de champagne avec deux verres, c’est ma tournée, j’ai le droit de lui payer ce que je veux. J’ai beaucoup de mal à quitter ses yeux, dés que je les quitte un instant j’ai l’impression que mon regard se repose naturellement dedans.
Bref, je décide d’ouvrir le champagne et de remplir les coupes de celui-ci, je lui tends son verre en souriant, je sais ce qui se passe, je suis envouté par cette jeune femme que je n’ai encore jamais vu sur le campus, peut-être qu’elle n’est pas étudiante, une professeur…pas possible elle est trop jeune, mais après elle pourrait travailler dans tout dans la ville. « Tu danses vraiment bien…tu es une danseuse dans la vie ? » C’était peut-être une lowell, bien que j’en connaissais pas mal dans la confrérie, ca ne devait pas être ça. Je bois un peu de champagne en savourant le moment en sa compagnie, j’adore être bien entouré mais ce soir, j’en connais plus d’une qui pourrait être jalouse de la situation alors que moi je suis aux anges. Est-ce que je devais lui dire que j’étais étudiant, ou me servir de mon métier de peintre en bâtiment pour faire homme financièrement accompli, j’étais perdu dans son regard au sens propre comme au littéral. Mais soudain j’avais une question pour elle en réponse aux siennes. « Et toi tu es venue seule, ou tu as lâchement abandonnée ta bande de copine pour mes beaux yeux ? Rassure moi, un gorille ne va pas venir me casser la figure parce que je t’offre un verre ? » Je fini mon verre de champagne pour me détendre avant de me resservir un second, la pression venait de descendre je me sentais déjà mieux dans la discussion. Je ne savais toujours rien de Summer, j’avais envie d’en savoir plus et la seule manière que je connaissais était de la laisser entrer dans ma sphère, dans ma bulle de confort, si elle savait des choses elle répondrait d’elle-même à mes questions par une espèce de justification. « Je suis étudiant à Harvard, j’aime bien l’atmosphère de cette école, tout le monde peut-être ami avec tout le monde, hormis peut-être les Eliott et les Mathers, mais je ne suis ni l’un ni l’autre en fait. » Faite qu’elle ne soit pas d’une de ses confréries, je ne pouvais pas simplement me taire au lieu de penser tout haut, mais quelle nouille quand je me m’y mets !
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On se dirigeait vers sa table et je sentis son bras m’entourer le cou avant de répondre à mes questions. Son geste me fit sourire, et rougir également ! Cependant, cela ne m’empêchait pas de profiter de son geste : j’attrapais sa main qui pendait au-dessus de mon épaule, et je la gardais dans la mienne alors qu’on s’approchait de la table, tout en l’écoutant parler. Sa réponse était tout aussi franche que ma question et j’appréciais le fait qu’il ne passe pas par quatre chemins pour me faire connaître ses intentions pour la soirée. Il me retourna ensuite la question, et je souriais timidement : « Je t’avoue que ce n’était pas mon intention de départ : finir en compagnie de quelqu’un m’importait peu… » Avouais-je, avant de tourner la tête pour affronter son regard et lui répondre avec un peu plus de malice « Mais j’avoue que maintenant, l’idée me plaît bien ! ». C’était clairement une façon de lui dire que s’il devenait ma conquête de la soirée, je n’allais certes pas m’en plaindre.

On s’installa à sa table, et il se permit de commander une bouteille de champagne, ce qui m’avait agréablement surpris : habituellement, il était rare de voir un homme y mettre autant « le prix » pour convaincre une femme de finir la soirée avec lui. Et le fait qu’il choisisse le champagne comme boisson avait quelques choses de classe. Au moins, cela rendait son approche élégante et raffinée ; rien à voir avec les récurrents jeux de séduction auquel j’avais habituellement le droit. Il me tendit un verre qu’il venait de remplir, et accompagnait son geste avec un regard qui me fit frissonner. Il savait vraiment porter attention à une femme, c’était évident ! Avait-il l’habitude de séduire ainsi ?! Peu importe, du moment que ça marchait pour moi, je n’allais pas me formaliser. Comme je lui avais signalé honnêtement, je n’étais pas venu pour finir dans les bras d’un homme, avec l’espoir particulier qu’une rencontre sur quelque chose de plus sérieux par la suite. Je préférais profiter de l’instant, avec lui, et sans aucune arrière-pensée. Ainsi, si les choses venaient à ce concrétisé, j’en serais bien plus surprise et ravie. Un petit compliment de sa part concernant mes compétences en danse, et voilà que je riais franchement : « Oh mon dieu non ! Je ne suis pas danseuse dans la vie. Vraiment pas ! Mais…merci du compliment, je suis flattée » et je me mis à faire tinter mon verre contre le sien, avant de boire une gorgée du champagne. Le liquide pétillant qui touchait mes lèvres avant de glisser dans ma gorge avait quelque chose d’agréablement rafraîchissant ! C’était vraiment ce qu’il me fallait pour me détendre après avoir autant dansé.

Gabin me demanda ensuite si j’étais venue seule ou si j’avais abandonné mes amies pour lui. Je me mis à rougir, et baissais la tête, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille avant d’avouer honteusement : « Je crois que je suis une très mauvaise copine : je les ai lâchement abandonné ! C’est juste que je n’avais pas envie de passer la soirée à les entendre se plaindre des cours et leur mec. J’ai préféré m’enfuir sur la piste de danse, parce que je n’avais pas envie de perdre mon temps en blabla inutile. Le but c’est bien de se vider la tête, et de s’amuser quand on part en soirée, non ?! Alors pourquoi ressasser les problèmes du quotidien ?! » Et encore une fois, il me regardait avec intensité, et son attitude m’intimidait : je me sentais troublée par son regard, et l’observait boire son verre, en l’imitant inconsciemment. Je ne sais pas si la chaleur qui me montait aux joues avait un rapport avec l’effort de la danse, le champagne, ou si c’était simplement a cause de Gabin. C’était plus que déroutant, suffisamment pour que je continue de me cacher derrière mon verre en buvant une nouvelle gorgée de champagne. Un léger silence s’installa avant que Gab’ ne se décide à parler de lui, et je l’en remerciais intérieurement. Au moins, je pouvais l’écouter et tenter de calmer mon trouble, en m’intéressant à ces paroles plutôt qu’à sa bouche qui les prononçait…quoique, finalement, je me demande si le fait qu’il parle n’accentuait pas encore plus mon soudain intérêt pour ses lèvres. Alors qu’il m’expliquait qu’il était étudiant à Harvard, j’humidifiais mes lèvres en passant ma langue dessus et ne le lâchait pas du regard.

« Je suis étudiante à Harvard également ! Le monde est petit. Et heureusement pour toi, je ne suis ni Eliott ni Mathers, sinon tu aurais subi une punition » lui fis remarquer en riant. « Je suis en 5ème année de Médecine, et fait partie des Quincy…et toi alors, tu fais comme études là-bas ?! » lui demandais-je tout en tentant de m’asseoir dans une autre position qui me mettrait plus à l’aise ; a croire que le fait de me tortiller sur place allait faire passer cette chaleur qui m’envahissait petit à petit, à mesure que je le regardais.


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J’ai souris doucement quand ma main rencontra celle de Summer, mais je la garde dans la mienne en souriant avant de l’entendre me réponde, elle était aussi franche que moi dans ses propos, ca me plaisait vraiment qu’on me parle comme ça surtout que ses propos étaient flatteurs, mais je ne peu m’empêcher de le prendre au second degrés. « Tu as rencontré quelqu’un ce soir ? J’espère qu’il ou qu’elle trouvera les arguments pour te récupérer après notre discussion. » Je souris avant de lui faire un petit clin d’œil, bon peut-être qu’elle n’aime pas ce genre d’humour, j’avais oublié de réfléchir à ça.

Arrivé à ma table, je lui sers un verre de champagne, ce n’est pas ma tactique pour draguer, c’est juste ma manière de commencer une soirée, je dois tenir ça de mes parents et puis c’est aussi mon petit plaisir pour souffler, chez moi je suis plus du genre à me prendre un verre de vin ou une bière alors qu’en soirée je vais commander une bouteille de champagne. Elle n’était donc pas danseuse, dommage, j’aurai pu demander des cours particuliers pour la voir plus souvent, j’avais déjà des cours de guitare avec Alba, des combats de boxe avec Aria, un peu de danse aurait pu être un plus. « Dommage, j’aurai aimé prendre des cours avec toi, on aurait fait danse avec Gabin à la place de danse avec les stars…désolé pour la référence, ma sœur jumelle à travailler pour la production du programme y’a deux ans, du coup on a regardé pour lui faire plaisir. »  Je me mis à rire doucement en la regardant tendrement avant de trinquer avec elle et de boire une gorgée de mon verre.

Je m’assoie dans le divan avant de la voir rougir doucement ce qui me fit rire avant de l’entendre parler de ses copines, mais je dois avouer que leurs sujets de discussion avaient vraiment l’air chouette, c’était des vraies filles bien chiantes. « Tu es une très mauvaise copine…mais non tu me tiens compagnie, bon je ne suis pas une copine. Et pourquoi tu ne critiques pas ton compagnon en même temps qu’elles ? » Bon d’accord la je venais de clairement me positionner pour savoir si elle avait un compagnon ou non, j’étais trop spontanée pour mettre les formes parfois. « Si je suis d’accord c’est totalement le but, si on ne peut pas se vider la tête ou se changer les idées quand on sort alors on reste chez soit, enfin c’est ma vision des soirées ». Je n’ai d’yeux que pour elle et surtout son regard, je suis comme fasciné par ses yeux, ils sont remplis de joie de vivre, de bonheur, de passion, assez pour rendre dingue d’elle et en plus sa façon de parler est en adéquation avec la mienne. Je crois que je souris bêtement en la regardant, mais je n’y peux rien.

Elle est donc étudiante aussi, elle n’est pas mather ni eliott, une punition, euh non je ne crois pas, je ne suis pas certain qu’on n’ait des problèmes avec ses confréries ou du moins, moi je n’en ai absolument pas. Une future médecin, ca c’est le pieds total, je crois que j’ai peut-être trouver le moyen de la voir. «  Je ne vais pas être puni, je crois que je peux être ami avec tout le monde, je suis un whinthrop, il paraît que ce groupe me correspond totalement. Je suis en 7éme année en Education Scolaire, je prépare ma thèse pour la fin de cette année…futur médecin, tu travailles déjà à l’hôpital ? » J’étais en train de réfléchir si je ne devais pas me faire soigner…en même temps je pouvais toujours prétexter un mal, j’allais devenir le malade imaginaire du Dr Summer, l’idée me fit sourire, je la regardais en train de se tortiller, je pose doucement ma maman sur son genou, je n’allais pas tout de suite poser ma main sur sa cuisse, je n’étais pas ce genre de mec. Je bois un peu de champagne en souriant toujours, je n’espérais qu’une chose, que mes amis n’arrivent plus, je voulais profiter de cette soirée pour connaître Summer.  
AVENGEDINCHAINS
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Son humour avait de quoi de me faire sourire facilement. C’était une bonne chose, ça me mettait à l’aise et me faisait réaliser qu’il était également en mode "sans prise de tête", tout comme moi ! La jouer détendu, ça mettait le ton de la soirée, et j’appréciais grandement.

Alors qu’on buvait tranquillement nos verres et que je lui avais répondu pour mes talents de danseuse, je ne pus m’empêcher de lui répondre avec un ton légèrement aguicheur « Oh mais je suis sûre que je pourrais trouver autre chose à t’apprendre, en tête à tête » et je regrettais d’avoir dit cela puisque finalement, j’en rougissais de plus belles. Et une nouvelle vague de chaleur s’était emparée de moi. Heureusement pour moi, il rebondissait très vite sur cette histoire d’amie que j’avais lâchement abandonné, et me rassurait sur le fait que je l’avais fait pour me tenir compagnie, ce qui était en soit une très bonne raison, je dois bien l’admettre ! Ce qui me décrocha un nouveau rire après cela, c’est la question somme tout innocente qu’il me posa pour savoir si moi aussi je pouvais critiquer mon petit-ami dans ce genre de soirée entre amie. Je me mordais la lèvre inférieure, comprenant que sa question avait un but simple et précis : se renseigner sur un potentiel célibat. Je lui répondis donc en m’amusant légèrement : « Oh mais si je me plains ! Je me plains de ses attentions i-né-xis-tan-tes ! Pas un seul câlin, ni même bisous. Je sors avec un homme qui n’existe pas : littéralement » puis je me mis à rire avant de boire une nouvelle gorgée de mon verre et de répondre plus sérieusement « plus sérieusement : Célibataire et sans prise de tête. Je n’aime pas me plaindre de ce que je ne peux pas avoir : Je préfère cependant apprécier ce que j’obtiens ! » L’optimisme en toute circonstance, y’a que ça de mieux. Parce que dans le fond, je sais que si je commence à me prendre la tête, c’est moi qui passerais mon temps à me remettre en question et je finirais par manquer d’assurance et de confiance en moi ! Alors autant la jouer cool. C’est plus sain pour tout le monde !

On continuait de discuter tranquillement, de mes amies et de leurs discussions sans intérêts, puis de nos études. Sur ce fait, je fus surprise d’apprendre que j’avais en face de moi un 7eme année en Éducation Scolaire, et je ne pus m’empêcher de lui poser des questions sur ces ambitions professionnelles : « Pourquoi l’Éducation ?! C’est pour envisager un enseignement particulier ? En tant que prof ? Ou pour travailler dans le milieu de l’éducation, mais dans le domaine administratif de la chose ?  Genre en Direction d’établissement ? » Ma question était peut-être idiote, mais je préférais poser la question, plutôt que de donner l’impression de savoir de quoi il en retournait des études de Gain, et finalement passer pour celle qui n’en a rien à faire. Au contraire, j’avais vraiment envie d’en savoir plus, et ce même si je venais à peine de le rencontrer et que ses ambitions professionnelles n’était pas prioritaires dans les choses à savoir le concernant ! En fait, je crois simplement que tout est bon à prendre de lui : il peut me parler de ces études, de sa vie, du temps qu’il fait, tout me va !!! Du moment qu’il bouge ses lèvres et que je peux les observer sans risque que mon regard insistant soit gênant. J’avais au moins une bonne raison de le fixer…

Sa main se posa sur mon genou juste au moment où je cherchais à trouver une position plus confortable et dissimuler mon trouble, à son contact, je sentis une sorte de décharge électrique me parcourir le corps ! Encore une fois, je baissais la tête en tentant de cacher mon visage rougissant, et profitais de sa question pour faire diversion : « Oui je travaille à l’hôpital en stage…En ce moment je suis au service pédiatrie, mais de temps en temps, on se retrouve en groupe de stagiaires en soins intensifs. J’avoue que c’est moins fun dans ces moments-là ! Mais ça fait partie du métier…et puis ça fait toujours plaisir quand on se sent utile pour les patients » Je n’avais toujours pas relevé la tête, bien trop occupée à fixer la main de Gabin sur mon genou. Un partie de moi souhaitais qu’elle reste à sa place parce que ça me permettais de m’habituer petit à petit à son toucher. Une autre partie de moi espérait secrètement que sa main remonte, mais jamais, Ô grand jamais je ne souhaitais me l’admettre ! Alors pour être sûre que la main reste à sa place, je viens poser ma main libre sur celle de Gabin, mes doigts se resserrant autour de sa main pour appuyer mon geste. Une question que je n’avais pas osé poser tout à l’heure, me brûlait maintenant les lèvres. Je posais alors mon verre sur la table en me penchant légèrement. Ma main maintenant libre, je me la passais dans les cheveux, glissant mes doigts sur ses derniers pour les plaquer délicatement derrière ma nuque avant de le questionner : «  Alors huuumm….Toi aussi, tu es célibataire ? Ou… » Demandais-je sans vraiment terminé ma question. « Tu as dit que tu n’étais le genre de gars qui prend pour un soir, mais cela n’en dis pas vraiment assez sur toi et sur ton statut amoureux… » Ajoutais-je timidement, me pinçant les lèvres l’une contre l’autre, avant de planter à nouveau mes yeux dans les siens. Et il semblait me sourire depuis un moment, chose que je n’avais pas osé affronter depuis quelques minutes : Oh mon dieu, son sourire…je fonds littéralement !


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Je fis des grands yeux en regardant la jeune femme, elle venait vraiment de penser ça tout haut ? Je ne pu m’imaginer a quoi elle faisait allusion, d’ailleurs mes mots allaient partir encore plus vite que ma propre pensée, je m’approche de son oreille et dit doucement « Et que pourrais-tu m’apprendre en tête à tête, ça m’intéresse beaucoup de savoir à quoi tu penses ! » Je profite de ce chuchotement, pour lui déposer un bisou sur la joue. Elle me faisait rire à rougir à mes propos, elle était de plus en plus belle à rougir doucement. Elle était donc célibataire et elle avait pas mal de seconds degrés tout ce que j’aimais, ou du moins ca me plaisait vraiment beaucoup chez elle. « Tu sais que ta façon de parler est vraiment très agréable, mais je ne comprends pas que tu n’aies personne dans ta vie ? Tu es insupportable quand tu as un mec à tes côtés…ou alors tu préfères peut-être les filles à la réflexion. » Je venais de me rendre compte que ma dernière phrase était totalement en opposition avec ce que je pensais d’elle, j’avais vraiment été stupide de lui dire ça, mais quel stupido. Je rougis légèrement en baisant les yeux avant de retrouver son regard et de ne plus le quitter à nouveau. Elle s’intéressait réellement à moi et pas seulement pour faire semblant, elle posait des questions vraiment pertinentes. « Je ne sais pas trop, je pense que j’avais besoin d’aider les jeunes, après je souhaiterai travailler dans un lycée ou dans une université dans le domaine de la pédagogie, mais je ne sais pas si je serai bon pour ça, je crois que j’ai voulu entrer dans l’enseignement quand les jumeaux sont nés et encore plus quand ma petite sœur a débarqué à la maison, je m’en suis beaucoup occupé…Je ne pense pas faire carrière dans l’administratif, tu me vois chef d’établissement, le seul truc bien c’est que je pourrais draguer toutes les mamans qui se sentent seul si mon statut de célibataire persiste. » Je me mis à rire, mais je la regarde poser sa main sur la mienne en me mordant légèrement la lèvre, sans quitter son doux visage. En pédiatrie ? J’étais trop vieux pour aller là, j’avais toujours l’argument de ma greffe de rein pour me rendre à l’hôpital régulièrement, mais je ne voulais pas que ca se sache autour de moi. « Ouaaa, pédiatrie, bon après pour être honnête je crois que je suis trop vieux pour espérer que tu m’auscultes, c’est dommage, et je ne suis pas assez malade ou blessé pour atterrir aux soins intensifs. » Je fis ma petite tête triste avant de lui faire un clin d’œil, la tension entre nous devenait complètement dingue, ca en était trop pour moi, elle mit ses cheveux en arrière avant de s’intéresser à mes relations. « Je suis comme un bateau qui cherche un bord, mais je ne suis pas un marin qui à une femme dans chaque port. » Je fini mon verre de champagne avant de m’approcher doucement de son visage et de poser mon front sur le sien en souriant, j’étais vraiment heureux d’être avec elle. « Mon statut amoureux me permet de faire ça, sans rien risquer » Je m’approche doucement d’elle avant de l’embrasser doucement, je venais de craquer mais j’étais sous le charme, totalement comme un enfant qui vient de découvrir le gout de la grenadine, un enfant qui veut une chose parce que ca lui fait du bien, parce qu’il a réfléchi à ce qu’il veut et que ce n’est pas un caprice, mais un souhait. Je détache doucement ses lèvres des siennes avant de m’excuser. « Pardon, je ne suis pas comme ça d’habitude, mais je ne sais pas ce qui m’a pris Summer ». je baisse les yeux comme un enfant qui vient de faire une bêtise.

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Tu veux ou tu veux pas ?"Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back", She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me."
We were victims of the night, The chemical, physical, kryptonite. Helpless to the bass and the fading light.Oh, we were bound to get together, bound to get together.



Je ne pus m’empêcher de rire doucement lorsque Gabin me demanda ce que je ne pouvais lui apprendre en tête en à tête. Je coinçais le bout de ma langue entre mes dents tout en souriant et lui répondit avec une pointe de provocation : « Oh peut-être que tu le sauras...en temps et en heure. Autant gardé la surprise pour le moment venu » et c’est là qu’il déposa un bisou sur ma joue qui semblait m’enflammer encore un peu plus. On discuta ensuite de mon célibat, je plaisantais sur mon petit-copain imaginaire, et Gabin reconnaissait volontiers apprécier ma façon de parler, ce que me rassura quelques peu : je semblais chaque minute un peu plus nerveuse à mesure qu’on se parlait lui et moi, son charme me troublant suffisamment pour avoir peur de finir par dire n’importe quoi en sa présence. Mais apparemment, je m’en sortais plutôt bien puisque mes propos l’enchantaient. Il en était même à se demander pourquoi je n’avais personne dans ma vie. Ahhh…la question à plusieurs millions de livres : pourquoi n’avais-je personne ? Peut-être parce que je ne savais pas les garder ? Mon manque de confiance dans mes relations amoureuses ou le fait qu’il devait y avoir des filles bien plus intéressante que moi, faisait que les hommes ou les femmes ne restaient pas bien longtemps en ma compagnie ?! Allez savoir…tiens d’ailleurs, en parlant d’hommes ET de femmes, Gabin souleva un point qu’aucun homme avec qui j’avais pu « sympathiser » n’avait jusqu’ici osé me poser : est-ce qu’il était possible que je puisse préférer les femmes ?

Depuis qu’il avait posé ses lèvres sur ma joue, j’avais profité du moment où c’était à lui de parler pour boire une nouvelle gorgée de mon verre et me cacher à nouveau derrière ce dernier. Et quand il me posa la fameuse question, je pouffais légèrement de rire dans mon verre avant de le baisser pour le tenir entre mes deux mains, posé juste au-dessus de mes jambes. « Je ne pense pas être quelqu’un d’invivable ou de complètement insupportable – bien que je sois une fille et que par conséquent, je suis forcément un peu chieuse, avouons-le – mais je suis peut-être un peu exigeante dans mes choix ? Et pour répondre à ta deuxième question : J’ai un faible pour les hommes, comme pour les femmes, en fait ! On pourrait croire que ça élargit les possibilités de conquête, mais pas vraiment finalement. C’est encore plus difficile de faire son choix » concluais-je en souriant, avant de reporter mon verre sur mes lèvres et m’hydrater.

Quelques minutes plus tard, on discutait de nos études et j’étais ravie de voir que Gabin répondait facilement à ma curiosité concernant son cursus universitaire et son avenir professionnel : il m’expliquait que l’idée lui était suite à la naissance des jumeaux, et sur le coup j’avais arqué un sourcil en me demandant de quel jumeaux il pouvait bien parler. Les siens ?! Je ne savais pas vraiment ce qu’il en était, mais je ne voulais pas lui couper la parole ou l’interrompre dans son introspection parce que je voulais l’écouter jusqu’au bout de toute façon. Il évoquait très vite sa sœur aussi, ce qui pouvait aussi me laisser croire qu’il s’agissait de ses jumeaux à elle, et qu’il était par conséquent un "tonton poule", vu qu’il avouait s’en être occupé. Enfin bref, toujours est-il qu’il m’avouait ne pas se voir faire carrière dans l’administratif bien que cela pouvait lui apporter quelques avantages auprès des mères célibataires, comme il l’avait si bien souligné en plaisantant. Je secouais la tête en me mordant l’intérieure de la joue pour me forcer à ne pas sourire à sa réflexion, bien que je la trouvais amusante. Le problème, c’est que depuis tout à l’heure, Gabin n’avait eu de cesse de me décrocher je ne sais combien de sourire et de rire sincère depuis qu’on avait rejoint sa table, et je commençais à me dire qu’il allait très vite comprendre qu’il m’avait dans sa poche depuis un petit moment ! Et puis il n’y avait de toute façon pas que mes sourires qui trahissaient mon trouble : mes propos étaient tout aussi révélateurs de mon abdication. C’est simple : lorsqu’il m’avoua être un peu déçu de ne plus avoir l’âge de passer par le service pédiatrie pour avoir une chance d’être soignée par moi, ou encore n’être pas assez malade et blessée pour passer par les soins intensif, je n’avais pas eu d’autre réflexe que celui de lui répondre avec malice : « Je peux toujours faire des visites à domicile, pour un simple Check up. Vérifier les constantes, prendre la température…. » Et à nouveau, j’avais rougis à mon audace. Qu’est-ce qu’il m’arrivait exactement ?! Cet homme me faisait faire n’importe quoi, mais le pire, c’est que je n’en étais même pas honteuse pour un sou ! Mais il allait bien falloir que je me calme un peu sinon j’allais au-devant d’une grosse déception si finalement mon "audace" ne donnait pas de réaction positive de sa part. Et puis d’ailleurs pouvait-il avoir la réaction que j’attendais ?! Il fallait commencer par ça : voilà pourquoi je lui avais posé la question sur son célibat, et Gabin me rassura très vite en m’expliquant à sa manière qu’il cherchait à trouver une relation, mais qu’il n’était pas du genre à en tester 36 à la fois. Bon point pour lui, bonne chose pour moi ! Et alors que j’allais lui avouer que j’étais ravie de le savoir célibataire, il prit les devants, faisant quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas !

Il s’approcha de moi, et m’embrassa doucement : un baiser léger, doux comme une plume. C’était presque comme si nos lèvres s’étaient effleurées, et pourtant il m’avait bel et bien embrassé, les chatouillis dans mon ventre me le confirmant plus que de raison. Il détacha ses lèvres des miennes, et je me retins de gémir plaintivement parce que je ne le sentais plus : J’en voulais plus, et c’en était presque flippant. Cela faisait moins d’une demi-heure que l’on discutait lui et moi, et déjà, je succombais à ses charmes, à son sourire, à son toucher, à sa main sur ma jambe, à ses lèvres sur ma joue, puis sur mes lèvres….

J’avais inconsciemment fermé les yeux dès que sa bouche s’était posée sur la mienne, et je les gardais encore fermé lorsqu’il se détachait de moi. Je tentais de revivre la sensation dans mes pensées mais la voix de Gabin me ramenait à la réalité : il s’excusait. S’excusait ?! De quoi ?! d’avoir fait ce que j’avais espéré intérieurement qu’il fasse à un moment de la soirée ?! Bon c’était venu plus vite que prévu mais, et alors ?! Il le voulait, je le voulais, donc pourquoi se prendre la tête ?

Je rouvrais les yeux pour le voir devant moi, la tête baissé et fautif, et je le trouvais soudain tout aussi adorable qu’il était séduisant. Je penchais légèrement la tête, pour tenter de croiser son regard, et posa un doigt sous son menton, exerçant une petite pression pour le forcer à me regarder. Je me mordais la lèvre inférieurement et gardait longuement celle-ci entre mes dents avant de lui avouer : « Ne t’excuses surtout pas ! À vrai dire, si tu ne l’avais pas fait, j’aurais été déçue. » Je lui souriais timidement, et posais maintenant ma main sur sa joue, la caressant du pouce. « Je ne sais pas comment tu es d’habitude, mais je ne veux bizarrement pas le savoir, ce que tu viens de faire me convient parfaitement… » Je posais cette fois-ci ma deuxième main sur l’autre joue de Gabin et prenait son visage en coupe « d’ailleurs, pour te prouver que je suis plus que… "Demandeuse", je vais à mon tour faire ça… ». C’était maintenant mes lèvres qui venaient se déposer sur les siennes, sauf que je me montrais bien plus insistante que lui, n’hésitant pas à appuyer mon baiser, pour prolonger ce dernier. Je voulais bien plus qu’une douce caresse, bien plus qu’un simple effleurement de ses lèvres : je voulais les sentir s’inscrire sur les miennes, je voulais les goûter avidement, les emprisonner entre les miennes et ne plus les laisser s’en aller. Mes mains ne quittèrent pas son visage durant le baiser, seule une d’entre elle se permit de descendre sur son cou pour entourer sa nuque et exercer une douce pression pour qu’il reste pressé contre mes lèvres.


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Qu’est ce qui brille sous les étoiles ?


Je ne pris pas le temps de lui répondre, mais j’avais vraiment envie de connaître ses pensées à ce moment, cette jeune femme avait un tel pouvoir sur moi que ca aurait pu m’effrayer, mais en même temps tout était si facile au près d’elle. Vous voyez cette impression de déjà connaître la personne depuis des jours, des semaines, des mois, il y ‘avait juste elle et moi, nous deux perdu dans cette boite de nuit à se comprendre et se connaître un peu plus chaque instant.

J’avais envie de rire à son aveux sur son orientation sexuelle, mais je trouvais àa mignon aussi sa façon d’en parler, je n’étais absolument pas contre cette façon de parler, j’avais trop de respect pour l’Homme, pour le juger sur ses orientations sexuelles, puis il faut avouer que la description de Summer était vraiment craquante. « J’ai un certain faible pour les chieuses ! Exigeante dans tes choix, et tu dois souvent faire des choix ? La concurrence doit être dure de ton cœur alors, moi je ne suis qu’un homme essayant de rendre jaloux tout une boite de nuit en draguant la plus jolie fille de la soirée. » La je dois avouer que c’était un peu parti trop vite de ma bouge, les propos me fit rougir rapidement, je n’étais pas dans un état normal. « Et si on ne faisait pas de choix ce soir ? Juste toi et moi, un homme et une femme qui se plaisaient en restant eux-mêmes, je pourrais te dire des choses magnifiques, mais ca serait te mentir, je pourrais te parler de collier de perles, mais la je veux simplement te faire sourire encore et encore. »

Summer m’écoute encore et encore sans en perdre une miette, ses yeux brillent, il n’y a pas d’interrogation, elle me laisse parler de ma famille sans le moindre problème, mais je ris quand elle me parle de me faire un check-up. « Pour un simple check-up ? ca signifie que je dois au minimum retirer mon t-shirt ? J’ai compris pourquoi tu es médecin, tu veux pouvoir déshabiller plus vite tes patients. » J’attrape mon portable et fouille un peu de dedans avant de reprendre la parole. «  Tu as déjà un rendez-vous à domicile dans deux jours ? Vers 19 heures je devrai être rentré chez moi, si ca c’est bon pour toi, je prends rendez-vous de suite pour faire mon check-up à domicile ». Je caresse doucement sa cuisse en souriant, mes propos sortaient tous seuls, mais ils sortaient bien, il me donnait confiance en moi, et puis il ne laissait pas Summer indifférente.

Là, je suis au ange, elle se laisse embrasser et profite du moment, elle va m’amener à ma propre perte, je le sais que c’est une relation comme ça qui peut me démolir, mais j’ai envie de connaître encore plus la jeune femme. « Tu aurais été déçue, que je ne t’embrasse pas, mais alors je ne m’excuse pas de trop. » Cette phrase avait une syntaxe assez spéciale, mais elle avait le mérite d’exister, ce qui me surpris le plus c’est son agissement juste après, quand elle posa ses mains sur mon visages avant de m’annoncer qu’elle ne voulait pas connaître comment j’étais normalement, si elle savait que d’habitude je suis juste gentil mais rarement je fais le premier pas. Je reste de marbre quand elle m’embrasse à nouveau avant de poser ma main libre dans le bas de son dos alors que ma main qui jusque la était sur sa cuise se posa sur son visage, j’étais totalement sous son charme. Je ne pu que répondre a son baiser, en me montrant à son image plus insistant, plus sure de moi, je venais de faire abstraction de tous ce qui était autour de nous, on était juste la tous les deux, nos lèvres durent tout de même se détacher l’une de l’autre, je la regardais dans les yeux avant de lui poser un bisou dans le cou en souriant tendrement. « Tu embrasses toujours aussi vite tes conquêtes ? » je sers encore un peu de champagne histoire de vider la bouteille avant de boire une gorgée de ma coupe. « Est-ce que j’ai des chances d’être un choix convaincant dans tes possibilités de conquête ? Parce que je crois que j’ai très envie de refaire ça… » Je l’embrasse passionnément en savourant chaque instant ou nos lèvres se touchent. « si tu veux on peut aller danser un peu, rien que tous les deux, d’ici on entend la musique et personne ne viendra nous embêter, ou retourne sur la piste de danse, enfin on fait ce que tu veux. » Je lui fait un clin d’œil avant de poser mon bras sur son épaule et de me rapprocher d’elle en souriant toujours.

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Il aimait les chieuses ? C’était peut-être bien le seul ! Mais je n’allais pas m’en plaindre ; mieux encore, j’allais devoir faire en sorte de le garder pour moi cet homme-là ! Mais qu’est-ce que je raconte ?! On est juste en train de boire un verre en tête à tête dans cette boîte de nuit, on en était certainement pas à se promettre de sortir ensemble ou autre. Je devais vraiment faire attention à ce que j’osais dire ou penser, parce que je ne voulais vraiment pas faire flipper Gabin : je m’en voudrais s’il venait à prendre la fuite parce que mes paroles auraient fini par dépasser ma pensée.
Il me demanda gentiment si la concurrence était rude au sein de mes conquêtes et je riais en secouant la tête « non la concurrence n’est pas si rude que ça. Et fort heureusement d’ailleurs, parce que j’aurais vraiment du mal à trancher. » Il me fit remarquer ensuite qu’il cherchait à rendre jaloux toute la boite en étant ainsi présent à mes côtés, et à nouveau je rougissais à ses propos. « Si tu continues comme ça, je vais finir par avoir les chevilles qui enflent ! Et puis, qui te dis que ce n’est pas MOI, qui suit en train de rendre jalouses toute la gente féminine à cette soirée ?! Je ne donne pas chère de ma peau si je décide de me rendre seul dans les toilettes pour femme : je n’en ressortirais pas vivante, j’en suis sûre ! » Plaisantais-je bien que j’imaginais facilement une poignée de femme tenter de me bloquer dans une des cabines des toilettes pour courir prendre ma place auprès de Gabin après cela. Il me demanda s’il on pouvait mettre nos exigence de côté, profitant simplement l’un de l’autre sans se prendre la tête, et je lui répondais le plus sincèrement du monde « je ne demande pas mieux. Ce tête à tête simple et sans prise de tête me convient parfaitement »

On discutait ensuite de la possibilité que je vienne jouer les médecins à domicile et à peine avais-je suggérer de venir vérifier les bases auprès de lui qu’il se mit à plaisanter sur mes réelles ambitions en tant que médecin, étant persuadé que je faisais cela dans l’unique but de retirer en un temps record, un minimum de vêtement à mes "patients". Il ne m’en fallu pas plus pour éclater franchement de rire. D’ailleurs, cela avait-été tellement spontanée que j’avais tout de suite porté une main à ma bouche pour étouffer mon rire, tout en regardant autour, pour m’assurer que ça n’avait alarmé personne ! Puis, encore un peu honteuse de m’être fait remarquer, je me penchais un peu vers Gabin tout en déclarant avec une voix similaire à un murmure « Tu as découvert mon stratagème ! Que dois-je faire pour que tu puisses garder ce petit secret pour toi maintenant ?! » A peine avais-je dit cela, Que Gabin était déjà en train de prendre rendez-vous. Je le regardais prendre son téléphone et chercher dans son planning pour une caler une visite à domicile. Je souriais de plus belle au moment il me proposa une heure et une date, et je repositionnais mes cheveux pour les plaquer derrière mes deux oreilles en rougissant : « Hmmm, je pense qu’on peut se caler ça sans problème. J’annulerais mes rendez-vous pour toi ! » Lui répondais-je tout en sentant sa main caresser ma cuisse. Puis tout passa à une vitesse inexpliquée après cela.

Ce qui devait être un "tête à tête" sans prétention, avait dévié sur un échange langoureux de baiser entre lui et moi, où j’avais finir par oser lui dire que j’avais espéré intérieurement qu’il m’embrasse, au risque d’en être déçue s’il ne le faisait pas ; et plus rien ne ressemblait à quelques chose de timide entre nous maintenant. Je tenais son visage et son cou entre mes mains, et sentais l’une des siennes de balader dans le bas de mon dos, ce qui eut pour effet de me cambrer légèrement pour me rapprocher de lui physiquement. Ce n’est qu’au moment où nos lèvres se détachèrent pour reprendre notre souffle que Gabin reprit la parole pour s’amuser de la situation. Il me questionna alors pour savoir si j’avais l’habitude d’être aussi entreprenante avec mes conquête en les embrassant aussi rapidement, et je lui souriais avant de passer ma langue sur mes lèvres, encore demandeuse de la sensation que sa bouche avait sur la mienne : « Je ne peux pas vraiment te dire : À vrai dire, c’est la première fois qu’une de mes « conquête » m’embrasse tout aussi rapidement » Je m’écartais alors de lui – juste un peu – pour le laisser re-remplir nos verres, et je posais mes mains à plat sur le haut de ses deux cuisses, les caressant par-dessus le tissu ferme de son jean. Se faisant je lui rajoutais non sans rougir : « Mais je dois avouer que…je ne me suis jamais sentie aussi vite attiré par quelqu’un non plus ! Alors…autant dire que c’est une première pour moi ! » Il posa la bouteille sur la table et reprenait son attention sur moi, et me demandait si j’étais un choix suffisamment convaincant pour le considérer comme une possible conquête. J’allais lui répondre très vite, mais ses lèvres revenaient se poser sur les miennes, m’arrachant d’un gémissement de plaisir et de surprise. Sans lâcher ses lèvres, je tentais de lui répondre : « Tu es sans conteste l’homme le plus convaincant que je puisse oser imaginer, pour devenir une conquête » Je me délectais encore un peu plus de son goût sur mes lèvres, respirant à pleins poumons son parfum qui me chatouillait le nez, et venait l’agripper par sa taille et ses biceps à mesure que l’on s’embrassait.

À nouveau l’on manquait d’air, et l’on se séparait pour reprendre un peu le contrôle de la situation. Il avait son bras autour de mon épaule et je me calais contre lui, tout en observant ce qui ce passait autour ; j’en avais presque oublié ou l’on se trouvait actuellement. Je me sentais dans ma bulle avec lui depuis le début. S’il n’y avait pas la musique en fond sonore, j’aurais même pu croire qu’il n’y avait rien d’autre à part un immense désert autour de nous. Gabin me proposa ensuite de danser, et j’avoue que l’idée que l’on reste à notre place pour le faire m’enchantait bien plus que de devoir partager ce moment avec une cinquantaine d’autre personne sur la piste de danse. J’attrapais alors sa main au-dessus de mon épaule et la passa par-dessus ma tête pour me libérer de son étreinte. Je la gardais dans la mienne et me levait de la banquette tout en le tirant vers moi pour qu’il en fasse de même «  Ici, ce sera parfait ! Je veux te garder pour moi toute seule ! Je n’ai pas envie d’aller te partager avec le reste de l’assemblée sur la piste de danse…. » Avouais-je tout en souriant d’un air amusé « Je te l’ai dit, je suis une vrai chieuse ! » Il se leva et se positionna devant moi pour une danse. Et je profitais de ce moment de court répit pour lui poser une question qui m’était venu en tête durant notre conversation sur ses études. « Dis-moi : je voudrais revenir sur un point que tu as évoqué tout à l’heure…tu as parlé de jumeaux. Est-ce que tu parlais de ceux de ta sœur ? Des tiens ? Ou de …je ne sais qui d’autre encore ?! Ca m’intrigue en fait : parce que tu peux très bien être de ces père célibataire par exemple ?! »



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