PRIANNE + Maladie et bébé, mais j'ai fait quoi au bon dieu ?

Mer 11 Nov 2015 - 13:06

Maladie et bébé, j'ai fait quoi au bon dieu ?

Priape vint me faire savoir que j'allais devoir parler avec Zed au sujet de la grossesse, ce que je prévoyais de faire aussitôt après en avoir fini avec l'hôpital. Après tout, il devait savoir qu'il allait être père, même s'il est évident qu'il voudra faire un test de paternité pour se rassurer et je ne peux pas lui en vouloir étant donné que j'ai eu une brève relation avec Ethan avant lui. Pourtant je sens au fond de moi que ce bébé date de cet été et là il ne peut qu'être de Zed. Je vins adresser un sourire à Priape qui vint s'excuser en apprenant que ma mère avait menti au sujet de mon père. Très vite, il me demande si j'ai des symptômes de la maladie, je lui fais savoir que je n'ai que ceux d'une grossesse classique, ce qui était un bon point en soit mais je sais aussi bien que lui que je vais devoir consulter en génétique afin de savoir ce qui risque de m'attendre à l'avenir. C'est un peu une épée de Damoclès qui vient se poser au dessus de ma tête. Mais pour l'heure, il me propose d'aller à la cafétéria pour me changer les idées, excellente idée de mon ami. Alors je vins lui répondre.

Oui je lui enverrais un sms pour le voir dès que je quitterais l'hôpital, c'est promis. Merci Pri', et oui va falloir que je sache à quoi m'attendre exactement avec cette maladie qui me tombe dessus. J'accepte ta proposition d'un café. Je me stoppe un instant avant de reprendre en balbutiant. Je ... je veux pas mourir Pri', Millie est trop jeune pour perdre sa mère, tu crois pas ?

Je sais que je dois pas penser au pire mais rien que de penser à ma fille perdant sa mère, je ne peux m'empêcher d'imaginer le pire. Aussi je refuse que ma fille voit sa mère mal à cause d'une fichue maladie, c'est pourquoi dans un coin de tête, je me répète qu'il va falloir me battre pour elle, pour Aaron et pour tous mes proches qui tiennent à moi. Je vins adresser un sourire à mon ami, rangeant mes résultats dans mon sac et on se dirige vers la cafétéria.

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Ven 13 Nov 2015 - 9:55

Pour sa grossesse, mon amie me confirma donc qu’elle contacterait Zed. J’allais de mon côté, attendre que le winthrop me contacte si besoin, cette nouvelle risquait de le chambouler mais je ne voulais pas l’étouffer de ma présence. Zed savait que j’étais là si besoin, étant donné que j’étais passé par là moi aussi étant papa depuis septembre. J’allais le soutenir, et dans un même temps soutenir Leanne qui en aurait doublement besoin vu l’annonce qu’elle venait d’avoir. Je ne m’y connaissais pas suffisamment en génétique pour saisir l’ampleur que ce dépistage positif allait représenter pour la jeune femme. Ce que je savais, c’était que cette maladie pouvait avoir de lourdes répercussions sur sa vie, et qu’il fallait donc mieux qu’elle consulte un spécialiste. Son père était décédé à cause de ça, je ne voulais pas que Leanne subisse le même sort. Elle avait une fille après tout, Millie était bien trop jeune pour perdre sa maman. Ce fut d’ailleurs la même pensée qui traversa son esprit et j’hochai tristement la tête. « Oui elle est trop jeune, et toi tu es bien trop jeune pour mourir. Alors promets moi d‘aller consulter rapidement et d’accepter toute la prise en charge que te proposera le spécialiste. » J’avais confiance en la médecine pour aider Leanne, mais encore fallait-il qu’elle accepte de se soigner. On se dirigea ensuite vers la cafétéria. Une petite pause, un café entre amis. Voilà ce qu’il lui fallait histoire de lui changer les idées…

HJ : on termine là dessus ?

(Invité)

Ven 27 Nov 2015 - 7:12

Maladie et bébé, j'ai fait quoi au bon dieu ?

Après toutes ces révélations et ma promesse de dire pour ma grossesse à Zed, je vins faire savoir à Priape que je ne voulais pas mourir car ma fille était trop jeune pour grandir sans sa mère. Je ne pouvais qu'approuver ses dires mais il me demande de lui promettre d'aller voir un spécialiste pour savoir à quoi m'en tenir avec cette maladie. Lui promettre cela, je peux mais je ne sais pas si je vais avoir la force de supporter d'entendre ce que le médecin pourra me dire. Alors je vins lui répondre, d'une petite voix.

Oui je suis trop jeune et elle aussi. Je te promets d'y penser mais je t'avoue que j'ai peur de ce qu'il me dira. Mais allons boire ce café, cela nous changera les idées tu crois pas ?

Je vins me lever du fauteuil de la salle d'attente, attendant qu'il en fasse de même, tout en lui souriant et nous partons direction la cafétéria où on continue de parler pendant une bonne heure avant de se quitter pour retrouver nos occupations respectives.

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