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 | Eden Abbott fiche; terminée. C'est le treize septembre à Charleston, que la famille Abbott m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Eden. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de participer au Summer Camp organisé par Harvard pendant l'été. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'histoire des arts. Et pour terminer, je voudrais intégrer les students ou les mather house. |
Études Pour ne pas tourner autour du pot trop longtemps, j'étudie l'histoire des arts. J'aurais jamais du prendre cette filière et demander à être intégrée à un autre domaine, type...je sais pas quoi, du moment que c'était autre chose. Mais j'ai choisis ça, sans même savoir à quoi l'histoire des arts pourrait me servir à la fin de mon cursus. Soit, je suis pas une étudiante acharnée. Je trouverai toujours quelque chose de plus important à faire en premier, avant le fait d'étudier. Par je ne sais quel moyen, pourtant, je n'échoue pas. Alors, j'abuse de mes mauvaises habitudes et se passera ce qu'il doit se passer. | Caractère Hamlet se questionnait sur le fait d'être ou de ne pas être. Et moi j'ai décidé de l'être, et de ne pas l'être à la fois. Je suis le jour et la nuit, le noir et le blanc, le chaud et le froid, la vie et la mort, s'il on parle de façon métaphorique. Ou alors, je suis l'honnêteté et l'hypocrisie, la générosité et l'égoïsme, la modestie et l'égocentrisme, la gentillesse et la méchanceté, la réflexion et l'impulsivité, la parole et le silence. Je suis l'ombre et le brouillard. Je suis ce que jamais vous ne serez ou ce que vous êtes déjà. Le reste, wait and see. |
Everyone Has Their Own Story
allons sagement et doucement : trébuche qui court vite -
Les gens changent. Vous voyez cette jeune femme aux cheveux blonds décolorés ? Celle qui déboule, le sourire aux lèvres, au travers de la foule, attirant les regards sur son shirt en jean un peu trop court ? C'est cette même demoiselle qui, petite, avait la place du fond de la salle de classe, qui se laissait gentiment habillée et coiffée par sa maman bien aimée, qui jouait seule à la récréation et qui portait son cartable sur ses deux épaules. Je tiens une théorie selon laquelle les gens tenteraient, en grandissant, de devenir ce qu'ils n'étaient pas à la période de l'enfance. Parce-que cette métisse mince perchée sur ses hauts talons, était du genre grassouillette et pas très populaire, jadis. Cette fillette, et accessoirement cette jeune femme, je dois vous le dire enfin, c'est de moi qu'il s'agit.
Un jour nous sommes la gamine sans histoires. Le lendemain on devient celle avec qui il paraît cool de traîner. Tout le monde me connaît, mais personne ne me connaît réellement. C'est compliqué, je suis difficile à cerner. En fait, non, je ne suis pas difficile à cerner, c'est plus simple que ça, je refuse oui que l'on puisse me comprendre.
Je sais que d'ordinaire, sans avoir l'air de me la faire prétentieuse, l'on pourrait penser que vu ma façon d'être mes parents sont des personnes importantes, du genre à traîner en tailleur et costard le dimanche, mais non, loin de là. Je suis fille de commerçants. Je sais c'est pas brillant, mais on fait avec disons. Je n'ai donc pas eu le temps de jouer au jeu de la capricieuse, vous vous doutez bien que mes paternels n'en avaient pas les moyens. Je vivais dans un appartement juste au-dessus de l'épicerie familiale, dans une chambre que nous étions trois à partager et j'étais livrée à moi-même dès que j'ai eu l'âge de tenir sur mes deux pieds. J'exagère peut-être un peu, mais dans le fond c'était ça. J'ai mal tourné. Problèmes alimentaires, je suis devenue le bouc émissaire de l'école. Ca laisse de merveilleux souvenir, je vous le promets. En plus de quoi, évidemment, je n'avais jamais la dernière paire de chaussures à la mode ou les jouets nouvelle génération supra cool dont tout le monde parlait. C'est dur à vivre quand vous n'avez pas plus que l'ouverture d'esprit d'un gosse de six ans. Alors à la place de sortir aux parcs avec d'autres enfants, j'ai lu des livres, j'ai aidé mes parents dans leur commerce et j'ai douillé. Si je résume un peu, ne m'en voulez pas, j'ai plus de souvenirs agréables de ma soirée d'hier que de mon époque Barbie. Seconde partie importante de la vie atteinte, l'adolescence. Franchement, pas plus glorieuse. Mais j'ai pris du plomb dans la tête comme on dit. J'ignore comment je me suis débrouillée pour ne jamais retapé de classes, étant donné que, mal dans ma peau et pas vraiment appréciée des autres, j'ai plus séché, qu'été en cours réellement. Puis, j'ai littéralement fuguée. Là, mon histoire devient tordue et compliquée. Je me suis retrouvée à vivre chez l'une de mes tantes, du côté de ma mère. C'est à elle que je dois tout, en vérité. Elle qui m'a prise en main et qui s'est véritablement attelée au fait de m'aider comme j'en avais le besoin. Mes parents n'ont jamais avalé le fait que je les accuse de ne pas s'occuper de moi. Ils ont perdu ma garde, relayant à ma tante, mais par je ne sais quel miracle, ont tout de même toujours été responsables de mes deux autres frères. Enfin, je fais court. Maintenant, je ne les vois plus, ni eux ni mes frères. Peu importe, j'ai bien tenté de renouer, de mon côté, mais ils sont trop rancuniers chez les Abbott faut-il croire. C'est généralement pas le genre de détails que je partage avec les gens sachez-le. Soit, jusqu'à l'université j'ai eu une existence complètement banale. Excepté que je n'allais plus en cours, j'étudiais à domicile, avec un objectif précis qui était mon changement. Je voulais changer, de tous côtés. Physiquement, mentalement, et j'ai réussi. Changement que les gens ont pu, ou pas, constater à mon entrée à l'université. Pour ceux qui ont su me reconnaître en fait. Ce qui veut dire, pas grand monde. Dorénavant je m'efforce de lâcher le passé, de le laisser où il est, et d'avancer. Ce qui n'est pas une mince affaire dans ce monde universitaire où tous les extrêmes sont plus que jamais présents. Alors me voilà, moi, mon histoire, dans sa description la plus courte...
Les gens changent. Vous voyez cette jeune femme aux cheveux blonds décolorés ? Celle qui déboule, le sourire aux lèvres, au travers de la foule, attirant les regards sur son shirt en jean un peu trop court ? C'est cette même demoiselle qui, petite, avait la place du fond de la salle de classe, qui se laissait gentiment habillée et coiffée par sa maman bien aimée, qui jouait seule à la récréation et qui portait son cartable sur ses deux épaules. Je tiens une théorie selon laquelle les gens tenteraient, en grandissant, de devenir ce qu'ils n'étaient pas à la période de l'enfance. Parce-que cette métisse mince perchée sur ses hauts talons, était du genre grassouillette et pas très populaire, jadis. Cette fillette, et accessoirement cette jeune femme, je dois vous le dire enfin, c'est de moi qu'il s'agit.
Un jour nous sommes la gamine sans histoires. Le lendemain on devient celle avec qui il paraît cool de traîner. Tout le monde me connaît, mais personne ne me connaît réellement. C'est compliqué, je suis difficile à cerner. En fait, non, je ne suis pas difficile à cerner, c'est plus simple que ça, je refuse oui que l'on puisse me comprendre.
Je sais que d'ordinaire, sans avoir l'air de me la faire prétentieuse, l'on pourrait penser que vu ma façon d'être mes parents sont des personnes importantes, du genre à traîner en tailleur et costard le dimanche, mais non, loin de là. Je suis fille de commerçants. Je sais c'est pas brillant, mais on fait avec disons. Je n'ai donc pas eu le temps de jouer au jeu de la capricieuse, vous vous doutez bien que mes paternels n'en avaient pas les moyens. Je vivais dans un appartement juste au-dessus de l'épicerie familiale, dans une chambre que nous étions trois à partager et j'étais livrée à moi-même dès que j'ai eu l'âge de tenir sur mes deux pieds. J'exagère peut-être un peu, mais dans le fond c'était ça. J'ai mal tourné. Problèmes alimentaires, je suis devenue le bouc émissaire de l'école. Ca laisse de merveilleux souvenir, je vous le promets. En plus de quoi, évidemment, je n'avais jamais la dernière paire de chaussures à la mode ou les jouets nouvelle génération supra cool dont tout le monde parlait. C'est dur à vivre quand vous n'avez pas plus que l'ouverture d'esprit d'un gosse de six ans. Alors à la place de sortir aux parcs avec d'autres enfants, j'ai lu des livres, j'ai aidé mes parents dans leur commerce et j'ai douillé. Si je résume un peu, ne m'en voulez pas, j'ai plus de souvenirs agréables de ma soirée d'hier que de mon époque Barbie. Seconde partie importante de la vie atteinte, l'adolescence. Franchement, pas plus glorieuse. Mais j'ai pris du plomb dans la tête comme on dit. J'ignore comment je me suis débrouillée pour ne jamais retapé de classes, étant donné que, mal dans ma peau et pas vraiment appréciée des autres, j'ai plus séché, qu'été en cours réellement. Puis, j'ai littéralement fuguée. Là, mon histoire devient tordue et compliquée. Je me suis retrouvée à vivre chez l'une de mes tantes, du côté de ma mère. C'est à elle que je dois tout, en vérité. Elle qui m'a prise en main et qui s'est véritablement attelée au fait de m'aider comme j'en avais le besoin. Mes parents n'ont jamais avalé le fait que je les accuse de ne pas s'occuper de moi. Ils ont perdu ma garde, relayant à ma tante, mais par je ne sais quel miracle, ont tout de même toujours été responsables de mes deux autres frères. Enfin, je fais court. Maintenant, je ne les vois plus, ni eux ni mes frères. Peu importe, j'ai bien tenté de renouer, de mon côté, mais ils sont trop rancuniers chez les Abbott faut-il croire. C'est généralement pas le genre de détails que je partage avec les gens sachez-le. Soit, jusqu'à l'université j'ai eu une existence complètement banale. Excepté que je n'allais plus en cours, j'étudiais à domicile, avec un objectif précis qui était mon changement. Je voulais changer, de tous côtés. Physiquement, mentalement, et j'ai réussi. Changement que les gens ont pu, ou pas, constater à mon entrée à l'université. Pour ceux qui ont su me reconnaître en fait. Ce qui veut dire, pas grand monde. Dorénavant je m'efforce de lâcher le passé, de le laisser où il est, et d'avancer. Ce qui n'est pas une mince affaire dans ce monde universitaire où tous les extrêmes sont plus que jamais présents. Alors me voilà, moi, mon histoire, dans sa description la plus courte...
the face behind
 | ↬ PSEUDO/PRÉNOM - Appelez-moi Julie. ↬ ÂGE - Quinze ans, siouplait. ↬ PAYS/RÉGIONS - Au centre de l'hexagone. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Grâce à Soliman. ↬ TES IMPRESSIONS - Je déteste (joke). ↬ CRÉDIT(S) - Riddle, Darjeeling. ↬ AVATAR - Rita Ora. ↬ SCÉNARIO OU PI? - Personnage inventé. ↬ LE MOT DE LA FIN - J'aime pas les crevettes. |
(Invité)
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:bow2: :dance: :devilish: :excited: 
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:hi5: :sex1: :sex2: 
:havesex: :4: 
:*7: 
T'as intérêt à faire chauffer tes neurones même si t'en a pas l'habitude pour qu'on se trouve THE LIEN.