they said the world was built for two ✰ samaël

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
« Géniale, je suis entrain de t'imaginer au lit avec ma sœur, merci de me remettre les images dans la tête. » Plus envie de débattre, plus envie de répliquer, plus envie de défendre des paroles qui entre dans une oreille et ressorte par l'autre. Plus envie. Tu pousses un long soupire, alors que la discussion prend fin, que ta valise est à ta main et que tu es prête à t'en aller. C'est la meilleure solution, de toute façon tu ne verras pas l'ombre d'une culotte propre dans le coin, ni même d'un vif d'or chérie depuis des années, puisque tout est à la poubelle. Tu aimerais qu'il comprenne que tout ça c'était pour prendre du recule, savoir où tu en était dans tes sentiments et pour être honnête : essayer de les dissiper. Parce que si ils restent, si ils continuent à te hanter, l'envie d'embrasser Samaël ici et maintenant, pour faire taire ses lèvres stupides qui sors des trucs stupides, seraient beaucoup plus tentant. Maintenant que tu as pris du recule, tu as appris à te contrôler et restreindre ses envies. Tu sent dans sa voix qu'il y a quand même de l'espoir dans votre .. relation ? Votre lien ? Ce truc chelou que vous entretenais ? « On ? Est-ce qu'il y a encore une solution ? Est-ce que tu es capable de vivre sous le même toit que moi ? » parce que toi, non, tu n'est pas capable. Tu n'est plus capable, et tu pensait en revenant que tu le serais mais non, tu ne l'est pas. Tu n'est même pas capable maintenant de le regarder dans les yeux, alors affronté son regard tout les jours, tu ne sait pas si ça va être possible. « Tu n'as jamais dit à Maggie que tu l'aimais. Alors que tu l'aimais, tu me l'as dit, tu l'aimais très fort et intensément. Et tu ne lui a jamais dit. Tu ne me l'a jamais dit non plus. Même le jour du mariage tu as dit : je promet de t'aimais. Mais tu ne m'a jamais dit en face, que tu m'aimes, que tu tiens à moi, que je représente plus qu'un nom sur un morceaux de papier ou une coloc sympa qui lit étrangement dans tes penser. » si il y a quelques choses à sauver, alors il peut le dire. Il peut le dire, ici et tout de suite et prouver qu'il y a de l'espoir et de l'amour entre vous. Tu accepteras tes erreurs, et vous trouverez une solution, mais avant ça, tu as besoin de savoir. « Dis le Sam, ou prouve le. Fais quelques choses qui me pousse à penser que je ne suis pas qu'une fille parmi tant d'autre dans la vie de Samaël Lancaster-Florès. »
 

 MONSIEUR ET MADAME  

« Je t'explique seulement, que je ne pourrais jamais ramener tes affaires chez ta sœur. » En réalité, tu n'as jamais balancé les affaires personnelles d'Alaska au ordures ménagères. Ils sont rangés dans un endroit où toi seul connait l'existence. Tu voulais simplement lui montrer ce que ça pouvait faire de perdre des affaires personnelles et bien plus encore. Puisque quand tu pensais avoir perdu définitivement Alaska, ton monde entier s'était effondré. Tu as mis un bon moment avant de te reconstruire avec d'autres personnes. Mais, personne n'a jamais réussi à arriver au stade où Alaska a réussi à grimper dans ton cœur. Tu as envie de l'embrasser fougueusement en ce moment. Or, tu te retiens puisque la colère est plus forte que tout. Pourtant, tu lui laisses encore une chance de pouvoir se rattraper. Maintenant qu'elle est revenue dans ta vie, tu n'as pas envie de la laisser filer une nouvelle fois. « Je ne te promets pas que ça soit rose tous les jours. Cependant, je vais faire des efforts. » Si tu arrives à surmonter cette étape avec Alaska, tu seras capable d'affronter celle avec ton frère. C'est ce que tu te dis. Ça va être difficile, tu en es conscient. Sauf, que tu as envie de surmonter cette épreuve. « Parce que je n'ai jamais été capable de le dire de toute ma vie. Même à mon frère je n'arrive pas à lui que je l'aime. Mais, tu as raison j'ai réellement aimé Maggie. Et, je m'en veux de lui avoir brisé son cœur. Comme je suis désolé de te mener la vie dure, de te faire croire que tu es une personne comme une autre. En sachant, que c'est strictement le contraire. » C'est difficile pour toi de devoir te livrer devant elle. De souffler et libérer ton cœur sur tes sentiments. Tu grinces des dents, ton visage se contracte. Tu prends une grande inspiration avant de tout libérer. « Je t'aime. Je t'aime à un tel point que ça me dévore de l'intérieur Alaska Clayton-Lancaster ... » Dis-tu avant de te rapprocher rapidement de la demoiselle avant de prendre possession de ses lèvres. Tu l'embrasses fougueusement tout en la coinçant entre la porte d'entrée et toi-même. L'intensité dans la pièce pouvait se ressentir à des kilomètres à la ronde.

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
Tu n'avais pas envie de détruire tout ce que vous êtes, la confiance qui règne entre vous, réduire à néant tout ce que vous avez mis autant de temps à construire. Juste pour une envie ? Une envie de l’embrasser, de passer tes mains sous son tee-shirt et sentir son cœur encore plus prèsqu'il ne l'est déjà, la chaleur de son corps contre le sien, et avoir son haleine dans ta nuque. Des envies. Des pulsions que tu peut contrôler, mais que plus le temps avance, plus tu as un mal fou à retenir ses pulsions et c'est pour cela que tu as décidée de partir. Pour vous sauvez, lui et toi, et sauvez le peut qu'il reste de votre amitié. Mais a aucun moment, tu ne pouvait pensez que ces envies étaient réciproque. « Sam.. » Alors lorsqu'il s'approche de toi pour te demander de rester, tu restes immobile, tu t'attend à ce qu'il veille juste supprimer cette espace afin de te rassurer, et tu acceptes qu'il pose ses mains sur tes épaules, tandis que son regard se perd dans le tiens. Et pendant un instant, tu te demander pourquoi avoir quitter tout ça, pourquoi avoir lâcher tout ça, alors que cinq secondes de courage aurait suffit pour savoir si c'était réciproque. « Et si tu me briser le cœur à moi aussi ? Et si JE te briser le cœur ? On va perdre tout ça, tout ce qu'on as.. Je ne veux pas te perdre. » tu aurais aimer avoir la réponse, mais ses aveux t'ont clouée le bec, il vient de le dire, il t'aime, il ne l'avais jamais dit à personne d'autre et tandis que tu reprend ton souffle pour hurler que toi aussi tu l'aimes, que toi aussi tu ne peut pas imaginer ta vie sans lui, il plaque ses lèvres sur les tiennes. Ton cœur palpite et tu t'apprête à le repousser quand tu t'es dit : à quoi bon. Tes bras passe autour de sa nuque pour le repousser jusqu'au canapé ou vous chavirez. Tes doigts se balade dans sa chevelure, alors que vous étiez à présent assis sur le canapé. Tu le relâche pour reprendre ta respiration, tu as beau avoir écrit ce genre de scène un millier de fois dans tes fanfiction, tu n'arrives jamais à le croire quand tu le vit réellement. Et sans attendre, tu l'embrasse de plus belle. Parce que ça fait longtemps, et que ça fait un bien fou, d'avoir enfin ses lèvres sur les tiennes, et cette odeur parcourir tes narines. Lorsque ta soif de baiser et enfin assouvie, tu le relâche doucement, tes yeux dans les siens, et affiche un sourire timide. « J'me suis laisser emportez vers la fin, désolée.. » dis-tu en laissant tes mains dans les siennes.
 

 MONSIEUR ET MADAME  

Quand tu l'entends simplement dire ton prénom, tu ne savais pas quoi faire. Tu restes impassible devant elle. Tu tentes simplement de lui faire changer d'avis. Qu'elle finisse par choisir de rester dans l'appartement que vous avez loyer ensemble à l'époque. Puis, elle aura toujours sa place ici. Tu viens finalement à dire à voix haute que tu l'aimais. Tu l'aimais tellement que ça te dévore de l'intérieur. C'est bien la première femme à qui tu oses dire ce que tu ressens. C'est bizarre la sensation que cela te procure en toi-même. Tu laisses tes mains sur ses épaules et, tu l'écoutes attentivement te parler. Tu boies ses paroles d'une seule traite. Tu ne lui avais même pas coupé la parole. « Tu m'as déjà brisé le cœur, je ne suis plus à ça près. Pourquoi penses-tu que tu me perdrais ? » Même si tu as cédé à la tentation, tu t'en veux de tout foutre en l'air entre vous pour une pulsion. En sachant que vous avez mis un bout de temps avant d'avoir une confiance aveugle l'un envers l'autre. Pourtant, l'envie de l'embrasser passionnément tout en lui caressant les hanches avaient été plus forte que tout. Tu viens à la plaquer contre le mur, elle devenait en quelque sorte ta prisonnière. Tu l'embrasses comme tu as toujours rêvé de le faire. Pourtant, tu ne pensais pas qu'elle réponde à cet acte. Toutefois, elle vient à te pousser jusqu'au canapé. Tu étais assis avec Alaska sur tes jambes. Tu ne comprenais pas vraiment ce qui se tramait entre vous. Tu romps le baiser que tu échangeais avec ta femme. Tu la regardes dans les yeux avant un petit sourire angoissé. « Tu ne devrais même pas t'excuser. » Répliques-tu en ayant encore les mains de ta femme sur les tiennes. Tu as beau la haïr pour le mal qu'elle t'a fait. Tu n'arrives pas à lui faire la tête bien longtemps. « On fait quoi maintenant ? Enfin, tu vois ce que j'essaye de te dire ... » Tu n'es pas doué pour mettre des mots sur les choses. Tu espérais qu'Alaska sache vraiment ce qu'elle désirait et ce que tu représentais pour elle maintenant. Étiez-vous toujours amis ? Êtes-vous amants ? Tu verras bien avec le temps de toute manière. Pour l'instant, tu espères que Maggie ne serait pas au courant de ça.