they said the world was built for two ✰ samaël

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
Est-ce que tu vas rentrée et dire « salut chérie ! » ou est-ce que tu vas toquer à la porte et dire : « mon amour, je t'ai chercher partout » ou est-ce que tu vas encore te mettre à chialer quand Samaël va ouvrir la porte et te voir avec tes tonnes de valises et ton Némo en peluche sous le bras ? T'assume jamais rien bordel, ça fait la belle à quitter l'appartement en pleine nuit pour se la jouée Nabilla avec les anges pendant trois mois sous le soleil brésilien, mais quand ça il faut présenter ses excuses aux gens à qui on a pas dit au revoir, ça assume moins. En plus, c'est pas comme-ci tu l'avait jouée discret, j'veux dire, t'as fait ta belle sur le yatch et sur Instagram comme si t'étais Paris Hilton alors que ta boîte vocal était remplis de message de proche qui s’inquiète pour toi. T'es pas super responsable quand même, on croirais Zéphyr à faire la maligne tout le temps là. Bref, t'as pris ton courage à deux main – surtout que tu peux pas le prendre à deux pieds, va savoir qui a inventer cette expression de bouseux, je lui coupe les fesses. - Tu introduits tes clès et ta grande surprise, l'appartement est VIDE. OUF, tu t'installes donc comme si t'étais chez toi (et surtout parce que tu es chez toi, tout ce qui est à lui est à toi, et tout ça est à lui, donc est à toi aussi, vous l'avez jurez devant Elvis.) Et te dirige dans la chambre, votre chambre, bien que pour être tout à fait honnête cette chambre était votre chambre avant que tu ne devienne madame Florès et lui monsieur Clayton, tu passais tes nuits ici, contre lui à lire et relire les passages romantiques d'Harry Potter alors que c'était la guerre contre celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcé-le-nom et tu rappel soudainement ô combien Samaël te manque. Bien sûr il t'as manquer durant les premiers jours de ton exil, mais ça t'étais tellement vitale que très vite, le manque à disparue laissant une joie intense de te retrouver de nouveau avec toi même. Et puis merde, je t'autorise à faire un truc bizarre, parce que de toute façon tu fait des trucs si étrange que Larousse à mis ta photo sous le mot bizarre. Tu te jette donc dans son placard pour mettre un de ses tee-shirt par dessus ton débardeur et t'enroule dans ses draps, tel un nem dans sa salade. « Tu m'as manquer Florès. » marmonne tu, tête contre son coussin.
 

 MONSIEUR ET MADAME  

L'ennui te guettait et les réflexions profondes avec. Tu n'avais pas envie de cela ce soir, tu n'avais pas envie de prendre conscience de la profondeur du vide dans lequel baignait désormais ton existence. C'était trop douloureux, tu ne te sentais surtout pas prêt à affronter toutes ces remises en question. Alors, tu pensas à une seule personne qui te permet d'oublier tout cela et, qui te ferait tenir sur tes deux jambes, Rosie. Ta meilleure amie à l'époque. Tu t'es même marié avec elle lors d'un voyage à Las Vegas. Vraisemblablement, ça ne lui a pas plu tant que ça. Puisqu'elle a pris la poudre d'escampette pour fuir la ville sans que tu sois au courant. Si elle venait à revenir chambouler ton petit monde. Tu penses que tu l'enverrais sur les roses. Elle ne peut pas se permettre de partir en laissant un vide incommensurable pour ensuite revenir comme-ci rien ne s'était passé. Tu n'étais clairement pas d'accord sur ce point-là. Après, une journée de dur labeur avec tes cours de médecine qui devient de plus en plus dure. Tu décides de rejoindre ton appartement après être passé acheter de sushis au restaurant à côté. Tu pénètres dans l'immeuble où ton appartement se trouve. Tu rentres dans l'ascenseur pour ensuite appuyer sur le bouton. Tu avais la flemme de monter les deux étages. Une fois sur le palier, tu sors de l'ascenseur et tu te diriges vers la porte. Il te semble avoir fermé à clé mais, la porte était ouverte. Pleins de questions te trottait en tête présentement. Quelqu'un serait-il en train de te cambrioler ? Tu rentres à l'intérieur sans avoir peur de quoique ce soit. Quand soudain, tu entends une voix dans ta chambre. Tu te diriges vers celle-ci quand tu restes sur le cul. Rosie était allongé sur ton lit avec un de tes tee-shirts préférés. What the fuck ? Foutage de gueule quand tu me tiens. « Qu'est-ce que tu fous ici Clayton-Granger-Florès ? Sors d'ici immédiatement et retire-moi ce tee-shirt illico-presto. » Tu n'y vas pas de mainte morte avec elle. En même temps, elle ne mérite que ça sur le moment.

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
« Sam.. » Tu connais assez ton époux (lol, fait pas genre on connaît tous les circonstance de ce mariage, tequila, danse de la joie, Elvis, mais ce n'est pas pour autant que tu ne l'assume pas. « je suis sa femme » aimais tu dire, le lendemain alors que ta tête faisait des tours sans pouvoir s'arrêter. Mais tu avait besoin de temps, sans lui, sans personne en fait, juste toi.) pour savoir et entreprendre sa réaction. Samaël est ton double, il connaît tes gestes et ta manière de réfléchir, et cette réaction à la violente et surpris, était celle à lequel tu t'attendais. Tu t’exécute donc et te redresse du lit, toujours en flottant dans son tee-shirt, et te met debout sur le lit. C'est bien la première fois de ta vie entière que tu écoutes les ordres de Samaël, quatre mois plus tôt ; il pouvait te hurler dessus jusqu'à en perdre sa voix, il pouvait toujours courir pour que tu débarrasses la table ou que tu ranges tes putain de culotte dans ton tiroir Alaskaaaaa. « Je m'attendais pas à une banderole et une fête surprise. D'ailleurs, je suis sûre que t'as aucune idée de comment organisé une fête surprise, mais bon le sujet n'est pas là. Le sujet est que je suis réellement désolée, d'être partit, d'être revenue, sans rien dire à personne. » parce que la vie c'est pas je vais et je vient, comme bon me semble, il faut arrêter de penser que la planète Alaska est la plus importante et que toutes les petites planètes et la lune lui tourne autour. Je suis toujours de ton côté Laska, mais sur ce coup t'as tord, t'es partit, il est reste, vous avez chacun grandit de votre côté (ceci est des paroles de fauve que je vient d'introduire dans le rp, discrètement), mais bien sur Alaska Clayton-Granger n'a jamais tord ,Alaska Clayton-Granger a inventé l'eau chaude et elle va le revendiquer, Alaska Clayton-Granger est une pauvre idiote qui sait qu'elle est dans le faux mais qui va continuée de hurler qu'elle est dans le vrais. Tu fronces les sourcils et bombe le torse, les bras croisée sur ta poitrine. « Et puis, on est marier. - mariage consommé qui plus est. - Je vit ici, mes affaires sont ici, elles sont où d'ailleurs ? T'es obligé de me supporter, si t'es pas content demande le divorce. » comment-aggraver-les-choses.com
 

 MONSIEUR ET MADAME  

Tu ne pouvais pas faire semblant d'être heureux de retrouver ta Alaska. Ce n'était pas possible. Tu lui en veux beaucoup trop, pour faire l'hypocrite. Tu préfères mettre les choses aux claires dès le début. C'est ce que tu fais en lui réclamant de descendre immédiatement de ton lit et de retirer ton tee-shirt fétiche. Tu ne comprends pas comment elle ose revenir dans ta vie comme ci rien ne s'était passé. Elle t'avait malgré tout abandonné comme on pourrait abandonner un chaton sur le bord de la route parce qu'on veut plus de lui. C'est ce sentiment que tu as ressenti quand tu t'es aperçu qu'elle avait disparu de la circulation. « Ne viens pas à me faire des reproches, je serais capable de vriller de suite. Non je ne t'excuse pas. Tu n'as pas à t'introduire chez moi sans ma permission et te croire tout permis ici. » C'est loin d'être le cas. Tu n'acceptes pas le fait qu'elle se croit chez elle. Qu'elle croit qu'elle peut tout se permettre. Elle est avant tout chez toi Sam. Et, non chez elle. C'est toi qui te démènes à payer ton loyer tous les mois. Si Alaska ne serait pas parti, bien sûr que tu l'accepterais chez toi sans le moindre mal. Puisqu'avant son départ, elle était la plus importante pour toi. Tu étais prêt à décrocher la lune pour elle, à déplacer des montagnes s'il le fallait. Sauf, qu'elle à tout envoyer valser lors qu'elle a pris la fuite sans rien dire. « Et alors ? » La question qui tue. Tu aurais pu t'abstenir. Ce n'est pas de choses à dire de vive voix. « Tes affaires ont fini à la poubelle barbie. Et, pour le divorce j'ai déjà été voir un avocat, t'en fais pas pour ça. » Si Alaska veut aggraver les choses entre nous pas de problème. Tu sais être joueur quand il le faut.

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
Non c'est pas vrai parce que les chatons ont les abandonnes pas, on es noie, c'est encore plus horrible. Et tu n'es pas un noyeur de chaton, et tu n'es pas non plus une abandonneuse de chiot ou de jouet comme dans Toy Story 2 quand cette pute de jesaisplussonnom à laisser la pauvre Jessie sur le bord de la route avec sa boîte à jouet. Tu n'es pas si ignoble que ça, et pourtant tu as l'impression de l'être lorsque Samaël te craches toutes sa haine au visage. Tu fronces d'ailleurs les sourcils et retire son tee-shirt avant de le faire voltiger à l'autre bout de la pièce, tu n'as aucune raison d'être fâcher, tu es dans le tord mais être dans le tord ce serais accepter d'avoir tord et tu n'as pas tord. Tu n'a jamais tord, même si tu as tord tu as raison. « C'est n'est pas que chez toi. Quand on sait marier on a payer l'appartement ensemble. Okay, j'ai arrêter de le payer quand je suis partit, mais je suis là maintenant alors tout ça m'appartient aussi. Pense pas que tu peut te débarrasser de moi parce que t'es de mauvais poil Florès. » il est chiant quand il est de mauvais poil, tout le monde est chiant quand ils sont de mauvais poil, mais Samaël encore plus. Tu le connais assez pour avoir éviter tout ça les deux dernières années, mais on dirait bien que cette fois-ci tu es obliger de l'affronter. Tu tournes les talons et passe à côté de lui pour aller dans la cuisine, pour te servir un verre d'eau. Que tu recraches de suite dans un jet d'eau, type fontaine au milieu d'un beau parc suite à la réponse de Samaël. Tes affaires sont à la poubelle ? Ça veut dire que n'importe quel clochard peut porter tes sous vêtements victoria secrets et tes tee-shirt collector harry potter ? « Est-ce que t'es malade ? Je pense que t'es malades. Je pense que tes mots dépasses ta penser. Je pense que tu devrais sérieusement te calmer, parce que c'est pas drôle. C'est plus drôle. » divorce, qui a parler de divorce ? Depuis quand vous divorcez ? C'est le mariage pour la vie, à ce que je sache t'es pas sur le point de mourir dans les jours qui suivent. « Je me suis excusez Sam. J'avais besoin de temps, pour moi. Je savait que si je te le disait, tu aurais voulu partir avec moi. Et je ne voulais pas que tu vienne avec moi. Je voulais que tu passes un été géniale au Summer Camp comme tout le monde. C'est mal de souhaiter le bonheur de son époux ? Si oui, trouve moi le verser de la bible qui le dit parce que j'ai besoin de preuve. » aussi parce que tu savait plus vraiment ou donner de la tête. Candice te charrier sans cesse avec Samaël, que vous allez finir par sortir ensemble, que ça aller finir en coup d'un soir, elle avait raison, elle avait raison et tu n'avais aucune envie que votre amitié soit mise en péril par des sentiments un contrôler. Shae t'avais quitter et Samaël t'avait jurer l'éternité. Et si s'était plus que de l'amitié ? Tu voulais pas. Enfin, non pas qu'il laid ou repoussant, mais tu voulais pas que tout ça soit gâcher. Et tu avais besoin de marge, de temps, et d'espace. À défaut de ne finir encore une fois dans les draps de quelqu'un que tu aimes moyennement pour en oubliée un autre.

 

 MONSIEUR ET MADAME  

« Que tu sois là maintenant ou pas, c'est la même chose Alaska. Cet appartement c'est le mien. Tu l'as déserté depuis plus de six mois. »  Finis-tu par grogner. Si Alaska croit pouvoir te faire peur. Elle peut se mettre le doigt où tu penses. Tu es de mauvaise humeur. Ce n'est pas prêt à partir. Alaska ne peut pas se défiler. Pas une nouvelle fois. Elle doit te faire front. Tu dois vider ton sac sur elle. Qu'elle sache à quelle point son départ ta particulièrement affectée. Elle ne peut pas s'enfuir et revenir comme cela. Ce n'est clairement pas possible pour toi. Tu la laisses bazardé ton tee-shirt à travers la pièce. Tu l'as suivi du regard, tu la rejoins dans la cuisine. Tu venais de lui avouer que ses vêtements étaient à la poubelle. En même temps, tu n'étais pas censé savoir qu'elle reviendra un jour dans ta vie, si ? « Non j'vais beaucoup mieux merci de t'en préoccuper. Je n'ai pas envie d'être drôle à l'heure actuelle Alaska. » Ses affaires étaient bien à la poubelle. Si tu dois revenir en arrière, tu referas exactement le même geste. Ensuite, vient la discussion du divorce. Tu ne peux pas rester avec une femme qui peut t'abandonner sans avoir, aucun remord. « Malheureusement, tu as entièrement raté ton coup Alaska. Puisque j'ai passé un summer camp totalement merdique, j'ai fini par sombrer encore une fois. Tu crois qu'en fuyant la ville pouvait me rendre heureux ? Je ne pense pas qu'on est la même définition du mot bonheur, ni même du mot mariage. » Tout est terminée. Terminado. Tu n'es pas prêt à retourner près d'Alaska comme ci rien ne s'était passé entre vous. Elle a brisé votre amitié, elle a fissuré quelque chose entre vous. Ça va être compliqué pour recoller les morceaux. En réfléchissant bien, tu ne peux pas être sans cœur comme elle. Non tu dois être plus intelligent que cela. Tu viens à prendre une bière avant de l'ouvrir et d'en boire quelques gorgées. « Tu peux rester ici le temps que tu puisses te retourner Alaska. Mais, ne compte pas sur moi pour rester dans le même appartement. » C'est bien trop dur pour toi de rester ici. Tu préfères aller louer une chambre à l'hôtel où de quémander à Babylone ou même encore Claarys qu'elle t'héberge le temps que tu puisses récupérer définitivement ton appartement. C'est même la meilleure solution à adopter.

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
Dumbelrosie aurait trouver quelques choses, elle aurait trouver une alternative pour que le personnage principale féminin finisse pas se faire pardonner, ou encore que le personnage principal masculin finisse par se rendre compte de la débilité du personnage féminin, et accepte ses excuses. Malheureusement, tu n'es pas dans une de tes fictions, tu n'es pas maîtresse du temps et des événements, et actuellement, tu es dos au mur, nez à nez contre celui de Samaël sans trouver d'argument valable. « Ah bon ? Parce que t'es hilarant quand tu parles de divorce. Je suis morte de rire là. » dis-tu dans un ton sarcastique tandis que tu avales une gorger d'eau, les sourcils froncé. « Je pouvait pas devinez que t'aller pas t'éclater avec Babybel et l'autre rousse. » dis-tu sur le même ton. Il ne pouvait pas te mettre tout ça sur le dos, il se serait fait chier aussi là où t'étais. Passer six mois en compagnie de pecnot qui ont lue que 50 nuances de Greys dans leurs vies et désœuvré ton récit à cause d'incohérence par rapport au vrai Harry Potter, c'était pas fun du tout. Mais ça t'as vider l'esprit. Pendant six mois, tu n'avais plus à penser à tout ça. À lui, à Shae, à Macsen, à personne. T'étais maîtresse des lieux, choses dont tu n'as plus les privilèges à présent. « ça suffit. Ne me dit pas que je suis l'abominable homme des neiges, ne me dit pas que je n'ai pas penser à toi, ne me dit pas que je n'ai pas eu de remord parce que tu n'en a aucune idée. Bien sur que j'ai eu des remords, bien sûr que j'ai été torturer à l'idée de partir. Mais j'en avait besoin. Comprend le ? J'en avait besoin. J'avais besoin de me débarrasser de certaine chose, certaine émotion dont je ne voulais plus. Et ça n'a servit à rien. Parce que chaque seconde, de chaque instant de chaque moment, j'ai penser à toi. A tout ce qui aurait pu te faire rire si tu était avec moi, à toutes les remarques et les blagues que tu m'aurais faite si on était ensemble. Alors je me suis revenue, parce que je peut pas juste pas continue à vivre en sachant que ma moitié était entrain de faire la fête au Summer Camp. » c'était toujours la même chose, toujours la même guerre dans ta tête comme si il n'y avait pas eu une exode, une trêves. Rien n'avait cesser, rien n'avait disparue, et tu n'avait aucune autre raison de rester avec ce groupe de crétin si au final ça ne t'étais pas bénéfique. Alors tu es rentrer, tout simplement. « ça va aller. Je venait juste récupérer mes affaires et espérer que ça s'arrange. Mais je n'ai plus d'affaire apparemment, je suis censé m'habiller avec quoi maintenant ? Ça fait trois jours que je porte le même jean. » dis-tue en roulant des yeux.

 

 MONSIEUR ET MADAME  

« Non je suis marrant quand je t'avoue que tes affaires sont à la poubelle. » Puisque de parler divorce ne te fait pas rire du tout. C'est de loin la discussion que tu aimes avoir. Pourtant, tu as trouvé que cette solution pour effacer ce passé et ce mal être qui s'agrippe à toi depuis la fuite d'Alaska. « L'autre rousse c'est ma meilleure amie et Babylone fut mon amie à une époque. Je n'allais pas sauter mes amies pour te faire plaisir ? » Serait-elle jalouse de Claarys et Babylone ? Elle n'a pas à l'être pourtant. Alaska est ton amie, ton âme sœur. Y a jamais rien eu de plus avec elle. Tu ne comprends pas sa réaction. Tu ne comprends pas pourquoi elle n'a pas voulu que tu l'as suive non plus. Vous aurez tellement rigolé ensemble, vous aurez pu vous changer les idées l'un comme l'autre. Tu ne comprends pas pourquoi elle avait a tout pris envie de t'oublier, d'arrêter de penser à toi tout simplement. C'est le néant complet face à toi. « Tu m'avoues enfin que tu avais besoin de t'éloigner de moi. D'oublier je ne sais quoi qui se rapproche à moi. Alors, pourquoi tu ne m'as pas envie ne serait-ce qu'un petit sms ? Ça t'aurait tué ? J'étais loin de faire la fête au Summer Camp. J'avais plus besoin que n'importe qui de mon âme sœur, de ma moitié, de mon amie. Sauf, qu'elle n'était pas là pour me récupérer à la petite cuillère. Elle n'était pas là pour me remettre sur le droit chemin, ni même me foutre des claques quand il le fallait. » Elle n'a pas droit de te remettre la faute sur le dos. Tu as tes raisons si tu viens à péter une durite contre elle. Tu as besoin de vider ton sac pour te sentir mieux dans ta peau. « Il va falloir pas mal de temps avant que ça s'arrange. Comme d'habitude, tu n'as qu'à me prendre des vêtements. Tu aimes tellement ça. Mais, ne comptes pas sur moi pour te refiler de l'argent pour aller faire les boutiques. » Faut pas abuser non plus.

 Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse.
 
« Pas pour ME faire plaisir, pour TE faire plaisir. » dis-tu en faisant de grand geste avec tes mains, c'est un peu étrange comme discussion ça. Depuis quand on demande à son marie de sauter d'autre gens ? « Vas-y chérie, trompe moi, ça me fait plaisir. » y a que chez vous qu'on entend ça, ma parole. Quoi qu'il en soit, tu roules des yeux, exaspéré de la situation. Parler avec un Samaël en colère est loin d'être une tâche facile, encore un Samaël bourré c'est sympa comme tout, un Samaël qui se marre pour un rien, c'est le bonheur, mais le gronchon (mélange de grognon et grincheux) qui râle sur la terre entier c'est très peu pour toi. Alors que tu as signé pour tout cela : pour le meilleur, et pour le pire à dit Elvis. Bien que se stupide torchon n'est plus aucune valeur à ses yeux. « Oui, j'te l'avoue, mais est-ce que ça te fait te sentir mieux de savoir que j'avais besoin de m'éloigner de toi ? Ça ne change rien, que ce soit de toi, ou de  Maggie ou du reste du monde, j'avais besoin de temps pour moi. Comprend le, comprend moi, s'il te plais. » parce que tu le faisait avant, me comprendre. Moi qui suit, un vrai puzzle, tu était le seul à savoir recoller les morceaux. Tes mains sont à des kilomètre lumière de son torse, pourtant elles sont positionner comme si elles étaient dessus. Son cœur battant contre main droite, et son odeur recouvrant la tienne. Tu soupire et roules des yeux. « Et oui, ça m'aurait tuée un sms. J'aurais eu envie de rentrée tout de suite, sauté dans le première avions pour te gifler un coup, avant d'invité à boire. Mon exile n'aurait pas été bénéfique. » tu ouvres un paquet de bonbec que tu trouves dans le placard, des fraises tagada tes préférés. A croire qu'il fait toujours les courses en pensant que tu aura besoin d'une friandise après tes trois heures de phylo. « Non, je me roule pas dans les fringues un de tes « amie » - dis-tu en faisant des guillemet avec tes mains. -  ont sûrement déjà porter. Je vais me démerder. Mais au cas où tout ceci arrive de nouveau, j'aimerais juste que tu te contente de lâcher mes fringues chez Maggie, ou Moana, AU MOINS. » ça aussi c'est weird, sortir avec le première amour de sa sœur, mais dans le genre weird t'es pas mal toi quand même. Tu recules et passe à côté de lui pour prendre ton sac et ta valise, heureusement que t'as récupéré tes figurines harry potter avant de partir, vivre sans ton collier remonteur de temps n'aurais pas été envisageable.

 

 MONSIEUR ET MADAME  

« Si tu veux jouer sur les mots, c'est ton problème. » Marmonnes-tu auprès d'Alaska. Elle ne peut pas se permettre de débarquer dans ta vie à nouveau comme-ci elle était partie en vacances qu'une semaine. D'un autre point de vue, tu as signé pour le meilleur mais, surtout pour le pire. Tu dois faire l'effort de pardonner à Alaska. Sauf, que pour l'instant tu ne peux pas le faire. Peut-être qu'avec le temps ça viendra. Tu ne peux pas prévoir ce genre de choses à l'avance. C'est impossible. « Ça ne me soulage pas de te l'entendre dire. Ça me met encore plus de colère contre toi. J'essaye de te comprendre, crois-moi. Mais, toi est-ce que tu comprends ce que je te reproche ? » Puisque tu peux faire des efforts pour la comprendre. De le faire comme tu l'as pu l'être par le passé. Or, il faut que ça fonctionne dans les deux sens. Pourtant, tu sais pertinemment qu'elle restera à savoir Alaska dans ta vie. Personne ne pourra la détrôné du rang qu'elle a réussi à se construire dans ton cœur. Elle est devenue au fil des années, ton tout, ta meilleure amie, ta moitié, ton âme-sœur. Elle est aussi la seule à te comprendre réellement. Tu n'es pas obligé de lui dire quoique ce soit pour qu'elle arrive à te déchiffrer. Tu ne prends pas la peine de répondre à son petit monologue. Cela ne servirait à rien. La situation restait identique. Malgré tout, tu l'a regardes ouvrir un placard de la cuisine pour manger un bonbon. Elle n'a pas changé sur ce coup-ci. « Je te parlais de mes vêtements. » Tu n'es pas aussi stupide que ça. Tu n'irais pas proposer les vêtements de tes conquêtes. Tu peux être le pire connard qu'elle n'a jamais rencontré sur terre. Toutefois, tu l'as respectes bien trop pour lui proposer un truc de ce genre. Tu te demandes même comment elle fait pour penser à ça. « Sorry mais, je n'irais jamais foutre un pied chez Maggie. La situation est déjà assez étrange pour en rajouter. J'te rappelle que Maggie est mon ex et que je suis mariée à sa petite sœur. » Pour être étrange, c'est étrange. Tu n'as jamais été fichu de dire « je t'aime » à Maggie et, te voilà mariée à Alaska la petite sœur de Maggie. C'est complètement surréaliste. Tu l'as regardes ensuite récupérer son sac et sa valise pour qu'ensuite elle se dirige vers la porte d'entrée. Allez réveille-toi Sam. Ne laisse pas partir Alaska encore une fois. Tu pourrais le regretter toute ta vie. « Tu peux rester ici si tu le souhaites Alaska. On voit comment se passe la co-habitation. Si vraiment, on arrive plus à s'entendre ... on trouvera une solution. » Ensemble.