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Shall we talk ? Amanda

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Boston Calling Music Festival



✧ City Hall Plaza, 26/09/2015, 20h. ✧Amanda & Noah


Les rôles s’étaient définitivement inversés et Amanda n’hésitait plus à regarder Noah, avec bien plus d’assurance que lui n’en n’avait à son égard. C’était totalement étrange et profondément déstabilisant. Chaque fois qu’elle posait les yeux sur lui, Noah se sentait scrutait, épiait, complètement mis à nu comme s’il ne pouvait avoir aucun secret pour elle, comme si elle était la seule à pouvoir le voir sans artifices aucun. « Comme ça », se répondit-elle à elle-même avant de le fixer un air d’amusement dans le regard qui fit trembler le ventre de Noah. Lorsqu’elle se mit à le fixer Noah tomba comme dans un sommeil qui ne dura qu’une seconde mais qui fut des plus profonds : il s’était complètement perdu dans ses yeux. Comment était-il possible d’avoir des yeux aussi beaux, aussi expressifs ? Elle pouvait ne parler qu’avec son regard, c’était ahurissant la manière dont cette jeune fille respirait le naturel et la sincérité.

Titanic. Il n’était pas étonnant pour une fille d’aimer ce genre de film. Bien plus pour un garçon. Et en réalité Noah adorait Titanic. Les films d’amour en général, ce n’était vraiment pas sa tasse de thé. Mais certains sortaient du lot, comme Titanic, Roméo+Juliette, The Notebook, ou toutes les comédies romantiques avec Ashton Kutcher. Mais il était bien trop tôt pour l’avouer : il n’avait aucun problème avec son côté féminin, il était très loin d’être macho et pensait intimement qu’en chaque homme se cachait une part de femme, et en chaque femme une part d’homme – le tout étant de respecter chaque éléments qui nous forme. Il se contenta de répondre alors : « Promis, je ne ferais aucun commentaire sur tes choix de films, et je resterais bien sagement à tes côtés, une boîte de mouchoir à la main ». Il rit légèrement en la taquinant du regard.

« Mais oui, nous nous reverrons » ; cette phrase sonna pour Noah comme une délivrance. Enfin il fut rassuré ! Enfin il comprit qu’il n’ennuyait pas Amanda, et qu’elle aussi appréciait être avec lui. Il n’avait plus cette appréhension que tout s’arrête, il savait qu’il était autorisé à la revoir désormais, et qu’il n’allait pas s’en priver. Un regard pétillant qui trahissait son soulagement vint souligner un sourire amusé : « Alors, je dois préparer une très longue liste de film à voir, et beaucoup, beaucoup d’histoires à te raconter ». Toujours candide et ingénue, Amanda écoutait les allégations de Noah sur les constellations. Il l’observait du coin de l’œil et fut touché par son attitude et ses compliments : elle était attentive et intéressé. Mieux encore, elle trouvait Noah intéressant. Il fut complètement désarçonné – elle le faisait fondre. Elle lui avait en quelques heures fait plus de compliments que tout son entourage réuni durant toute sa vie.

Allongés en silence, le ventre serré, les pupilles dilatées d’envie, Noah tenait la main d’Amanda qu’il ne voulait lâcher sous aucun prétexte. Il l’effleurait légèrement, de temps en temps, du pouce, tout en gardant une retenue qui voulait dire « Je ne veux pas aller trop vite pour toi ». Il lui avait promis qu’il ne lui arriverait rien, alors il ne voulait pas qu’elle pense de lui qu’il ait des mauvaises pensées. Il se retenait de l’embrasser, bien que ce fut plus difficile qu’il ne l’imaginait. Pourtant, à l’intérieur de lui, c’était la rage qui grondait, une rage animale et sulfureuse : il avait envie d’être prés d’elle, de la serrer fort, de l’embrasser, de la dévorer, de fusionner, de disparaitre du temps et de l’espace. Il se sentait trembler tant elle l’attendrit, tant il avait l’impression que ses yeux, son sourire, sa peau douce, l’électrocutaient à chaque fois qu’il la ressentait. Et désormais les deux jeunes gens se regardaient avec bien moins de gêne qu’au début, comme s’ils venaient de poser les prémices d’une complicité grandissante et prometteuse.

Noah sentait le regard d’Amanda posé sur lui, après qu’ils eussent parlés des habitants des autres étoiles. Il en fut intimidé. Il la sentait le regarder comme lui l’avait regardé quelques secondes auparavant. Il se retint de se tourner vers elle, déglutis difficilement en fixant le ciel, souffla un bon coup avant de tousser légèrement. Perdu dans ses pensées, la main d’Amanda dans la sienne, Noah se sentait sur un nuage, comme si rien autour n’existait. Il oubliait la nuit qui se rafraichissait, le concert au loin, tout le reste. Il sentait un frisson lui parcourir le bout des doigts jusqu’aux oreilles chaque fois que la main d’Amanda bougeait dans la sienne. Lorsque tout à coup, le bruit du téléphone retentit. Noah eut une appréhension terrible, convaincu qu’il s’agissait de ses amis et qu’elle allait devoir partir. Il tourna des yeux teintés d’inquiétude vers elle, sans mot dire, et en attendant de comprendre. « Je me débrouille », seuls ces mots restaient dans son esprit. Intérieurement Noah explosait de joie, bien qu’il ne voulu rien afficher sur son visage. Non seulement elle lui avait dit auparavant qu’ils allaient se revoir souvent, mais surtout là, elle lui faisait comprendre qu’elle passait un bon moment, elle restait avec lui. La pression et l’ascenseur émotionnel avait été si fort à cet instant que Noah sentit tout son esprit se brouiller et un millier de coup de poignard dans le ventre qui se transformaient en papillons.


Toujours allongé, il leva les yeux vers elle et dit : « Ne te sens pas obligé de rester pour moi ... ». Il détoura le regard un instant, souffla un bon coup, se redressa subitement, et se mis face à elle : « En fait si. Je n’ai pas du tout envie que tu partes. Et je te raccompagnerai, où tu veux et quand tu veux, ma voiture est à côté ».

Toutes ces émotions mélangées venaient de lui retourner le cerveau. D’abord, l’envie irrésistible d’embrasser Amanda qu’il retenait depuis qu’ils s’étaient tout les deux allongés face au ciel. Ensuite ce faux départ, et l’appréhension de la voir partir qu’il vécu comme un coup de massue. Et enfin, ce soulagement délectable, cette certitude de ressentir en elle, quand il la regardait, tout ce que lui ressentait pour elle en lui. Alors, il ne pu s’empêcher, ni se retenir, de venir se mettre à genoux face à Amanda, de passer ses mains de part et d’autre de son visage, les pouces sous l’os inférieur de la mâchoire, et de venir déposer sur ses lèvres le baiser le plus moelleux et moins assuré du monde. Il était à la fois empressé, puissant, comme s’il succombait une bonne fois pour toute à ses envies qui n’avaient fait qu’aller crescendo depuis tout à l’heure, et tendre et retenu. Il était effrayé à l’idée de voir la réaction d’Amanda. Peut-être avait-il tout gâché ? Peut-être n’aurait-il rien dû faire ? Il continua de l’embrasser quelques secondes, ne pouvant s’en empêcher, avant de s’éloigner et de se redresser timidement, en ouvrant lentement les yeux pour croiser le regard d’Amanda. Il resta figé un instant, ne se réinstalla pas de suite, restant là à la regarder dans les yeux, sans sourire, le souffle haletant, la gorge sèche. En fait, il se rendait compte qu’il avait déjà envie de recommencer. Pas dans cinq minutes, pas dans une heure. Maintenant. Il voulait la dévorer, ses lèvres lui manquaient déjà.







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Le regard du jeune homme en disait long sur ce qu’il pensait, il me transmettait à travers le gris de son iris tous les sentiments qu’il éprouvait sur l’instant. J’avais ressenti la peur, puis la gaieté lorsque je lui annonçai que nous nous reverrons souvent. Je ris lorsqu’il évoqua une très longue liste de films à regarder et d’histoires à raconter. J’étais tout à fait d’accord avec lui, les soirées films et histoires étaient mes préférées. Comparées à celles passées en boite de nuit, à se faire coller de tous les côté, ces soirées calmes et reposantes étaient de loin les meilleures selon moi, alors Noah et moi allions très bien nous entendre. Je ris quelques peu et le regardai une nouvelle fois, en fait, son visage était un peu blême, comme le bien, ça se voyait qu’il venait d’un pays proche au mien. Nous avions tous deux les traits que l’on retrouvait chez les nordistes. J’analysai à ce moment-là quelque peu son visage, il avait des traits fins malgré tout très masculins. Les cheveux un peu en bataille contrastait un peu avec les vêtements qu’il avait choisi de mettre à cette soirée. C’était décalé et c’était ce détail qui faisait tout. Ses yeux, étaient ténébreux, clairs mais ténébreux.
« Si on ajoute à ta liste, ma liste à moi, alors on en aura pour toute la vie. » Je souris à nouveau, sans penser à l’éventuelle interprétation de mes mots. Je ne réfléchissais jamais à ce que je disais, l’expression « tourner 7 fois sa langue dans sa bouche avant de parler » n’existait pas chez moi, tout ce que je disais était spontané, pas du tout réfléchis… Dans certaine situation, cela m’avait provoqué des ennuis, mais ici, avec quelqu’un comme Noah, je n’avais pas du tout à m’en faire.

Lorsque j’eus ce coup de téléphone, je n’avais pas réfléchis une seule seconde lorsque je dis que je me débrouillais. C’était la vérité, j’allais me débrouiller pour rentrer mais je ne le ferai pas tout de suite. J’avais encore un tas de chose à raconter à mon partenaire et nous avions encore des heures et des heures devant nous. Si j’avais voulu, cette nuit n’aurait jamais connu de fin, tellement son début était délicieux et la suite, s’annonçait l’être tout autant. J’avais réellement envie de passer du temps avec Noah, c’était une personne tellement différente. Ce qui était sur c’est que quelque chose s’était passé entre nous et qu’à chaque parole, chaque geste, chaque regard, nous échangions une fois de plus une parcelle de ce qui allait construire notre relation.
J’avais connu beaucoup de garçon avant lui, des aventures plus ou moins longue, plus ou moins sérieuse. Mais j’avais toujours ressenti une gêne par rapport au fait que l’on me prenait pour un bout de viande qu’on voulait absolument dévorer. Evidemment, tous n’étaient de ce genre, mais la plupart si et j’avais de moins en moins l’envie de faire de nouvelle rencontre à cause de cela. Par contre, avec Noah c’était différent, il n’eut aucun regard, ni geste mal placé, il me prenait en douceur et essayait tant bien que mal de m’apprivoiser d’une manière douce et naturelle. C’est ce que j’avais aimé et c’est ce qui m’attirait chez lui au final.
Quand j’avais raccroché, j’avais toujours les yeux sur le jeune homme, et lui aussi s’était mis à me regarder. Il me dit de ne pas me sentir obligée de rester pour lui. Mais ce qu’il ne savait pas, c’était que je ne me sentais pas du tout obligée et que si je le faisais c’était uniquement parce que j’en avais envie. Finalement je l’entendis souffler, comme pour évacuer un moment de stress et continua en avouant qu’il n’avait pas du tout envie que je parte et me dit qu’il me raccompagnerait où je voudrais et quand je le voudrais. Il était adorable, une fois de plus je penchai légèrement la tête sur le côté, mes cheveux retombant quelque peu devant mon visage, tout en l’observant. « Moi non plus je n’ai pas envie de partir… » Ajoutai-je.
Puis finalement, je le vis se redresser et se mettre face à moi, à genoux. Je le laissais faire et l’observais attentivement car j’étais persuadée que quelque chose allait se passer, quelque chose que nous allions apprécier tous les deux. Je sentis ses mains se déposer délicatement contre mes joues et là, j’en étais sûre, il allait m’embrasser, c’était indéniable. Des frissons parcoururent l’entièreté de mon corps et mon cœur commençait à battre encore plus fort dans ma poitrine. J’avais le souffle coupé, les mains qui devinrent moites et les yeux qui commençaient à se refermer doucement. J’étais comme une gamine qui recevait son premier baiser. Comment était-il possible de ressentir autant de sentiments à la fois dans un seul organisme ?
Plus il se rapprocha et plus mes yeux se fermèrent et à l’instant où mon sens de la vue était occulté, je sentis ses lèvres se poser sur les miennes, timidement mais franchement, ni trop lentement, ni trop rapidement, juste parfaitement. Je sentis des millions de fourmis parcourir l’intérieur de mon ventre et un léger tremblement vint me faire perdre quelque peu l’équilibre. Ce baiser dura quelques secondes, quelques secondes où le temps c’était définitivement arrêté et où plus rien n’existait autour de nous. C’était magique.

Puis il rompit le baiser mais en réalité je n’aurais jamais voulu que ce moment s’arrête et cela sonnait un peu comme une obligation au final. Mes yeux se rouvrirent et se posèrent directement dans les yeux de Noah. J’étais bouche-bée, je ne savais plus quoi faire ni où me mettre. Que signifiait ce baiser après tout ? J’en étais morte d’envie et je l’avais finalement eu. J’étais heureuse sur le moment et mon esprit s’était totalement vidé.
« Je… » Le commencement d’une phrase qui n’avait vraiment pas lieu d’être puisque je ne savais pas quoi dire. J’observais Noah, lui également m’observait. Et mon regard se posa sur ses lèvres que je venais tout juste de goûter. Mon cœur recommença à battre la chamade, l’idée de l’embrasser à nouveau me vint directement en tête. J’en mourrais une deuxième fois d’envie.
Finalement, je ne dis rien et m’approchai de lui lentement. Passa quelque peu ma main droite sur sa joue et après l’avoir regardé dans les yeux, avançai mon visage vers le sien, refermant petit à petit mes yeux. Mes lèvres se posèrent encore une fois contre les siennes, et j’offrais à Noah un baiser des plus doux et des plus tendres. J’avais envie de savourer le moment présent et je ne m’interdisais rien, profitant tout simplement de la beauté de l’instant. Mon corps se rapprocha du sien, et mon autre main se posa délicatement sur l’épaule du jeune homme. Quelques secondes plus tard, mes lèvres quittèrent les siennes et je finis par le regarder dans les yeux. J’eus un petit sourire pour lui et finalement, entourant son cou de mes bras, je commençais à le serrer très fort contre moi. Ce câlin, je l’avais attendu depuis si longtemps…

Je n’osais plus parler, je ne savais toujours pas quoi dire mais mes gestes en disaient long sur tout ce que je pouvais ressentir.


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✧ City Hall Plaza, 26/09/2015, 20h. ✧Amanda & Noah


Ce premier baiser avait été exquis, et Noah s’en délectait déjà. Mais, il appréhendait la réaction d’Amanda : allait-elle le gifler ? L’embrasser ? S’en aller ?. Comme il se perdait en confusion, il restait là, face à elle, à genoux et stoïque attendant sa réaction. Même si lui s’était laissé aller à cette envie puissante et incontrôlable, il n’avait aucune idée de la façon dont Amanda allait prendre les choses, et ça le terrifiait.

Le jeune homme avait connu beaucoup de filles dans sa vie, sans doute trop. Mais il n’avait éprouvé de sentiment, c’est-à-dire de spasme de l’âme intemporel et au-dessus de la simple émotion, qu’une seule fois. C’était avec Leïa qu’il connaissait depuis petit, et qui avait grandit avec lui aux Pays-Bas. Elle lui avait, comme toute fille de bonne famille qui se respecte le fait, brisé le cœur. C’était la seule qui avait eu un jour un pouvoir sur lui, une manière de le contrôler. En dehors de cette histoire qui était morte et enterrée depuis des années, jamais aucune fille ne lui avait ni fait perdre ses moyens, ni intéressait comme le faisait Amanda à cet instant. La plupart des filles qu’il avait connu et connaissait était attirées par son arrogance justement, parce qu’elle le voyait comme un diable, joueur et dangereux et qu’il y avait quelque chose d’excitant à cela. Elles faisaient toutes ressortir ce qu’il y avait de pire en lui. Et là, à l’inverse, en une seule soirée, Amanda avant changé la polarité, et était la seule fille qui ne faisait ressortir que ce qu’il y avait de bon en lui. Elle avait, sans s’en rendre compte, changeait quelque chose en Noah, il était difficile d’en mesurer l’étendue à l’heure actuelle, mais il était certain qu’il était très différent, que cette situation était complètement différente, et qu’à juste titre il voulait la vivre différemment. C’est la raison pour laquelle il ne voulait rien précipiter pour ne rien gâcher. Il voulait agir dans une sincérité absolue en laissant ses sens et ses pulsions s’exprimer, mais à la fois était obligé de garder une certaine retenue pour ne pas brusquer Amanda, ou risquer de la faire fuir.

Amanda tenta de commencer une phrase et semblait encore plus abasourdie que Noah, « Je … ». Noah s’apprêtait à l’écouter, craignant qu’elle ne l’envoie paitre, lorsqu’à sa grande surprise il la vit s’approcher de lui et lui rendre un baiser digne de douceur et de sa tendresse. Noah le savoura avec plus de satisfaction, déchargé du poids de la peur, et eut dans le même temps un léger rictus sur les lèvres qui ajouta de l’assurance à son baiser. Les deux jeunes gens se décollèrent, et se regardèrent en souriant comme s’ils se comprenaient sans parler, comme s’il existait déjà une complicité folle entre eux deux. Elle mit ses bras autour du cou de Noah et se serra contre lui. Noah bascula légèrement en arrière de manière à retomber sur ses fesses, et ne plus être à genoux. La continuité du geste faisait qu’Amanda se retrouva naturellement à califourchon sur Noah, tendit qu’il passait ses bras autour de sa taille.

Assis, l’un face à l’autre, elle sur lui, il ne put s’empêcher d’avoir un rire nerveux qui traduisait tout le relâchement de pression auquel il procédait. Il se sentait profondément soulagé, elle ressentait, au moins maintenant, la même chose que lui. Il la serra d’autant plus fort contre lui de manière à sentir la chaleur se dégager de son corps et son cœur qui bat dans sa poitrine. Il s’approcha de nouveau de ses lèvres et déposa un simple baiser, comme s’il était désormais naturel de le faire. Avant d’en ajouter, en riant, un autre sur sa joue, encore un, un sous son oreille, un dans son cou où il respira à plein poumon l’odeur sublime que dégageaient sa peau et ses cheveux. Puis il se redressa et revint face à elle, un sourire taquin sur les lèvres et les yeux pétillants : « Il n’est pas impossible que je continue de t’embrasser comme ça encore toute la nuit sans que tu puisses m’arrêter », il lui vola un nouveau baiser avant de la regarder dans les yeux et de lui témoigner toute son admiration.
Leurs visages étaient face à face, Noah pouvait presque percevoir le souffle chaud de la jeune fille. Il serrait délicatement son corps comme s’il ne voulait pas qu’elle s’échappe. Et bascula la tête légèrement en arrière pour regarder de nouveau le ciel, en silence.

Après quelques secondes, il sourit en ajoutant : « Tu as dis que si on ajoutait ta liste de film à la mienne on en aurait pour la vie. Tu ne disais pas toute à l’heure qu’il était trop tôt pour les déclarations ? ». Noah lui fit de nouveau face en souriant – la gêne s’étant presque entièrement évanouit il n’hésitait plus à la taquiner sur le ton de la plaisanterie désormais. En remarquant les yeux perçant et le sourire qui venait de se dessiner sur le visage de la jeune fille, il ne put s’empêcher de porter une main à sa joue, et de l’embrasser, tout doucement avec beaucoup de passion, tant il n’arrivait plus à se retenir. Il se retira au bout de quelques secondes, lentement, tête penchée sur le côté, avant de lever les yeux vers ceux d’Amanda et de lui dire à la manière d’un gentleman, sur le ton de la plaisanterie : « Vous êtes la fille la plus surprenante qu’il m’ait été donné de rencontrer, Amanda ». Il la serra encore plus fort, plongeant sa tête dans le cou de la jeune fille, et s’évanouissant dans ses cheveux : « Et je crois qu’il est désormais impossible pour moi de vous laisser partir ».







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Je me retrouvais à califourchon sur lui dès lors que je lui rendis son baiser. Il avait basculé en arrière et de fait, je me retrouvai sur lui. Ça ne me dérangeais pas du tout d’être si proche de lui, il me plaisait et son attitude également. Notre étreinte provoquait en moi tellement de choses positives, un bien-être ahurissant, des fourmis parcouraient mon corps tout entier et je frissonnais tant j’étais bien dans ses bras. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti cela, j’avais envie que ce moment dure toute la nuit et qu’il se réitère tous les jours. Noah me serra fort, très fort, j’étais totalement collée à lui et j’avais l’impression qu’il ne voulait plus me lâcher. J’étais satisfaite, tout simplement, tout était si parfait, nous avions fait les choses dans l’ordre et rien n’avait été précipité. Du moins, c’était mon avis. Il était vrai que nous nous étions embrassé à notre première soirée mais ce n’était pas si choquant que ça. Nous avions attendu au moins quelques heures… En tout cas, je ne regrettais rien et je ne regretterai rien, j’en étais maintenant persuadée. J’entendis son petit rire nerveux qui semblait relâcher toute la pression qu’il avait eue avec moi ce soir-là. J’en souris et décollai mon visage de son cou délicieusement parfumé tandis que Noah continua ses baisers le long de mon cou. Des frissons vinrent parcourir mon échine et je me mis à rire délicatement. « Aaah, tu me chatouilles… ! » Je posai mes mains sur les épaules du jeune homme avant de le regarder avec un grand sourire. J’étais particulièrement chatouilleuse, absolument partout, le moindre effleurement me faisait gesticuler dans tous les sens.

Ensuite, il me fit remarquer qu’il n’était pas impossible qu’il m’embrasse de la sorte encore pour le restant de la nuit… Ce qui, au final, ne me dérangeait pas du tout puisque j’adorais ça.
Le jeune homme était beaucoup plus détendu et il se lâchait complètement maintenant, je le ressentais de plus en plus et ça me rendait vraiment heureuse de le voir ainsi.
« Tu sais, ça me dérange pas du tout… Tu pourrais continuer toute la nuit, j’adorerai toujours autant ça… » Je lui fis un sourire avant qu’il m’embrasse de nouveau. Je ne me lassais pas de ses baisers, il avait eu ce pouvoir de me détendre à la première soirée, et c’en était presque incroyable.
Effectivement, depuis ma dernière rupture, j’avais eu du mal à faire confiance de nouveau, j’avais eu le cœur brisé et je n’avais rien ressenti pour personne depuis très longtemps. Le dernier garçon que j’avais aimé m’avait lâchement largué après une longue relation pour une autre fille, de trois ans de moins que moi. Bref, je ne devais pas partir dans ces pensées négatives, j’avais trouvé quelqu’un qui pouvait me correspondre malgré tout et je devais savourer l’instant présent, rien d’autre.

Je n’arrivais pas à effacer le sourire que j’avais aux lèvres. J’étais tout simplement heureuse et mon cœur n’arrêtait pas de faire des bons dans ma poitrine.
« Tu as dis que si on ajoutait ta liste de film à la mienne on en aurait pour la vie. Tu ne disais pas toute à l’heure qu’il était trop tôt pour les déclarations ? »
Je ris un petit peu à sa dernière phrase, il était vrai que ce que j’avais dit était en contradiction avec ma remarque mais cela dépendait tout d’abord de son interprétation, et comme je l’avais craint, il l’avait pris dans le sens contraire à ce que je voulais finalement lui faire comprendre…
« Euh… Mais c’est pas pareil, je voulais simplement dire que je connaissais beaucoup trop de films… » Je me mis à rire un petit peu avant de reprendre. « Mais je pense qu’on peut passer aux déclarations maintenant… » Je laissais un petit blanc avant de me mordre la lèvre inférieure légèrement. Je le regardais de nouveau dans les yeux, sans plus de gêne et je vis Noah passer sa main sur ma joue tout en m’embrassant de nouveau.
Mes yeux se fermèrent et mes bras entourèrent machinalement le cou du jeune homme. Je donnais plus de fougue à notre nouveau baiser, laissant mes lèvres s’ouvrirent légèrement pour transformer ce simple baiser en embrassade langoureuse. Après quelques instants, le jeune homme rompit le baiser et me regarda, tête penchée. Il était adorable, je ne pouvais pas m’empêcher de le contempler et de penser qu’il était très mignon. J’avais complètement changé d’avis sur lui par rapport au début de cette soirée.
L’air se rafraichissait, malgré la chaleur de nos deux corps et de l’émotion que nous dégagions, je commençais à avoir froid. Mon organisme me le fit ressentir et mon corps tout entier se mit à frissonner. Je ne dis rien pour le moment et regardais tout simplement le jeune homme. Il m’avoua, d’un ton très gentleman, que j’étais la fille la plus surprenante qu’il n’avait jamais rencontré et en plus de cela, il me vouvoyait. Je ris à cette phrase et le laissai continuer. Il me dit, tout en enfouissant son visage dans mon cou, qu’il était impossible pour lui de me laisser partir maintenant. Et cela tombait bien car je n’avais pas du tout l’intention de m’en aller. Je passai ma main derrière son crâne et le resserrai un peu contre moi. Je n’avais pas non plus envie de le laisser partir mais il était indéniable que je devrais repartir à un moment ou à un autre, mais j’évitais de penser à cela pour le moment. « Je n’ai pas l’intention de m’en aller… » Lui dis-je pour le rassurer. J’avais envie de le protéger et de lui donner tout ce que je possédais, c’était un sentiment incroyable que j’avais et cela me procurait un bien-être exceptionnel. Je me demandais ce que nous réservait la suite de cette soirée mouvementée. « Ou est-ce que tu m’emmènes… après, mon cher Noah ? » Lui demandai-je, la voix un peu plus basse qu’avant, lui laissant le choix de notre prochaine destination…





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✧ City Hall Plaza, 26/09/2015, 20h. ✧Amanda & Noah


Les deux jeunes gens étaient en parfaite osmose. Noah se sentait terriblement bien, plus heureux que jamais. Tant, qu’il ne tenait pas en place, ni n’arrivait à se contenir. Il ressentait le besoin de la toucher, de la regarder, de l’embrasser. Lorsqu’elle lui dit « Ah, tu me chatouille », Noah marqua une pose et eut un rictus malicieux : « Ah oui ? ». Il s’empressa doucement de lui caresser les côtes, non pour l’embêter, mais parce qu’il adorait plus que tout l’entendre rire, la voir sourire. Elle était tellement spontanée que ç’en était déroutant. Noah ne fit ce geste qu’une fraction de seconde de manière à ne pas la perturber ou lui faire mal, et finit ses chatouilles par une étreinte encore plus forte, qui les fit légèrement basculer en arrière. Il l’embrassa avec force, comme pour lui montrer à quel point elle lui plaisait, avant d’ajouter « Je te dévorerais toute crue si je le pouvais ». Il se redressa la regardant dans les yeux. En fait, sans s’en rendre compte, depuis quelques minutes, il n’arrivait plus à la regarder autrement que dans les yeux. Elle le rassurait, l’apaisait, et Noah adorait sentir le fluide, la connexion, traverser leurs regards et alimenter l’énergie de leur complicité : « Tu sais, ça me dérange pas du tout… Tu pourrais continuer toute la nuit, j’adorerai toujours autant ça… ». La jeune fille avait ses mains sur les épaules de Noah, et dans un geste soudain mais délicat à l’ouïe de cette phrase, Noah passa une main sur le bas du dos d’Amanda pour la pousser encore plus prés de lui, ne la lâchant pas des yeux, à la fois taquin et attendri, et se mordant légèrement la lèvre : « Tu n’auras pas besoin de me le répéter deux fois ». Il la dévorait des yeux comme s’il n’y avait qu’elle sur terre, comme si elle était la plus belle chose qu’il n’avait jamais vu, il ne pouvait pas s’en empêcher, ni s’arrêter de se répéter à lui-même, « Bon sang, elle est parfaite ».

Il rit avec elle lorsqu’elle se justifia pour les films et ajouta qu’ils pouvaient passer aux déclarations : « J’en ai fait suffisamment ce soir, je crois que je vais garder tout le reste pour moi ». Il la regardait sourire et la trouvait à croquer, vraiment à croquer, et se rendit vite compte qu’il lui était impossible ni de masquer son excitation, ni de taire ce qu’il ressentait, il voulait lui répéter à chaque seconde, sans reprendre son souffle, qu’elle était belle, qu’elle était merveilleuse, et qu’il adorait ses lèvres : « Non, en fait je ne peux pas me retenir, je ne peux rien garder pour moi. Vous êtes entrain de me rendre complètement fou chère Amanda ». Leurs sourires respectifs ne semblaient pas vouloir disparaitre ou s’effacer. Ils étaient heureux. Du moins, Noah l’était, plus que jamais. Il commençait à avoir des crampes à la mâchoire tant il riait et s’amusait. Il ne se lassait ni de l’embrasser, ni de la tirer toujours plus vers lui, ni de la prendre dans ses bras, ni de la caresser, ni de la toucher, il voulait être en permanence en contact avec elle, il se sentait complet quand elle était collée à lui.

Le baiser langoureux qui suivit fit tourner la tête de Noah et se tordre son estomac. Une crampe d’envie le saisit en bas du ventre. Il sentait son désir grandir, mais c’était la première fois qu’il voulait prendre son temps, ne pas brusquer les choses, et les laisser se faire naturellement. Il ne cessait de lui répéter sur le ton de la plaisanterie, en faisant une mine de chien batture, chaque fois qu’elle s’approchait de ses lèvres : « encore, encore, encore … ».

Noah sentit Amanda frissonner dans ses bras et remarquant que l’air se rafraichissait, il la lâcha une seconde pour s’étendre derrière et attraper sa veste. Il la posa sur les épaules de la jeune fille avant de repasser ses bras autour de sa taille, sous la veste. Il frémit en sentant la main d’Amanda lui serrer l’arrière de la tête. Il était ultra sensible de ces zones là, un frisson lui parcourut tout le dos. Lorsqu’elle lui dit qu’elle ne comptait pas partir, Noah sourit de plus belle en la fixant dans les yeux, se mordillant légèrement la lèvre : « Tu me fais fondre ». Il plongeait autant qu’il le pouvait sa tête dans le cou d’Amanda tant son odeur l’enivrait.

« Ou est-ce que tu m’amène après cher Noah ? » ; Noah eut un petit rire et la trouva encore plus mignonne lorsqu’elle eut dit ça. Il prit une grande inspiration avant de répondre : « On va … dans les étoiles » - faisant référence au film Titanic et à la phrase de Rose à l'oreille de Jack. Amanda le tenait encore au niveau de la nuque, alors Noah la lâcha d’une main grâce à laquelle il effectua une propulsion sur le sol de manière à se relever sur ses deux jambes, Amanda toujours à califourchon dans ses bras. Il vin poser ses mains délicatement sous les fesses de la jeune fille sans aucune perversion, juste pour la soutenir, et l’embrassa de plus belle en tournant en rond sur eux-mêmes. Il s’arrêta doucement en concluant ce baiser et leva les yeux vers elle : « J’ai une idée ». Il reposa délicatement Amanda, et après lui avoir déposé un petit baiser sur les lèvres, il se baissa et ramassa la bouteille de whisky et les deux gobelets. Sans rien dire, il lui désigne la voiture d’un signe de tête lui indiquant la direction qu’ils devaient prendre. Il passa son bras autour du coup d’Amanda en déposant dans le même temps un baiser rassurant sur son front. Il ouvrit la voiture, et la portière d’Amanda qu’il tenait pour elle, avant de s’approcher d’elle et de lui demander : « Tu as confiance en moi ? ».







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We're falling stars Ft. Noah



Il prenait un malin plaisir à me chatouiller en plus. Je le laissais faire en riant tout simplement car j’en avais l’habitude. En général, lorsque l’on sait que quelqu’un est chatouilleux, on l’ennuie très souvent avec ça et pour mon cas, ça partait très souvent en bataille entre mes amis et moi. Il me prit dans ses bras et me serra encore plus fort qu’auparavant avant de m’embrasser. Je ressentais en ses gestes quelque chose de puissant, je devais lui plaire énormément pour qu’il agisse ainsi avec moi. Noah évoqua le fait qu’il me dévorerait toute crue s’il le pouvait… Je pris une mine légèrement taquine et eus un petit sourire en coin. J’adorais provoquer, taquiner et séduire, surtout dans ce genre de situation où on flirte sans vraiment penser au lendemain. « Alors, vas-y, dévore moi… » lui répondis-je en enfonçant un peu plus mon menton et le regardant dans les yeux une énième fois.
J’étais complètement contre lui, toutes les moindres parcelles de mon corps s’emboitaient parfaitement avec celui du jeune homme et j’adorais ressentir la chaleur de son organisme. Nous étions comme en fusions dès que nous démarrions une étreinte assez resserrée. Désormais, nous n’avions plus de retenue, nous échangions des gestes des marques d’affection qui me faisait plus chaud au cœur les unes que les autres. Cela m’avait tellement manqué de recevoir la moindre affection venant de n’importe qui. Rien ne me rendait plus heureuse que de ressentir de l’amour provenant de quelqu’un que l’on apprécie tout autant. Il m’avoua dans un souffle qu’il ne pouvait plus se retenir et que j’étais en train de le rendre complètement fou… Ce qui me fit sourire encore plus, il était tellement mignon et j’adorais lorsqu’il prenait cet air pour me parler. Cet air de gentleman qu’il portait plus ou moins bien. C’était en accord avec ses vêtements mais pas du tout avec son allure générale. C’était épatant malgré tout car il y avait un vrai contraste entre la personnalité qu’il me montrait et ce qu’il dégageait lorsqu’on ne le connaissait pas.
Je lui répondis sur le même ton, afin de continuer mon attitude taquine. « Alors, il va falloir que je vous quitte si je ne veux pas que vous deveniez complètement dingue… » Je me mordis un petit peu la lèvre inférieur, j’adorais jouer à la mauvaise fille, la mauvaise fille qui taquinais parfois un peu trop et qui adorait provoquer. Pas pour rendre colérique mais pour faire bouillir la personne que j’avais devant moi, d’envie ou bien d’excitation. C’était ma façon à moi de séduire et cela avait toujours porté ses fruits. Je voyais bien que Noah commençait à bouillir alors je décidai d’arrêter mes provocations pour quelques instants.
C’est à ce moment que je lui demandai ou est-ce qu’il m’emmenait désormais. Il eut quelques secondes de réflexion avant de me répondre qu’il m’emmenait dans les étoiles et j’eus immédiatement un sourire un petit peu gêné. Effectivement, dans le film d’où il tirait cette référence, Jack et Rose étaient tous deux dans une voiture et c’était après cette phrase qu’ils eurent une relation intime. Je le regardais toujours dans les yeux, le regard rieur et les lèvres étirées. Par la suite, il se releva et me tenait contre lui, les mains sous mes fesses. Ce n’était ni pervers, ni par profit, il me portait tout simplement. Il tournait sur lui-même en m’embrassant, ce qui me fit drôlement rire, on aurait dit un gamin heureux d’avoir obtenu le jouet qu’il convoitait… Il évoqua une idée qu’il venait d’avoir avant de me déposer sur la terre ferme. Je portai mes mains sur la veste qu’il avait déposée sur mes épaules pour la tenir et la refermer un peu plus sur moi. Il n’arrêtait pas de m’embrasser, d’avoir de l’attention envers moi et d’être adorable. Je n’arrêtais pas de penser qu’il était génial et que jamais je n’aurais pensé tomber sur ce genre de personne au début de cette soirée. Ce que je vivais était vraiment exceptionnel. Si cela allait continuer le lendemain, je n’en savais rien et à vrai dire j’évitais de penser à cela mais j’étais convaincue que nous étions sur la bonne voie.
Il ramassa la bouteille, les deux gobelets et m’indiqua que nous devions aller vers sa voiture qui était un peu plus loin. Je fis une mine un peu septique et le regardai du coin de l’œil. Un tas de chose se passait dans mon esprit, que voulait-il que l’on fasse dans la voiture, où voulait-il m’emmener ? Devais-je le suivre ? Il m’emmena jusqu’à la voiture, ouvrit la portière et m’invita à y entrer. Je levai les yeux sur lui, le regardant d’en bas et d’un air sur, sans plus sourire et avait détermination je lui dis : « Tu comptes me faire l’amour dans ta voiture ? » J’inclinais délicatement la tête sur le côté, dévoilant un sourire un peu plus coquin et passa ma jambe droite dans la voiture pour y grimper. Je m’assis doucement avant de l’interpeller de l’intérieur. « Et pour te répondre, oui j’ai confiance en toi. » Je n’avais aucune idée de la réaction qu’il pourrait avoir mais ça m’amusait toujours autant de faire tant de sous-entendus.
A ce stade de la soirée, je n’avais vraiment plus peur de rien, Noah était la personne en laquelle j’avais le plus confiance maintenant. C’était étrange comme il avait acquis tout cela en si peu de temps et je n’arrivais pas à identifier quel genre de force avait pu me rendre aussi à l’aise avec un inconnu.




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