That is Our ♦ JUNEL ♥

Je sais que ma petite amie est têtue, que quand il y a une chose dans sa tête c'est difficile de lui faire lâcher l'affaire. Mais le fait qu'elle ne soit pas venue en moto aujourd'hui, m'indique, que j'avais un peu réussi malgré l'engueulade de la dernière fois. Du coup, je prenais un peu les devants pour obtenir un petit moment de plaisir. Je sais qu'il ne faut pas que June fasse de gros efforts, mais je peux faire ça tendrement. Du coup, ma main sur son intimité, je commences a caresser pour l'exciter. Ma jolie brune me demande si je n'avais donc pas retenu la discussion, et je tentes de me défendre comme je peux. Sa nouvelle réponse, me fait avancer mes lèvres doucement, comme pour faire une petite moue. Je ne prends pas la parole de suite. J'enfouis ma tête dans son cou avant de dire " Mais j'ai envie de toi... En plus tu te prives doublement la " Je dis vrai. Non seulement mon amoureuse se prive de moto, et de sexe.
Je l'emmène sur l'autre plan de travail pour être dominateur, sauf que quand ma main empoigne son sein, automatiquement elle me l'enlève pour la redescendre. Je la fixes, et a sa nouvelle phrase je lances un petit soupire. Je l'embrasse tendrement, et entre deux baisers je dis " Sauf que moi je dis oui... " Je risques de l'énerver en me confrontant a elle comme ça. Mais j'avais vraiment envie d'elle, envie de lui faire l'amour. Ma main revient, et elle passe en dessous de son haut pour caresser sa poitrine en étant un peu plus près du corps. Franchement, ça ne lui faisait rien la? Parce que, ma virilité ne va pas tarder a se titiller. Ma bouche en tout cas, embrasser June, et ma langue tenter de jouer avec la sienne.    

Je me privais ? Mais non, moi je n’avais pas spécialement ni besoin, ni envie de faire ça maintenant, c’était lui qui voulait là tout de suite pas moi et je trouvais ça très bien de le priver comme moi avec ma moto. Je lui répondis alors rien que pour l’embêter : « Mais moi j’ai autant de plaisir toute seule tu sais… ». J’étais entrain de chercher l’engueulade de nouveau je crois mais tant pis. Le fait qu’il me domine me plaisait beaucoup, comme son aspect plus discret et plus secret mais là je ne pouvais simplement pas accepter cette façon de me dire je te veux donc je te prends. Je n’aimais pas. J’avais l’impression d’être un objet, ça aurait pu être excitant dans un autre contexte mais là ça me refroidit juste complètement : « Non mais tu me prends pour qui la ? Tu veux me violer là ou quoi ? ». Je m’énerve mais franchement il y a de quoi. Je m’enlève alors du plan de travail, je n’ai pas envie qu’il m’embrasse, c’est bon. Je retourne alors à la fenêtre pour regarder dehors, Gaël m’a tapé sur les nerfs et je n’ai plus envie de faire l’amour avec lui ni de faire des efforts…Putain, ça va trop mal entre nous, ça m’agace.