That is Our ♦ JUNEL ♥

Avec June, nous avons un peu fait la paix depuis notre querelle dans le magasin de meubles. Certes, c'était encore un peu froid dès que le sujet de la moto revient, du coup j'évites vraiment d'en parler et je la laisse gérer comme une grande fille. C'est ce qu'elle voulait non? Donc, pour la laisser un peu tranquille, ce matin j'étais parti seul pour récupérer les clés de la maison. L'achat été fait, et clôturé. J'étais vraiment heureux d'avoir mon chez moi, et en plus, de le partager avec la fille que j'aime par dessus tout.
Au volant de ma mini cooper, je rejoins l'ancien propriétaire afin de gérer les dernières choses du dossier. J'avais envoyé un message a ma petite amie pour lui demander de me rejoindre dans notre future demeure afin d'entrer dedans ensemble. Je me doutais qu'elle risquait de débarquer en moto et que ça va m'agacer, mais je tenterais de ne pas le montrer, de ne rien afficher sur mon visage. J'en avais un peu marre de me prendre le chou pour des détails.
Le monsieur me salut, et part de son coté tout souriant. Il me disait être heureux de vendre sa maison a un jeune couple qui attend des bébés. Et, j'étais touché de voir un étranger ce réjouir autant de ma situation familiale. A cause de la dernière engueulade, j'avais un peu de mal pour me comporter naturellement. D'habitude je suis aux petits soins, je m'occupe parfaitement de ma moitié, mais depuis sa révélation d'une peur d'être étouffée, je prends des distances.
Bon, je suis pressé de la voir arriver, car en plus j'ai une petite surprise pour ce jour spécial. Non seulement, nous avons officiellement notre bulle, mais j'ai aussi acheté un petit cadeau a ma demoiselle pour marquer le coup.
Je me tenais donc, droit, les mains dans les poches de ma veste a regarder a droite et a gauche pour la voir de loin .  

J’étais propriétaire, enceinte de deux enfants et j’avais le plus beau et le meilleur des hommes pour m’accompagner dans cette belle. Que me fallait-il de plus alors ? Rien. Cependant justement, cette vie toute tracé, décidé trop vite, j’ai peur d’un jour m’en lasser, peur d’être prisonnière, oui j’ai peur. Je suis une femme libre, je veux pas qu’un mec décide de toute ma vie mais attention, j’aime mon mec, j’aime Gaël, je ferais n’importe quoi pour lui, j’ai des angoisses c’est tout. Je suis heureuse d’avoir notre maison et maintenant, je n’ai qu’une hâte, c’est de la découvrir. Acheter des meubles, c’est ce que nous avions voulu faire la dernière fois mais malheureusement, tout avait tourné au vinaigre et je m’en voulais. J’avais engueulé mon petit ami dans le magasin et depuis y avait un gros froid entre nous, surtout que je refusais de faire l’amour, parce qu’il m’avait interdit la moto et je voulais le priver de quelque chose qu’il aimait bien lui aussi. Du coup je m’étais tapé 30 minutes en bus pour arriver sur le long de la rivière Charles afin de visiter notre maison. Même si je m’étais fâché avec mon petit ami je voulais quand même lui montrer que j’étais contente pour la maison, je ne voulais pas qu’il pense que toute ma vie j’allais être malheureuse parce qu’on était ensemble et que c’était définitive. J’étais trop compliqué comme une fille, je vous assure. « Gaël, je suis heureuse pour la maison tu sais… ». Oui, je voulais vraiment qu’il me croit, j’étais sincère, j’étais arrivé à pied et maintenant que j’étais à sa hauteur je me mettais doucement contre lui. Bon, j’avais un peu peur de l’embrasser et tout alors je caressais juste son torse que j’aimais tant.  

A mon âge, la plupart des garçons rêvent juste de profiter, de faire la fête et de collectionner des dizaines de filles avant de se ranger. Moi je peux attester que je suis le plus heureux des hommes dans ma situation actuelle. Je suis propriétaire avec la fille que j'aime, nous attentions des jumeaux et, l'amour surpassait toutes les règles. Oui, il y avait ce froid entre nous a cause de la moto de June. J'étais déjà inquiet de ce genre de véhicule; mais enceinte, c'était pire. Sauf que ma petite amie n'a pas du tout aimé que je lui interdise d'en faire jusqu'à l'accouchement... Je me retrouves donc privé de sexe, et avec une ambiance glaciale. J'étais quand même surpris de la voir arriver a pied et non sur son engin a deux roues. Avait - elle accepté la petite punition? Je lui souris en attendant qu'elle soit a ma hauteur. Une fois la chose faite, je la reçois contre mon torse et je lui dis " J'ai du mal a croire qu'elle est a nous maintenant... " Oui, c'est un rêve d'avoir un logement aussi beau et aussi grand. De savoir que je vais y installer ma famille. Bon, a voir, ma jolie brune ne prenait pas les devants pour m'embrasser, alors je places ma main sous son menton pour remonter son visage et lui déposer un tendre baiser sur la bouche. J'avais la deuxième main sur son bras, et la sentir prêt de moi me faisait du bien. Malgré l'engueulade qui nous avait quelque peu éloignés ces derniers temps, je me rendais compte que j'étais vraiment fou d'elle. Certes, tout a été rapide entre nous, mais je ne regrette absolument rien. Je jette mon regard dans le sien en souriant gentiment, et je dis " Prête à entrer dans notre maison? Officiellement, notre. "  

Oui, notre maison était à nous et c’était de dire ça, nous avions construit beaucoup de choses en très peu de temps et nous en construirons beaucoup d’autres je l’espère. Oui je voulais vraiment faire les choses bien et du coup j’avais peur que ça aille trop vite, d’où notre engueulade, depuis j’avais privé mon copain de sexe et c’était pour qu’il soit frustré, exactement comme moi avec la moto. Je la voyais tout les matins et je ne pouvais même pas la prendre pour aller sur le parking. « Oui, allons y… ». Murmurais-je avant de rentrer dans notre maison. Nous avions tous les meubles à acheter sauf bien sûr la cuisine qui était déjà équipé et qui restait dans les murs. Je souriais avant de mettre les clés dans la porte et je poussais la porte pour admirer pour la première fois notre maison, avant ce n’était pas la notre. Je regardais par la fenêtre pour voir le jardin ou bientôt je verrais deux petits enfants tout mignon rire et courir. Peut être qu’on mettrait une balançoire. Je vais ensuite dans la cuisine pour observer le plan de travail : « Elle est très belle, on va être bien ici ». Murmurais-je avant d’embrasser mon petit ami en le plaquant contre le plan de travail. J’étais contente de l’embrasser à nouveau, j’avais l’impression de le retrouver un peu, c’était agréable.  

Je peux vraiment remercier ma fortune familiale qui me permet de construire ou de me procurer des choses comme cette immense maison. Ma chérie avait elle aussi mise sa part, et je trouvais ça vraiment adorable de vouloir participer alors que je pouvais me charger de tout. Mais, je comprenais pourquoi elle avait fait ça. En tout cas, June lance l'accord pour entrer dans la maison, et ma main dans la sienne, je l'emmène a la porte que j'ouvres grâce a une des clés. Une fois le pied dedans, mes yeux refont un peu le tour. Pourtant, nous avions déjà visités quelques temps avant, mais j'avais l'impression de découvrir quelque chose de nouveau. Je suis ma moitié dans les pièces, et j'imagines encore plus de choses. Les meubles, les couleurs, nos enfants qui vont s'épanouir dans ce grand espace. Le jardin était vraiment cool , je pense que dans quelques mois je vais me renseigner pour une piscine. La c'était bientôt l'hiver, du coup elle ne sera pas utile; mais pour le prochain été sûrement. Puis une balançoire aussi, c'est utile pour nos trésors... Mais encore une fois, nous avons le temps car je doutes fortement qu'ils en fassent dès la naissance. Une fois dans la cuisine, je souris a la remarque de ma jolie brune, et je réponds " Tout ce qu'il faut pour être heureux! " et je la fixes. Son corps se rapproche du mien, et elle dépose ses lèvres sur ma bouche. En me plaquant au plan de travail. Du coup, je prolonges et je dois avouer que la punition sur le sexe se fait ressentir. J'étais un peu excité, et j'avais envie de lui faire l'amour. Les kilos qu'elle prend ne change rien, vraiment rien. Je la trouves vraiment magnifique.
Ma langue vient jouer avec la sienne doucement, et une de mes mains descend sur ses fesses, pendant que la deuxième reste sur sa hanche.   

Je suis vraiment heureuse pour la maison, heureuse d’avoir eu la maison que je voulais et ça c’était grâce à la fortune de mon copain, en fait Gaël est vraiment parfait, beau, riche et intelligent pour moi qui est toujours rêvé d’avoir un homme à mes côtés Gaël est tout ce qu’il me faut. Je l’aime de tout mon cœur, de tout mon être, j’ai jamais aimé comme ça et je voulais lui dire. Je m’étais mis dans la cuisine et il était contre le plan de travail. Je voulais lui dire que je l’aimais tout de même, je passais mes bras derrière sa tête mais avec mon gros ventre, cela devenait de plus en plus compliqué : « Je t’aime plus que tout, je n’ai jamais aimé à ce point là, tu le sais mon amour ? ». Je voulais aussi le rassurer même après notre brouille je ne voulais pas d’autres hommes, c’était lui et voilà. Je l’avais embrassé et je voyais bien que Gaël prolonger le baiser, en même temps ça faisait longtemps que nous n’avions pas eu ce genre de moment, juste s’embrasser comme ça. Il mêlait sa langue à la mienne et j’y répondais tout de suite en la faisant tournoyer dans ma bouche. Il commence à toucher mes fesses et j’ai envie de rire, monsieur aurait-il des idées derrière la tête, pour l’instant je le laissais faire en ne disant rien et en prolongeant simplement.   

Mon père est de loin, l'homme que je déteste le plus au monde. Mais il m'offre tout de même un moyen pour construire ma vie, et mettre ma famille dans un bon confort. Du coup, c'est vrai qu'il faudrait vraiment que je l'avertisses qu'il sera bientôt grand - père non? C'est la moindre des choses. Sauf que je n'y penses pas pour le moment, parce que je viens de rentrer dans la maison. Elle était grande, elle était belle et j'étais vraiment content d'en être le propriétaire avec la fille que j'aime. Une fois dans la cuisine. Je m'imaginais déjà entrain d'essayer de faire des petits plats. De voir June également, entrain de faire des gâteaux, parce que je trouves que ça fait longtemps que je n'ai pas eu le plaisir d'en manger. Depuis le summer camp, quand j'avais fait la connaissance de Avery.
Elle vient se mettre contre moi, ses mains dans ma nuque, je fixes ses yeux et je souris a sa phrase. Je ne tardes pas a lui répondre du tac - o - tac " Et je t'aime tout autant mon Ange. Et je n'aimerais que toi, c'est certain " oui, c'est une certitude. Encore plus quand sa bouche se pose sur la mienne. Je prolonges et nos langues se rejoignent pour jouer ensemble. Oui, j'ai envie d'elle, et puis faut bien baptiser notre nouvelle acquisition non? Donc, je positionnes ma main sur ses fesses et l'autre sur sa hanche. Nos bassins n'étaient pas collés vu le ventre de ma petite femme. Alors, comme pour l'exciter aussi, la main sur la hanche descend et se place a son intimité. Au dessus des vêtements bien sur pour ne pas être trop rapide. En tout cas, j'appuyais quand même un peu pour que June puisse sentir mes mouvements. Nos langues jouaient toujours, et la main dans le dos montait dans sa nuque comme pour appuyer notre échange.   

Je trouve ça adorable quand mon cœur me dit qu’il m’aime de tout son cœur, qu’il n’aimera que moi, j’espérais qu’il avait raison, oui, un homme qui n’aime que moi c’était mon rêve de toujours et je l’avais en face de moi et il m’avait offert ma maison et mes enfants dans mon ventre. Je posais ma main sur mon ventre d’ailleurs, même si il me gênait un peu, de plus en plus dirons nous. Surtout lorsque mon amoureux m’embrasser, j’avoue que lorsqu’on s’embrasser et bien le ventre nous gênait beaucoup. Je souriais quand même car oui, ça faisait du bien de le retrouver, j’étais contente. Il prolonge l’échange mais qu’est ce que je suis entrain de sentir qui descend au fur et à mesure ? Sa main sur mon sexe, hum, il ne perd pas de temps, comme si il ne pouvait pas se retenir de me faire l’amour, quelque part ça m’excitait mais j’allais tenir parole. « Tu te rappelles pas ce que je t’ai dit l’autre jour ? ». Et oui, sans moto pas de sexe. Mais je continue quand même de l’embrasser parce que je suis heureuse et puis j’ai envie de l’exciter encore plus pour qu’il me saute limite dessus mais je ne vais pas céder aussi facilement. Je veux qu’il galère un peu et se rende compte ce que c’était la privation de quelque chose qu’on aimait bien.   

J'espérais vraiment que June m'aime jusqu'à son dernier souffle, parce que ce serait mon cas pour elle. Je n'ai jamais réellement était fou amoureux avant elle, alors je pourrais la qualifier comme l'unique et grand amour de ma vie. Je trouvais ça beau de construire ma vie avec elle, de réaliser mes projets grâce a elle aussi. Je m'engageais, mais j'étais totalement prêt a le faire, a gérer mon rôle de papa et de mari dans la vie de mes merveilles. Et, c'est quelque chose qui commence officiellement aujourd'hui. Nous avons quelques mois devant nous pour meubler et faire les changements de décoration dans la maison avant l'arrivée de nos enfants. Je vais avoir du boulot, mais ce n'est rien.
Dans la cuisine, elle se colle un peu a moi malgré le ventre bien rond. Nos lèvres se collent l'une a l'autre avant que ce soit nos langues. Excité, parce que oui, je ressentais un petit manque de sexe. Et puis, c'est régulier que j'ai envie de June quand je ressens sa peau sur la mienne. Du coup, ma main se glisse jusqu'a son sexe, et je le caresse au dessus du vêtement mais assez fermement pour que ma jolie brune le sente bien. Sauf que son visage s'éloigne un peu, et sa phrase me fait un peu froncer les sourcils. Je ne savais pas quoi répondre, alors, sans trop réfléchir je dis... " Sur la privation du sexe? ... Tu n'es pas venue en moto alors je me disais que ce n'était plus d'actualité. " Et sa bouche revient sur la mienne, toujours sensuellement avec un peu de fougue, joué par nos langues. Du coup, ma main restait en place a la caresser. Je jette un coup d'oeil derrière elle, et a mon tour, j'avance pour la coller a l'autre plan de travail. Je la soulève, pour l'asseoir dessus et je continues de l'embrasser avec fougue. Mes mains sont sur les hanches, et une d'elle monte pour caresser sa poitrine avant d'empoigner un sein, toujours au dessus des fringues.   

Oui je veux le priver de sexe, je sais que ce n’est pas super gentil mais le médecin m’a dit de ne pas faire trop d’efforts et je n’ai pas envie d’accoucher avant la date. Je ne vois pas pourquoi j’aurais le droit de coucher avec mon petit ami mais par contre je n’aurais pas le droit de faire de la moto alors que la moto était là bien avant lui malheureusement. Il commence à vraiment me chercher mais malheureusement il ne va pas me trouver, comme si il ignorait qui j’étais au fond, comme si il ne savait pas que j’étais la fille la plus têtue qu’il n’ a jamais rencontré. Bon, mince alors. Qu’est ce que je dois faire maintenant ? Je ne veux pas céder si facilement même si Gaël est très sexy dans la peau du dominateur et j’aime le voir prendre les rennes. « Oui je ne suis pas venue en moto…Mais justement, tu es privé comme moi de quelque chose que j’aime beaucoup… ». Je soupire, j’avoue que lorsqu’il empoigne un sein et me met sur le plan de travail j’irais bien un peu plus loin, mais non, non, non, non. J’enlève sa main de mon sein avant de mettre sa main au niveau de ma braguette pour savoir si il est bien excité, je crois que oui, pauvre petit chat va. J’enlève ma main avant de lui répondre avec malice : « Tu sais quand je dis non, c’est non Gaël ! ». Et oui, et faut qu’il arrête et que son excitation parte au plus vite car je vais rien faire.