Invité
est en ligne
Invité
Coka forever
Y a des gens qui se prenaient la tête à élaborer tout un schéma pour arriver le plus propre possible au pieu, avec la tenue la plus sexy du monde. Qui faisait l’amour comme ils étudiaient l’anatomie, à chercher les points V, les points G, les points Q. À se demander s’il fallait tourner la langue dans le sens des aiguilles d’une montre ou l’inverse en fonction de si la personne est gauchère et droitière ; et si elle était ambidextre ? Catastrooophe, il faudrait adopter la méthode carwash. Non, désolée mais non. C’est pas ça l’amour, ça c’est juste le sexe. Juste une illusion de bonheur simulé parce que tu te trouves dans le même lit qu’un Casanova qui a tellement vu de porno qu’il croit que l’amour se résume à ça. S’il y a bien un moment où Cody ne se mettait absolument pas en scène, c’est quand il se retrouvait intime avec une femme. Il laissait courir l’instant, le moment, sans se soucier de ne pas être ni le plus acrobatique, ni le plus souple de tous les amants que Diamantika a pu avoir dans sa vie. Ils pouvaient s’engueuler, se déchirer, s’ignorer, se briser, mais leurs corps, eux, s’animaient toujours dans une fougue dévastatrice. Ces quelques minutes de pure symbiose entre Cody et Diamantika procurèrent tendresse au jeune homme pour toute une vie. Il fourrait son visage dans son cou, des mèches de cheveux de Kovache se collaient sur son front à la manière d’algues brunes au fond d’un récif marin. Il leva la tête et évacua tout son plaisir à la fois dans le creux de son oreille et au fond de ses entrailles. Dans le feu de l’action, il posa ses fesses au sol, se cognant même la tête contre le mur derrière lui. Mais l’adrénaline inhibait toute douleur et c’est essoufflé et en silence qu’il tentait de retrouver son énergie vitale. Cette journée était riche en émotions, des bonnes et des moins bonnes, des cœurs meurtris et d’autres en chaleur. Il caressa du bout des doigts les hanches de Dia, la regarda en silence, les pupilles dilatés et le sourire au bord des lèvres. Elle le rendait heureux, simplement. MAIS ON S'EN FOUT. Passons aux choses intéressantes, es decir les projets que faisait Diamantika pour eux. Cody pouffa de rire et, tel un pantin, se rapprocha d’elle et la laisser se lover contre lui. « Sur le plan de travail ? À côté des viennoiseries propriétés de Devyn que j’ai même pas le droit de toucher ? Nice. Quelle belle vengeance. Après on le fera dans son lit. » Délicatement, il posa ses lèvres contre l’épaule de la brunette, reprenant place dans le compas de ses cuisses. Ouais mais calmos, en tout bien tout honneur, genre coucou je suis le facteur je reste sur le seuil de la porte, j’contemple le paillasson, lalalalalala. En parlant de paillasson. « Faut baptiser l’appartement. C’est une tradition. Et comme on a deux appartements, faut baptiser les deux. » Cette fois, il posséda ses lèvres dans une fougue non dissimulée. Il précisa, avant qu’elle ne le prenne pour un sex-toy ou un poney ; « Pour notre culture générale. Je rédige le Guide du Queutard et c’est important de faire des tests complets sur tous les spots de bunga-bunga d’un appartement. Avec des notes et tout, et un classement à la fin. » BON SAYEEEZZZZ, il divaguaaaaaiiiit. Non mais voilà, c’était juste le temps qu’il se bouge, parce qu’au fond il avait un truc à montrer à Dia, mais il n’avait pas le courage de se décoller d’elle. Puis lui, il avait son matedias (matelas + Dia), pas comme elle qui s’explosait le dos contre le parquet. Elle n’était pas à l’abri d’une écharde entre les fesses. Oui, une écharde. Par contre, si c’était Cody entre ses fesses, on parlerait de baobab. Non je n’ai pas peur de finir mon RP sur cette chute.
electric bird.
(Invité)