COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

PIIIN PA LA PA PA LA PAPAPAPAAAAAA ……….. Ceci est la parade nuptiale et là, les cloches ne devraient pas tarder à sonner pour accompagner les mariés, accueillis sous une pluie de grains de riz … Ouais OK, techniquement, ça devrait se passer comme ça. Sauf que les Bleeker avaient choisi le mariage le plus minimaliste du monde. Eventuellement, il y avait Jess qui pouvait toujours leur balancer des cailloux pour qu’ils bougent leur derrière et se dépêchent de rentrer, mais ils n’auraient pas mieux. T’façon, ce n’était pas comme s’ils avaient besoin de plus. Tant qu’ils étaient tous les deux, rien d’autre n’importait. Sauf qu’ils n’étaient pas que tous les deux et que, pour des raisons légales, il y avait un prêtre et un témoin, témoin qui s’avérait être la plus jeune des Bleeker. Alors forcément, après le carwash des amygdales avec leurs langues respectives, un moment gênant suivit, avant d’enchaîner sur la niaiserie qui caractérisait tant Diamantika. Cody soupira et l’engueula à moitié, vraiment pour le plaisir de râler ; « Et tu ne me remercies même pas. Grâce à moi, tu as enfin un nom de famille qui tient sur les cartes de visite. » Sait-on jamais, si elle comptait se trouver un travail un jour, fonder une entreprise ou je-ne-sais-quoi. Bleeker, c’est quand même plus vendeur que Kovatrukechki. Quoiqu’elle s’en foutait, elle était riche. D’ailleurs, il faudra qu’ils parlent bien assez tôt du moment exact où le Canadien aura accès aux comptes en banque de Diamantika. Mais plus tard. Pas maintenant. Là, Diamantika avoua à l’oreiller (je connaissais les confessions sur l’oreiller, mais ’murmurer dans son oreiller’ est un concept intéressant aussi) de Cody qu’elle avait envie de lui. « Ici ?! » répondit-il du tac-au-tac en haussant la voix sans faire exprès, pris dans l’excitation. Noppp, pas ici. Il y avait déjà assez de glands dans les arbres, et ce spectacle était pour un public averti. Pas un homme d’Eglise et une gamine de quatre ans. D’ailleurs, ces derniers se posèrent sur un tronc d’arbre à terre et discutèrent ensemble. Cody ne savait pas exactement de quoi, sûrement de la nature, des champignons, de l’amour, de la vie, du Dracaufeu niveau 100 de Jess qui a réussi une fois à rétamer un Tortank niveau 79. Enfin voilà, la vie, la vraie. Mais Diamantika réclamait son slow. « J’suppose que tu prendrais pas non pour réponse ? » T’façon, ça ne le gênait pas. Il s’était entraîné à la rumba pendant le projet des Lowell d’organiser un DALS version Lolo, et comme ça n’avait jamais vu le jour, il fallait bien que ses heures d’entraînement en compagnie de Julianne Hough (sisi) lui servent à quelque chose ooooohhh. Il glissa sa main dans la sienne, l’autre sur sa hanche et enchaîna sur quelques pas de danse au rythme d’une musique en sourdine. Il la regarda dans les yeux et, très sérieusement, avoua ; « ça va me manquer. » Un soupir s’échappa alors qu’il fit tourner Diamantika sur elle-même pour la ramener contre lui, parquant une main dans son dos et calant son front contre le sien. « Tu sais, j’peux officiellement plus t’appeler Kovache. Faut que je pense à autre chose. Genre Bleekette. » Ben ouais, comme la biquette. Mais c’était tout de suite moins styleyyyyy quoi.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

Cody ne serait pas Cody sans ses petites remarquent salaces. Sérieusement, autant cela te faisait rire, autant tu te disais qu'il y avait vraiment pas plus teubé que lui. « Genre je dois te remercier pour m'avoir fait passer de connue à inconnue ?. » Bah ouai, les Kovalevski sont reconnus par la société, même que ton père est ambassadeur alors forcément lorsque tu dis Kovalevski, toute suite on t'associait à lui ou à tous les Kova d'ailleurs. Et maintenant lorsqu'il verront Bleeker, il ne sauront guerre qui tu es. Mais bon à vrai dire tout ça ne t'intéressait pas le moindre du monde. « Merciiiii. » Surenchérissant accompagné d'un grand sourire colgate. Et puis évidemment, ton mari s'excitait tout seul une fois le sujet sexe entamé. Ok t'avais envie de lui, mais pas là, pas dans cette forêt et surtout pas devant une petite fille et un prêtre. Dieu nous maudira à vie oh. « Non idiot !. » Répondais-tu en te facepalmant et en riant. Rhalalalalalala il était irrécupérable ce mec, heureusement qu'il était tombé sur une femme comme toi, une femme presque parfaite bah quoi ?. Une femme qui l'acceptait tel qu'il était et qui n'essayait pas de le changer. Et une femme comme toi, il n'aurait pas trouvé en claquant des doigts. Même Joan et toutes ses exs l'ont fui comme la peste. Toi t'étais encore là et tu le resteras jusqu'à ce que la mort vous sépare. Alalalalalalala il était dans la mierdaaaaaa le pauvre. Uni à toi pour TOUTE la life, god ce que t'allais prendre un malin plaisir à le taquiner, le titiller et le provoquer celui-là. « Je ne prendrais plus aucun non tant que cela reste dans le raisonnable, je suis ta femme et dorénavant, tu devras assouvir tous mes caprices et donc à commencer par ce slow. » Puis ne dit-on pas femme qui contente, femme parfaite au lit ? Ouai non, je viens de l'inventer tg. En tout cas, il céda plus vite que d'habitude et ce n'était pas pour te déplaire. Pas de fight pour avoir le dernier mot car ce soir, il te le laissait. Même qu'il s'improvisait danseur de danse avec les stars, ouach ! Il avait fait beaucoup de progrès depuis. Lorsqu'il te tourna sur toi-même tu ne pouvais t'empêcher de rire. Puis, front contre front, tu fermais les yeux en posant une main sur son cœur qui t'apaisait pas la douce mélodie de ses battements tandis que ton autre main se cala en douceur contre sa nuque, caressant tendrement ses cheveux. « Dis pas ça ou sinon je suis capable d'aller le crier au monde entier que je suis une Bleeker now. » Bah ouai que toi aussi cette proximité allait te manquer. Tu ne savais même pas quand vous aurez l'occasion de passer un moment tous les deux à l'abri des regards avec les cours, les amis, les colocs. Oh gad, prions pour que le ciel soit avec vous. Ton regard noyé dans le sien, tu l'écoutais et riais à sa petite remarque. « Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de me débarrasser de ce surnom de merde. Mais si vraiment tu y tiens, t'as qu'à continuer à m'appeler ainsi car après tout, ce n'est pas un surnom qui arrivera changer ce que je suis devenue ce soir. » Bah ouai, Madame Bleeker ! La plus belle après Jess soyons réaliste. « Tu crois que t'arriveras à tenir le coup ? Genre à juste me regarder de loin face à du people ?. » Ou bien même à réussir à ne pas éveiller les soupçons parce que le connaissant, il allait se faire vite griller.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

« Les Bleeker gagnent à être connus. » La preuve ; Jess était née depuis trois secondes que Cody la présentait comme la future présidente des Etats-Unis, celle qui ferait trembler la République, celle qui casserait la Barack … Obama … BON OKKKKKKK, j’ai hésité à la faire cette blague, et je crois comprendre avec cette absence de rire que j’aurais dû m’abstenir. JE RETIENS. Je stoppe les blagues, je vais devenir aussi monotone qu’un automne qui m’appartient. Mon automne quoi. OK, je sens là que je vais me prendre une claque. J’y peux rien si mon humour s’est dégradé pendant l’absence de Chérine ohhhhh c’est de sa faute à elle, elle gère le SAV de mes blagues. L’un face à l’autre, leurs corps se mouvaient au rythme d’une symphonie silencieuse, entrecoupée par les rires de Jess qui, à une dizaine de mètres d’eux, sympathisait avec le prêtre. Non mais narmol quoi, la fille de son reup là, elle pourrait se taper une discut’ oklm avec un tronc d’arbre, elle se ferait un nouveau bff. Non mais au moins, ça laissait quelques minutes de répit aux jeunes mariés qui se réjouissaient de leur première danse. « Tu devras assouvir tous les miens alors. J’espère que tu as bien regardé la dernière saison de Masterchef. » OWIIIII, elle avait plutôt intérêt à savoir lui cuisiner un homard thermidor et des chouquettes maisons. Et puis il fallait qu’elle s’assouplisse car Cody comptait bien consommer son mariage. Et le re-consommer. Et le re-re-re-re(…)re-re-consommer. M’enfin, ils en parleraient later. Il fallait déjà rentrer à la casa Gale-Bleeker, s’assurer que la partie Gale de la colocation soit absente ou endormie ou dcd ou coincée dans la popo-mobile du homecoming, assommer Jess pour la nuit. Ahalalaaa, toutes ces questions logistiques qu’il faudra gérer. Mais pour le moment, le mot d’ordre était profiter de l’instant. « Crie-le là si tu veux. Au pire, ici, tu réveilleras une famille écureuil qui te fusillera de noisettes en chantant du Justin Bieber. Me regarde pas comme ça, j’ai vu ça dans un film. » Dans Alvin et les Chipmunks, sisisisi. « Kovache, Kovache, Kovache, KOVACHEEEEEE. » finit-il par s’écrier dans un soupir de libération. OUUUF, il pouvait toujours l’appeler comme çaaaa, trooooppppp cool. Elle pouvait garder son t-shirt ’Keep Calm and Call me Kovache’, cadeau qu’il lui avait offert pour leur premier mois de relation. Cadeau qui avait beaucoup plu à Dia, même si elle s’était facepalmée le visage en guise de remerciement. Mais c’est le petit côté SM de Diamantika ; quand elle aime quelque chose, elle se frappe le visage, c’est bien connu. « J’arriverais même à pas te regarder. Tu sais, je suis passé maître dans l’art de t’ignorer. » avoua-t-il fièrement avant d’étreindre tendrement ses lèvres. « Puis je t’aurais pour toute la nuit toutes les nuits. J’estime que je te verrais assez sur une journée de 24h. » T’façon, Diamantika, il ne savait pas la supporter H24, sauf si elle était nue H24. Mais elle était un peu prude. Quoique. D’ailleurs, rien qu’en pensant à ça, il se tourna vers le public et s’écria ; « Et si on rentraaaaiiiiit ? Enfin pas vous padre, enfin rentrez chez vous quoi, à l’Eglise, passez le bonjour à votre patron. Jessssss ? Maison ? Au lit ? » Il était temps pour TOUT LE MONDE de se mettre au lit.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

Mdrrrrr ce n'est pas de ma faute pour une fois, mais celle du mariage COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 166564858

. Ceci dit, un Bleeker connu ? Um, t'en doutais. Sérieusement, tu avais même déjà oublié le prénom de ta belle mère. Olalalalala, tu ne savais même pas si Bleeker t'avais présenté sa mère par son prénom ou par son surnom de sorcière bien aimé. Non j'rigole ! Sa mère est certes terrifiante et teubée comme tous les Bleeker, mais adorable quand elle le voulait. Puis, semblerait-il qu'elle t'ait adopté finalement. On dit qui aime bien, châtie bien non ?. Oh que oui elle allait piquer une crise en sachant que son fils s'était marié sans elle, sans son consentement, aoutch ! Lorsque ce jour viendra, tu te régaleras. « Sur la planète Bleeker peut-être oui. » Mais pas sur terre en tout cas. Cependant, tu avais on ne peut plus confiance aux capacités de ton mari, s'il le voulait, il pourrait devenir bien plus connu que ton père, mais bon, il demeurera un homme des cavernes et faudra que tu fasses avec, même si tu l'avais déjà accepté comme ça. Et vous voyez, on parle d'assouvir les caprices et c'est le bide de Cody qui répondait. Okey, heureusement que tu savais cuisiner donc merci mama. « Ça va de soi ! Tu assouvis mes envies, j'assouvis les tiennes. Néamoins pour ton bide, va falloir que tu officialises d'abord et qu'on se prenne un petit appartement parce que là, je te signale qu'on se verra que les soirs et encore. » Pauvre homme. Il allait devoir attendre pour que sa vie d'homme au foyer puisse vraiment commencer et à qui la faute ?. En attendant, ça te fera des vacances finalement. Là toute suite, tu restais bouche bée devant sa remarque sur les écureuils. DOUX JESUS MARIE JOSEPH ! Qu'on lui COUPE LE ZIZI !. T'en pouvais plus là, t'étais morte de rire. « Et tu regardes ce genre de film toi ? Non mais vaut mieux pas que j'cris parce que je n'ai pas envie d'avoir les tympans dead. » Purée de patate douce, il venait de te casser justement les tympans en criant ton vilain surnom de merde à tous les animaux de cette forêt, bien que dit comme ça, la seule vache c'est...Toi... KEUNARD !. « Oh ça va ein ! J'ai dit que tu pouvais, pas que tu devais abuser ! Il est juste merdique ce surnom. » Tu aurais mieux fait de t'en tenir à Bleekette, ça faisait moins vache et plus mignon. Et pendant que vos deux corps se mouvent et s'enlacent tendrement, ton mari lâcha une petite bombe digne de lui. Bien-sûre, fallait toujours qu'il place une vanne quelque part ou sinon, il ne survivrait pas. En passant, tu repoussais ses lèvres de ton index suite à son petit baiser. « Ouai j'vois, tu seras occupé à mater le décolleté plongeant d'autres nanas. » Tu roulais des yeux en boudant presque. « J'apprendrais à t'ignorer aussi et à ne même pas te regarder, ni même te calculer genre devant du people, t'existeras même pas. » Ouai non, fallait pas réveiller la jalousie d'une Kovalevski, surtout d'une Diamantika même s'il n'en existait qu'une. « Pour moi ce n'est pas assez alors de temps à autre, tu vas te démerder pour te trouver un moment libre dans la journée. » Surtout aussi que certains soirs t'allais devoir bosser, on n'oublie pas les cours ein. La partie danse prit fin et ton cher et tendre proposa à tout le monde de rentrer. Grand sourire aux lèvres, tu surenchérissais. « Good Idea !.... Pour une fois. » Et tu levais la tête vers le ciel en mimant un sifflotement pour éviter son regard killer.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

C’est bien. Mariés depuis cinq minutes et ils étaient d’accord pour assouvir tous leurs désirs. J’veux dire, c’est bien de commencer une vie maritale comme ça. La dernière fois que Cody s’est marié – dit comme ça, ça lui arrive tous les mois – sa femme est partie faire sa nuit de noces avec son témoin. Ceci dit, Cody avait aussi passé sa nuit de noce avec son témoin, l’autre, celui qui est aujourd’hui sa femme. OUAIS BON OK, j’avoue, parfois c’est dur de suivre le fil d’actualité de Coka puisqu’ils avaient une tendance innée à se compliquer la vie. « Je ne regarde pas ce genre de films. MA FILLE regarde ce genre de films. Excuse-moi de vouloir partager des moments conviviaux avec elle et donc qu’elle déteigne un peu sur moi. » C’est Jess qui déteint sur Cody, pas l’inverse, au cas où vous en douterez. « Il n’est pas merdique, je pensais qu’il te plaisait. J’suppose que si je te demande s’il existe plusieurs races de Kovache, genre comme les Charolaises et les Normandes, tu vas me frapper ? » Ouais, c’est le seul couple au monde à s’engueuler et limite s’étrangler pendant leur première danse en tant que mariés. Et puis apparemment, ils se souhaitaient tout le bonheur du monde, à base de je t’ignore, non c’est moi qui t’ignore. Ah ouais ? Tu vas voir comme je t’ignore, blablablaaaa, bref, conversation classique, on va dire. « Oh mais toi en public, tu seras comme le C cédille de surf, t’existeras pas. Tu seras le vent qui souffle dans mes cheveux. » Et là, il recula d’un pas et fit un mouvement à la L’Oréal, avant de revenir contre Diamantika et lui voler un baiser. « Que du bonheur à nous deux. » Et c’était ça le plus important. Puis, ils mirent fin à leur slow et quittèrent la forêt où ils se séparèrent, le prêtre et la petite famille. Cody portait Jess sur ses épaules qui portait elle-même le nounours de Dia sur les épaules, autant vous dire que c’était vachement périlleux cette situation. Mais au moins, les loups-garous ne viendront pas chercher la pouille à Cody Bleeker qui mesurait près de trois mètres comme ça et qui, en plus, avait une gueule d’ours. Bon, pas très féroce l’ours, mais c’était un Ours-Kovache, donc un mutant, donc il exploserait la gueule de tous les Teen Wolf qu’il croiserait.

Un trajet d’une vingtaine de minutes en voiture les amena à l’appartement que Cody partageait avec Devyn. « Et voilà. C’était la première fois qu’on roulait en tant que mari et femme. » fit-il, presque la larmichouille à l’œil. Puis, il tourna la tête pour checker sa fille à l’arrière qui s’était profondément endormie. Ah, c’est pour ça qu’elle avait fermé sa gueule celle-là. Non parce qu’elle les avait saoulé avec son Reptincel niveau 36 qui refusait d’évoluer en Dracaufeu. « Jess, tu dors ? » murmura-t-il, avant de se tourner vers Dia et commenter ; « C’est la première fois que je demande à ma fille si elle dort en tant que mari et femme. » Wow. Il risquait d’en fait plein des comme ça. Il ouvrit la portière et s’apprêta à dire « C’est la première fois que j’ou… » Sauf qu’en voyant la tronche que tirait sa prétendue femme, il se corrigea ; « OK, je ferme ma gueule. » Il prit le cadavre à l’arrière dans ses bras et rentra dans l’appartement. A sa connaissance, Diamantika n’était jamais venue ici et ce, pour deux raisons. 1) Cody ayant privilégié l’aménagement de la chambre de sa fille, la sienne n’était pas finie du tout ; son matelas était à-même le sol, les murs nus, les cartons encore remplis, et des échelles, pots de peinture et autres outils faisaient office de décoration. 2) s’il amenait Kovache ici et que Devyn tombait sur elle, leur relation deviendrait tout de suite plus réelle. Même si elle l’était, c’est clair, mais ce serait différent. « Fais comme chez toi, je vais coucher Jess. » chuchotait-il alors qu’il s’enfonça dans l’obscurité d’une des chambres. Il allongea la plus belle des Bleeker ( COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 3861440630

COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 3861440630

) dans son petit lit à baldaquin et alluma la décoration florale qui grimpait le long des poteaux du couchage et qui faisait aussi lampe. Puis, refermant délicatement la porte derrière lui, il revint vers Diamantika ; « Alors, Bleeker, des projets pour la nuit ? » Wooouuuuw, il avait presque l’impression d’être schizo dans cette histoire COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 166564858

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

« Rhooooo ça va ! J'suis ta femme à présent, tu peux tout me dire. Pas la peine d'avoir honte ou quoi que ce soit. » Evidemment que tu le provoquais ! Parce que tu connaissais très bien ce genre de situation ayant pas mal de neveux et de nièces dans la famille et puis à force, tu finissais par apprécier regarder. En tout cas, c'était mignon à imaginer Bleeker et sa fille devant du Winnie l'ourson ou du Dora l'exploratrice. « Se faire presque traiter de vache c'est plaisant ? T'aimerais toi que je te surnomme Bleekâne ?. » Quoi que pourquoi pas ? C'était genre parfait comme surnom pour lui non ?. Okey okey ça va ein. Mais bon, tu le fusillais du regard parce que t'allais le cogner s'il ne se taisait pas now. Par contre, sa remarque sur son plan pour t'ignorer te fit bien rire. Ouai donc en gros, tu seras comme un C cédille en public ?. Great. Tu stoppais ton rire avant de poser quelques doigts sur ton menton et de le regarder faire son petit numéro. « J'peux t'avouer quelque chose sans que tu m'en tiennes rancune ?. » Ah oui tout ce suspens juste pour. « Aucune pub pour shampoing se risquera à te prendre sérieusement Bleeker, ne pense jamais à te lancer dans la publicité. » Car il fera certainement chuter la marque et même qu'il mettra les proprios et sponsors en faillites. Puis comme pour te faire pardonner, tu déposais rapidement tes lèvres contre les siennes pour lui voler un baiser. « Que du bonheur inshallah. » Oui oui, tu connaissais un peu l'arabe c'était une langue qui te fascinait (dixit la meuf derrière l'ordit qui sait parler que très peu sa langue). Anyway, le slow terminé, Cody récupéra sa fille afin de quitter enfin la forêt. Seulement, une fois arrivée devant chez lui, monsieur commença à délirer comme à son habitude. Lui lançant un regard killer, tu t'apprêtais à lui dire TA GUEULE lorsqu'il se l'auto-disait lui-même comme un grand garçon. « Merci !. » Parce que sinon, ça allait se terminer à la chansonnette tantôt. Mais une fois à l'intérieur de son appartement, il te demanda de faire comme chez toi et c'est pourquoi lorsqu'il monta coucher sa fille, tu retirais rapidement tes chaussures et chaussettes ainsi que le reste de tes vêtements pour ne rester qu'en tenue d'Eve appuyée contre le dos du canapé. Et quand il te rejoignis enfin, tu t'approchais de lui à pas de louve le poussant contre le mur à sa gauche afin de te plaquer contre lui. « Beaucoup de projets en effet. » Comme le prendre là toute suite contre le mur de son salon et celui de Devyn en passant. Défaisant les boutons de son chemisier, tu le retirais en posant tes lèvres sur l'un de ses tétons que tu commençais à embrasser passant tantôt de petits coups de langue. Par la même occasion, tes mains continuaient à le dessaper jusqu'à ce qu'il se retrouve en tenu d'Adam, sinon que serait Eve sans son Adam ? Nada. Et enfin, tu t'emparais de ses lèvres avec gourmandise tandis que ta langue se hissait fougueusement dans sa bouche pour un frottis frotta sensuel avec la sienne.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

À peine la plus jeune des Bleeker endormie comme une souche dans lit à baldaquin, Bleeker revint dans le salon pour tenir compagnie à la dernière Bleeker en date. Non, c’est pas que j’aime répéter ce nom de famille, mais j’y peux rien si y a que des Bleeker dans ce RP. Après, c’est pour ceux qui prennent le RP en cours de route, pour que pigez bien qu’il y a eu un mariage et tout et que maintenant, Kovache devient Bleeker, pour le meilleur et pour le pire. Maintenant, je ferme ma gueule, parce qu’il y a des choses bien plus intéressantes dans ce RP. Commeeee … OH MY GODEMICHET (crédit ; Ange). Diamantika qui se baladait oklm à poil entre les canapés. Ah mais elle, tu lui dis ’fais comme chez toi’ ELLE FAIT VRAIMENT COMME CHEZ ELLE. Puis elle ne laissait pas le temps à Cody de réagir – ou de mater – puisqu’elle le colla furieusement contre le mur et l’aida à ses débarrasser de toutes ses sapes qui vinrent embrasser le sol. Et Cody s’embrasait. Ils étaient les 4 moins 2 Fantastiques ; elle était l’enivrante Jessica Alba et il était la Torche Humaine, qui s’embrasait quand elle alluma la mèche, de la langue à son téton. Il n’y avait peut-être pas toute l’humanité qui se levait pour Diamantika, ni même le pays, ni même Harvard, ni même la collection de nains de jardin de la mère Bleeker. Mais toute la colonie de poils qui peuplaient le territoire Codyen s’hérissait rien que par l’aura de Diamantika, et sa peau contre la sienne était la maudite décharge que tu te payes chaque fois que tu poses le bout de ton doigt sur le rebord de l’évier après la vaisselle. Puis nan, c’est vrai que Diamantika s’auto-qualifiait de presque perfection, mais il n’y avait que dans un royaume qu'elle était reine, et c’était celui de Cody Bleeker. Elle dominait du haut de son trône dans son palais d’argent. Il était esclave de son sourire, soumis à ses soupires. Un seul mot d’elle et il se mettait à genoux à ses pieds, et une seule caresse et cette fois, Codynosaure s’élevait. « Diamantika. » gémit-il entre ses lèvres, alors qu’il signait ses hanches d’un Z (qui veut dire Zorrooooo COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 1116103942

COKA ∰ THE THEORY O∫ EVERYTHING - Page 2 1116103942

), du bout de ses doigts déjà remplis de fougue. Il l’incita à venir contre lui, qu’elle vienne sentir contre son bas-ventre Ô combien il la désirait déjà. « Je suis amoureux de toi. » balança-t-il, sans préavis. « Je suis profondément, démesurément, irrationnellement, déraisonnablement, fatalement, intensément, tragiquement, incommensurablement amoureux de toi. Et si j’avais un vocabulaire de plus de vingt adverbes, j’m’arrêterais pas là. Anticonstitutionnellement. Rien à voir avec mes sentiments, mais c’est le mot le plus long de la langue française et c'est toujours le bon moment pour un point culture. Je suis amoureux de toi et rien à foutre que ce soit anticonstitutionnellement. » Dia savait que les ’je t’aime’ de Cody Bleeker valaient de l’or, lui qui était toujours plus habitué à dénigrer Diamantika qu’à lui dire Ô combien il tenait à elle. Mais aujourd’hui était un jour spécial. Pas parce qu’il venait d’épouser Diamantika, pas parce qu’il se liait à elle aux yeux de Dieu et à ceux de la loi. Ce jour-là était spécial parce qu’une de ses amies allait mourir. Ce jour-là était spécial parce que pour la première fois, Cody réalisait qu’il allait mourir. Ce jour-là était spécial parce que pour la première fois, il réalisait qu’il ne voulait pas mourir sans que Diamantika ne sache toutes ces choses qu’il avait sur le coeur.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

BAH QUOI ? On te demandait de faire comme chez toi alors tu ne te gênais pas et en plus, Devyn ne semblait pas être là, sinon ton mari ne t'aurait déjà pas emmené ici. Fin t'espérais qu'il ne rentre pas maintenant sinon bonjour la honte. Certes tu étais la femme la plus heureuse en ce jour, mais tu n'arrivais toujours pas à réaliser que tu étais une Bleeker, que tu avais épousé l'homme que tu aimais et que tu avais eu ton happy end. Non parce que tu avais tellement galéré, que cela te semblait être un rêve. Regardant une nouvelle fois ta bague, tu ne pouvais t'empêcher de sourire jusqu'à ce que ton homme te rejoigne et que tu le dessapes à son tour. Il te plaqua contre lui et tu entourais sa taille de tes bras afin de pouvoir le serrer tout contre toi. T'aimais bien ce contact, cette chaleur qui se dégageait de son corps et qui te réchauffait, tu humais son odeur voulant t'en imprégner, ses caresses te faisaient totalement fondre à y perdre pied et même ses...mots ?. Tu restais là, bouche bée en te passant en boucle les mots qu'il venait de faire sortir. Certes, il partait encore dans son délire, mais en fait, il n'avait jamais été doué pour dire les choses aussi sérieusement, aller droit au but quoi. Mais l'essentielle c'est que tu comprenais et là, tu pouvais voir non pas par ses mots, mais par son regard et par le son de sa voix, à quel point Cody Bleeker t'aimait. Tes mains glissèrent au fur et mesure qu'il parlait, le long de son torse pour se lover contre ses joues. Ton regard s'attendrissait soudainement alors qu'un sourire illuminait ton visage. « Mon amour. » Murmurais-tu pour la toute première fois chez Coka, bien que tu savais qu'il n'aimait pas ce genre de mot gnan gnan, mais t'avais eu ce besoin de le dire et même qu'il était sorti tout seul en fait. « Je t'aime tellement Cody. » Et là, tu plongeais ton regard dans le sien pour à ton tour, lui faire passer le message. T'avais jamais été aussi sérieuse de toute ta vie que lorsque tu lui disais "je t'aime". Des mots certes, mais vraiment plus que ça au fond. Et puis avide de lui, tu t'empressais d'épouser ses lèvres en glissant sensuellement tes mains le long de ses bras que tu plaquais contre le mur. Entrelaçant vos doigts que tu serrais avec toute la passion qui t'animait, tu mouvais une jambe entre son entre-jambe afin de pouvoir caresser son paradis et l'exciter à son maximum. Ce soir tu voulais être sa reine, celle qui dominera et lui fera passer une nuit de miel et non lune de miel. De ce fait, tu glissais ta bouche vers sa mâchoire, puis son cou où tu laissais une petite trace, puis son torse, ses tétons, son ventre et enfin son nombril que tu effleurais avant de grimper sur lui en enserrant ses hanches de tes jambes que tu croisais au niveau de ses fesses. Yeux dans yeux, tu lui offrais ton plus beau sourire en posant par la suite, tes lèvres sur son front pour un tendre baiser avant de t'emparer de son chocolat que tu caressais du bout des doigts pour l'unir à ta fraise bien juteuse now. Tes bras entouraient sa nuque, tes mains agrippaient ses cheveux, ta joue se plaqua contre sa tempe et tu commençais en douceur, tes va-et-viens.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

Ce n’est même plus humain d’aimer comme Cody aime Diamantika. Ça dépasse les limites du raisonnable, les frontières du réel. Il l’aimait, il l’aimait, il l’aimait. Et il en recevait tant en retour, c’était même trop pour un seul homme. Parfois, il s’en voulait de ne pas être son reflet, de ne pas savoir lui renvoyer tous les sentiments. Pourtant, ils étaient là, mais il défaillait lorsqu’il s’agissait de les retranscrire, de caser des mots sur des émotions. Mais au fond, Cody et Diamantika avaient un langage bien à eux, un langage qu’eux seuls comprenaient, un langage qui les excluait de monde normal. C’est vrai, au fond, si les proches de Diamantika n’acceptaient pas sa relation avec Bleeker, ce n’était pas parce qu’il n’était qu’un con, qu’il fuyait le romantisme comme la peste et qu’il pétait au lit – quoique personne n’est là pour le prouver. C’est juste que ses proches ne comprenaient pas cette langue, les subtilités de leur langage. Les excès de violence de Cody et sa facilité à traiter Dia comme une moins que rien pendant le Summer Camp n’étaient que la partie émergée de l’iceberg, de la passion qui l’incubait, qui le dévorait. Ce que les gens ne voyaient pas, c’est ce qui se passait en dessous, quand ils ne se retrouvaient que tous les deux et les remparts de leurs cœurs s’effondraient sous l’assaut des regards. Et son cœur, il palpitait alors que Cody sentait les lèvres de Dia plonger sur son corps, s'enfouir petit à petit du ventre au bas-ventre, avant qu'elle ne remonte à la surface et se hisse au sommet du mont Bleeker. Kovagin travestit Codynosaure de sa robe carmin, entamant des vas et viens lents mais frénétiques. Silencieux. Profonds. Intenses. Le brunet gardait Diamantika contre lui, et se complaisait dans sa position d'objet de ses désirs, s'alimentant passivement du plaisir qu'elle lui procurait. C'était fou. Dans leur course à la communion charnelle, Cody commençait à perdre pied, si bien qu'il fléchit les genoux jusqu'à les poser au sol, toujours prisonnier des hanches de Dia. On l'appelait l'Amour, ça, dans sa forme la plus pure et la plus belle. C'était la friction de deux corps emplis de désirs l'un pour l'autre, qui s'imbriquaient comme dessinés dans des moules complémentaires. Ils couchaient ensemble à même le sol, les genoux contre le parquet strié en chêne massif. Pas besoin de matelas, d'oreiller, ni même de tapis pour s'aimer. Pas besoin d'Eglise, de cent invités pour s'épouser. Sensitive et insensée à la fois, leur fusion n'en était que plus belle. Invitant Diamantika à se cambrer en arrière, retenant sa silhouette svelte par ses bras dans son dos, Cody se pencha et cajola cette poitrine qu'il critiquait sans cesse de ses lèvres incandescentes. Sa langue était une plume qui ne dessinait qu'à la perfection le contour des aréoles de Diamantika avant d´apposer le point final sur le téton. Il ramena Dia contre lui, perdant sa tête dans son cou. Il gémissait à n'en plus finir comme ça, en silence. Mais une perle de sueur glissait le long de son front, se mélangeant à la transpiration de Kovache, signe qu'ils donnaient tout, malgré le silence de maître qui régnait dans la pièce. Ce n'était pas du sexe, de la baise ou une furieuse envie de combler leurs désirs sous des coups de butoirs à n'en plus finir et des cris à s'assourdir. C'était vrai, des sentiments, de l'affection, des émotions. L'amour.

electric bird.

Tu n'as pas besoin d'un costume noir, je n'ai pas besoin d'une robe blanche
Coka forever

Votre show avait enfin commencé et remarquez que nous n'avons pas mis de hide simplement parce que nous voulions que pour une fois, vous voyez ce que c'était Coka en train de s'unir corporellement parlant. Puis vous avez été nombreux à grogner les hides alors profitez bien, car ce n'est pas toujours Noël n'est-ce pas ?. Brefouille, pendant tes petits coups de riens talentueux, tu le touchais, le caressais, le mordillais en cherchant sa chaleur douce et réconfortante. Puis lorsqu'il t'allongea contre le sol, tout ton corps s'effondra d'une torture plus que jamais délicieuse, car sa langue titilla tes tétons et ton corps tendu en payait le prix. Courbant alors ton dos, tu savais par ce simple geste que son excitation atteindra un niveau intenable et c'est ce qui se produisit en écoutant ses râles de plaisirs et ses mouvements totalement fougeux. Il te ramena contre lui tandis que tu parcourais toutes les parties de son corps, allant de l'infime brin de cheveux à la naissance de ses fesses. Tu le savourais, le dégustais t'attardant sur son torse enivrant où tu laissais tes mains en dessiner le contour. Même que tes lèvres s'y posèrent afin de te délecter de sa peau en sueur qui à cet instant, avait un goût de sels marins. Votre histoire n'est tout simplement pas comparable à celle des autres, elle est unique et vaut bien la peine d'être connue, mais pour l'instant, vous devez rester dans l'ombre parce que le chef de famille en avait décidé ainsi. Et en tant que femme mariée, tu te devais de soutenir ton mari dans chaque choix qu'il aura à faire et même dans celui-ci. C'est pourquoi tu ne diras absolument rien à quiconque quitte à perdre des amitiés en espérant ne pas arriver jusque là tout de même, mais la famille avant tout n'est-ce pas ? Et bien les Bleeker le sont devenus maintenant. Bref, revenons à nos moutons et à ce rp qui se doit d'être clôturé dans l'extase la plus furieuse et passionnante de nos deux tourteaux. En parlant de ça, tu commençais à avoir le souffle court, la peau rosie par l'excitation enduite de fines gouttelettes de sueur. Tu renonçais à crier ton plaisir tant tu en recevais à cet instant pour la bonne et simple raison que tu ne voulais pas réveiller Jess. Les coups de reins de plus en plus profonds et plus rapides, tu sentais vos soubresauts annoncer votre semence, cette sèvre qui vous propulse et vous conduit enfin vers l'extase. Tant tu étais sur la retenue à cause de mini Bleeker, tant là tu ne pus contenir un léger cris. Si un jour t'arrivais à ne pas crier en faisant l'amour, ce jour-là relèvera du miracle parce qu'aucun homme à part ton mari n'avait su te faire crier autant. Relâchant tous tes membres, tu reposais ta tête contre le sol en tentant de reprendre ton souffle. « La prochaine fois, ce sera dans la cuisine sur le plan de travail. » Lâchais-tu en riant. Ouai avec Coka ça se faisait partout où ils en avaient l'occasion, ils ne restaient jamais au même endroit trop longtemps et c'est ce qui faisait qu'à chaque fois, c'était encore plus fort, plus bon et plus passionnant. Le rapprochant de toi, tu l'agrippais de tes mains enfouissant ta tête dans son cou et en fermant les yeux tout heureuse.

electric bird.

[/quote]

(Contenu sponsorisé)