Haytby on se retrouve

J'avais rendez vous avec Hay, sa me fait plaisir, sa fait si longtemps qu'on c'est pas vue, La dernière fois on c'est pris une cuite, j'avoue pas trop me rappelé de quoi on a parlé. J'avais besoin de retrouvé mes amis, et Hay en fait parti, depuis le temps qu'on c'était pas vue. Je venais d'arrivé au starbuck ou je me commandais un café chantilly. J'attendais ma commande en attendant Hay, je repensais a se que j'avais vécue, j'avais pas envie de parlé de tout sa. Deux de mes gardes était a l'entré en civil et deux a l'interieur.

ABBY & HAYM

On se retrouve.

J’étais posé dans mon lit alors que mon portable se mettait à vibrer. Un message d’Abby, voilà bien longtemps que je n’avais pas eu de ses nouvelles mais je savais que si elle avait fait silence radio c’est qu’une excuse bien valable lui avait causé des soucis. Ni une ni deux je lui proposais d’aller boire un café, de toute manière il fallait bien que je sorte de ma chambre d’étudiant qui devenait un peu étouffante. Arrivé au Starbuck une heure après, j’entrais et allais directement la joindre alors qu’elle attendait à une table tranquille. Je m’approchais et lui déposais une bise sur la joue avant de m’asseoir devant elle. Une fille qui travaillait là et qui passait par-là prenait alors ma commande pendant que je souriais à mon amie. « Alors ma belle, comment tu vas ? »

Je venais de m'assoir au starbuck en attendant Hay, il ne tardait pas. J'étais heureuse de le voir. Je lui sais aussi la bise.Il me demandait comment j'allais c'était tout une histoire chez moi.
"Oh bah tu sais je fais aller un! Et toi raconte moi un peu? Depuis le temps qu'on c'est pas vu" bah ouais je me rappel qu'on buvais tous les deux au bar et je crois que si je me souviens bien son père venait de mourir. J'étais pas tout a fait sur c'est flou.

ABBY & HAYM

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La dernière fois que j’avais vu Abby, mon père venait de décéder. Il s’en était passé des choses, j’avais perdu d’autres personnes, oh bien sûr elles n’étaient pas mortes contrairement à mon paternel mais disons qu’elles n’étaient plus actuellement dans ma vie et à mon plus grand regret. Je soufflais longuement en m’asseyant devant elle, j’étais heureux de la revoir. « Pas grand-chose non plus, le train-train. J’ai mené ma barque au Danemark, vu ma sœur prendre le trône, puis je suis retourné à Boston voir un peu ma mère avant de revenir ici. » Je me contentais de croiser les bras et de hausser les épaules comme si tout ceci était tout à fait banal. « Dis-moi pourquoi il y a des gorilles qui te surveillent ? » J’étais plus qu’observateur et ça Abby le savaient bien, elle avait du savoir que j’allais remarquer ces gardes du corps même si ceux-ci étaient en civil.

Il me disait qu'il avait vu sa soeur prendre le trône, oui quand je vois Hayt je vois pas son rang royal. Il est comme moi on ne vois plus notre famille. Je savais que Hayt avait l'oeil, il ne mettrait pas longtemps a voir mes gardes.
"Ouais, j'ai pas trop le choix, j'ai faillie me faire au début de l'été, mais bon je suis toujours la et bien surveillé. " Je n'es pas une folle idée de pensé de sa.
"C'est les risques du rang c'est pas moi qui vais te l'apprendre"

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Je croisais les bras et regardais mon amie dans les yeux. Elle avait l’habitude d’être entourée de gros bras, pas moi, à vrai dire ça me mettait plutôt mal à l’aise mais qu’importe, ils n’étaient pas là pour moi. La royauté, quelque chose qu’on avait en commun, enfin même j’étais de sang royal par intermittence, c’était plutôt Salomée la belle princesse mais étant donné que j’étais le seul héritier mal, même si j’étais un bâtard, j’avais le droit à ma couronne. Foutaises. « Je vois ça, ton été a dû être mouvement dans ce cas. » J’attrapais alors ma tasse et venais l’approcher de mes lèvres pour souffler sur le liquide brûlant.

J'avais horreur de mes gros bras. Je redoutais l'époque ou je pouvais faire se que je voulais sans mes gardes qui me cours après. Surtout je regrettais mes gardes a moi, que je payais une fortune, mais avec qui je m'amusais et a qui je pouvais faussé compagnie. Ceux la c'est ceux de Eden et ils sont pas marrant du tout et je peux même pas essayé e leur faussé compagnie. Il en deduisait que mon été avait été mouvementé.
"Non pas vraiment, le début oui mais après je suis resté enférmé dans un appart seul, Eden était en Norvège une grosse partie du temps... "

ABBY & HAYM

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Je ne pouvais m’empêcher de fixer les gardes du corps d’Abby, j’ignorais pourquoi mais tout ce qui faisait figure de protection ou d’autorité me stressait au plus haut point, ça devait sûrement être à cause de tous les ennuis que j’avais eus avec la police ou les mafieux, tout ça entre autres à cause de faux témoignages de la part de Cambridge Secrets. « Je vois, j’imagine à quel point ça a dû être super. Maintenant, ça va mieux tu crois ? Je veux dire, t’es de retour non ? Et Eden il fout quoi ? » Je prenais alors une gorgée de mon café et le reposais sur la table en me concentrant sur mon amie.

Je venais 'expliquer ma situation a Hayt, je voyait qu'il était mal a l'aise a l'idée que des garde nous surveille, mais on était dans un lieu public il ne pourrait pas sortir, et je pourrais pas leur demandé, il le ferais pas quoi.
"Tant que mes gardes sont la on va dire oui... Mais je sors uniquement parce que tout le monde est revenue et que dans la masse il pourra rien faire, Eden il est encore en Norvège, il ma sauvé la vie et il est toujours la, il failli face a rien, je suis raide dingue de lui... mais il est loin pour trouvé un solution avec ça famille... "

ABBY & HAYM

On se retrouve.

Mes doigts tapaient involontairement sur ma tasse, en rythme, signe de mon stress, bah quoi, me faire mater par des gros bras ce n’était pas ce qui me mettait le plus à l’aise. M’en rendant compte, je prenais une grande respiration et soufflais longuement, portant une fois de plus mon café à mes lèvres. Je souriais ensuite en écoutant Abby, elle avait l’air heureuse, quelque part, malgré toute cette merde. Un sourire aux coins des lèvres et je confirmais ce que je pensais. « Je suis heureux de voir que tout va bien avec lui, tu mérites une part de bonheur. » Quelque part je l’enviais, ma situation de ce côté, si on pouvait appeler ça comme ça, n’était pas réjouissante.