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Skyler ► Is it too late to apologize ?

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Is it too late to apologize ?
w/ Skyiam

Je ne pouvais pas effacer le passé et après tout, je ne le voulais pas tellement non plus. Je ne pouvais pas effacer tout ce qui avait fait de moi l’homme que je suis aujourd’hui. Bien que ça m’aurait peut-être aidé à être un homme moins tourmenté, moins dérangé. Je sais pas si c’est vraiment possible. D’un côté, je me dis que tout est écrit et que malgré tout ce que j’aurai pu faire pour éviter de devenir celui que je suis à présent, je le serai devenu quand même au final. Comme on dit, tous les chemins mènent à Rome. Même si dans mon cas, tous les chemins mènent à l’enfer qu’il y a dans ma tête. En faites, la seule chose que je regrettais, c’était ce que Skyler et moi étions devenus au fil du temps. De parfaits étrangers, cherchant du réconfort dans l’un et l’autre tout en nous faisant mutuellement souffrir. C’était d’une tristesse sans nom. Mais j’aime la souffrance. Enfin non, pas la souffrance en elle-même mais les différentes choses que l’on ressent à ce moment-là. Comme si tout était différent. La douleur est quelque chose qui soudainement nous donne envie de vivre. Nous force limite à le vouloir plus que tout au monde. On ne peut pas effacer ce qui nous est arrivé durant toutes ces années. « Mais on peut effacer le fait que tu m’as nexté si je le veux ! ». A elle de voir si elle comprenait où je voulais en venir. Si je disais que j’étais prêt à ce que l’on reparte de zéro, j’étais donc prêt à effacer toute l’humiliation qui m’était tombée dessus par sa faute cette année. Par humiliation je veux parler de ses râteaux à en casser des murs, la liste de ces hommes dont elle était éperdument amoureuse. Me retrouver en plein milieu de cette liste n’avait rien de plaisant, de gratifiant ou d’honorable. Je trouvais ça immonde et dégueulasse. Elle se jouait de moi, de nous tous. Elle nous voulait tous pour elle toute seule, comme une petite fille dans un magasin de jouets qui veut absolument que ses parents les achètent tous, même si elle-même sait qu’elle ne se servira même pas de la moitié. J’étais son toyboy qui en avait plus que marre de se laisser traîner dans la boue. Mais je voulais mettre tout ça de côté et repartir du bon pied. Je voulais pas que tous les efforts que j’ai pu faire cette année aillent aux ordures par sa faute. Par la faute de son gigolo de Konrad, son ex-mari mort, sa grossesse et, par la même occasion, sa fausse couche. Elle pouvait d’ailleurs dire ce qu’elle voulait à ce sujet. Je n’étais en rien responsable de sa fausse couche. Il était clair que ce gosse ne tiendrait pas plus longtemps dans son utérus malsain, avec ou sans moi. Elle croyait peut-être que l’on nourrissait un fœtus d’alcool, de drogues et de nicotine ? Décidément, sa couleur, elle la portait vraiment bien. « J’étais censé discuter avec toi, donc oui, du temps j’en ai à revendre mais des gars pseudo sexy pour t’expliquer le fonctionnement des machines, t’en a plein dans la salle ! ». Je voulais pas la repousser mais je voulais qu’elle me dise les choses clairement. Qu’elle voulait que je reste. Qu’elle me voulait à ses côtés. Je ne voulais pas de ses vieilles disquettes dont les hommes et les femmes se servaient pour draguer comme de vieux manches à balai. « C’est ça ! ». Je trouvais que ce qu’elle me disait sonnait faux. On n’en serait pas là si j’étais le seul à pouvoir lui permettre de se bouger enfin. On ne serait pas en froid. Je n’aurai pas envie de m’en prendre à elle. Je n’aurai pas besoin de me contrôler pour contenir ma colère devant elle, parce que la colère serait absente de mon corps. C’était ce genre de truc qu’elle avait et que les autres filles n’avaient pas. Elles ne me rendaient pas dingues rien qu’en ouvrant la bouche car, elles étaient sincères avec moi et ce, en toute circonstance. On dit que Skyler a une grande gueule, qu’elle est sincère et qu’elle dit tout ce qu’elle pense sans filtres. Je ne suis pas d’accord. Si c’était le cas. Elle m’aurait déjà ce qu’elle attendait de moi. Ses vraies attentions et pas son petit speech pour que je l’accompagne au gym. « Tu veux vraiment t’entraîner Skyler ou pas ? ». Qu’on se le dise, elle n’est pas sportive et si elle voulait vraiment y aller, elle serait déjà dedans, prête, échauffer et... prête !
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C’est weird quand même. Tout effacer façons reset, réinitialisation complète. J’sais même pas si c’est vraiment possible. Je sais pas si on peut vraiment tout effacé. Une chose est sûre, je suis déterminée à le faire. A y croire. Essayer d’appuyer le sur bouton back in the past. Mais on peut effacer le fait que tu m’as nexté si je le veux ! Ca veut dire quoi ça ? Genre faire comme ci j’lavais jamais repoussé ? Comme ci.. Comme ci j’l’avais retrouvé en faisant genre Casey a jamais existé ? Après tout.. Notre « histoire » à été totalement furtive. Quelques semaines à peine. Assez pour empiéter sur moi et William. J’devrais être triste de penser à sa mort, peut être, surement. Même pas. La vérité est bien que j’en suis arrivé à un stade où je ne pense qu’à mes erreurs qui ont creusées ce trou profond entre moi et le winthrop. Tous ces mecs n’ont fait que le repousser. Je pensais être la plus gagnante du game. Celle qui aurait toujours quelqu’un sur qui aller. Celle qui ne finira jamais seule. Au final j’ai perdue. Mon jeu s’est retourné contre moi même. Donc on doit faire comme ci Konrad, Casey n’ont jamais été entre nous ? Eclaires mes lanternes làà. J’pige pas. Si c’est ça, j’crois que ca ne devrait pas trop être difficile. Ca m’arrange même. Ce ne sont que des tâches dans les mois précédents. De vraies taches qui n’ont fait que pourrir mon existence, toujours un peu plus. J’étais censé discuter avec toi, donc oui, du temps j’en ai à revendre mais des gars pseudo sexy pour t’expliquer le fonctionnement des machines, t’en a plein dans la salle ! Okaaay. J’suis con. J’sais même pas quoi répondre parce qu’après tout, il a raison. J’pourrais juste rentrer et trouver un mec musclé et dopé aux protéines pour m’expliquer. Sauf que je ne veux pas d’un des mecs enfermés la dedans à entretenir leur image. Je veux juste, William. Le dire clairement me semble un peu compliqué. J’en sais rien. Surement la peur de me prendre un râteau dans la gueule. De le froisser et d’en payer les conséquences moralement selon sa réponse. J’ai peur de ce mec, de ses réactions, de ce qu’il est capable de dire d’horriblement blessant. Tu veux vraiment t’entraîner Skyler ou pas ? J’pose mon sac au sol en ricanant. J’peux juste plus me défiler là. Non. Non j’veux pas faire du sport ! Ca fait mal et en plus j’suis sûre que ca pu un max la dedans. J’abuse, j’fais ma fragile là. C’est pour toi que j’voulais faire du sport, indirectement du moins. J’veux changer j’veux plus être la Skyler dépravée dont t’arrêtes pas d’me parler. Je veux que tu me redises cette phrase que tu m’avais dit une fois. Que j’étais la gonzesse la plus forte que tu connaisses. Je veux juste ça tu vois. Bon et pourquoi le sport. Aucune idée. Peut être un moyen de montrer que voilà, j’vide mon corps des saletés que je prends souvent. Même si j’continuerais d’en prendre, alors.. Je veux que tu m’foutes contre le mur, pas juste pour me menacer de j’sais pas trop quoi, mais pour m’violer la bouche et foutre tes mains partout où il faudrait pas en public. J’menfou, du sport.
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C’était exactement ce que je voulais dire par reprendre tout de zéro. Il fallait que l’on oubli ces hommes qui se sont mis entre nous et m’ont empêché d’avoir celle que je désirai depuis mon arrivée sur le continent Américain. Je le disais, à haute voix, mais j’avais du mal à le faire. J’avais un mal de chien à appuyer sur la touche reset car j’avais ce dégoût dans la bouche, dans la tête. J’avais la nausée rien qu’en pensant au faite que Skyler agissait peut-être ainsi pour m’ajouter à sa longue liste de remplaçants, au cas où l’un d’entre eux, les autres, lui feraient faux bond. Il fallait que je me l’avoue à moi-même pour commencer. J’avais peur. J’étais mort de trouille à cette idée-là. « Qu’on se le dise, ce sera pas difficile pour toi ! ». Elle a toujours eu ce don à passer au-dessus des gens. A les oublier d’un revers de la main. Mais je ne suis pas comme ça. J’ai du mal à oublier sa grossesse, à oublier sa façon de me narguer à table en me montrant sa bague de fiançailles. J’ai du mal à oublier son histoire avec Konrad et par-dessus tout, j’avais du mal à oublier au final que c’était Sahel qui l’avait emmenée ici, en Amérique, loin de moi. Et j’avais aussi du mal à me dire qu’il ne s’était rien passé entre eux. Tu ne peux pas fuir ton tortionnaire d’ex avec l’un de ses potes et ne rien faire avec lui. Surtout qu’il était un genre de héros à ce moment-là pour elle. C’était sûr et certain. « Je veux savoir, et sois sincère avec moi ! Tu t’es faite Sahel ? ». Je pouvais pas y aller par 4 chemins et il n’y avait pas 36 000 façons de poser la question. Maintenant, à elle de voir si elle voulait jouer la carte de la sincérité ou continuer sur la voie du mensonge, comme elle le faisait depuis des mois déjà. Puis là, face à ses aveux, je restais inerte, sans cligner un cil, un œil. Du sport, pour moi ? Je comprenais pas. Pourquoi faire du sport pour moi ? Je ne lui avais rien demandé. A moins qu’elle veuille faire ça pour me faire plaisir et du coup, je trouvais que c’était une belle intention de sa part. En l’écoutant par la suite, plus attentivement, je m’imaginais retirer ma capuche, la prendre sauvagement dans mes bras pour lui violer la bouche. Pour la violer tout simplement aussi. Mais ce n’était qu’un rêve. Dans le monde réel, je me contentais de la regarder en souriant. « Les rêves sont fait pour être réalisés, alors continue d’y croire jeune Mather ! ». Je comptais bien réaliser son rêve mais pas tout de suite. J’avais encore certaines images à me retirer de la tête. Certains de ses exs à oublier et puis, je voulais ma réponse au sujet de Sahel, principalement. C’était même le plus important car, en plus d’être son ami et de me l’avoir enlevée pour l’emmener à l’autre bout du monde, ce mec était également mon pote à moi. Le mien. Celui en qui j’avais confiance. Petit chien de la casse !
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Qu’on se le dise, ce sera pas difficile pour toi ! JE sais que je pourrais très vite zapper tout ça, faire comme ci de rien était. Faire juste semblant qu’il n’y a rien eu. Le soucis étant que j’ai toujours cette grande conviction que non, ca ne sera pas aussi simple que de le dire. J’ai été enceinte, j’ai fait une fausse couche et le gars avec qui j’étais fiancé est mort dans un accident à la con. L’autre fils de pute s’est barré sans rien dire deux fois d’affiler. Ca parait assez anodin, vu comme ça, hein ? Non. C’est chiant, c’est collé à moi, à ma peau. Comme ci j’avais un postit rédigé de tout mon passé de merdes et mes conneries sur la gueule. J’ai honte et j’me sens crade. Salie de toutes ces conneries là. Je sais pas. C’est tout ce que je peux lui répondre, finalement. J’en sais rien. Est ce que tout zapper va m’aider ou juste empirer les choses, hein. Personne sait. Je veux savoir, et sois sincère avec moi ! Tu t’es faite Sahel ? Il fallait bien que cette question arrive un jour. Fallait bien qu’elle me tombe dessus de lui, directement. Je me pince l’intérieur de la bouche d’un coup de dent. Oui, une fois. Il y a pas longtemps enfaîte. Juste après que tu sois venu l’autre soir à la mather. Il voulait savoir, il sait. J’peux pas être plus précise. A moins de lui parler de la façon dont-il m’a pris contre lui. Que ses lèvres ont visitées mon corps tout au long d’la nuit. J’pourrais tout lui raconter en détail si juste ce qu’il demande, si il veut d’la sincérité. Mais j’suis pas sûre que ca mènerait bien loin. Juste une fois. Il s’est rien passé d’autre entre nous. Je lui parle, en toute honnêteté de ce que je veux. Ce sont des choses que je désire depuis le temps enfaîte. Depuis qu’il est venu ici. Trop stupide pour le comprendre directement, ou simplement accepter le fait de vouloir ce genre de chose avec ce mec qui m’a fait souffrir fut un temps. Les rêves sont fait pour être réalisés, alors continue d’y croire jeune Mather ! Je souris, bêtement. Me rapprochant de lui, mes mains qui viennent rejoindre les siennes quelques instants pour y frayer un chemin discret. Mes bras finissent par l’enlacer, ma tête qui repose contre son torse. Merci d’être venu, d’avoir quitté l’Ecosse.. Pour moi. Mon visage relevé vers le sien. Situation étrange et tellement agréable à la fois. J’ai b’soin d’toi du con. Tu m’avais manqué, c'était chiant. Sortez les violons maggle.
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Qu’elle le sache réellement ou pas, pas besoin de me faire un dessin. Je ne suis pas stupide et je connais Skyler à force. Ca me tue de l’avouer certes, mais je la connais. C’est peut-être une façade pour faire semblant que tout va bien, mais elle oublie avec facilité les personnes qui l’entourent. Elle n’a eu aucun mal à me mettre de côté et à passer à autre chose avec d’autres hommes et c’est ce qu’elle a fait avec d’autres hommes aussi et ainsi de suite. Elle les enchaîne et les oublie comme s’ils n’étaient que de vulgaires objets sexuels. Comme si nous n’étions rien d’autres que des godes, c’est ça le mot. Et le monde autour d’elle ne serait qu’un sexshop. « Si tu le dis ! ». Elle le savait mieux que quiconque. Elle arrivait juste pas à se l’avouer et donc, à me l’avouer aussi. Tant pis, j’allai faire sans. Je faisais déjà sans beaucoup de choses, depuis pas mal de temps déjà. On marchait, je posais des questions et là, le coup de massue. Un coup à m’assommer et à me faire plonger dans le coma durant des mois entiers, quitte à ne jamais me réveiller. C’était pas tant le fait qu’elle ait couché avec qui me posait problème, mais bien le moment où elle l’avait fait. Il y a de ça quelques semaines. Voire quelques jours. C’était récent, frais. Je prenais sur moi. Je sentais tous mes muscles, tout mon être se contracter. J’avais envie de l’insulter. De lui dire à quel point c’était une fille facile. Lui faire remarquer qu’elle écartait les jambes à une vitesse sans pareille et d’une facilité déconcertante, mais je m’abstenais de tout jugement, de tout commentaire. Mais ça me rendait dingue. J’en n’avais pas l’habitude. Ca me faisait mal au plus profond de mon être. J’avais l’impression de ne pas être sincère en ne disant pas ce que je pensais. Mais, j’allai être un peu trop franc si je le faisais. Je serrais les poings alors qu’elle me prenait dans ses bras. C’était une chose à ne pas faire. Elle se la jouait clairement double jeu avec moi et j’ai horreur de ce jeu. Il n’y a jamais de gagnants là-dedans. Je me fichais pas mal qu’elle soit perdante pour le coup, mais malheureusement pour moi, aucun gagnant voulait dire que je perdais aussi. Elle posait sa tête contre mon torse tout en levant les yeux vers les miens. Elle essayait de se montrer attendrissante, aimante et rassurante. J’avais juste la sale impression de me retrouver face à la reine des hypocrites. Pour un coup d’un soir, elle avait mis ses pseudos sentiments de côté. Son besoin de m’avoir près d’elle, son manque de ma personne. Tout ça c’était envolé pendant qu’elle couchait avec Sahel. Je les imaginais tous les deux et j’en avais la nausée. Elle me l’avait dit avec tant de facilité. Comme si elle m’annonçait le temps qu’il ferait demain à Cambridge. Comme si c’était quelque chose de normal, qu’elle disait tous les jours. Je reculais. Je me défaisais complètement de son emprise pour la regarder avec dégoût, de haut. De très haut. Mes yeux clairs pourtant si sombres, remplis de haine envers elle, envers Sahel. « Tu me prends vraiment pour le dernier des chiens Skyler ou quoi ? Tu te fous littéralement de ma gueule en faites ! ». Putain ! Je serrais d’avantages le poing. Je ne sais pas par quel moyen, mais j’allai me faire saigner la main à force de serrer. Je sentais mes doigts, le peu d’ongles que j’avais, s’enfoncer lentement dans ma chair. « Je sais pas ce que je fous encore ici ! Tu dis des choses, mais t’agis JAMAIS en conséquences ! Va coucher avec ta sœur, le Doyen ou même le curé du coin, j’en peux plus c’est bon, fais ce que tu veux ! C’est ton corps, tes pulsions… ». J’en avais encore pleins d’autre en réserve. Ta grotte, ton utérus, ton vagin, ton temple souillé, ta déchetterie, etc… Son corps est si malmené… Et elle agit exactement de la même façon avec moi. Mais je ne veux plus l’accompagner dans sa chute. Elle veut sombrer ? Qu’elle le fasse, mais sans moi !
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Il me repousse. Il me repousse comme si j’lui vais dit la pire des choses qu’il peut entendre. J’comprends rien. J’sais pas, j’dois être à des kilomètres loin du bon sens. J’dois pas être capable de passer quelques instants de calme total avec lui sans qu’il s’nerve, sans m’insulte indirectement. Il n’en pense pas moins. Il pèse ses mots. Je passe ma main dans le bout de mes cheveux attachés en queue de cheval. Le temps de respirer, longuement. Toute cette histoire me met hors de moi. Mais pas dans un état de colère, comme souvent, même comme.. Toujours. C’est un état de mal-être. J’suis pas censée être contre lui, j’suis censée le retrouver après ce qu’on vient de se dire. Tourner la page. Ces dialogues la, qu’on vient d’avoir. Il met tout à l’eau, comme ça ? D’un revers de main ? Tu me prends vraiment pour le dernier des chiens Skyler ou quoi ? Tu te fous littéralement de ma gueule en faites ! J’comprends pas tu voulais la vérité non ? C’est ce que tu veux ? D’la franchise ? En voilà ! Pourquoi tu réagis comme ça ? C’était une question piège ? Dans les deux cas tu savais que j’ai couché avec lui ! Si je n’avais pas joué carte de l’honnêteté il l’aurait surement su, très vite, ca aurait été pire. Je garde un ton calme, sans m’énerver. J’essaye, de me contrôler, difficilement. Je sais pas ce que je fous encore ici ! Tu dis des choses, mais t’agis JAMAIS en conséquences ! Va coucher avec ta sœur, le Doyen ou même le curé du coin, j’en peux plus c’est bon, fais ce que tu veux ! C’est ton corps, tes pulsions… C’est complètement débile ce que t’es entrain d’me dire là. T’es d’accord que c’est aujourd’hui même qu’on a décidé, tous les deux, de tourner la page, oublier le reste. Pourquoi tu m’reproches quelque chose qui s’est passé avant aujourd’hui ? Je continue de le fixer, l’air carrément pensif. C’est d’la jalousie ? C’est quoi exactement ? J’vois que ça pour expliquer l’fait que t’es entrain de me reprocher quelque chose que tu tiens pas vraiment non plus là. Il me reproche de ne pas agir en conséquence de mes dires okay, bien. Mais lui alors ? Il parle de tourner la page, balayer le passé et il réagit comme ça ? Pire qu’une gonzesse qui fouille la merde pour e trouver l’noyau. J’approche ma main de son avant-bras pour l’entourer de mes deux mains, doucement. Tentative, peut être un peu risquée, qui sait. Arrêtes s’teuplait.
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