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Skyler ► Is it too late to apologize ?

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Is it too late to apologize ?
w/ Skyiam

C’est quoi ce truc que j’ai avec les filles ? Avec les blondes surtout ! Elles me fuient comme la peste. Elles m’utilisent, font en sorte que je ressente quelque chose pour elle. Même quelque chose d’anodin avant de se tirer sur la pointe des pieds. Je veux plus de ça. Je veux plus tomber amoureux. Je veux plus avoir de crush, rien ! Je veux juste vivre en paix avec moi-même. Pour ça, je dois faire face à Skyler, une bonne fois pour toute. Je dois dire adieu à mes démons du passé et elle, c’était un sacré morceau satanique. Le genre que t’as du mal à faire fuir, même si tu te fais exorciser. Sangsue quoi ! Aucun cours pour l’instant, je me rendais droit vers la chambre Mather de Skyler. Cette fois, pas d’entrée en scred par la fenêtre ou en ouvrant discrètement la porte pour l’effrayer. Je me contentais de frapper à la porte et d’attendre qu’elle vienne l’ouvrir. Je regardais mes pieds, mes mains dans les poches de mon jeans. Je me faisais pitié à moi-même tant j’étais calme. Mais y’a un début à tout tu m’diras !
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Drôle de vie. Tourner en rond, recommencer, tomber, se relever. J'pourrais te faire un drama queen façons tumblr girl pour raconter ma vie nulle, poster des photos de moi en noir, la main devant le visage comme ci j'étais un être touchée par Satan en personne qui se marre de mon malheur. J'suis pas ce genre de nana. J'continue ma vie à ma sauce quoi qu'il arrive et depuis quelques temps j'ai juste tendance à empirer les choses en pensant faire bien. Il y a de quoi se lamenter, ca fait pitié. Le plus choquant dans cette affaire c'est que j'ai décidé de bouger les choses. Les choses que je n'ai pas bougée depuis.. ?? Jamais ? J'ai jamais rien pris d'initiative cool. J'ai juste suivit le trait des évènements, that life, bordel. Première idée, le sport. Ouais. Nan. C'est peut être une technique de suicide inconsciente. Je n'ai jamais fait de sport de ma vie. Je faisais des doigts à mes profs les vieux. J'signais des dispenses avec mon chewing-gum mâché toute la mâtiné en cours de math dans lequel je dormais. Je me suis inscrite à la salle de sport. J'imagine le lieu plein de blédard en manque de meuf qui font d'la gonflette pour pécho un max. Ou ceux qui sont là juste pour se filmer entrain de se forger un cul parfait. Bitch. J'ai enfilé ma tenue, le pantalon supra moulant, la baissière de sport. Cheveux attachés. Prête à partir. J'ouvre la porte de ma chambre tombant nez à nez, pif à pif avec Hudson. Je reste figée quelques secondes le temps de choisir quelle réaction je suis censée donner. J'ai surement dû afficher une tête totalement étonnée de le voir la, en face de moi. J'pourrais lui cracher à la gueule et me casser en le poussant. Mais j'me contente de lui faire un sourire. Même pas un sourire forcé.. Un vrai sourire. Salut ! Hum.. J'allais partir là.. T'as besoin d'un truc ? T'as oublié un truc d'ta précédente visite, looool.
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Trop tôt pour lui rendre visite après ce que j’avais fait ? C’était l’impression que j’avais en la voyant ouvrir la porte. Mais son rire me faisait penser qu’au fond, elle était contente. Je sais pas en faites ! Ca me stresse plus qu’autre chose de ne pas savoir. J’aime savoir, j’aime avoir le contrôle de la situation. Je pense qu’à force, ça s’est vite compris. Mais merde ok ? Elle restait plantée là en me faisant clairement comprendre que je devrais pas être là et elle non plus d’ailleurs. Je savais plus où me mettre. J’étais clairement pas le bienvenu. Un sourire en fait, ça veut tout dire. Ca veut même pas dire la moitié de ce que tu penses en réalité. Je la dévisageais. J’observais sa coiffure. Ses vêtements ! Pourquoi ? Il se passait quoi concrètement là ? Je regardais le plafond en riant. « T’allai courir peut-être ? ». Non, je l’imagine clairement pas courir. Si ce n’est courir après les mecs évidemment. Mais j’arrête c’est bon ! J’avais clairement dit que je serai plus méprisant alors fallait que je commence tout de suite. Je me ressaisissais à ma façon. En ne la regardant pas. « Je voulais juste m’excuser, une dernière fois ! Pour tout ce qui s’est passé ces derniers jours ! Après, t’accepte, t’accepte pas ! Ca te regarde ! Je veux plus tellement savoir ce que tu penses de mes excuses et le bordel ! ». J’y allai pas par quatre chemins mais en même temps, avec elle, c’était clairement ce qu’il fallait faire.
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Qu’est ce qu’il vient faire la au juste ? Il vient plus scred pour m’faire la peur de ma vie ?  Pour se foutre bien gentiment d’ma gueule en profitant de ma position de faiblesse ? Non cette fois il semble calme, étrange phénomène. Tout comme moi même qui lui souris, bêtement peut être mais pour la première fois depuis longtemps en tout cas. Je sais pas si je dois crier première petite victoire face à ce sourire si rare entre nous. T’allai courir peut-être ? Ouais, enfin, j’allais à la salle de sport, enfaîte. Ca sonne comme faux, pourtant j’suis déterminée à y aller à cette salle la. Paradoxale connaissant mes fréquentations et mes habitudes. Pauvres poumons malmenés. Je voulais juste m’excuser, une dernière fois ! Pour tout ce qui s’est passé ces derniers jours ! Après, t’accepte, t’accepte pas ! Ca te regarde ! Je veux plus tellement savoir ce que tu penses de mes excuses et le bordel ! Une main derrière ma tête pour gratter quelque centimètre de mon crâne agitant les clés de la porte de ma chambre au passage. Gênée ? Peut être un peu, hein. Okay bah. Okay. C’est top. Enfin que tu viennes t’excuser. C’est cool. Une nouvelle fois un sourire s’étire sur mes lèvres le temps de sortir de la pièce, toute entière cette fois ci, mon sac de sport sous le coude. J’pourrais le laisser rentrer.. Mais à quoi bon. J’suis désolée hein. J’te fais pas rentrer, j’dois y aller, puis j’crois que.. J’crois que tout est dit. Un dernier tour de clé dans la serrure pour être sûre de bien fermer. T’inquiètes pas j’te ferais le double pour que tu viennes quand tu veux en scred ! J’ricanes doucement en agitant le trousseau dans le vide. Je déconne hein. C’est une blague. On va préciser maintenant, vaut mieux, semble-t’il.. Ca pourrait être pris méchamment alors que bah.. pas du tout. Une main sur son épaule, un geste amical. Weird. J’te souhaites pleins d’bonheur William avec.. La Lowell je crois, c’est ça ? jolie en plus ! Ouais. Ca m’arrache la gueule de devoir lui dire ça. J’déteste cette fille, très profondément, au plus profond de moi.
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Je riais quand même parce qu’elle s’apprêtait à faire du sport quoi. C’était Skyler ! A part le sport de chambre, je la voyais pas ailleurs. J’arrivais juste pas à la situer sur un tapis de course, avec des altères aux mains. Ridicule ! Elle voulait certainement prouver à je sais pas qui qu’elle pouvait changer. Sauf que moi, j’avais du mal à le croire. J’haussais les épaules car, la preuve. Je m’excusais et elle trouvait encore le moyen de se foutre de moi sur mes erreurs passées. C’est bon, j’avais bu, pris des trucs qu’il fallait pas, je m’étais introduit dans sa chambre. On n’allait pas reparler cent ans non plus. Elle me soûlait clairement là. Je serrais mes poings dans mes poches, sans qu’elle s’aperçoive du truc. De ma colère grandissante là. J’avais horreur qu’on se foute de moi. Clairement ! Et puis, comme elle le disait, on s’était tout dit, alors pourquoi m’attarder ici ? Et pourquoi je me préoccuperai du fait qu’elle me laisse entrer ou pas. Je levais les yeux. Au-dessus d’elle. Pas besoin de regarder plus haut pour la prendre de haut. Elle était pas si grande que ça. Je l’envoyais chier d’un geste de la main. Comme si je m’en fichais car ouais, c’était le cas. Je m’en fichais comme de mon premier plan cul, sérieux ! « Ouais bah t’es pas la prochaine Kevin Hart avec ton humour de merde ! ». Ouais, j’essayais d’être sympa, courtois, sérieux à contrario d’elle qui prenait clairement rien au sérieux. Va te faire meuf ! « La lowell s’appelle Phoebe et je suis plus avec elle ! Mais comme tu l’as dit, on s’est tout dit, alors bon sport ! ». Je lui tournais le dos et la saluais d’un geste rapide de la main. Je m’en foutais complet encore une fois. Elle faisait aucuns efforts. J’en pouvais plus d’en faire à sa place alors, sayonara ! Allez ! Je marchais détendu, zen, tranquille, les mains dans les poches jusqu’à la sortie de la confrérie Mather.
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Okaaay bon. Il faut oublier de faire de l’humour. Pas maintenant. Son égo de mâle dominant très sensible à ce niveau la est touché. C’est moche, c’est nul. J’gâche tout. Même quand j’essayes de je sais pas, d’étendre l’atmosphère je l’empire. Faut dire que j’ai eu l’habitude d’agir et de répondre d’une certaine manières depuis.. des années. Faut dire que les années sont passées et que à part s’engueuler maintenant, le courant ne passe pas vraiment très bien. Alors qu’avant, fuckit, c’était génial. Le plus frustrant c’est de ne plus se réussir l’ombre d’une bonne action avec lui. J’raye les blagues, c’est apparemment trop violent là. Ouais bah t’es pas la prochaine Kevin Hart avec ton humour de merde ! J’garde juste mon calme, j’prends sur moi. J’ferme cette porte et je dis rien. Naaan l’envie de pousser un long soupire me démange le bout des poumons prêt à expulser tout cet air lassé devant tant de.. Je sais même pas ce que c’est. Mais j’me contrôle. La lowell s’appelle Phoebe et je suis plus avec elle ! Mais comme tu l’as dit, on s’est tout dit, alors bon sport ! OUAAAAAAAAAAAAAAIS ! Mon moi intérieur cri victoire. Mon moi sadique saute partout. J’aimerais sauter partout faire des fuck Phoebe sur le toit, aller la voir pour lui cracher dessus est exprimer mon amour intense pour cette fille, trop bien foutue, en plus. Fuck. Ho.. J’garde un air faussement contrarié par cette nouvelle.. Ca m’attriste et ca me ravie tellement à fois.. J’voulais être sa pote en plus. J’voulais apprendre à la connaître, j’sais pas. Etre sa pote même si sa p’tite tête blonde sous mes yeux me donnerait l’envie de faire un meurtre violent, très violent. J’voulais être sa pote. J’hésite franchement à demander si c’est à cause de moi, ou pas. Je sens juste le revers de la question. Pas tout de suite, pas maintenant. Daaamn, j’réfléchis trop, pourquoi. Il m’fait aller jusqu'à réfléchir sur ce que je vais dire, choquée. Il s’en va, comme il est arrivé surement, la dégaine je m’en foutiste complet. J’le regarde partir, comme une conne. C’pas possible, y’a un post-it « fuis moi » sur ma gueule ou quoi ? J’le rattrape, le pas lancé, mon sac de sport qui tape contre ma hanche au rythme de mon pas. Attends ! On arrive à l’extérieur du grand bâtiment des verts. Susu Mather. Tu veux.. Tu veux pas venir avec moi ? Enfin au moins marché jusqu'à là bas ? J’bégaye presque, trop timide pour lui demander. Moi timide. Où va le monde. S’teuplait, ca me ferais plaisir. Je vais me prendre un vent, ça va être magique, dégoutant, triste. J’sais même pas où c’est enfaite. Il peut pas me dire qu’il ne sait pas. Avec son corps trop parfait la. Greeeugreu. Bien sûr qu’il sait. Pour une fois, j’suis calme, presque mal à l’aise devant ce type qui me fait trop d’effet que ce soit négatif ou pas. Pour une rare fois j’essaye pas de le provoquer, de le défier. Juste.. Je lui parle, comme une personne normale le ferait avec une autre, je suppose.
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Is it too late to apologize ?
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Je ressentais ce frisson de colère que je n’avais pas ressenti depuis belles lurettes. Pas celui que je ressens quand je veux m’en prendre à elle. Quand je suis dans cet état second qui me fait perdre tous mes moyens et qui m’oblige à la frapper, non. Ce frisson, cette gêne parce qu’elle a touché là où ça fait mal en jouant les je m’en-foutiste. A mes yeux, j’avais fait ce grand effort. Celui de venir lui parler. De m’excuser pour ce que j’avais bien pu lui dire et surtout lui faire. Mais elle était insensible à ma venue. A mon geste. Et pour être honnête, ça faisait un mal de chien. Elle avait touché pile au milieu de mon cœur mais aussi de ma tête. Je me disais que je pouvais plus la regarder en face. Que je pouvais plus non plus me regarder en face, dans la glace sous peine d’avoir honte de cette image que je me rejetterai inévitablement à la figure. Alors, j’essayais de me la jouer insensible à sa réaction et surtout, je m’en-foutiste, tout comme elle. Je me disais que c’était sans doute la meilleure des solutions. Je m’en allais les mains dans les poches, sans lui jeter un seul regard. Mais je marchais lentement. Pour lui montrer que j’avais tout mon temps et que je partirai pas précipitamment sous le coup de la colère. Je voulais pas qu’elle comprenne que ça y est, elle avait gagné. Elle aussi avait réussi à me faire mal et elle n’avait pas besoin des poings pour faire ça. Elle avait touché en plein dans ma fierté d’homme épris d’elle. Sauf qu’à force de me prendre des mandales de sa part, mes sentiments finissaient par partir et bientôt, je n’aurai plus que de la haine envers elle. Il fallait qu’elle s’y attende à ça. Finalement, j’entendais sa petite voix aiguë. Elle me demandait de l’attendre. A cet instant, je me demandais clairement ce qu’elle me voulait. J’étais agacé. Comme elle me l’avait clairement fait comprendre, on s’était tout dit elle et moi. Pourquoi continuer de converser à ce sujet. Pourquoi continuer de converser tout simplement. Echanger ne servait plus à rien alors. Mais je m’arrêtais quand même. Parce que, malgré mon côté violent, je suis pas quelqu’un d’impoli. Déjà, je suis violent qu’avec elle. Comme si j’étais un autre homme en sa présence. Comme s’il y avait clairement quelque chose qui déclenchait ma colère quand elle se trouvait en face de moi. Une sorte d’interrupteur qu’elle mettait sur on quand elle me voyait arriver au loin. Enfin non ! Je savais que tout ça était dû à l’alcool, aux drogues et notre passif commun mais j’aimais me dire que je n’en connaissais pas la raison et que je finirai par la trouver. Sauf que je savais pas où je pouvais la trouver. « On va alors marcher dans le silence jusqu’à ce qu’on arrive vu qu’on n’a plus rien à se dire hum ! ». Je l’attendais. J’attendais qu’elle soit juste à côté de moi et je reprenais ma démarche nonchalante. Elle m’avouait ne même pas savoir où le gym se trouvait. Elle pensait vraiment que je serai étonné d’entendre ça ? Je riais une fois de plus en haussant les épaules. « Sans blagues Hamilton ! ». Elle s’était peut-être lancée dans une nouvelle résolution avant le jour de l’an qu’elle ne tiendrait pas très longtemps. Comme toutes les résolutions que l’on prend. Moi par exemple, j’avais décidé d’arrêter de lui courir après parce que les vents, je les supportais plus. Clairement ! Mais non, j’avais raté ma mission. La preuve ! Je serai pas là sinon ! Je portais la capuche de ma veste sur la tête. Là, je faisais carrément le mec qui voulait pas qu’on le calcule. C’était le cas. Je voulais pas. Je voulais rester tranquille en faites. Mais je le ferai une fois qu’elle serait arrivée au gym vu qu’elle ne savait pas où y aller et même comment. « Tu m’aurais demandé de t’attendre si tu savais comment y aller ? ». Qu’on se le dise et qu’on se pose la question hum ! Je suis pas hypocrite, elle le sait. Tout le monde le sait. Alors, le besoin de savoir se faisait fortement ressentir. Je voulais justement savoir si elle, elle n’agissait pas hypocritement avec moi. Parce que son côté double face, j’en pouvais plus. Je pouvais plus supporter qu’un jour, elle me dise oui, l’autre non. Un jour chaud, un jour froid. Je voulais savoir. Et si ? Et si ? Cette question avec elle, je me la posais sans arrêt ! Et si je retournais en Ecosse, est-ce qu’elle se jetterait dans les bras de Sahel comme j’ai pu le lire dans ces déchets de blogs à ragots ? Plus j’y pensais et plus j’avais mal.
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[quote="Skyler J. Hamilton"]

Franchement. Si on m’avait dit que ca serait si compliqué tout ça, est ce que j’aurais agis pareil que comme je l’ai fait ? Franchement.. ? J’en sais rien. Tout est excitant et à l’inverse.. pas du tout. La relation que j’entretiens avec William –si on peut appeler ça une relation- c’est quelque chose d’intense mais tellement mauvais à la fois. L’impression de sombrer à chaque instant où je lui parle. De partir trop loin quand il décide de prendre la position de force avec moi. C’est comme quelque chose de pas cool qi donne terriblement envie. Une drogue. C’est mal, néfaste. C’est capable de détruire une vie entière et pourtant on ne peut pas s’empêcher d’en reprendre. Est ce que j’suis entrain d’te dire que William c’est une drogue pour moi ? P’tetre bien. Une drogue bien trop dure pour moi d’ailleurs. On va alors marcher dans le silence jusqu’à ce qu’on arrive vu qu’on n’a plus rien à se dire hum ! Rancunier, ouais. Je le sais, j’le comprends bien. J’suis au courant. Sans blagues Hamilton ! J’ai bouffé de rire, légèrement, mon regard tourné sur moi même pour scruter mon p’tit corps quand même pas si mal pour quelqu’un qui fait aucun effort physique. Hééé. Sérieux, c’est pas drôle, regarde ! Ca se voit tant que ça sue j’suis pas sportive ? Naaaan. J’suis bonne. Pour rester modeste. Sa capuche sur la tête, sans un mots, juste le son de nos pas, le son de la ville autour de nous. Rien de plus. Frustrant, tellement frustrant. Ne pas savoir quoi placer la, tout de suite. De toute façons il est fermé. Fermé à la parole visiblement. Je dois juste patienter et attendre qu’il se décide à entamer la discussion, je suppose. Discussion aussi minime soit-elle. Tu m’aurais demandé de t’attendre si tu savais comment y aller ? Et sans hésiter un seul instant je lui réponds. Oui. Oui je lui aurais demandé de m’attendre, de venir, de m’accompagner du moins. J’ai l’impression qu’il voit le mal partout dans ce que je peux dire. Que tout ce qui sort de ma bouche est méchant, méprisant et moqueur. C’est faux, vraiment. Ma main attrape son bras pour qu’il s’arrête de marcher. J’suis très contente que tu sois venu pour t’excuser. Vraiment j’le pense. Ca m’semble important de lui confirmer. D’accentuer ce que je ressens vis à vis de sa petite visite. Je pense juste que non on à plus rien a dire par rapport à.. Tout ce qu’il s’est passé ? Cette année du moins. Garder que les bons souvenirs. C’est peut être comme ça qu’ont dit. J’crois. J’sais pas si c’est très intéressant mais.. J’m’excuse aussi pour tout. C’est sincère, really. Mes yeux fixe directement les siens sans même avoir la tentation de regarder ailleurs par gênes. Ce que je dis est sincère, cette fois. Mais c’est top niaaaant niant la. Niais. Des excuses, des pardooooon. Reprends toi Skyler. Enfin.. Voilà. J’détourne le regard en lâchant un p’tit sourire maintenant que j’ai dis c’que je pense juste à dire.
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Elle était drôlement bien foutue mais en effet, ça se voyait qu’elle faisait pas de sport. Elle se nourrissait juste bien ou se nourrissait pas quoi. Non parce que c’était quand même assez flasque. Pas de muscle. C’était juste plat. Je sortais le rire le moins crédible du monde tout en la dévisageant de la tête aux pieds. Pour faire ça, je m’étais bien sûr arrêté de marcher. Je pouvais pas l’observer en marchant, c’était pas possible. Moi, je prends soin de moi, dans tous les sens du terme. En même temps, il faut dire que la salle de sport, je la connais. Je sais comment y aller, je sais utiliser les machines qui y sont aussi. Elle, j’aimerai bien la voir mettre en marche, ne serait-ce que le tapis de course et courir dessus en moins 5 minutes sans être essoufflée à en crever. « Ouais ça se voit chérie ! Genre, t’es bien foutue mais y’a rien de musclé là-dedans ! ». J’allai pas non plus me la jouer hypocrite pour lui faire plaisir. Puis, si je mentais, elle le verrait clairement. Je suis pas doué pour ça. Pas du tout même. Je suis d’ailleurs pas doué non plus pour ne pas prendre les choses à cœur et les laisser couler, comme si de rien n’était. Je m’étais clairement senti obligé de lui demander si elle m’aurait demandé de lui tenir compagnie jusqu’au gym si elle savait comment s’y rendre. Elle s’était contentée d’un simple oui. Je me contentais alors de cette réponse. Juste oui. Ok ! Elle avait ensuite eu une sorte d’illumination. Comme si ma question lui avait fait comprendre que j’étais insatisfait par son comportement, par sa réaction face à mes excuses. Elle avait visé juste honnêtement. J’étais très insatisfait. J’aurai voulu qu’elle agisse différemment. Qu’elle me fasse un vrai sourire. Qu’elle soit contente. Qu’elle comprenne l’effort que j’avais due faire pour revenir me rabaisser devant elle en m’excusant pour quelque chose que j’avais fait certes, mais par sa faute. Elle m’avait rendu fou. Vraiment fou. Mon coup de poing était parti tout seul et j’étais clairement resté focalisé là-dessus durant des semaines. Mais comme elle le disait elle-même, on n’avait plus rien à se dire à ce sujet. Pourquoi revenir sur ce que je lui avais rabâché cette année. Ca faisait quand même un an que j’étais arrivé à Harvard. Il y a un an, j’étais chez ma psy à parler de mes soucis mentaux, de Skyler. Quoique les deux vont ensemble j’ai envie de dire. Et là, je suis à côté d’elle, à lui parler plus calmement qu’un muet. Je trouve que j’ai fait quand même pas mal de progrès. J’ai évolué sans me lancer de fleurs. « Ca me va ! On repart de zéro alors ! ». Si on devait repartir de zéro, je voulais faire comme on cœur me demandait actuellement d’agir. On avait repris notre marche depuis, on est d’accord. Mais je m’arrêtais à nouveau, sans lui dire quoi que ce soit. Je l’attrapais par le bras. N’importe lequel et je la rapprochais de moi. « Si on reprend de zéro, je pense qu’à une chose. Au fait que tu me plais ! Que t’es dingue et que tu me plais ! ». J’avançais mon visage du sien, lui volant un baiser à la fin de ma phrase. J’en avais envie. C’était un vrai baiser. Avec de vrais sentiments. Pas l’un de ces baisers que j’avais pu lui donner tout au long de cette année. Un vrai ! Mais à la fin de celui-ci, je préférai ne rien dire. Je la lâchais et je me remettais à marcher, tout simplement. Nul besoin d’épiloguer là-dessus. Du moins, pas pour le moment.
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Ouais ça se voit chérie ! Genre, t’es bien foutue mais y’a rien de musclé là-dedans ! A la limite l’absence de muscle n’est même pas dérangeante, au final. Le corps parfait jusque dans les gênes c’est pas la meilleure récompense de dame nature ça ? A la base c’est même pas pour me faire un corps façons Serena Williams le mur du cours de tennis, nonon. C’est juste pour me calmer, m’apaiser, me défouler sur autre chose quelqu’un ou quelque chose de potentiellement fragiles. On continue de marcher, à même hauteur. Franchement je trouve même que c’est déjà un grand pas dans le côté positif là. Réussir à se tenir sur le même trottoir sans se tuer, se menacer, sans pleurer.. C’est un exploit depuis des mois rien que de réussir ça. Je me sens pousser des ailes, une confiance excessive m’envahit. Je le stop dans notre marche pour lui reformuler peut être plus clairement ce dont je voulais en venir tout à l’heure. Et pour une fois depuis longtemps mes mots semblent enfin être juste. Enfiiiiin ils semblent être bien. Ca me va ! On repart de zéro alors ! C’était si simple que ça de repartir à zéro ? De se lancer sur quelque chose de nouveau ? C’était si simple, sérieusement ? Des excuses, un sourire, d’la sincérité ? Note à moi même, ne jamais oublier de sourire maintenant, hein. C’est trop important d’exhiber ses dents colgate. Quand on dit repartir de zéro, on parlejuste de cette année à effacer , non ? Ouesh, la seule chose qui me rattache à lui, encore et toujours c’est les années folles qu’on a vécues ensemble, alors.. ! Il me stop de nouveau, mon corps qui se rapproche de sien. Daamn fuck. Il m’fais quoi la ? Si on reprend de zéro, je pense qu’à une chose. Au fait que tu me plais ! Que t’es dingue et que tu me plais ! Ses lèvres sur les miennes, un baisé. Un fucking baisé. Ses putes de lèvres sur les miennes quelques instants. Assez longtemps pour me laisser toute retournée.. Pas assez pour m’rendre carrément folle. Il continue de marcher, sans soucis, sans pression. Comme ci, vraiment rien était quoi. J’suis bloquée, sans savoir réagir. A croire qu’il s’est vraiment passé un truc de dingue, parce que oui.. C’est un truc de dingue là ! Je reprends la cadence un peu plus rapidement pour me remboiter dans sa marche. J’préfère de rien rajouter non plus, question mot. J’crois qu’on a assez expérimenté la parole entre nous, ca marche pas des masses.. Autant rien dire. Je remarque la salle de sport, bien décoré sur les vitrines qui donne sur la rue. Okaay, t’as du temps la devant toi ? J’pense avoir besoin d’un gars super sexy pour m’expliquer comment ça marche la dedans. Ouaaais, vas y, reste laaa. Ou propose moi d’aller ailleurs, j’ne sais rien, bordel. Tu ne vas pas repartir et m’laisser mijoter d’tout ça dans ma pauvre sale de sport à agoniser comme un porc à chaque mouvement. Franchement, j’vois vraiment que toi qui serais capable d’me faire bouger l’cul. Les pauvres autres mecs seraient juste capable de s’en prendre une à essayer de me forcer à quoi que ce soit, bien que ce soit leur métier, après tout. Rien à foutre.
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