Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityVisite surprise | Aurelio - Page 2
-28%
Le deal à ne pas rater :
-28% Machine à café avec broyeur à grain MELITTA Purista
229.99 € 318.99 €
Voir le deal


Visite surprise | Aurelio

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Visite surprise
Caitlyn M. Di-Rosa & Aurelio E. Santacruz


J'avais pu rattraper mes heures de sommeil, ou plutôt mes quelques minutes de soleil que j'avais perdu, alors je ne comptais pas m’énerver contre lui, il avait le droit de prendre son temps, après tout, nous étions en vacance et non pas sur un camp militaire ou en prison où absolument tout est chronométré. Nous étions enfin dehors. Je sautais sur son dos, je m'étais accrochée à lui, mes mains touchaient ses pectoraux. Je susurrais alors à oreille, « Waw, intéressant tout ça ! ». Je ne voulais pas redescendre, c'était un homme, et j'étais une femme et puis même, je n'étais pas ronde du tout, donc je savais que je n'étais réellement lourde et puis après tout, je voulais l'embêter, donc je ne descendis pas, il allait me porter jusqu'à son ce qu'on arrive près des élèves, ou bien jusqu'à ce que je veuille marcher, mais bon, pour le moment, je n'en avais absolument pas avant, donc dommage pour lui, mais il allait devoir me porter.

Je savais que je pouvais être casse pieds par moment, mais je savais également qu'il m'adorait comme j'étais. La petite latina, casse pieds et belle en plus de ça. Je déposai un baiser affectueux sur le côté de sa nuque avant de lui poser une très belle question, enfin, belle selon moi, « Tu sais que je t'adore ? ». Oui je l'adorai, mais malheureusement, je ne pouvais pas aller plus loin que ça avec lui, même si j'en avais très envie, surtout à l'heure, quand j'étais dans sa chambre. « Sinon, tu ne me trouves pas trop lourde ? ». Je savais que je n'étais pas lourde mais je voulais être polie et poser la question, juste au cas où comme on dit...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Caitlyn n'en tint pas rigueur à Aurelio concernant son retard. C'était un soulagement pour lui. Il savait comment pouvaient être les filles. Elles pouvaient être joyeuses puis quelques minutes plus tard pouvaient vous en vouloir pour on ne sait quelle raison. Le jeune cubain se sentit donc rassuré. Cette journée ne commençait finalement pas si mal.

Prêts à partir, Aurelio fit signe à Caitlyn de sortir la première et il referma ensuite derrière lui lentement la porte histoire de ne pas réveiller les autres bien qu'il doutait sincèrement de les réveiller vu que même après tout le raffut qu'ils avaient crée, aucun de ses collègues ne s'était réveillé. Une bouteille d'eau minérale à la main, les deux professeurs quittaient le petit chalet en bois pour rejoindre un sentier. Aurelio regardait un peu partout, l'air fasciné. En réalité, ce n'était pas vraiment l'environnement qui lui plaisait. Il n'avait jamais été un grand fan de la nature. Il la respectait, mais n'était pas super impliqué comme certains pour la défense de la nature. Distrait, il eût un haut le corps lorsque la belle brune sauta sur lui et enroula ses bras autour de son cou. Par chance, c'était quelqu'un qui avait des réflexes. Il rattrapa de peu la jeune femme qui n'avait même pas du remarquer qu'elle avait failli glisser s'il ne l'avait pas rattrapé à temps. Aurelio ne put s'empêcher de sourire.

Les mains de Caitlyn glissèrent jusqu'aux pectoraux d'Aurelio. Fruit du hasard ou bien tentative de séduction? Caitlyn ne cessait depuis le début de lui lancer des piques, des petits signes qui laissaient à désirer. Mais s'il se trompait? Il ne voulait rien tenter pour l'instant sans en avoir le coeur net. Il voulait éviter de ternir leur relation amicale et fusionnelle. Ils avaient une complicité qu'aucun autre duo n'avait. Une complicité amicale évidemment. La belle argentine complimenta Aurelio sur ses pectoraux. Là, ce ne faisait aucun doute. Il fallait vraiment être aveugle. Pourtant, le jeune cubain n'était pas décidé à lui donner ce qu'elle voulait..du moins pas de tout de suite. Il était joueur et avait envie de jouer, de se prêter lui aussi au jeu. Il fit mine de rester indifférent ou du moins de ne pas avoir compris le sous-entendu.

«ça, ça demande de l'entretien!»

Ils marchèrent donc ensemble, Caitlyn agrippée au cou du jeune latino. Elle n'était pas très lourde. Elle avait une silhouette fine, un poids plume comme on disait souvent. Rien de très dérangeant pour le jeune professeur d'études hispaniques. Un silence s'était imposé entre les deux mais ce n'était pas un silence dérangeant, loin de là. Aurelio avait le sourire aux lèvres mais il ne préférait ne pas trop être démonstratif. Il ne voulait pas éveiller de soupçons. Mais il ce ne fut pas lui qui éveilla des soupçons mais plutôt Caitlyn lorsqu'elle déposa un doux et redoutable baiser dans le cou parfumé du jeune latino. Aurelio se racla la gorge et frissonna.A quoi donc jouait-elle? Elle le plongeait maintenant dans une confusion totale.

« Tu sais que je t'adore ? »

C'était tout? Une réelle déception pour le jeune latino qui s'attendait à des aveux à la hauteur de ses espérances. "Je t'adore" on pouvait le dire à un ami qu'on appréciait énormément. C'était tellement vague. Il aurait bien sûr préféré une autre réponse mais il préféra garder ses douces pensées pour lui. Il n'était déjà pas très partant pour passer aux aveux mais là, il l'était encore moins. Il tenta de rire, à gorge déployé d'un air dégagé mais sans succès. Son rire était nerveux et sa voix chevrotante.

« Moi aussi, Caitlyn, moi aussi.»

Que pouvait-il dire de plus? Aurelio n'était pas du genre à ne pas être sincère dans ses paroles comme dans ses actes. Mais qu'arrive-t-il quand on tombe sous le joug de quelqu'un et que l'on sait que l'on ne peut avoir plus? Alors, commence la déception. Au début, il avait eu quelques espérances. Les paroles bien suggestives, un doux baiser qui laissait à penser qu'une future relation était envisageable et maintenant quoi? un "je t'adore" que l'on pouvait aussi bien dire à son meilleur ami qu'à son cousin. C'était un véritable ascenseur émotionnel qui confirmait les craintes qu'avait eu Aurelio. Il s'efforça de montrer une indifférence ou plutôt de dissimuler sa déception en gardant le sourire, un sourire timide, un sourire qui en disait long sur son état d'âme.


« Sinon, tu ne me trouves pas trop lourde ? »

Lourde? Il était loin de la trouver lourde. Puis, certes la belle latina était pleine d'énergie mais c'était justement ce qui faisait tout son charme, charme auquel le jeune cubain n'avait pas pu résisté. Elle apportait de la joie et de la bonne humeur. Aurelio se sentait même mal lorsqu'il ne la voyait pas. Il s'arrangeait même pour la croiser dans un couloir de l'Université. Un bref regard, un simple sourire suffisait pour le mettre de bonne humeur pour toute la journée. Alors forcément, quand il a su que la Di-Rosa était aussi de la partie pour le Summer Camp, il a tout de suite accepté. Si seulement elle savait...

«Lourde? Pas du tout. Tu es pleine de vie, tu donnes la pêche! puis, t'es attachante comme fille.»

Aurelio n'en dit pas plus. Il avait dit ça avec sincérité mais il ne voulait pas en dire trop sur ce qu'il pensait d'elle. Il y'avait des sentiments qu'il fallait malheureusement refouler si l'on ne voulait pas être blessé dans l'avenir.

«Pas trop fatiguée de marcher?» dit-il d'un ton taquin, le sourire aux lèvres.Porter Caitlyn n'était pas du tout dérangeant mais cette remarque lui permettait de penser à autre chose que sa déception ou son espoir irréalisable , lui permettait de rebondir sur autre chose et surtout de briser cette atmosphère pesante qui s'était installée quelques minutes entre eux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Visite surprise
Caitlyn M. Di-Rosa & Aurelio E. Santacruz


Ahah, Aurelio avait l'air de s'aimer, d'aimer son corps, mais je ne pouvais pas le lui reprocher, j'étais pareille, j'adorais mon corps, j'adorai celle que j'étais, donc comment lui en vouloir. Je ne répondait pas, préférant en rire tout simplement.

Sa réponse m'avait vraiment surprise, je ne savais pas quoi répondre. Pourquoi une telle réponse ? Je ne savais pas si j'avais dis quelques choses de travers, quelques choses de mal. En même temps, je n'aimais pas m'ouvrir, je n'y arrivais pas, j'avais tellement souffert que m'ouvrir était une chose extrêmement difficile à faire. Mais bon, je n'avais rien dis à ça une de plus, en guise de merci, en quelques sortes, je l'embrassa dans le cou, une fois de plus. Cela me fit rire, car je m'imaginais à sa place, un baiser dans le cou, c'était LA chose qui me donnait des frissons, je devenais enfantine, j'en avais des frissons et je riais seule. Mais ça réaction me tracassait, je n'arrêtais pas d'y penser, je ne savais pas pourquoi, j'avais l'impression de l'avoir blessé, déçu ou même vexé.«  Ça va pas Aurelio ? J'ai fais quelques choses qui ne fallait pas ? ». Je voulais tellement qu'il soit franc avec moi, je voulais connaître le fond de ses pensées, je voulais savoir absolument tout de ce qu'il pensait à ce moment exact.

Je lui avais demandé si je n'étais pas lourde, ses compliments me firent plaisir, mais je parlais physiquement et non pas intérieurement. Je riais intérieurement avant de lui répondre. «  Ça me fait plaisir, mais je voulais savoir si je n'étais pas lourde, mais physiquement ! ». Je ne lui en voulais pas, je n'avais pas été très clair, c'était de ma faute tout simplement, je ne lui en voulais pas, mais ce qu'il m'avait dit était très mignon, et je ne pouvais que l'en remercier, on ne me disait pas ça souvent d'ailleurs.

Cela faisait quelques minutes que l'on marchait, ou plutôt, qu'Aurelio marchait et qu'il me portait. Et d'ailleurs, il en jouait, en me demandant si je n'était pas trop épuisée de marcher. Et pour être franche, non absolument pas. J'étais bien, sur son dos, à lui faire des bisous dans le cou et murmurait tout ce que je pensais à son oreille. « Je ne suis pas fatiguée du tout, je suis très bien la où je suis. ». Dans ses bras, ou plutôt sur dos, je ne pouvais pas m'en plaindre, je me tenais à lui d'une main, passant l'autre dans ses cheveux. Je pouvais lui faire tout ce dont j'avais envie, alors que lui non. Enfin si, il pouvait me lâcher s'il le voulait, mais bon, je savais qu'il ne serait pas capable de le faire, car ça, je le lui ferait bien payer par contre.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)