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Visite surprise | Aurelio

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Visite surprise
Caitlyn M. Di-Rosa & Aurelio E. Santacruz


« Bonjour à tous, il est ... »

Ma main avait atterrit brutalement sur mon radio réveil, ce qui avait interrompu l'animateur radio. Je chuchotai, « Tais-toi, je sais parfaitement l'heure qu'il est ! ». J'avais l'air d'une enfant qui s'était couchée très tard la veille et qui ne voulait pas se lever pour sa magnifique journée d'école. Mais bon, là, pour moi, il était 10 heures du matin et il était l'heure de se lever. Je faisais partie des accompagnateurs de se voyage et je devais donc être disponible à tout moment. Je me levais alors de mon lit, les cheveux en bataille et un oeil bien plus ouvert que l'autre. J'avais eu une nuit très agitée, et c'est ainsi que je faisais concurrence à Cruella d'Enfer à mon réveil. Vous ne la connaissez pas ? Mais si, là méchante femme du chef d'oeuvre de Disney "Les 101 Dalmatiens". Et bien, à mon réveil, j'avais pris son apparence.

Je retira ma couette chaude qui était au niveau de ma taille. Je voulais l'emporter avec moi, mais bon, il n'allait pas faire très froid dans la journée, car rappelez-vous bien que nous sommes en été. Enfin ... Je fis mon lit brièvement, j'emmenais la couette jusqu'à la tête du lit et passais ma main rapidement sur celle-ci, pour que les personnes partageant ma chambre sachent que je n'étais plus présente dans la chambre et je ne voulais pas non plus la laisser en désordre. J'avançais sur la pointe des pieds jusqu'à la salle de bain, mais avant j'avais pris le soin d'emmener toutes mes affaires avec moi, c'est à dire mon mini short en jean, pour que l'on puisse admirer mes belles jambes, mon débardeur blanc, tout simplement parce qu'il faisait chaud et des ballerines car avec cette chaleur et les activités qu'il y avait sur ce camp, c'était la meilleure chose à mettre aux pieds pour une fille. Bref, je pris une bonne douche assez tiède, pour ne pas prendre froid et pour ne pas non plus avoir trop chaud et tout simplement pour être propre. 15 minutes plus tard, je sortais de la douche en prenant soin de bien enrouler ma serviette autour de mon magnifique corps. Je dois l'avouer, je me trouve belle oui.

Je m'habillais rapidement, m'attachais les cheveux soigneusement pour avoir une belle queue de cheval avant de mettre mes lunettes de soleil et de mettre ma sacoche qui contenait toutes ce dont j'avais besoin. Pour le moment, je n'avais rien à faire et je ne voulais pas réveiller celle qui partageait la chambre avec moi alors je pris une grande décision ... Aller embêter une autre personne, un professeur d'espagnol tout comme moi, un professeur très beau, très charmant, enfin ... Le professeur que j'aurai aimé avoir quand j'étais étudiante à Harvard. J'arrivais devant la porte, je toquais 3 fois avant de dire d'une toute petite voix, à peine audible pour qu'il ne puisse pas la reconnaître ... « Monsieur Santacruz ?! »
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Ce matin-là, il était tôt lorsqu' Aurelio Estavan Santacruz se leva. Le beau cubain n'avait jamais été très matinale. Il était plutôt habitué à se lever tard, étonnant pour un professeur. Heureusement, Aurelio avait des horaires flexibles , un emploi du temps qui lui convenait et répondait à ses attentes. Il commençait généralement tard le matin et terminait tôt l'après-midi. Mais ce matin-là, les choses se passaient différemment. C'était le début du fameux Summer Camp et le gros dormeur devait donc montrer l'exemple aux élèves en se levant à l'heure et en se rendant au point de rendez-vous à temps. Son réveil retentit. Il appuya férocement sur son réveil pour éviter qu'il ne dérange ses collègues de travail.

Il soupira. Il avait la flemme de se lever. Il n'avait ni la force ni l'envie. Mais son devoir de professeur l'appelait et il n'avait pas vraiment le choix. Un peu secoué et ayant du mal à émerger, il resta pendant quelques minutes dans son lit, allongé, une couverture aussi fine qu'un drap couvrant ses pieds jusqu'à son bassin et dévoilant son torse musclé. Il bâilla silencieusement et resta là à regarder le plafond sans intérêt. Pendant un moment, il regrettait vraiment de s'être proposé pour accompagner les élèves au Summer Camp. Le Summer Camp demandait une certaine responsabilité, responsabilité que Aurelio n'avait pas toujours.

Après quelques minutes passées sur son lit à attendre de bien se réveiller et de bien émerger, le cubain s'étira discrètement les bras avant de bâiller de nouveau. Sans ses 11h de sommeil, il avait une sale mine. Son teint était cireux et ses yeux marqués par la fatigue. Aurelio se leva de son lit et se dirigea vers la mini kitchenette lançant un bref regard à ses collègues qui eux aussi dormaient profondément.


« Qu'est-ce qui m'a pris de...»

Aurelio fut interrompu. Au même moment, il entendit quelqu'un frapper à la porte. Etait-ce un élève? Etait-il arrivé quelque chose dès la première nuit? Si c'était le cas, Aurelio n'était pas motivé pour jouer les super-héros et voler au secours de l'un d'entre eux. Le cubain enfila rapidement un t-shirt mais ne prit pas le temps de changer son pantalon de pyjama. Il s'avança discrètement vers la porte, les sourcils froncés. Après, un moment d'attente, il entendit une voix aigue et faible. Cette voix, bien que modifiée, il la connaissait. Il se mit à rire intérieurement. Il ouvrit la porte, rassuré et ne laissa dépasser que sa tête. Il ne voulait pas que Caitlyn l'aperçoive en tenue de pyjama. Là, il se sentirait couvert de honte.

Caitlyn s'était déjà habillée et était merveilleusement bien coiffée. Il lui adressa un sourire ravissant. Elle était toujours au top, comme il ne cessait de le répéter. Parfaitement bien coiffée et la mine radieuse. Parfois, il aurait aimé qu'elle lui donne de son énergie.


« Caitlyn..quelle agréable surprise..Prête à passer à l'action à ce que je vois!»

Aurelio lui adressa un sourire taquin accompagné d'un clin d'oeil.
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Caitlyn M. Di-Rosa & Aurelio E. Santacruz


Vu la tête que faisait Aurelio, il savait que c'était moi avant même d'ouvrir la porte. Mon changement de voix n'avait pas fonctionné, mais tant pis. Je ne voyais que sa tête et apparemment il venait de se réveiller, il n'avait pas l'air très en forme mais j'allai remédier à tout ça. « Je serai prête à passer à l'action avec toi si tu ouvres la porte ! ». Il était évident que je disais ça pour l'embêter, pour le taquiner et c'est tout. Il est clair que cet homme était très attirant, musclé, beau et latino en plus de ça, mais j'avais déjà quelqu'un et d'ailleurs, Aurelio était au courant de cette relation alors je pense qu'il savait que ce que je disais était une simple blague et rien d'autre.

Je poussais lentement la porte pour qu'il ne se la prenne pas dans la tête, je ne voulais pas le blesser dès le premier jour de "boulot". « D'accord ou pas d'accord, je rentre ! ». La porte était assez ouverte pour que je puisse passer, vu l'épaisseur de mon corps, je n'avais pas besoin d'un grand espace pour passer entre le mur et la porte. Je sautillais alors vers le lit qui était vide et arrivée devant je sautais dessus, mais bon, vu mon poids, il était inutile de préciser que le lit ne s'écroula pas sur le sol.

C'est en regardant ensuite Aurelio que je compris pourquoi il n'avait pas voulu m'ouvrir la porte et j'eus un fou rire que je tentais de taire en mettant une main sur ma bouche. Aurelio en pyjama, c'était une chose que je ne voyais pas tout le temps ... Non, rectification, je n'avais jamais vu ça depuis que je le connaissais. Je sortais alors mon téléphone portable afin de prendre une photo et je lui dis en chuchotant, « Un petit sourire pour la gentille Caitlyn ! ».
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« Je serai prête à passer à l'action avec toi si tu ouvres la porte ! »

Ces paroles, Aurelio ne s'attendait pas à les entendre. Il s'attendait à une toute autre réponse que celle-là. Mais elle n'était pas des plus déplaisantes, au contraire. A ce moment là, il s'imagina une scène torride dont on se passera bien les détails entre lui et la belle professeur mais le professeur d'études hispaniques remit les pieds sur terre. C'était irréalisable. Et puis, cette attirance n'était pas forcément réciproque. Aurelio n'en avait jamais parlé à Caitlyn et ne le fera pas. Une belle femme comme elle avait sûrement mieux à faire que de s'intéresser à un pauvre prof de classe moyenne et qui plus est flemmard et dormeur. La tentation y était mais à chaque fois il devait ravaler son envie de lui sauter dessus, son envie de lui révéler la vraie nature de ses sentiments. Ses sentiments resteront cachés aussi longtemps qu'il le faudra. C'était dur de vivre chaque jour avec ce "secret".

Le beau cubain hésitait à lui ouvrir la porte. Il craignait en fait les représailles de ses collègues qui étaient en train de dormir. Puis, Caitlyn n'était pas du genre très discrète. Au contraire, elle savait se faire remarquer même involontairement. La belle latino ne passait jamais inaperçue. D'un autre côté, il ne pouvait pas lui refuser ça. Il craignait qu'elle lui en tienne rigueur. L'idée d'être fâchée avec elle lui était insupportable. Mais Caitlyn n'attendit pas plus longtemps la permission de son collègue de travail pour se faufiler dans la maison. A peine rentrée, elle sauta sur le lit sur lequel Aurelio était allongé quelques minutes plus tôt.

« Non attend!»

Il s'empressa de se diriger vers son lit et d'immobiliser avec ses bras la jeune femme pour éviter qu'elle ne fasse plus de bruit. Il plaça un doigt sur ses lèvres et lui fit signe de regarder à droite. Plus loin, ses collègues dormaient encore et il fut surprit de voir que même l'entrée fracassante de la Di-Rosa n'avait pas perturbé leur sommeil.

Soudain, le regard de la belle brune s'arrêta sur le jeune cubain qui comprit très vite l'air amusé de Caitlyn. Elle voyait pour la première fois Aurelio en pyjama. Heureusement, il ne portait pas un pyjama avec de vieux dessins ringards que l'on trouverait sur celui d'un bambin. Alarmé, il s'empara de sa couverture et l'enroula autour de son bassin comme une serviette de bain alors que Caitlyn sortait son portable pour immortaliser le moment.

«Pas question! ça va finir sur facebook ou harvablog. j'ai une réputation à tenir moi! » dit-il le sourire jusqu'aux yeux.

Aurelio savait très bien que Caitlyn n'oserait pas le faire. Mais il faut parfois se méfier du loup qui dort. La connaissant, elle pourrait être prise d'une folie soudaine et publier cette photo ou pire le menacer lors d'un chantage par exemple.

«Je sens que ça va me suivre tout le long de mon parcours à Harvard » dit-il l'air à moitié amusé.

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Moi mettre une photo de lui sur Harvablog ou Facebook alors que je n'allai pas même pas visiter ce genre de site si on peut appeler ces choses là comme des sites. J'étais un peu vexée mais je ne voulais pas le laisser paraître, juste une phrase anodine suffisait ... « Vive la confiance ! ». Et après cette petite phrase pleine de sens, je pris la photo, elle allait devenir mon fond d'écran.

Je rangea ensuite mon téléphone, avant de lui faire de venir s'asseoir à côté de moi. C'était plus simple pour parler et puis au moins, je ne réveillerai pas ses colocataires de cette façon. « Viens près de moi Aurelio, je ne te croquerai pas, ou alors, pas beaucoup ! ». Qu'est-ce que j'aimais plaisanter avec lui, il ne se prenait pas au sérieux et moi non plus, et puis ce n'est pas comme si je lui faisais exactement ce que je disais, car il était évident que je n'allai pas le croquer même si ce n'était pas l'envie qui me manquait. Aurelio était tellement attirant et puis, malgré qu'il soit en pyjama, on pouvait voir les muscles de ses bras, et ses abdos parfaitement dessinés.

Quand il fut enfin à côté de moi, je le dévisagea de la tête aux pieds. J'avais terriblement envie de lui sauter dessus et de lui faire des choses que lui-même n'oserait pas imaginer, mais justement, je ne préférai pas y penser et les imaginer pour le moment de peur de faire une grosse bêtise. Je posa ma main sur sa cuisse en toute innocence et sans même m'en rendre compte ... « C'est comme ça que tu accueilles une femme dans ta chambre toi ? ». Je lui avais dis ça comme s'il m'avait invité et comme s'il était censé se passer quelques choses entre nous. Bien évidemment, il n'allait rien se passer, ses colocataires étaient présents, il n'y avait rien entre nous et surtout je savais pertinemment qu'il ne ressentait rien pour moi ...
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Caitlyn avait résumé sa pensée en trois mots: "vive la confiance". Elle avait balancé ça sur d'une voix un peu vexée, une réaction à laquelle Aurelio ne s'attendait pas du tout. C'était un malheureux malentendu et il était clair qu'il ne croyait pas capable que Caitlyn puisse faire une chose pareille. Il avait lancé ça pour la taquiner comme il avait l'habitude de faire. Il se passa une main dans la tête alors qu'il entendit un petit bruit qui le laissa penser que la belle brune avait bel et bien pris une photo de lui en pyjama. Il ignorait ce qu'elle allait en faire et n'allait pas d'ailleurs soulever de nouveau le problème. Il voulait éviter de la fâcher et puis ne voulait pas débuter ainsi le Summer Camp. Sinon, comment imaginer la suite?

La Di-Rosa, après avoir sautillé, se rapprocha dangereusement d'Aurelio. Le cubain se racla la gorge et fit de son mieux pour éviter le regard de la belle latino. S'il plongeait son regard dans le sien, son regard allait se perdre dans les yeux bruns de Caitlyn et il allait succomber. Bien dur de résister quand on vous tente autant. Et pour combler le tout, elle le provoque.

« Viens près de moi Aurelio, je ne te croquerai pas, ou alors, pas beaucoup ! »

«Si seulement tu savais...» pensa-t-il. La tentation était trop forte mais Aurelio s'était promis de ne jamais se laisser entraîner par son désir de se ruer sur elle. Il était clair qu'il voyait une relation bien plus que professionnelle entre elle et lui mais cette relation, il devait y renoncer. L'amour n'était finalement fait que pour être rêvé...Le jeune prof d'études hispaniques sentit le regard de sa collègue d'espagnol se poser sur lui. Elle le fixait et il le savait. Elle le tentait peut-être même le testait..mais dans quel but? Pourquoi faisait-elle ça? Le Santacruz se sentait un peu paumé. Ce jeu l'amusait. Elle était joueuse et lui aussi.

« C'est comme ça que tu accueilles une femme dans ta chambre toi ? »

Après quelques minutes de silence, le Santacruz décida de se prêter au jeu. Il n'avait rien à y perdre et si on lui reprochait quoique ce soit, il n'aura qu'à dire que c'était le jeu, ce fameux jeu auquel ils jouent tous les deux depuis le début. Ils se courent après sans trop savoir où ils allaient. C'était comme un labyrinthe où le cubain ne voyait aucune issue. Mais il s'en moquait. Si Caitlyn voulait jouer alors elle était tombée sur le bon mec. Son visage se tourna vers le visage de la belle brune et se planta sans scrupule dans le sien. Il sourit, amusé, avant de rapprocher dangereusement son visage du sien.

« Comment suis-je supposé accueillir une femme dans ma chambre alors dis-moi madame je sais tout?»

Son nez n'était plus qu'à quelques centimètres de Caitlyn et il ne lâcha pas son regard du sien. Il voulait l'intimider, voire jusqu'où elle pouvait aller. Si elle cédait tant mieux pour lui si elle renonçait, il devra alors accentuer ses efforts. Une chose est sûre, il en pinçait pour elle. Combien de temps ils allaient jouer à ce jeu du chat et de la souris? Il n'en savait rien, absolument rien. Le pire, c'est qu'ils avaient complètement oublié les étudiants qui à ce moment-là devaient déjà être levés et prêts à partir en excursion.
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Caitlyn M. Di-Rosa & Aurelio E. Santacruz


Son visage, ses lèvres n'étaient qu'à quelques milimètres du mien, j'avais une terrible envie de me rapprocher et de l'embrasser, mais je fis tout le contraire, je posa mon index et mon majeur sur son torse pour le pousser en arrière, je ne voulais pas qu'il soit aussi près de moi, cela me faisait une sensation bizarre, comme dans les films romantiques américains où les acteurs principaux se retrouvent face à face et leurs visages se rapprochent petit à petit pour finalement s'embrasser longuement sur un air de classique romantique. Est-ce que j'aime regarder les films à l'eau de rose moi ? Non absolument pas.

Aurelio me demanda comment est-ce qu'il était supposé accueillir une femme dans sa chambre. Et bien sûr étant une femme, je comptais bien lui donner quelques leçon. « Habillé déjà se serait pas mal. Tu dois te montrer complètement quand tu ouvres la porte et pas seulement un bout de ta tête. Tu dois lui faire la bise ou alors déposer un doux et tendre baiser sur sa main. Tu dois être seul et non pas déjà accompagné. Mais bon, tu es grand maintenant Aurelio, tu dois savoir tout ça ! ». J'adorai dire son prénom et surtout, j'adorai rouler les "R" en le disant, ça faisait plus sensuel et plus hispanique. Mais bon, pour en revenir sur la leçon que je lui donnais, je disais ça mais après tout, il ne m'avait pas invité. Il ne savait même pas que j'allai venir dans sa chambre, et d'ailleurs, moi non plus je ne le savais pas, c'était une soudaine envie qui m'avait prit.

Après cette magnifique leçon, je m'allongea sur le dos, sur son lit, j'étais comme qui dirait, un peu épuisée et de toute façon, Aurelio n'était pas encore prêt à partir, alors je pouvais rester là, allongée à me reposer, ça ne dérangeait pas et après tout, je n'étais que sur le lit d'Aurelio, je n'étais pas sur le lit de celui qui partageait sa chambre avec lui. « Tu permets ? ». Je lui avais posé la question, mais bon, j'étais déjà allongée, mais c'était juste un geste de politesse, je voulais faire celle qui avait au moins demandé.

J'étais songeuse, rêveuse, et je ne parlais plus trop. J'avais laisser un blanc, un vide total. En regardant le plafond de sa chambre, je pensais à ma mère, ma mère biologique. Je pensais à l'Argentine, à mon pays de naissance. J'avais une soudaine envie de pleurer, mais je n'avais pas le droit de faire ça, pas en la présence d'Aurelio, pas aujourd'hui et surtout pas ici, au Summer Camp, j'étais là pour m'amuser et j'étais venu voir mon beau Cubain pour penser à autre chose, pour m'amuser, pour rigoler avec lui tout simplement. « Tu te douches quand ? Et je peux venir avec toi ? ». Je lui avais poser cette question en rigolant bien sûr, mais il se pourrait bien qu'il réponde oui, comme on dit si bien, qui ne tente rien n'a rien, et bien moi, j'avais tenté. J'étais entrée dans une phase de fou rire, et je ne m'arrêtais plus, j'en avais complètement oublié son colocataire qui dormait à poing fermé juste à côté. Mais bon, il n'avait pas l'air de se réveiller, et vu le bruit que je faisais, on pourrait croire qu'il dormait avec des boules quiès dans les oreilles.
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Le visage d'Aurelio ne se tenait qu'à seulement quelques centimètres de celui de la belle brune. Ses yeux bruns se plantèrent dans le regard de Caitlyn et il sentait le battement de son coeur accélérer. Lui-même ne savait pas trop ce qu'il faisait, à quoi il jouait. Tout ce qui lui importait c'était de jouer, de s'imposer dans leur taquinerie quitte à mettre la belle brune mal à l'aise. Ils restèrent quelques instants à se regarder dans le blanc des yeux avant que la jeune latino ne prenne une décision radicale. Elle posa un doigt fin sur le torse dénudé de son collègue d'espagnol comme pour le repousser délicatement. Le jeune latino rit intérieurement. Son plan fonctionnait et il semblait avoir réussi à l'intimider.

Caitlyn avait un sens de la répartie. Lorsque le jeune cubain lui demanda comment il était supposé accueillir une femme, elle se lança dans un discours moralisateur clair et précis. Elle lui fit également comprendre qu'il était en âge de savoir ça, que maintenant ça devait être un automatisme. Malheureusement, Aurelio n'était pas toujours un gentleman. Il n'était pas non plus un de ces bad-boys que l'on voyait dans les films d'actions. Il était en fait entre les deux. Il pouvait être gentleman un jour et moins galant un autre. Oui, il était parfois difficile à cerner et son comportement lui avait coûté cher. Pendant plusieurs années, il s'était remis en question mais la progression était lente..On ne devient pas quelqu'un de différent du jour au lendemain, ça prend du temps, beaucoup de temps.

Alors que le jeune latino resté assis sur le lit, noyé dans un tourbillon de pensées, Caitlyn revint sur le lit et prit ses aises. Elle s'allongea sur le dos discrètement ce qu'Aurelio n'avait même pas remarqué jusqu'au moment où elle demanda par simple politesse si elle était autorisée à prendre place. Aurelio tourna machinalement la tête et sentit qu'il allait le regretter. Il commença alors à détailler insatiablement le visage puis le corps fin mais sensuel de la jeune femme. Il se pinça la lèvre, un geste qui en disait long sur son désir ardent de se ruer sur elle. Pendant un long moment, il resta silencieux, la regardant sans gêne, son regard se perdant et vagabondant, un sourire timide aux lèvres.

« Tu te douches quand ? Et je peux venir avec toi ? »

La belle latino se mit alors à éclater de rire. Décidément, cette journée promettait d'être riche en évènements inattendus. Il ne pensait pas que leur jeu pouvait aller aussi loin. Cette fois, c'était au tour d'Aurelio de se sentir mal à l'aise. Il ne savait pas quoi répondre, après tout, tout était placé sous le signe de la rigolade. Où étaient donc les limites de leur jeu? Et si un de leur collègue les entendait? Pour masquer son désarroi, Aurelio éclata d'un rire cristallin, rire qu'il tenta d'étouffer pour ne pas déranger ses collègues. Il secoua vigoureusement sa tête comme pour dire « sacré Caitlyn» et se leva de son lit. Il se dirigea vers son grand sac dans lequel il avait rangé ses habits et en choisit quelques uns. Tenant ses habits contre son torse, il se pencha vers la belle brune avant de prononcer ces derniers mots d'une voix claire.

« Les douches ne sont malheureusement pas mixtes. Regrettable non? Laisse-moi cinq minutes histoire de me doucher et de me préparer à sortir.»

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J'avais demandé à Aurelio la permission de venir sous la douche avec lui, mais il m'avait répondu que "malheureusement", les douches n'étaient pas mixtes. Qu'entendait-il par malheureusement ? Cette phrase me travaillait, mais je ne préférait plus y penser. « Oui bien sûre ! ». Il s'en alla se doucher, et pendant ce temps là, je posais ma tête sur son oreillers. En attendant son retour, je me reposa. Je m'étais levé tôt contrairement à Aurelio qui venait à peine de se lever et je devais rattraper les minutes de sommeil qu'il me manquait et en moins, en dormant, je ne risquais pas de m'ennuyer, toute seule dans cette chambre. Je ne pouvais même pas m'amuser avec son colocataire vu que celui-ci dormait. Décidément les hommes étaient tous de gros flemmards qui n'étaient bons qu'à dormir, manger et faire quelques activités sexuelles de temps à autres.

J'entendis un bruit qui me réveilla, je me retournais vers la porte, croyant que c'était Aurelio qui revenait enfin, mais non, ce n'était pas lui, c'était juste l'autre homme de la chambre qui avait tout simplement changé de position et qui dormait comme un bébé. « 5 minutes mon oeil. ». J'étais de nature très impatiente, surtout quand celui que j'attendais m'avait donné un temps précis pour son retour et qu'il ne l'avait pas respecté. Je préférai me rallonger et m'endormir plutôt que de me tourner les pouces, après tout, il n'aurait qu'à me réveiller à son retour. J'étais plongée dans mes rêves, et rien ne pouvais venir perturber ce doux et paisible moment, personne appart Aurelio bien évidemment ...
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Caitlyn donna la permission à Aurelio de s'absenter quelques minutes, cinq minutes pour être précis, pour se doucher. Il n'avait même pas eu le temps de déjeuner mais là de toute façon il n'avait pas vraiment le temps. Ils avaient perdu du temps à discuter, à se courir après comme le chat et la souris sans même prendre en compte les pauvres étudiants qui devaient s'impatienter à l'heure qu'il était. Sans perdre de temps, le jeune professeur se glissa sous la douche et alluma l'eau. L'eau chaude retombait sur son torse et ruisselait tout le long de son corps jusqu'à ses pieds avant de disparaître dans le trou destiné à évacuer l'eau. Aurelio aimait les douches chaudes, mêmes brûlantes. Il ne craignait pas de se brûler. C'était comme si son corps pouvait supportait une telle chaleur. Une vapeur épaisse s'échappait de la douche alors que le jeune latino se passait le savon tout en fredonnant une chanson en espagnol. Cinq minutes il avait dit? Il n'avait apparemment pas respecté les horaires...

Après quelques longues minutes passées à se sécher et à se parfumer ainsi qu'à se passer un rapide coup de gel, le beau brun se décida enfin à sortir de la douche trouvant une Caitlyn allongée sur le lit. Elle semblait s'être endormie. Le jeune cubain hésitait à la réveiller. Il avait en fait horreur de réveiller les autres croyant qu'il perturbait leur sommeil alors qu'en fait il ne faisait que son devoir. Il se pencha donc délicatement vers Caitlyn et ses doigts se posèrent délicatement sur l'épaule de la jeune femme endormie.

«Caitlyn, c'est bon nous pouvons partir.»

Aurelio lui adressa un sourire d'excuse. Il était en tord, il n'avait pas pris cinq minutes mais presque le double. Il ne préférait ajouter aucun commentaire concernant son retard, il était déjà assez gêné comme ça. Caitlyn allait peut-être lui en vouloir ou lui lancer une remarque piquante mais amicale comme d'habitude. Il ne savait pas. Il n'y avait pas non plus de quoi fouetter un chat. En plus, ça serait dommage de mal commencer la journée. Aurelio ne se voyait pas tenir toute la journée avec une Caitlyn bien remonté contre lui.
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