PV - Je brave les interdits. J'entube mes limites à coups de vibromasseur ∆ JECHO

J'étais totalement défoncée. Dans l'enceinte de l'université. J'allais me faire tuer. Mais c'était pas ça qui m'intéressait. Moi, j'me fichais bien de briser mon avenir pour le moment. J'voulais juste zapper le côté famille de merde que j'avais. J'aurais pu naître orpheline non? Je n'aurais pas à bloquer sur le fait que ma plus grande sœur avait un cancer. J'en avais parlé à personne. Ni à Jorden, ni à Camille et encore moins à Nazca qui était aux abonnés absents. Je cachais ma douleur derrière un sourire et une auto destruction tenace. Je me baladais dans les couloirs, sans réel but, venant de sécher le cours d'histoire sur Picasso et sa vie à la con. Je me retrouvais pile poil devant le bureau du Doyen... Woh. Prise d'une soudaine audace, j'actionnais la poignet. Oh bah c'était ouvert dis dooonc ! Comme par par hasard ! Amusée par la situation, j'entrais et m'enfermait dedans. Le Doyen n'était pas là. Pas à cette heure ... Je pouvais me faire choper à tout moment mais rien à foutre. Je découvrais le bureau, rangé, cadré. Tout était a sa place. Je prenais mon temps avant de sortie mon téléphone. J'voulais limite prendre un selfie pour immortaliser le moment ! Mais j'étais pas conne à ce point. J'étais défoncée mais pas au point de faire ça ... Par contre, je me rappelais soudain une conversation que j'avais eu avec mon meilleur ami qui était plus un crush qu'autre chose en ce moment ... Pouffant de rire toute seule devant l'écran de mon phone, je lui envoyais un texto en lui disant de me rejoindre dans le bureau du Doyen. Du grand manitouuuuuu! Haha ! J'allais m'éclater ...

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Okay, d’un côté comment croire qu’elle est réussie à abandonner sa sœur. Nan, sérieux. Comment elles ont pu vivre des années sans se voir alors qu’els vivaient à deux portes du même couloir chacune. Tout ça pour une boule de neige à deux balle là. Ouais. Elle a oublié les pouvoirs de sa soeeeeeur, et aloooors ? Nooon. Nooon. Ce film t’enerves. Tu comprends pas pourquoi et comment deux peuvent séparer leurs enfants pendant autant de temps. Really. Ce disney est le seul que tu ne peux pas supporter, et pourtant Dieu sait que t’es le gamin qui a regardé dix fois le roi lion sans jamais faillir et éprouver aucune lassitude. T’es Jorden, le mec aux milles et uns disney. Alladin de ses dames sans l’Inde toussa. En caleçon devant ton ordi, ton paquet de bichoco cookie granola mère Térésa en main. Le générique sonne la fin du film. C’est vraiment nul de regarder ça un lundi soir hein. Tu pourrais sortir, rejoindre les gars de la Winthrop ou aller matter Aaliyah par la fenêtre de chez elle, mais tu as préféré allumer ta télé pour brancher sur la chaine disons la plus populaire dans ce pays qui a décidé de diffuser gentiment la Reine des neiges, ce soir là. A la base tu devais regarder le premier match de la nouvelle saison NFL mais.. Vouala. Elsa t’as embarqué dans son pays chelou pleins de neige. Pendant tout le long du film tu as échangé quelque sms plutôt explicit avec Echo. On sait pas comment et pourquoi vous êtes arrivés à parler de coucher ensemble. Ya quelques mois tout était que purement amitié. A croire qu’un baisé peut tout changer. « Rendez vous au bureau du doyen.. » Une personne normale se serait surement posée la question de pourquoi, le bureau du doyen. Anyway, Jorden quoi. Tu te lèves pour enfiler un simple jean, un t-shirt propre, wathever on te connaît avec ton t-shirt sale souillé de flemme de le laver. Quelques minutes à pied et tu arrives dans le bâtiment où se trouve le bureau, puis devant la porte fatidique. L’avantage d’être le soir, c’est qu’il y a personne. Et pourtant tu trimballes comme un suricate sur la pointe des pieds pour faire aucun bruit s’entend le danger surgir à tout instant. Une fois rentrer dans le bureau, tu te sens mieux. Quel bouffon. T’es dans le bureau du Doyen sans aucune justification valable si ce n’est que Hamilton t’est envoyé un sms pour la rejoindre. Tu lui fais un sourire, à pleine dents. Tes 70 dents exposées à la lumière de la salle. Pourquoi j’suis là alooooors ? On doit se la faire Shrek et Fiona, j’dos te sauver d’la tour protégé par le dragon.. Tu regardes autour de toi cherchant le.. dragon. Mais y’a pas de dragon.. Tu sais que j’devais regarder le début de saison NFL !? J’espère que t’as une bonne raison de m’emmener ici hein. Tu t’approches d’elle, ton bras qui basse autour de sa taille pour la rapprocher de toi. Un baisé furtif sur les lèvres. C’est ça que t’appelles un t-shirt ? Tu ricanes en regardant vulgairement sa petite robe loose t-shirt trop long de son père l’écossais kilteu. Mais bon c’est pratique y’a juste à faaaaire hoooooop. Tu pinces un bout de tissus au dessus de son cul pour le soulevait lentement. Ca laisse apparaître pleins de choses cool !

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J'avais la tête comme dans du coton et puis l'envie de faire le plus de conneries possible était assez vivace dans mon esprit. C'était exactement pour cela que je me mettais au défi de baiser dans le bureau du Doyen. Même sur son bureau. Comme si j'disais "J'niquerais le Doyen jusqu'à ce qu'il m'aime". C'était un peu extrème comme idée mais ... ça faisait une belle image de ce que je voulais faire. Pour le petit clin d'oeil à mon BFF de la mort, j'avais enfilé un simple t-shirt (avec culotte, t'emballes pas) qui me descendait assez bas sur les cuisses pour que ça passe pour une robe. Bref, on était pas là pour se la jouer Christina Cordula et faire un défilé dans le bureau ... Assise sur le bureau, mes bottines tapant contre le bois massif du bureau, j'attendais que Jorden arrive. Je relevais la tête en entendant la porte s'ouvrir, même pas en mode "Alerte" si je tombais sur un prof ou le Doyen. Mais BINGO ! Mr Cahill entra comme une fleur dans le bureau. Je descendais de mon siège de fortune avant qu'il se la joue Prince venu sauver sa Princesse. J'étais pas trop la princesse dans l'histoire. Plus l'âne, le con là, qui sortait toujours des blagues super drôle et arrêtait pas de dire "On est presque arrivé? Et là ? On est arrivés?" NON BORDEL ! Bref, j'éclatais de rire un peu trop fort (ouais, défoncée j'vous dis) et secouait la tête Noooon ! J'veux juste ... être là. Avec toi, vois tu ! Petit regard coquin qui eut son ptit effet car il m’attira vers lui avant de me baiser les lèvres brièvement et de reprendre Ouaiiis ! C'est ça mon t-shirt! Si t'es pas content ... Je peux l'enlever ... J'étais en mode chaudasse. Mode attaque, mon capitaine ! Il me pinça le cul et je tapais sur sa main avant de m'éloigner Booon ... Si je t'ai fait venir ici c'est pas pour rien. Je le regardais avec un petit air mutin avant de retirer lentement mon t-shirt que je laissais tomber à terre. Si on s'fait chopper, j'dirais que c'est moi qui t'ai piégé ... Et c'est pas faux, au final ! achevais-je avec un sourire. Je l'avais amené ici pour mon bon plaisir, pour tester le danger et tester ses limites ainsi que les miennes. Quoi que moi ... ça faisait longtemps que les limites je les avais fracassées quoi. Je revenais vers lui, me mettant sur la point des pids laissant mes lèvres flirter avec les siennes. Tu vas fuir ou tu vas rester ? Boum. Ultimatum maggle. Qu'est ce que tu vas faiiiiiire ? Grande question.

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Noooon ! J'veux juste ... être là. Avec toi, vois tu ! Son regard sexy te donnes pas mal d’idée sur ses pensées actuelle. Et faut avouer que t’aimes bien ça. Faut dire que les sms juste avant bah ca ta un peu chauffé quoi. Comment ne pas l’être après tout ça. T’étais sérieux sur tout ce que tu disais. Tu l’es toujours, sérieux. Tu veux te la faire, ca c’est une évidence. Non pas pour la rajouter sur ton tableau de chasse juste parce que t’en crèves d’envie. Qu’elle te plait de plus en plus et que au final, ca t’fais peur, mais t’es trop faible avec toi même pour résister. Ouaiiis ! C'est ça mon t-shirt! Si t'es pas content... Je peux l'enlever.. Un sourire se dessine sur ta p’tite tête de cooon. T’es prêt à commencer à la foutre à poil, du moins la taquiner sur la longueur de son t-shirt. Booon ... Si je t'ai fait venir ici c'est pas pour rien. Ouaaaaais. Bah ouais, on va pas fouiller toute la nuit ce bureau étrange avec des photos weird de la famille du vieux qui dirige cette université. Elle explicit bien les pensées, son t-shirt qui tombe au sol, ses micro seins à l’air. Son petit cul à peine épais de même. T’es yeux la parcours de bas en haut, haut en bas, gauche à droite, en diagonale, dans tous les sens. Si on s'fait chopper, j'dirais que c'est moi qui t'ai piégé ... Et c'est pas faux, au final ! T’es pas piégé du tout la. Tu te sens même libre comme l’air, p’tain. Elle te fait pousser des ailes, la tout de suite. Son corps nu –presque- se rapproche de toi pour te lancer un défi pas très.. pertinente. Tu vas fuir ou tu vas rester ? Ni une, ni deux. T’es mains sur ses hanches tu la soulève sans grande difficulté. Soulevé du sol, son cul qui se pose sur le bureau bien remplis de papiers aussi incompréhensibles les uns que les autres. Langage codé de vieux administratif. Tu prends le temps de pousser tout ce qu’il se trouve sur le bureau, à droite, à gauche. Tout tombe parterre, tu t’en fous complètement. Tes lèvres s’emparent des siennes pour un baisé fougueux, mains sur ses cuisses dénudées. La peau délicate de son cou gouté par tes lèvres qui n’en ratent pas une miette. C’est vanille ? T’as un parfum vanille ? Okay, t’aimes la vanille, y’a rien de meilleur sur ce monde qui sent bon. T’es mon gâteau, mon space cake à la vanille. Cédrolça. Une main se pose sur micro poitrine, en essayant de trouver de quoi toucher, quand même. Y’a quand même un p’tit truc qui dépasse un, j’avais jamais fait gaffe !

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Connerie ou pas, c'était pas trop ça qui me préoccupait là. J'étais juste dans la phase "Baise moi et tais toi". C'était moche hein? Je me servais presque de lui pour assouvir mes désirs noirâtres. C'était dégueu pour lui, pour moi. Mais c'était pas moche ce que l'on faisait. Loin de là. C'était même plutôt bien. Trop bien. Je l'aguichais, je le cherchais, sachant parfaitement que j'allais le trouver. J'voulais aucune douceur, pas de mots romantiques, ça me donnait des boutons. J'voulais du concret, quelque chose de vrai, dont je me souviendrais ... Ou pas. Mais c'était pas avec n'importe qui que je faisais ça là. C'était avec un mec que je connaissais depuis trois ans, à qui j'avais confié une bonne partie de ma vie. Sauf le plus moche. Ca, peu de personnes le savaient. J'voulais pas être sale à ses yeux, j'voulais pas qu'il me regarde avec dégoût, en me crachant dessus. J'serais toute seule à ce moment-là ... J'avais peur de la solitude moi. Enfin, non. Quelques fois, c'était ma copine. Puis d'autre fois non. En ce moment, j'voulais pas être seule. Je voulais entendre mon rire, je voulais sourire, je voulais danser, zapper que ma plus grande sœur allait crever et serait finalement bouffée par les vers dans quelques mois ... Cette vision était trop gore. J'allais me couper mon excitation. Ma façon de l'aguicher lui fit sûrement péter une durite car, tout à coup, il me souleva du sol pour me poser sur le bureau, s'emparant de mes lèvres avec fièvre. Je soupirais presque de soulagement, passant une main dans ses cheveux mêlant ma langue à la sienne, entendant mille et uns objets tomber à terre. On allait se faire défoncer, jle sentais. Il descendit ses lèvres vers mon cou avant de sortir une phrase qui me fit sourire Ouais, vanille. J'suis tous les goûts qu'tu veux même ... Goût miel, au pire. Andrew Windsor a l'air de kiffer le goût du miel mais ça c'est une histoire dont on se fiche totalement pour le moment. Je le laissais explorer chaque centimètre de ma peau, écoutant ses ptits déclarations dites dans le feu de l'action. C'est mignon ça! Space cake vanille, j'aime ! Il se mit à tripoter un de mes micro boobs et je lâchais un soupir, renversant ma tête sur la surface boisé de la table, troublée par mon esprit défoncé et la petite décharge électrique que me procurait sa main. Je le repoussais alors, bon parce que ça va! Moi aussi j'voulais m'amuser ! Je lui jetais un regard troublé par l'excitation (toute émoustillée tout ça) avant de lui dire Allez ! Fou toi à poil aussi. Pas d'raison que je sois la seule à moitié à poil ... Je l'embrassais, comme pour l'encourager puis le poussait pour profiter du spectacle. Chaud chaud les marrons chauds, dis donnnc !

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La tentation de toucher. L’envie d’y gouter. Le fantasme sous tes yeux entrain de se dandiner, de te lancer le défi de rester ou pas. Tu ne peux pas partir. Bien que tu pourrais aisément juste à l’idée de faire quelque chose qui restera ancré dans votre relation avec ta meilleure amie. On dit souvent qu’il n’y a qu’un pas entre l’amitié et « l’amour », right ? Pour le coup ca n’a été qu’un baisé pour vous. Pas simplement un pas. Juste un baisé au summer camp. Un truc furtif, étrange qui a débouché sur tout une suite de nouveau sentiment à l’égard d’une personne que tu pensais connaître parcoeur. Finalement tu en découvres bien plus que ce que tu pouvais imaginer. La peur. La boule au ventre. Son petit corps fragile et tout fin en face de toi tu ne peux pas t’empêcher de lui montrer que tu as envie d’elle. Ses fesses sur le bureau, toi devant elle, debout, à toucher ses cuisses, baiser son cou. Ouais, vanille. J'suis tous les goûts qu'tu veux même.. Juste vanille, ca te suffira. Bien que tu sois peut être le mec le plus gourmand que quelqu’un puisse connaître. Tu veux pas grand chose là. Tu veux pas l’imaginer comme un grand buffet de thanksgiving, comme une petite dinde pas trop nourrie et qui fait pas deux minutes de trop sur la table. Ta main sur son boobs, son souffle qui se saccade. T’as prit cette place de mec. Place que tu montres pas vraiment avec elle. T’es plutôt le gamin surement, à ses yeux. Pourtant.. T’es pas vraiment aussi con que tu laisses apparaître. C'est mignon ça! Space cake vanille, j'aime ! Ouais, avec la petite cerise en bas. Okay, j’sors. Tu recules légèrement arrêtant de la bouffer littéralement. Souriant face aux autres de madame. Allez ! Fou toi à poil aussi. Pas d'raison que je sois la seule à moitié à poil... C’est vrai, vous êtes à jeu inégal là. Ni une ni deeux, tu retires ton haut dévoilant ce qui fait chavirer les gonzesses. Ton torse, tes abdos, t’es p’tits poils sexy mais pas trop. T’envois ton t-shirt à son visage. Ton t-shirt qui sent bon le parfum d’mec. Le truc qui sent vraiment trop bon quoi. Okaaay okaay. Tu t’arrêtes. Trop fier de l’idée que tu viens d’avoir. Tu recules du bureau, un bon pas en arrière, ton sourire malicieux sur les lèvres. Tu lui fait dos. Tinnnannnannan ! La musique sexy des strip tease, si. Tu fais glisser ton jean lentement, la musique entrainante. Ton boxer superman -pas très original- qui te moule bien les fesses biens fermes que tu peux avoir. Héhééé ! Tu te retournes, face à elle. Le jean par terre, le tissus de ton sous vêtement qui fait déjà un peu apparaître des formes d’excitation, trop sexy vraiment. Bon t’es ma wonderwoman sans nibards, c’est cool aussi ! J’aime bien !

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Je m'étais jamais rendue compte d'à quel point je me retenais avec lui. Depuis le roulage de pelle au Summer Camp, j'avais instaurée des distances. Je veux dire ... On était potes de base. Rien de plus que ça. Mais j'me rendais compte qu'il y avait toujours eu une ambiguïté, au final. Depuis le jour où j'avais cassée sa caisse jusqu'à maintenant. Je me sentais presque soulagée de pouvoir l'embrasser comme je le voulais tout en sachant que je regretterais après. Ah ça ouais, j'allais pas être heureuse après ça. L'orgasme le plus amer de ma vie, sûrement. Tout ça c'était pas la meilleure chose à faire alors que j'étais triste. Mais je le désirais, j'allais pas me mentir. Je me mentais plus depuis longtemps. Enfin presque. J'appréciais son contact, ses mains sur mon corps frêle et me sentais presque fragile. Presque, faut pas s'emballer. J'étais toujours la meuf dure et garçon manquée que j'étais d'habitude. Sauf que j'étais en mode attaque. Celui où je me collais à son corps comme une meuf en manque de sa drogue, où je passais et repassais mes mains dans ses cheveux, où je laissais quelques gémissements s'échapper de ma bouche, avide de plus. De trop. Je le repoussais finalement pour qu'il se déshabille. J'eus même droit à un strip tease que j'appréciais à sa juste valeur, en éclatant de rire. Hmmm ... J'aime beaucoup la vue, Mr Cahill ! Toute frétillante d'excitation, je me laissais tomber du bureau avant de repousser mes cheveux en bataille et d'enlever le dernier sous vêtement que j'avais, laissant apparaître ce que beaucoup de mecs et de meufs avaient vus avant lui, malheureusement. C'est à dire la fin de mon tatouage qui s'étendait clairement jusqu'à ... la zone interdite, vois-tu, en une fleur rougeâtre. Fière du petit effet que j'avais sur lui, je l'attirais de nouveau vers moi, mêlant ma langue à la sienne, me fichant un peu des bruits que j'entendais dans le couloir. Le danger rodait, à chaque seconde. Je me remettais sur le bureau et le laissait, lentement mais sûrement me mener au septième ciel ...

Je mordais son épaule, étouffant mon cri finale. Genre le point finale à un roman ou le long cri précédant la fin d'un opéra. Vous voyez le délire. Le souffle court, la peau luisante de transpiration (sexyyy ladyyyy) je laissais tomber ma tête sur la surface du bureau, un petit sourire coquin sur les lèvres. Je passais mes mains sur son dos en une caresse lascive, embrassant son visage de baiser tous mignons, tous gentils. T'emballes pas, j'suis pas devenu un bisounours. Alooors? Ca valait le coup de risquer de se faire virer de l'université? Et c'est là qu'il me sortait "non". Cassage d'ambiance, de délire. Je redescendrais de mon petit nuage post-orgasmique aussi vite que j'étais montée quoi. Bien que c'était arrivé qu'on me dise que j'étais un mauvais coup. En même temps, dans ces moments-là j'étais souvent torchée et droguée alooors j'étais pas au top quoi.

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Hmmm ... J'aime beaucoup la vue, Mr Cahill ! Tu m’étonnes qu’elle aime la vue. Ton beau corps musclé qui s’ondule tellement mal devant elle. Maladroitement de gauche à droite, d’avant en arrière tel une Claudette qui n’a pas apprit sa chorégraphie, surement. Pourtant elle a l’air de bien aimer ça, la cochonne. Elle descend en face de toi, son sous-vêtement qui tombe au sol, tes yeux qui n’en peuvent plus de la dévorer devant elle. Si t’avais les yeux revolvers, elle serait morte –tmtc marc lavoine-. Le contact entre vos deux corps qui ne font qu’un pendant ses instants magiques. Tes au paradis et tu fais tout pour qu’elle le soit aussi. Tu veux la satisfaire, lui faire plaisir, tu ne veux pas rater ton coup. T’es même capable de penser à un truc bien dégelasse pour ralentir le moment fatidique et continuer dans cette lancée fougueuse et intense. Okaaay, penses à ta grand mère.. Non… Kiki son chien. NON ! Un truc juste dégueulasse pas un truc horrible ! Pourtant t’arrives à la fin d’te show. C’est fini.. Elle retombe sur le bureau, tu passes une main dans tes cheveux légèrement humides. Le temps de reprendre ton souffle, de te remettre de tes émotions. Ses baisers qui continuent de te mettre dans le bain. Alooors? Ca valait le coup de risquer de se faire virer de l'université? Une main parcours son corps une dernière fois. Passant de ses cuisses, son jardin intime –lafôret tmtc- en remontant vers sa poitrine. BIPBIP. Tu pinces à deux fois d’affilés son petit téton encore tout dur d’excitation. Tu rigoles tout seul en revenant trouver ton boxer par terre histoire de partir quand même un peu plus vite d’ici. J’dois comprendre que toi tu ne regrettes pas si tu m’poses la question ? Hein ? Tu lui jettes un regard malicieux en lui jetant sa culotte entre les mains. J’regrette pas, j’regrette rien.. A part si tu m’dis que c’était première et dernière fois.. ! Tu finis d’enfiler ton jean, le torse encore à l’air. Faut ranger p’tetre, j’crois. J’pense ca sera pas difficile de trouver des preuves d’ADN des coupables de se carnages vu que les preuves sont pas vraiment dissimulées là. Bah faut dire que si t’avais mis une capote, ou que t’es resté dans elle –ouais bon non- y’aurait pas eu des preuves à dissimuler dans une espèce de mouchoir bien dégueu qu’il faut cacher quelque part, loin, dehors, ailleurs.

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Il lui prenait quoi à me biper le téton lui ! Je lui donnais une tape sur la main avant qu'il ne descende du bureau. Je me relevais, aussi nue qu'au premier jour (et avec le même corps limite). Je le regardais se ressaper, appréciant le spectacle avant qu'il ne me jette ma culotte sur la gueule. Okeee. Je me rhabillais en vitesse grand V, l'écoutant me retourner la question sans me répondre. J'hésitais un instant et je me tournais vers lui, passant une main nerveuse dans mes cheveux Hum... Là, de suite, je regrette pas. Mais je vais regretter, je le sais. Ca amène jamais rien d'bon de coucher avec ... son meilleur ami, achevais-je en un murmure. Je savais pas si je pouvais encore le considérer comme tel. Est-ce qu'il était plus? C'était pas une question à laquelle j'avais envie de répondre. Mais il était pas moins non plus. Je voulais pas le réduire à un simple coup de baise sur le bureau du Doyen. Puis il me répondit enfin, me faisant sourire. Ce sera... pas la dernière fois, non. Je dois comprendre que j'suis un bon coup ?ajoutais-je avec un petit regard pervers. Nouant mes cheveux avec un stylo chipé au sol, je le regardais, blasée Attend mec ! C'est toi qui a tout foutu par terre en t'excitant comme un loup en manque et tout ! Malgré ça, je ramassais les papiers administratifs, tentant de tout replacer à sa place... Ptain, on est dans la merde si ils savent que c'est nous !Je lâchais un rire, amusée mais aussi un peu stressée par le fait de me faire virer. J'voulais pas que ca apparaisse sur mon dossier. Bien que j'allais finir par me casser de l'université en fin d'année ... Perdue dans mes pensées, j'étais accroupie sur le sol, ramassant stylo et notes à la con. Puis d'un coup Ma sœur a un cancer. BOUM BITCH GET OUT TJE WAAAAY ! Echo Hamilton, casseuse d'ambiance depuis 1991. Hésitez pas à l'appeler ! Elle anime les mariages, les enterrements et les bar-mitsva. Désolée, fallait que ça sorte... Petit rire nerveux, j'me sentais un peu conne de lâcher ça comme ça après une baise torride et tout ...

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Hum... Là, de suite, je regrette pas. Mais je vais regretter, je le sais. Ca amène jamais rien d'bon de coucher avec ... son meilleur ami. Vraiment rien de bon. En général. A moins que ce soit comme dans la comédie américaine avec Timberlake et Kunis, hein. La fin parfaite qui faire rêver. Mais non, en général un duo de meilleurs amis qui couchent ensemble c’est la perte d’une amitié et ça, t’en as peur. Pourtant t’es tellement content de ton affaire là. Content de l’avoir emmené loin avec toi. Ce sera... pas la dernière fois, non. Je dois comprendre que j'suis un bon coup ? Un bon coup ? Ca se dit comme ça aussi, entre meilleurs potes ? Un bon coup ? Beih, pour une enfant de huit ans, ouais franchement, t’envois du lourd ! Oooooouuuarf. On taquine. Rigolade. En attendant la p’tite de huit ans t’a excité un truc de malade alors.. Sois tes pédophile un peu, quand même soit.. Cette nana te fait trop d’effet. Ramasser, rammasser. Tout ce que tu as foutu par terre pour avoir libre place de lui faire son compte te prendre un stylo bic dans l’ku. Attend mec ! C'est toi qui a tout foutu par terre en t'excitant comme un loup en manque et tout ! Haaan ouais, j’pouvais plus me retenir là. Trop de pression dans le pantalon. Vous ramassez les papiers sans même y comprendre une seule phrase. Essayer de les trier, tant bien que mal. Même si vous poourrez jamais les tirer comme il faut. Ca va vous retombez dessus cette merde.. vraiment.. Ptain, on est dans la merde si ils savent que c'est nous ! Se faire virer d’Harvard pour une partie jambe en l’air, ca serait quand même.. drôle ? Se faire virer de la deuxième meilleure université du monde pour avoir baisé avec sa pote sur un bureau, c’est drôle, hein ? Ouais. Comment ruiner sa vie, quoi. Tu rigoles quand même parce que tout façons, t’as pas conscience de l’erreur que vous avez fait question lieu de vos ébats torrides. Ma sœur a un cancer. tu relèves la tête sans comprendre ce qu’il vient de se passer là. Pourquoi elle te dit ça cette folle. Elle a une poussée d’adrénaline après sa nouvelle déco intérieure ? Heeum… Tu sais même pas quoi dire. Le malaise au possible. Désolée, fallait que ça sorte... J’ai déjà bandé en pensant à ma sœur.. ! Oui ! NON ! Il fallait que tu dises un truc, dans ce moment confession. Ce moment je dis touuuut. Mais pas ça. NON. Phoenix elle est bonne, mais c’est dégueulasse ! Okay, oublies, enfaîte.. Il est temps pour vous de partir d’ici, vite. Sans que personne ne vous remarque. Bon.. viens.. On bouge. Vous sortez du bureau, pas de loup, personne dans les couloirs. Il est tard, c’est la nuit, la seule chose qu’il peut y avoir ici c’est le concierge, l’alcoolique qui vit ici. Tu crois que y’a des caméras de sécurité.. sérieux ? On sait jamais.. Ca va pour ta soeur, Echo ? Inquiet.. quand même.

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