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(insomniac's lullaby). skyhel

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 pendant un instant tu te demandes si tu l'as pas serrée trop fort. si tu l'as pas un peu trop forcée à te regarder. pour qu'elle s'éloigne de toi comme ça. un truc que tu t'serais pas demandé si elle avait pas été touchée par ce mec que t'es incapable de qualifier. william. william avec qui elle a pas couché. tu dis rien quand elle t'énumère ses merdes, tu constates juste que t'as tout loupé. tu fait mine de rien non plus quand elle fait l'allusion de ta jalousie. tu l'savais, c'qui s'est passé par sms, t'aurais pas du réagir ainsi. tu déglutis. tu t'contrôles. t'essayes de pas soupirer. de soulagement. parce que tu sais bien que s'ils avaient couchés ça n'aurait fait qu'empirer. empirer la distance entre vous. empirer tout. t'ouvres la bouche qu'après avoir entendu sa dernière demande. ça te rappelle étonnement un moment. voilà cinq ans. on peut pas. t'es un peu trop sec, un peu trop froid. si bien que tu t'reprends et tu te lèves. tu viens te poster devant elle. l'entourer de tes bras. j'veux pas être un lâche ou t'aider à en être une sky. on reste là. parce que tout ça c'est ici que c'est arriver, alors c'est ici qu'on va le surmonter. j'suis là. j'ai tout loupé et ça c'est à cause de toi sky. c'est ta faute si j'étais pas là pour t'aider. j'aurais voulu que tu m'laisses le faire, vraiment. mais t'as pas voulu. t'as voulu fuir déjà et regarde ou t'en est. alors maintenant on fuit pas et on reste là. tu restes là avec moi. t'es décidé. tu la laisseras plus partir. toi l'connard qu'à pas d'attaches. tu fais rire. avec ton addiction à elle. ta skyler. dans tes bras, là.
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Tout est trop compliqué. Toujours trop compliqué. Je sais pas jouer dans le juste milieu. Mes réactions sont extrêmes, c’est un défaut. Un gros défaut, même une maladie si on se penche bien. Je devrais prendre des médocs, ils sont dans mon tirroir gauche d’mon bureau la. Au milieu des choses qui servent à rien comme.. un stylo. Parenthèse sur le stylo, on est d’accord que ca sert à rien ? On est en 2015. T’as l’iphone et le bloc note. Ou Word, ou open office pour les pauvres. Parenthèses cloooose. J’prends pas mes médocs, parce que j’suis la folle qui va en prendre. J’devrais, mais je le ferais pas. Autant m’attacher. Me ligoter, me foutre un entonnoir dans le gosier. Je me détaches de lui pour rejoindre la fenêtre. Je me détache de cette relation qui me fait peur. Si j’me suis barrée y’a un an c’est parce que j’avais peur de m’attacher à lui.. Autrement que ce comme on l’a toujours fait. C’est toujours le cas. Je me dis.. Je me dis que j’ai trop fait d’erreurs, depuis toujours. Passer le cap de l’amitié ca pourrait en être une et.. briser ce qu’on a construit si facilement depuis le début. Depuis qu’on se connaît. Il se rapproche de moi, je reste stagne, fixe. Je sens les larmes monter. J’ai envie de le repousser, d’hurler. Je veux pas de lui contre moi.. Et pourtant je me laisse faire, contre lui. Ses bras qui m’entoure.. Je ne peux que le laisser faire. Ca me rassure, me réconforte et à la fois.. me déstabilise. Trop d’émotions d’un coup. Aucun contrôle mes ressentis font surfaces, j’éclate en sanglots contre lui. Ma tête niquer contre son épaule, mes ongles qui agrippent le tissu de son-t-shirt. Je suis désolée, mais j’peux pas lui dire. De par fierté, et encore. Le fierté à ce stade avec lui, y’en à plus. Je suis juste trop occuper à ressortir le fond en larme, contre mon Sahel. Je redresse mon visage, mes yeux tout rouges, humides, vers le sien. Alors aides moi, fait un truc. Sauve moi de cette situation de merde.. De cette.. Bulle de merde où j’ai foutue les pieds. Les deux pieds, à pied joint, les batards. J’ai jamais demandé à quelqu’un de m’aider ou du moins.. Pas directement en pleurant, au bout d’ma vie. Il est important pour moi. Sahel. C’est quoi ton plan ? Tu vas aller casser la gueule de William pour me venger ? Retrouver Konrad pour faire pareil ? J’ai ricané. Une de mes mains qui se glisse dans sa nuque pour caresser doucement le bas de ses cheveux. M’abandonne pas, s’teuplait. J’pourrais plus tenir très longtemps toute seule à ce rythme. C’est so saaaad.

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skyler ou la seule personne pour laquelle tu seras toujours là. skyler qu'on exprime pas. skyler que tu peux pas t'empêcher de prendre dans tes bras. ta seule véritable attache. celle qui peut te faire n'importe quelle crasse que tu reviendras toujours. comme là. tu la vois les yeux mouillés, ta sky. j'envisage ça, ouais. que tu réponds après qu'elle t'ai posé la question. comment l'aider sinon tous les frapper. leur donner la leçon, bonne idée. un rire soufflé s'échappe de tes lèvres. un rire soupire. joie faussée. ton regard dans le sien. t'abandonner, tu veux dire, comme tu l'as fait avec moi? c'est pas le moment d'être sarcastique. tu l'sais. pourtant tu peux pas t'en empêcher. t'es sahel et ça faut pas l'oublier. t'es mains encadrent son visage et ton pouce caresse machinalement sa peau. celle humidifié par les quelques larmes qui ont réussi à couler. comme pour lui dire que t'es là. comme pour lui dire que tu partiras pas. jamais. et lentement tu déposes tes lèvres sur les siennes. connerie humaine. connerie sahel. tu recules ta tête presque aussi vite que le baiser. tu l'as presque frôlée. sauf que tu veux pas tout compliquer. tes yeux ne quittent pas les siens. tu restes bloqué. désolé. t'vois pas quoi dire d'autre. pour l'avoir encore embrassé. même si tu l'es pas. même si t'es loin d'avoir envie de t'excuser. tu l'fais pour elle. tu sais pas c'quelle veut alors tu lui laisses le choix. possibilité de s'échapper encore une fois.
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J'envisage ça, ouais. William et Sahel. Ils étaient potes, à la base, non ? C’était notre bande, notre team. Notre petit trio, tout allait bien. On faisait tourner les joints, les petits fêtes en soirée.. C’était le pied quoi. Puis tout à changé quand Sahel a découvert des marques sur moi et que j’ai du tout lui avouer parce que, damn. Il s’est se montrer très persuasif avec sa bouille mi ange mi démon Van Der Woodson. Et si William te casse la gueule ? Ca craint et c’est mauvais signe pour moi j’suppose ! Mes mains restent collées à lui, le reste de mon corps aussi. Impossible de se détacher. Tout est si contradictoire. Mais encore ? C’est tout ce que tu vas faire ? Régler la violence par la violence ? J’imagine qu’une quincy dirait que la violence c’est pas coool, c’est même affreux. Je ricane sécher une larme qui continue sa course folle sur ma joue. J’aime bien, c’tune bonne idée ! Crois pas que je vais dire que la violence c’est moche. Je vais lancer les paris pour toi, t’inquiète. Je vais devenir riche. [i]T'abandonner, tu veux dire, comme tu l'as fait avec moi? Mon sourire se rabaisse légèrement, mon regard quitte le sien quelques instants, un peu honteuse, grave honteuse même. Ouais comme j’ai fait. C’est un peu fait ce que je dis et pas ce que je fais finalement. J’suppose qu’a ce stade si lui n’essaye pas de m’aider un minimum.. Une connerie pourrait vite arriver. Mais on y est pas. On y sera pas. Il est là pour moi. C’t’enfoiré. Il essuie mes joues avant de poser ses lèvres une nouvelle fois, pour la troisième fois d’ailleurs, sur mes lèvres. Notre union physique scellé encore plus intensément qu’il y a cinq minutes quand il m’a prise dans ses bras. Désolé. Je bouffe de rire, ma main qui agrippe son t-shirt fermement pour la garder près de moi. Pourquoi tu t’excuses débile ! Ca fait soumis d’la vie, c’est gore. Je me rapproche pur cette fois l’embrasser moi même. Fougueusement avec envie, passion. Skyler sauvage. Skyler impose son style. Ma main s’accroche à son poignet pour bouger sa main sur mon fessier à peine recouvert. Tu peux t’venger autrement de William t’sais. J’sais pas si William le prendrait mal ou non après tout. Il dit bien s’en foutre de Sahel. Pour autant je sais pas si c’est la vérité. J’compte pas lui gueuler dans l’oreille, uesh, j’ai couché avec Sahel sur le lit où tu m’a regardé dormir l’autre fois comme un gros psycho. J’sais même pas si j’ai envie de coucher avec Sahel. Je sais pas si c’est la colère ou se rapprochement qui donne des ailes. Je le pousse –assez gentiment quand même- contre la mur à côté de la fenêtre où l’ont se trouve. Mon index parcours les traits de son visage en face du mien. Ses lèvres, ses joues, sa mâchoire.. C’est de tout ça dont j’vais peur il y a un an.
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tu pensais pas que t'allais devoir débattre sur le fait de casser la gueule à l'un ou à l'autre. william me cassera pas la gueule. william est une tapette qui frappe les nanas. c'est mal de dire ça. mal de dire ça à elle, surtout. mal de lui balancer ça. mais c'est pas ta faute. elle cherche. elle provoque la chose. foutue impulsivité quand il s'agit du faut qu'il l'a salement touché. et ouais, j'vais régler la violence par la violence. c'est comme ça qu'il marche ce putain de monde. puis tu balances une phrase que tu sais pertinemment qu'elle va la toucher. la blesser. honteuse. mais t'es pas l'genre à te freiner d'impertinence. comme au moment ou tu l'embrasses à nouveau. et comme tu redoutes sa réaction, tu t'excuses. inhabituel. pour toi. tu t'es jamais excusé. surtout après avoir embrassé qui que ce soit. puis d'un coup tu sais pas ce qui se passe, tu te retrouves agrippé à ses lèvres, la main sur son fessier, poussé à l'extrémité de la pièce comme si les rôles était inversés. ce n'est qu'après avoir réalisé qu'elle ne t'as pas repoussé que tu reprends le contrôle. ton bras s'enroule autour d'elle pour la pousser sur le côté, la voilà dos au mur et le bon rôle retrouvé. c'est toi l'homme oui ou non. c'est toi qu'à envie d'elle. toi qui passes tes doigts sous son t-shirt. toi qui caresse sa peau nue passionnément. c'est pas mon genre de me venger comme ça. ton souffle saccadé, ton cœur emballé. tu mens en même temps que tu respires. tu te fais encore mentir quand tu dévores son cou de baisers. quand ton corps se colle contre le sien et que tu respires le désir. caresses. baisers. douce vengeance qui n'en est pas une. tu t'en fous de william. tout ce que tu veux c'est elle. connerie sahel.
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William me cassera pas la gueule. William est une tapette qui frappe les nanas. Dire que pour moi c’était.. Le mec parfait aux yeux clairs sublimés par son teint métisse. Il est beau, magnifique. Sexy. Il est putaaain de sexy. Comme ne pas fondre devant lui. Comme ne pas être faible. Me retrouver à quelques centimètres de son visage si parfait quand il fini par me plaquer contre le mur c’est.. ouaw. J’ai pas les mots. Bien que c’est quelque chose de mal. Tout ce qui peut sortir de sa bouche est méchant mauvais. Il m’en veut. Il m’en veut de l’avoir repoussé, il veut que je lui laisse libre champ pour faire sa vie de son côté, je lui laisse. Je.. passe à autre chose, difficilement. Dans les bras de Sahel, qu’on se le dise, les meilleures bras du monde. Tout est confortable avec lui. Se blottir contre lui laisse penser qu’on est contre une sorte de gros nounours taille humaine avec chaleur intégré. William avait des problèmes de drogue. Je prends sa défense, daaamn fuck. C’est plus fort que moi. L’ironie c’est que j’ai aussi des problèmes de drogue et de violence.. Et ouais, j'vais régler la violence par la violence. c'est comme ça qu'il marche ce putain de monde. C’est vrai. J’sais pas vraiment si c’est triste, malheureux ou encore complètement débile. Tout le monde devrait fumer des joints et s’faire des chicha party enfaîte. Parole de mather, j’crois bien. Le vert rentre dans mon cerveau. Quoique fumer à pousser mon mec à m’frapper pendant des années aloooors. Tout ce passe si vite. Ses lèvres contre les miennes, sa main sur mon cul, lui contre le mur et moi qui fait une tentative de force pas très concluante. Je me retrouve contre le mur encore une fois, à croire que les mecs aiment ça. Plaquer contre le mur. Mais tout est si bien. Quand c’est sauvage, intense. Que ce serait ce moment magique si tout était trop doux, trop.. plat. Il prend sa place de mec, bien que je sois d’avis qu’il n’existe aucune place attribué à qui que ce soit au pieu. M’enfin j’en reste pas moins que la p’tite faible qui préfère se laisser faire plutôt que faire. La position contre le mur me déplait pas, ses mains qui passent sous mon t-shirt, ses lèvres dans mon cou.. Tout est si.. Wouaw. Des frissons parcours mon corps. Mon souffle presque coupé passe à peine entre mes lèvres entres-ouvertes. C'est pas mon genre de me venger comme ça. J’ai ricané en le repoussant quelques instants, ma main qui tient le dessous de sa mâchoire pour bloquer sa tête en face de la mienne. Tu mens autant que tu peux être sexy. Autant dire qu’il ment.. beaucoup la tout de suite. Je l’ai poussé en lui donnant un coup d’épaule plus ou moins violent pour me dégager de contre le mur. De l’autre côté du lit, un sourire malicieux sur mes lèvres. Est ce qu’on rentre vraiment dans ce petit jeu de séduction ? Est ce qu’on fait vraiment ça ? Les deux mains sur le bas de mon t-shirt pour le retirer d’un geste. Dévoilant mon corps qu’il a déjà vu plus d’une fois quand on était gosse. Mes sous-vêtements qui laisse encore une part d’intimité, de chose à cacher. Mon t-shirt tombe au sol, le tissu s’étale à mes pieds. Mes mains sur mes hanches. Regard sérieux, le sourire légèrement effacé. T’es sûr que tu veux faire ça ? C’est pas.. C’est pas rien. Inquiète ? Peut être. Comme ci c’était ma première fois alors que.. vraiment pas. C’est différent qu’avec un autre mec là. C’est Sahel. On a prit nos bains ensemble, on a fait toutes les conneries possibles, on s’est toujours plus ou moins tout dit.. Intense. Intense ca serait le mot juste pour commencer à décrire tout se qui pourrait se passer ce soir. J’ai peur, Sahel. Pas peur de l’acte en lui même.. Peur de.. Foirer quelque chose, tout louper et casser ce moment je dirais.. magique. Peur que ca coupe notre amitié si profonde. Qui est peut être bien plus qu’une amitié depuis longtemps. J’en sais rien.
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baiser skyler par vengeance. ou comment ne plus respecter le respect lui même. non c'est pas ça. c'est pas par vengeance. pas par rage. juste de l'attirance. juste parce qu'elle est skyler. parce que t'as l'impression de la redécouvrir, de réellement la voir. elle et ses courbes, elle et ses yeux malicieux. elle et ses mots qui frappent et qui te séduisent. face à elle tu te mordilles pour éviter de succomber. à son corps qu'elle vient à peine de dévoiler. presque. tu comprends pas ce qui se passe. atmosphère intense et les mots de skyler en appose le questionnement. t'es sûr. comment tu peux l'être. t'es pas sûr. qu'est-ce que tu fous ici alors. pourquoi t'as cette envie qu'elle soit à toi, là sur ce lit. c'est skyler, en face de toi. la fille que t'as toujours vu autrement que les autres, enfance partagée et plus de souvenirs qu'on peut en compter. skyler. inexprimable. tellement étrange de la désirer, comme ça. à ce point là. tu réponds pas. tu fixes son regard. mais quand elle traduis le fil de ses pensées t'as déjà deviné. peur. peur de toi? peur de vous? t'as peur aussi, tu crois. tu l'diras pas, même pas tu t'l'avoueras. nerveux de tout casser. de briser un "nous", de briser un "elle". de lui faire du mal comme tu fais. d'habitude. avec toutes les autres. pas elle. t'as peur de moi? après tout c'est possible. après le connard de william le connard de sahel. on peut dire qu'elle sait les choisir. et si d'habitude t'arrives à deviner tout ce qu'elle pense, c'est raté pour cette fois. tu sais pas si c'est toi. si c'est cette tension d'un truc qu'on perd en même temps d'une nouveauté qu'on gagne. tu t'approches d'elle, le pas lent et le regard qui flanche pas. tout en retirant doucement ton t-shirt. j'suis sûr de rien, sky. on va peut-être tout faire foirer. tu t'fais mentir. contraire de tes gestes. contraire de tes yeux. paroles vides de sens. opposé de ton attirance. tu reviens brusquement t'emparer de ses lèvres. mots vides de sens et pensées emmêlées. tes bras la soulève et tu sens ses jambes se croiser dans ton dos. baiser passionné. ta peau qui brûle pour elle. peut-être que t'as peur aussi. mais une peur dangereusement désirable. admirable effort de résister qui à lourdement échoué.
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Peur de lui, de nous. De tout. Peur de ce qu’il peut se passer. De ce qu’il veut faire de moi. Peur qu’il agisse comme un connard avec moi. Ouais.. Peur de ça. t'as peur de moi? Il répète pourquoi exactement ? Pour être sûr que j’ai dit ça ? Ou juste pour amplifier mes dires. Faire en sorte que ce soit encore plus terrifiant. Si c’était ça. C’est gagné. J’suis à mort dans ma bulle de résistance. Bulle très peu protectrice. Bulle qui cède à tout instant de pression. Pression qu’il exerce en s’approchant de moi, son t-shirt par terre. Son corps parfait en face de moi. La boule au ventre. La boule au ventre lors que c’est moi qui est commencé à le chauffer, à la chercher. La lionne qui part au quart de tour sans réfléchir où sa course peut bien la mener. Le regret juste après. J’ai peur que tu fasses le con. Soyons honnêtes. Je le connais Sahel. Je le connais très bien. Je sais de quoi il est capable. Je sais à quel point il peut être le dernier des connards. Ma main se plaque contre son torse tatoué. Contre ses muscles dessinés. Qui font rêver. Je suis pas une gonzesse que tu peux jeter comme un chiffon après lui avoir refait le fond, okay ? C’est si élégant. Si.. Moi.  j'suis sûr de rien, sky. on va peut-être tout faire foirer. Il m’attrape, me soulève. Mes jambes autour de lui, mes mains autour de son cou. C’est mal. C’est mal tu sais ? Je parle trop. Surement. J’crois que je le sais. J’en suis consciente. Je devrais me taire, l’embrasser, le laisser m’envoyer loin d’ici. J’ai gagné le prix de la plus bavarde, c’est peut être pas pour rien. Ou serais-ce juste.. la peur. Encore, toujours. La haine, un peu. L’envie.. surtout. Tu sais que je m’attache vite, trop, pour longtemps. Tu veux que ça mène où tout ça ? Sérieux ? J’devrais arrêter de parler.. Embrasse moi putain ! Oui, c’est un ordre. Clair, net. Mes griffes d’ongles se plantent légèrement dans le haut de son dos. Sa peau contre la mienne.. Trop d’effet.
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saine et équilibrée. des mots qui n'ont jamais définis une de tes relations et qui ne les définiront jamais. mais celle avec skyler explose des records. ta faute, la sienne. un peu, des deux. peur de toi. avec raison, assurément. tu le sais, tu t'connais. pire des connards si tu l'voulais, ce n'est parce que t'éprouves quelque chose d'inexplicable à son égard que t'es comme ça avec elle. l'attentionné qui revient s'excuser alors que c'est elle qui t'a abandonné. ironie. je vais peut-être tout faire foirer. tu t'répètes. t'veux la prévenir. au contraire de tes mouvements. de tes gestes qui ne font que la tenter continuellement. tu la soulèves. j'sais pas. après tout t'sais pas si c'est mal. qui a dit que baiser était mal. coucher avec son duo, son pilier de toujours. qui l'a dit. peut-être que tu vas juste faire ça. la baiser, la jeter. non. tu perds le file de tes pensées. tu sais qu'à ce moment là tu peux plus réfléchir. te poser des questions et t'inquiété de la raison. t'es fasciné par ses lèvres. par sa peau contre toi. ta gueule. t'as lâché ça naturellement. parce qu'elle t'énerve à faire que parler. tu la connais. t'sais qu'il faut l'arrêter. t'es d'ailleurs aussi bien reçu que l'accueil puisqu'elle te signifie avec tout autant de gentillesse de ce dont elle a envie. t'obéis. à un ordre qui n'en est pas vraiment un puisque tu ne penses plus qu'à ça. l'embrasser. l'embrasser partout. mordiller ses lèvres et frôler son cou. dans l'élan tu butes contre le lit et elle se retrouves dos sur le matelas non sans un certain manque de douceur que tu ne captes même pas. au dessus d'elle tu prends totalement le pouvoir. tes bras l'entourent. ton souffle qui s'égare. tes doigts finissent par la frôler, la caresser de toute part. t'es ce qu'on pourrait appeler étonnement appliqué. le regard planté dans le sien, à quelques centimètres de ses lèvres, tandis que tu viens doucement décrocher l'attache de son soutien gorge. doigts habiles et assurés, il te faut pas plus de temps pour que celui ci vole à l'autre bout de la pièce et que tu te retrouve à les embrasser. belle connerie. t'a l'impression que c'est la pire et pourtant la plus belle connerie de ta vie.
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