LEYNAM ∆ sweet escape.

Si j'étais arrivée chez lui en craignant qu'il puisse y avoir des malaises au rendez-vous, maintenant cette idée ne m'effleurait même plus l'esprit. C'était presque naturel même vous voyez ? J'abandonnais mon corps au sien, le sentant tellement près de moi que ça me faisait frissonner sans que nous ne soyons véritablement collés l'un à l'autre. je sentais son membre dur m'effleurer légèrement mais je n'avais en même temps aucune certitude car cela aurait pu être une autre partie de son corps insoupçonnée. Je fermai donc les yeux, profitant seulement de cet instant en ne cachant pas le plaisir que j'y prenais. Mon coeur ne fit qu'un bond lorsque ses lèvres s'approchèrent de mon oreille et ses dents de mon lobe. Il n'aurait pas dû faire ça, c'était mal. Très mal. Il attirait le démon. J'adore. soufflais-je seulement pour ne pas tomber dans mes anciens vices. Si je l'avais rencontrer il y a de cela un an il ne porterait probablement déjà plus rien sur lui.

Visiblement, elle y prenait un vilain plaisir et avait du mal à le cachet. Mademoiselle Ellington ronronnait, se confortait dans le creux du lit tandis que mes mains parcouraient tout son corps de haut en bas. Je glissais mes doigts le long de sa colonne vertébrale pour venir masser le bas de son dos, m'arrêtant juste au dessus des fesses. J'avais donné beaucoup de massages à des amies avec un E, mais c'était la première fois aue j'étais aussi excité. Je soupirais et elle me chuchota, sans contenance mais avec un désir camouflé: "J'adore." Je souris, je prenais ça comme un feu vert car autant moi qu'elle savions très bien que ce petit massage allait terminer en bien autre chose que des muscles détendus. Ma tête s'approcha de son cou, j'étendis le long de mon corps et mon torse sur le corps de Leyna avant d'appliquer mes lèvres délicatement sur son épaule, faisant sortir ma langue froide caresser sa peau chaude. Je remontaid doucement au cou, tandis que mes mains étaient désormais nouées aux siennes. Je soufflais, et mordillait la peau de son cou affectueusent et sensuellement, provocant un certain désir. Mais allait-elle réagir?