Joshoïa ‡ Take Care

Take Care

Retrouver les bancs de Harvard était vraiment plaisant. Autant Zoïa avait eu du mal à quitter la chaleur du Mexique, les gens qu'elle y avait rencontré et ces enfants qu'elle avait aidé, autant maintenant qu'elle était rentrée, elle se plaisait à retrouver ses habitudes d'étudiante. La Danse comme discipline mineure était réellement un choix qui la complétait. Des heures de dur labeur en médecine, la Danse venait comme un exutoire à son corps tourmenté. Depuis maintenant une petite semaine les cours avaient repris et son rythme effréné avec. Sans doute pour ça qu'elle avait donné rendez-vous à Joshua à la fin de son cours, puisqu'ils avaient tous deux cours non loin l'un de l'autre. Le cours de danse s'achevait et la Rousse s'appliquait aux derniers étirements en saluant ses camarades qui quittaient le cours. Autant, elle était redoutable en Médecine, autant ses camarades de danse voyaient en elle un tout autre visage. Sa tête reposant sur son tibia, elle aperçut le visage du Quincy à travers la vitre. Elle se redresse donc doucement, boit une gorgée d'eau et rejoint l'Irlandais qui est entré aux abords de la salle. L'Incendiaire passe ses bras autour du cou masculin et vient frotter sa joue contre celle de son meilleur ami. « Cadeau. » lance-t-elle pleine de panache et fière de l'avoir recouvert de sa transpiration. Oui Zoïa est parfois dégeulasse et avec un âge mental surprenant avec son sérieux habituel, mais disons que si elle se conduit de la sorte vous êtes privilégié. « Comment va l'amoureux transi? » Elle arbore un grand sourire aux lèvres. « T'aurais presque bronzé dis-moi! » se moque-t-elle gentiment en tournant autour de son Quincy préféré. Elle lui attrape la main et le rapproche de lui joueuse. « Tu voudrais pas apprendre quelques pas de danse pour ta belle Mackenzie. J'suis sûre qu'elle aimerait ça, c'est toujours sexy un mec qui danse. » Un sourire en coin vient habiller le mutin de ses lèvres. « Ou alors je peux m'en charger et lui faire une danse dont j'ai le secret? » Elle se trémousse à l'aise, parce que Mackenzie est canon non? Et qu'elle est d'humour à jouer et s'amuser. La joie des retrouvailles dira-t-on.

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(Invité)

28/12/2013

Bien sûr que j'étais bien en vacances, à me prélasser sous le soleil d'Arizona. Seulement, passionné que je suis, j'aime me retrouver sur les bancs des amphithéâtres qui me permettent d'apprendre plus quant à mes études pour devenir médecin. J'étais ambitieux, c'était la chirurgie que je visais et je me donnais les moyens de l'être. Si bien que ouais, j'étais content d'être de nouveau ici, à Cambridge. De retrouver ma chambre à la Quincy House, de retrouver mes habitudes d'étudiant. Certes, bien des choses vont changer, mais au final tout reste pareil. C'était bien pour ça que j'avais souri en recevant le message de Zoïa, me conviant à la rejoindre à la salle de danse après les cours. C'était une rousse en train de s'étirer que je voyais dans la salle que j'avais pénétré. Ouais, c'était bien elle. Alors je m'approchais d'elle, remarquant bien qu'elle m'avait vu dans le miroir face à elle. Elle avait reconnu ma silhouette à l'envers et avait agi en conséquence. Redressée et même sur ses deux pieds, elle venait me prendre dans ses bras, sans oublier de mettre sa transpiration sur ma joue propre. « Merci bien, tout juste ce que j'attendais de toi » Ironie quand tu nous tiens. Je m'écartais bien assez vite pour éviter de ressortir d'ici puant la sueur de ma meilleure amie. « Il va.. bien, et toi alors? » et je lui tirais la langue face à la boutade qu'elle venait de faire. Presque bronzé ? Ouais bon, j'avais pas tellement pris puisque j'avais préféré rester dans le chalet en compagnie de la femme qui occupait mes pensées. C'est triste à dire, mais j'ai bien aimé mes vacances pour cette raison. Elle et moi against the world. Voilà qu'elle me faisait un espèce de tango, clairement d'humeur joueuse. Je lâchais alors mon sac, rentrant dans le jeu qu'elle voulait. « Tu crois que je ne sais pas danser ? » Ouais bon, j'avais très peu de notion, c'est vrai, mais j'avais quand même un peu le rythme, il me semble. « On va en rester à la première idée. Vasy, montre moi un pas qui saurait lui faire tourner la tête » Après tout, qu'est-ce que j'avais à y perdre ? Pas grand chose c'est vrai alors let's go, le ridicule ne tue pas.

(Kaiden Winston)

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Take Care

Joshua n'est même pas surpris de sa blague douteuse, disons qu'avec le temps il semble s'y habituer et même apprécier. « De toute façon entre une salle de danse et un amphi bondé de médecine, il y a match niveau transpiration. » Après une journée de cours, que ce soit dans un domaine ou l'autre, l'hygiène n'était plus irréprochable. En tout cas, le Quincy semblait en bonne forme et c'était le principal. « Super. Le Mexique c'était tout bonnement dépaysant. J'ai tout oublié là-bas. Même toi. » provoque-t-elle avec un sourire en coin. Elle exagère bien entendu et elle sait que la réciproque fût vrai concernant Monsieur Dwight qui devait bien être trop occupée à s'occuper de sa douce pour penser à sa vieille meilleure amie. Elle le taquine ensuite, joue sur son domaine et le provoque à la danse. « Je sais que tu sais onduler Chéri. » Ses bras passent autour de ses épaules et glissent doucement le long des bras masculines. « Mais pas autant que moi. » rajoute-t-elle orgueilleuse alors qu'il accepte finalement qu'elle lui montre un pas. La Rousse ajoute « Attends, qui dit danse Latino, dit équipement. » La salle est désormais vidée des autres danseurs et l'Incendiaire s'empare de ses talons. C'est une danse qui mérite d'être perchée. Elle lance une musique rythmée avec la télécommande et se rapproche en rythme de l'Irlandais. Les mains fines attrapent celles plus solides et viennent accrocher le bras gauche de son cavalier improvisé autour de sa taille. La main gauche de Zoïa reste liée à la droite de Joshua et voilà que la Rousse entame un pas de salsa obligeant implicitement le Quincy à se calquer sur son rythme. Elle laisse leurs deux bras se tendre afin d'entamer une enchaînement de petits pas, tout en gardant le rythme de ses hanches, puis se rapproche de lui et laisse ses pas se calquer au sien. « Pas mal Dwight. Pas mal. » Elle joue de ses sourcils puis sourit avant d'ajouter. « Allez montre-moi ce que tu as dans le ventre. Histoire de profiter des restes de l'été, histoire de se croire encore loin de Cambridge pendant quelques instants.

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28/12/2013

Je savais pertinemment que c'était la bonne personne pour décompresser après une journée de cours, la semaine de la reprise. Ouais, un peu de rigolade et puis des embrassades - bien que ce soit pas vraiment notre genre - et voilà qu'on était parti pour passer du bon temps ensemble. « Je reste quand même moins transpirant que toi. A vrai dire, je transpire pas, c'est mon secret le plus gardé. Alors de toutes les batailles qu'on peut se livrer, je gagnerai » C'était de la taquinerie, puisqu'il était quand même très peu probable qu'un homme ne transpire pas. Le corps humain était fait de façon à pouvoir s'autoréguler au niveau de la chaleur et la transpiration était pour beaucoup. « Comment as-tu osé m'oublier ? » feignais-je l'indignation face à la Dunster. Ouais, j'étais "indigné" de voir qu'une fois dans un nouveau pays avec des nouvelles occupations, elle venait à oublier celui à qui elle pensait nuit et jour auparavant. Quoiqu'il en soit, on était parti pour se mouvoir dans cette salle de danse. Avec de la chance, tout le monde était parti, ne nous laissant plus qu'elle et moi. C'était mieux ainsi, la présence d'autres personnes m'aurait légèrement contrarié au point de faire complètement n'importe quoi, entrainant donc des moqueries de la part de Zoïa. La voilà en talons, à mettre une musique rythmée et ambiancée. Mon sac à terre, je lui attrapais les mains et je me laissais guidé par elle, bien meilleure que moi dans le domaine de la danse. Voilà qu'elle me félicitait de mes exploits tout en m'invitant à continuer sur cette lancée. « Attends deux secondes » Je profitais d'un peu de répit dans la musique pour me détacher d'elle et de retirer la chemise que je portais afin de me retrouver simplement en t-shirt sans manche, beaucoup plus pratique pour danser avec elle des pas que je ne connaissais pas. « C'est bon, fais moi vibrer sur une danse latinoooo » Mais des trucs pas trop compliqués, je l'espère. Je n'avais clairement pas son niveau.

(Kaiden Winston)

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Take Care

Zoïa n'est pourtant pas la Rigolote de service, celle sur laquelle on compte pour se dérider. Elle est plutôt celle qui a une rigueur à faire pâlir de frayeur les plus grands acharnés de boulot. Oui mais voilà, la hauteur de son sérieux est proportionnelle à celle de ses excès. Et lorsqu'elle est en confiance, elle est capable des pires folies. Son esprit enfantin est irrémédiablement rappelé au contact de Joshua. « On se caille surtout trop en Irlande pour transpirer, c'est pas prévu dans votre patrimoine génétique. » se moque-t-elle gentiment. « Mais ça a son côté pratique je dois avouer. » Un monde sans transpiration, le paradis? Trêve de débats métaphysiques, la Volcanique entraîne son Précieux Ami dans une danse rythmée et endiablée. « Je suis certaine de réussir à faire perler une petite goutte sur ton front de surdoué. » lance-t-elle compétitive avec un sourire aux lèvres. Sur ses paroles, le Quincy s'interrompt pour enlever sa chemise, elle arbore une expression moqueuse avant de le toiser. « Ca s'appelle tricher Dwight, d'enlever des couches de vêtement. » Mais elle aime son dévouement à la tâche, elle prend donc sa main et l'entraîne de plus belle au rythme de la musique. L'Irlandais participe avec entrain à sa frénésie, si bien que les deux terminent le morceau haletant. Elle passe son index au coin de la chevelure masculine. « Gagné! » ironise-t-elle avant de s'affaler par terre pour mieux reprendre sa respiration. « Je finis toujours pareil avec toi ou quoi? » Référence à leur petite course près de la forêt interdite en Ecosse. Les moments avec Joshua s'apparentaient à une trêve dans le sombre de son quotidien, la couleur à ses nuances de gris. Elle retrouve une stature verticale en s'asseyant. « Tu paierais un verre à ta Puante meilleure amie. » Savoir faire abstinence du Glamour féminin, c'était aussi un pas franchi dans l'intimité d'une relation amicale, n'est-ce pas?

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(Invité)

28/12/2013

Ça faisait du bien n'empêche, de passer du temps en compagnie de la jeune femme. Aucune prise de tête, juste partager un moment simple dans une salle de danse vide de tous les autres étudiants. « On va dire ça ouais. Même si on est d'accord que génétiquement parlant, c'est clairement impossible. » On était fait pour transpirer donc c'était quand même une anomalie génétique de pas le faire. Quoiqu'il en soit, on s'était lancé dans une danse et elle se lançait à elle même le défi de faire perler de la sueur sur mon front. Ouais enfin je suis d'accord, mais je me détachais d'elle afin de retirer la chemise que je portais, ne lui laissant pas le choix. « Je triche pas non ! » Comme si la petite fine couche allait changer la donne. Quoiqu'il en soit, on recommençait, nos mains liées pour qu'on se bouge sur un même rythme elle et moi. La thérapie de la danse était quand même plutôt agréable quand on y pense. Et puis voilà qu'on terminait, tous les deux haletants et dégoulinants. Bon, j'étais pas si dégoulinant que ça pour ma part, mais j'avais quand même de la transpiration et elle l'avait bien remarqué. « Gnagnagna » Et voilà qu'elle faisait une référence sur nos entrevues sportives à chaque fois. « Faut croire que c'est notre truc, finir tout transpirant » On ne compte pas ce qui s'est passé l'année passée, quand nous avions fini dans le même lit. « Tu veux me ruiner en fait, c'est ça ? » Ouais bon, pas forcément, tout dépend du bar dans lequel on va. Mais il est vrai que je ne roulais pas sur l'or.

(Kaiden Winston)

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Take Care

Non mais c'est le monde à l'envers, le spécimen Joshua qui donne des cours de sérieux à la Demoiselle Rosenbach. Elle reste pourtant sourde à l'argument de l'Orange concernant la rigoureuse génétique. « Ouais c'est ce qu'on disait aussi pour Spider-man. » Qui n'existe pas certes, mais lorsqu'on veut se draper dans sa mauvaise-foi, on trouve facilement les arguments pour se parer. Elle était joueuse en tout cas et Joshua mauvais perdant. Parce que bien entendu, la danse c'était son domaine à elle de prédilection. Mais là en l'occurrence, on passait simplement un moment bon enfant. La dernière remarque du jeune homme lui arracha toutefois un rictus presque étonné. Difficile de ne pas penser à leur seule nuit d'excès avec des mots pareils. Elle ne relève pas, ne voulant pas nourrir un feu désormais bien éteint. Cette erreur a déjà suffisamment mis en péril leur amitié pour y revenir. Cela ne la met que trop face à ses failles, à ce qu'elle ne peut pas lui apporter et qu'il trouve désormais chez une autre. C'est ainsi. Quand elle avait lancé l'idée du bar, elle n'avait pas pensé à l'aspect financier. Tout simplement parce que c'est une chose dont elle n'avait jamais manqué. Elle oubliait parfois que ce n'était pas forcément le cas des autres. « Si y'a que ça, c'est moi qui t'invite, va. » Ses épaules se haussent, fatalistes. Qu'importe le flacon, tant qu'on a l'ivresse.

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28/12/2013

C'était bien évident, pour nous étudiants en médecine, qu'il est impossible de ne pas transpirer. Et pourtant, Zoïa semblait tout de même persuadée que c'était possible. Elle venait de poser l'argument de Spider-Man. Ouais bon... disons simplement que nous ne vivions pas dans le même monde. Pour moi, les araignées ne peuvent pas, par une morsure, changer ton identité génétique au point de faire de toi un homme araignée. Mais si elle voulait le croire, c'était tout à son honneur. « Rappelle moi ce qu'est Spider-Man s'il te plait » Un personnage de fiction, c'est aussi simple que ça. Enfin, on avait passé tout le temps de la chanson à danser ensemble, sur le même rythme et je dois dire que ça faisait du bien. Je suis même capable de le faire au moins une fois par semaine. Ça m'obligerait alors à voir ma meilleure amie, passer du temps ensemble et en plus, à échanger notre transpiration, le pied right? « Tu ferais ça ? Oh, que c'est gentil. » disais-je en riant. Non mais parce qu'il faut savoir que c'est loin d'être le caractère de Zoïa que d'inviter les gens. Donc oui, je me sentais honoré par cette simple demande. « Je t'inviterai à manger chez moi un jour.. celui que je partage avec Mack. » Ou comment dire subtilement que je vivais à présent avec ma petite amie. Enfin, j'ai toujours ma chambre à la Quincy, mais je passais le plus clair de mon temps chez elle et c'était un peu comme mon chez moi quoi.

(Kaiden Winston)

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Take Care

C'est mal connaître Zoïa de penser qu'elle va laisser sa mauvaise foi au placard. Elle toise donc d'un air amusé son meilleur ami et s'empresse de répondre avec tout l'aplomb dont elle est capable. « Un adolescent boutonneux qui devient super classe? » Non elle n'admettra pas sa défaite. Par pur principe. Mais Joshua ne s'étonnera même pas sur ce point à coup sûr. Elle avait naturellement proposer de l'inviter. Il était fauché et pas elle, alors ça lui semblait naturel. Certes, ce n'était pas le cas avec tout le monde mais avec lui ça ne l'a gênait pas le moins du monde. « Mais je suis la gentillesse incarnée tu sais bien, ce ne sont que de fausses rumeurs que l'on entend. » Sa bouche se plisse en coin, amusée par l'absurdité de ses propres propos. Mais elle déchante vite lorsque Joshua lui propose de l'inviter dans son nid douillet. « Il le faudra vraiment? » dit-elle en enlevant son tee shirt pour en enfiler un propre qu'elle a amené en rechange. C'est pas vraiment le truc de Zoïa ces trucs là. « Je veux dire je sais pas, ta Mackenzie a pas l'air non plus spécialement branchée par ma rencontre vu que je l'ai toujours pas officiellement rencontrer depuis tous ces mois. » Elle soupire, elle redoute cette rencontre, et en même temps se vexe qu'elle n'ait toujours pas eu lieu. « A moins que ce ne soit toi qui veuille pas. » Peut-être qu'il redoutait de confronter cette partie de lui avec l'autre. Parce que Zoïa était une amie pour le moins inattendue lorsqu'on connaissait le Quincy. Personne ne pourrait deviner leur amitié de prime abord, peut-être parce que la Rousse représentait aussi cette partie sombre de lui qu'il s'appliquait à cacher.

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(Invité)

28/12/2013

« Je me souviens pas avoir vu des boutons sur sa gueule... mais en gros ouais. Et puis accessoirement, c'est un personnage de fiction, inventé de toute pièce, pour divertir les petits comme les grands. Juste comme ça hein » disais-je en rigolant, entrant encore une fois dans un espèce de délire bien à notre image. Faut dire qu'on en a déjà eu pas mal et c'était clairement pas le dernier pour le coup. « Quelles fausses rumeurs ? J'ai rien entendu de tel moi. Que des vraies moi madame! » Ouais bon, c'était surtout que je connaissais la personne en face de moi et que je devais me sentir honoré qu'elle me fasse grâce de payer. M'enfin, on parlait à présent de la rencontre Zoïa et Mack. C'était depuis un moment qu'elle devait avoir lieu et au final, Mack s'éclipsait à chaque fois que Zoïa était là, et c'était pas faute d'avoir essayé de les faire se voir. Mais bon, faut croire que le destin était contre ce tête à tête à trois. « C'est pas ça, t'inquiète. Ça va arriver, je vais faire en sorte que ça arrive.. sauf si tu n'en as pas envie » Même si nous étions bien différents sur certains points, nous avions une certaine similitude pour d'autres. Et maintenant, Mack en savait pas mal sur mon compte, qui pourrait faire en sorte qu'elle ne soit pas effrayée par ce que pourrait dire Zoïa à mon compte.

(Kaiden Winston)

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