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La nuit, y'a souvent des cambriolages.
Solveig & Dean
Je savais bien que d'avouer qu'elle ne viendrait jamais chez moi ne passerait pas avec un beau sourire. Je remarques son ton un peu sec, et je ne peux m'en prendre qu'a moi même. Peut - être comprendrait elle un peu mieux si j'explique pourquoi ? Allez je me lance, je pince mes lèvres et prend la parole " C'est juste que je vis avec ma cousine... Et elle fait partie de Harvard, alors je ne préfères pas. Tu comprends? " Je m'inquiétais, oui je ne voulais pas la blesser, ou lui faire penser que je suis un mec qui s'en fout de ce qu'elle peut ressentir ou penser. Justement, Solveig me signale que je ne suis pas obligé de venir m'assurer qu'elle va bien. " Personne ne m'oblige a rien. Si je fais, c'est que je le veux... " Et je crois que je peux affirmer que la jolie rousse a une importance pour moi. Sauf que ça je ne le dirais pas.
Une fois l'un contre l'autre, notre jeu habituel commençait lentement a se mettre en place. Nos mains sous nos vêtements, et sa façon a elle de m'indiquait que j'ai le haut en trop. Je ne tardais pas a le retirer, et a laisser mon torse s'afficher. Ma main qui caresse sa poitrine sensuellement, je sais que l'excitation monterait dans quelques instants. Je peux le savoir a son souffle, tout comme mon amante peut remarquer que le mien vient a s'entre couper. " J'irais où tu veux. " Et je me fais bousculer pour atteindre le lit. Assis, je reçois le corps de la jeune femme sur moi. Nos lèvres ne se quittent plus, tout comme la passion de nos échanges. Quand je sens alors un contact au dessus de mon jean, je pousses un petit gémissement et je fermes les yeux un instant avant de mettre mon regard dans le sien sous sa demande. Ma bouche vient frôler la sienne, et je laisse échapper toujours suavement " Mais je te l'ai dit. Je veux m'assurer de ton bien être... " Je mordille sa lèvres doucement. Et je la relâche avant de saisir le bas de son dos de mes mains pour coller son buste au mien. Je croque son menton, et je poursuis " Et, aussi parce que j'ai envie de toi. Comme toujours... " Aurais je bêtement avoué que je ne ressentais des choses sexuelles que envers elle? Je crois effectivement que j'ai lâché le morceau. Elle ne relèverait peut être pas. Et puis tant pis. Je viens poser mes lèvres sur son cou, et mes mains commence a enlever son vêtement.
Une fois l'un contre l'autre, notre jeu habituel commençait lentement a se mettre en place. Nos mains sous nos vêtements, et sa façon a elle de m'indiquait que j'ai le haut en trop. Je ne tardais pas a le retirer, et a laisser mon torse s'afficher. Ma main qui caresse sa poitrine sensuellement, je sais que l'excitation monterait dans quelques instants. Je peux le savoir a son souffle, tout comme mon amante peut remarquer que le mien vient a s'entre couper. " J'irais où tu veux. " Et je me fais bousculer pour atteindre le lit. Assis, je reçois le corps de la jeune femme sur moi. Nos lèvres ne se quittent plus, tout comme la passion de nos échanges. Quand je sens alors un contact au dessus de mon jean, je pousses un petit gémissement et je fermes les yeux un instant avant de mettre mon regard dans le sien sous sa demande. Ma bouche vient frôler la sienne, et je laisse échapper toujours suavement " Mais je te l'ai dit. Je veux m'assurer de ton bien être... " Je mordille sa lèvres doucement. Et je la relâche avant de saisir le bas de son dos de mes mains pour coller son buste au mien. Je croque son menton, et je poursuis " Et, aussi parce que j'ai envie de toi. Comme toujours... " Aurais je bêtement avoué que je ne ressentais des choses sexuelles que envers elle? Je crois effectivement que j'ai lâché le morceau. Elle ne relèverait peut être pas. Et puis tant pis. Je viens poser mes lèvres sur son cou, et mes mains commence a enlever son vêtement.
Emi Burton
(Invité)
