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Ouais, il devait être occupé pour ne pas venir me voir. Du moins, je l'espérais. Savoir qu'Alexander en avait rien à faire de moi m'anéantirait certainement... surtout après l'été que nous venions de passer ensemble. Je continuais de tenir la main de ma soeur dans la mienne. J'étais contente de la voir à mes côtés, sa présence me rassurer tellement, c'était vraiment bon signe. Elle me faisait croire en la famille, chose à laquelle je n'ai jamais cru ou bien à laquelle je n'ai jamais pu croire. D'ailleurs, je lui posais des questions au sujet de notre père. Il ne devait pas être très long si je me retrouvais à l’hôpital de Boston. « Non, il est pas là. Je lui ai un peu dis que je ne voulais pas le connaître. » Ça ne m'étonnait pas vraiment. J'esquissais un faible sourire. « Le plus important dans cette histoire c'est que tu veuilles bien me connaitre moi ! » m'exclamais-je dans un haussement d'épaules. Puis, je finissais par laisser échapper un soupir en la regardant avec regret. « J'crois qu'on ferait mieux d'appeler une infirmière... J'ai peur d'avoir un truc grave... » dis-je bêtement. Ouais j'avais peur d'avoir quelque chose et que je ne sache pas encore quoi. C'était con, mais je sais pas, être atteinte physiquement me terrifié.
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N’ayant pas vraiment été sur le campus cette dernière semaine, je n’avais pas vu Alexander beaucoup. Je n’en savais pas plus sur lui, et pour être honnête, cela n’avait pas été ma première occupation. Nous avions tous notre manière de gérer cette situation. Pour moi, cela avait été de rester près de ma soeur, c’était cela qui me tenait à coeur. J’en avais brièvement parler à mon tuteur de ma situation, et lui-même avait dit que c’était bien que je veuille apprendre à connaître Alaska. Je pense qu’il était fier de moi, de la jeune femme que j’étais devenue. Je lui avais fais des crasses, beaucoup, mais il restait à mes cotes. Il faisait partie de ma famille. « Oui. Puis y a deux petits monstres qui veulent aussi de toi. » Dis-je pour relâcher un peu la tension dans l’atmosphère. « Ok, pas de soucis. » Je venais alors appuyer sur le bouton a cote du lit d’Alaska, celui qui servait à appeler les infirmières. Elles m’avaient dit que je devais impérativement appuyer dessus si quelque chose se passait. Je ne l’avais pas fait, voulant profiter de cet instant avec ma soeur.
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« Oui. Puis y a deux petits monstres qui veulent aussi de toi. » Je ne pus m'empêcher de sourire quand elle me parla de ses enfants. Je les adorais, ils étaient à croquer. Puis, je ne sais pas, j'avais le feeling avec les enfants, peut-être parce que j'étais une personne assez cool et que mon monde était assez semblable aux leurs. Moi, je les enviais parfois, parce que quand on est enfant, on n'a pas vraiment de problème ou alors on ne les comprends pas et forcément, on se soucie moins. En grandissant, on se rendait forcement compte de la galère que pouvait être la vie. « J'ai hâte de les voir ! » affirmais-je alors. Ouais et de continuer à les connaitre, tout comme Feldt. Mais là, il fallait que je voie une infirmière. J'allais pouvoir me rassurer un peu. « Ok, pas de soucis. » Alors Feldt appuya sur le bouton à côté de mon lit et je me mis à stresser. Une infirmière arriva parmi nous rapidement comme s'ils attendaient ce moment avec impatience. « Bon retour parmi nous mademoiselle Hamilton ! » J'affichais un sourire malgré moi. « Vous vous sentez bien ? Vous avez des douleurs ? » Me demande-t-elle en regardant un peu partout. Je secouais simplement la tête, je n'avais pas franchement envie de lui parler. J'me sentais juste bien et j'allais encore mieux quand l'infirmière s'éclipsa, indiquant qu'un médecin allait passer. « Tu crois qu'ils vont me proposer la désintox ? » demandais-je à Feldt comme si elle était au courant de tout ça. Enfin, j'étais une mather, ce n'était pas pour rien. Elle le savait, on n'en avait juste jamais parlé.
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Si j’avais été inquiété pour ma petite soeur, mes jumeaux l’avaient aussi été, et me demandaient souvent des nouvelles quand je rentrais à la maison. Pour le moment, nous vivions dans les cartons. Je n’avais pas encore eu le temps de tout déballer dans notre nouveau loft sur Back Bay. Cela me ferait du bien de plus vivre dans la villa d’Elios, ni dans l’ancien appartement que j’avais partagé avec Briony. Je le louais à présent à un groupe d’étudiants. Un nouveau départ, pour une nouvelle année, je crois que c’était vraiment ce qu’il y avait de mieux pour moi. Une fois que la situation avec Alaska serait stabilisée, je les ferais venir à l’hôpital. « Attention à ce que tu dis, si ils s’attachent à toi, mais ils te laissent plus partir. Tu vas devoir jouer avec eux, au moins une fois tous les deux jours. » La raison, pourquoi tu aimais tes enfants, c’était qu’ils étaient si innocents et acceptaient les gens pour ce qu’ils étaient. L’infirmière ne tardait pas d’arriver, et je lui fis de la place pour s’occuper d’Alaska pendant un instant avant de repartir chercher le médecin. « Aucune idée. Ca dépend. T’avais pris quoi? Enfin t’as pris combien? » Je ne prenais pas la drogue, et même les années où je fumais de la weed étaient lointaine. Ce n’était pas mon truc, mais je pense qu’ils proposaient cela, tout dépendait des patients.
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« Attention à ce que tu dis, si ils s’attachent à toi, mais ils te laissent plus partir. Tu vas devoir jouer avec eux, au moins une fois tous les deux jours. » Je ne pus m'empêcher de sourire quand elle commença à parler de ses enfants. Deux petits monstres absolument mignons. Ils étaient encore jeunes et insouciants et j'aimerais être à leur place parfois. Quand j'y pense, jusqu'à l'âge de cinq ans, ma vie était parfaite. Mais nous grandissons tous un jour et j'espérais vraiment que Feldt allait savoir les protéger du mieux qu'elle pouvait. « Je joue avec eux quand tu veux, c'est pas un problème. Par contre, ça veut dire que tu devras rester auprès de moi pendant un bon bout de temps s'ils s'attachent. Tu n'auras pas le droit d'aller fuir à l'autre bout du pays ! » C'était un peu égoïste. Je ne la connaissais pas encore, enfin pas vraiment et je voulais déjà la garder avec moi alors que peut-être qu'elle se plairait mieux à Tokyo. Une fois l'infirmière passée, je regardais à nouveau ma sœur pour lui poser une question qui m'inquiétait. La désintox. Ils allaient vouloir m'envoyer là-bas peut-être ? « Aucune idée. Ça dépend. T’avais pris quoi? Enfin t’as pris combien? » J'essayais de me rappeler de ma soirée, mais c'était vraiment flou. « J'en sais trop rien. Beaucoup... assez pour avoir un corps totalement anesthésié je pense. » Après, c'était à voir si j'avais envie de me soigner ou non.
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Je ne pouvais plus imaginer ma vie sans mes enfants, sans ses deux anges. Ils étaient une partie intégrante de ma vie, et je ferais tout pour qu’ils ne touchent pas aux malheurs de la vie, que rien ne leur arriver. Je voulais qu’ils restent innocents à jamais. Cependant, je savais que cela était impossible. Si Elios épousait vraiment la femme choisit par sa mère, il y aurait beaucoup de problèmes. Je me disais que je ne voulais pas y penser, puis j’essayais déjà du mieux que je pouvais de ne pas leur faire vivre la froideur entre moi et leur père. « T’en fais pas. J’ai annulé mon année à Tokyo. Je vais rester ici. » J’avais juste pas eu le coeur de partir alors qu’elle était dans le coma, alors je suis tout simplement passée en 7ieme année, ma dernière année d’étudiante à Harvard. Cela était un sentiment quelque peu étrange. Nous attendions que le médecin n’arrive, et Alaska m’avouait avoir pris beaucoup de drogues. « Je sais pas. Peut-être qu’ils vont te proposer un programme ou quelque chose dans le genre. »
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« T’en fais pas. J’ai annulé mon année à Tokyo. Je vais rester ici. » Je me sentais partagée. J'étais heureuse de garder ma sœur et ses enfants auprès de moi. J'étais vraiment contente de les garder et de pouvoir continuer à les découvrir encore et encore. Je sentais que je m'attachais à eux et que s'ils partent à l'autre bout du monde, j'allais être vraiment mal. Mais, d'un autre côté, je me sentais si égoïste de lui dire cela. Elle avait largement le droit de vivre sa vie comme elle l'entendait. Je voulais surtout qu'elle soit heureuse et si cela impliquait d'aller vivre à Tokyo, alors je serais contente de savoir qu'elle réalise ses rêves et qu'elle vit avec un sourire aux lèvres. « Tu fais ça parce que je suis à l'hôpital ... ? » lui demandais-je alors avec une petite voix inquiète. Puis, quand l'infirmière repart, je commence à m'inquiéter par rapport à ce que vont me dire les médecins. Je n'ai aucune envie d'aller déprimer dans un centre de désintox. J'étais certaine que j'allais arriver à m'arrêter sans l'aide de personne un jour ou l'autre et je sentais que ce jour n'était pas arrivé. « Je sais pas. Peut-être qu’ils vont te proposer un programme ou quelque chose dans le genre. » Hum. Je fais une petite moue. « Je ne suis pas si dépendante... » confiais-je alors à ma sœur. « Je pense que je peux réussir à arrêter toute seule si j'en ai envie. » Je n'avais aucune envie que l'on me dise que j'étais une alcoolique ou droguée, ça me faisait peur d'entendre cela. Parce que j'avais l'impression que l'on me disait que j'étais comme ma mère.
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Bien sure que j’aurai préféré repartir a Tokyo, continuer mon année la-bas. Cette ville était ma ville de naissance, la ou j’avais grandi, et c’était la ville que j’appelais maison. Cependant, je ne pouvais pas juste repartir et abandonner Alaska. Je ne pouvais pas continuer de fuir de mes responsabilités ou de mes démons. Je ne faisais que cela depuis presque 6 mois. Il fallait que j’arrête de faire cela. C’était tout simplement impossible, alors oui, j’avais annulé mon voyage, préférant bien plus rester auprès de ma soeur. « Entre autre. Mais te fais pas de soucis pour moi. Je me débrouille. » J’ai toujours su me débrouiller toute seule, ne dépendre que de moi. J’étais une jeune femme indépendante, forte, et qui n’aimait pas qu’on me dicte ma vie. Alors si j’avais décidé de rester à Boston, c’était pour moi, et pas pour quelqu’un d’autre. J’écoutais ce qu’elle avait a dire par rapport aux drogues. Je n’avais jamais été une fan des substances illicites, et tout le monde savait que j’en avais une certaine advertance. « Ecoute ce qu’il a à dire. Il peut pas te forcer à faire un traitement, juste te conseiller. Tu décideras en suite. »
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« Entre autre. Mais te fais pas de soucis pour moi. Je me débrouille. » Et voilà, j'me sentais mal maintenant. Elle n'était pas partie à Tokyo à cause de moi. Et au final, je ne connaissais pas sa vie, je ne connaissais rien d'elle alors je n'avais aucune idée d'à quel point elle affectionnait cette ville ou bien si elle fuyait en partant là-bas. C'était ma grande sœur, j'ai posé mon regard sur elle pour la première fois cet été et depuis, je lui vouais une confiance absolue. Alors qu'au fond, je ne connais rien d'elle, je ne sais rien, elle m'est inconnue et étrangère. Je lui parlais brièvement de ma consommation de drogue et d'alcool. J'avais peur que l'on veuille me mettre en désintox, j'en ai aucune envie. « Écoute ce qu’il a à dire. Il peut pas te forcer à faire un traitement, juste te conseiller. Tu décideras en suite. » Ouais elle n'avait pas tort. Mais en même temps, c'est juste que ça me fait grave flipper rien que d'en parler. « On verra bien » J'ai juste l'impression que l'on va me parler comme si j'étais une attardée et que j'avais un problème, alors que tout allait bien dans ma tête. Le médecin arrive finalement avec un sourire dans la pièce.

Spoiler:
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