I am and shall stay number 1 (Jared)

I am and shall stay number 1
mise en page par mad loveVoilà que la rentrée venait d'annoncer le retour à la normal. J'allais pouvoir enfin occuper mon esprit de formule, de définition, de diagnostic. Tout ce que j'aimais. J'affichais un grand sourire, fière de pouvoir aller à mon quatrième jour de cours de l'année. Mes débuts s'étaient plutôt bien passés. Une rentrée comme les autres. Les cours ne me faisaient pas peur, tout me semblait facile ou du moins abordable ici. Alors que mon intégration était loin d'être évidente. Difficile à croire mais ici tout le monde semblait partisans des fêtes bien arrosés. Chose que j'évitais la plupart du temps à Dublin. Un système de vie à laquelle, je ne m'étais pas encore habitué et dont j'allais sans doute avoir du mal à accepter. J'étais tranquillement assise au troisième rang, parfait pour écouter et parfait pour ne pas attirer l'attention sur moi. Je croisais tranquillement les bras contre moi lorsque Jared s'installa devant moi. Je ne le connaissais pas ou du moins je ne connaissais que son prénom. Douer, intelligent, énervant, bizarre et super-mystérieux. Une vraie énigme mais voilà comment je le percevais. Ses résultats étaient excellents, trop excellents mêmes. J'affichais une grimace, oui, j'avais été voir ses résultats. J'étais juste curieuse de savoir à quel point il était intelligent. Être deuxième de cette promo n'était pas envisageable. C'était peut-être idiot de ma part mais il en était hors de question et Jared était clairement l'adversaire parfait. Après plusieurs minutes, mon regard se porta sur le professeur. Prête à me mettre au travail pour notre troisième TD. Il annonça « Aujourd'hui, vous allez travailler en binôme » mes sourcils se levèrent. Je détestais cela. Égoïste ? Peut-être un peu. « J'annonce les binômes... » il lista les noms de la promo avant qu'il ne dise : « Marin-Rhym avec Jared » mes yeux grossissaient à vue d'oeil. Pourquoi ? Pourquoi ? La tête de Jared se retourna pour m'observer. Mon visage changea immédiatement essayant de masquer ma surprise et mon manque d'enthousiasme. Vous l'avez compris, j'avais tous sauf envie de travailler avec lui.

Marin-Rhym & Jared
It's better than nothing
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Quelques jours s'étaient écoulés depuis la reprise des cours. Jared se voyait là rassuré. La routine avait repris son cours, les heures s'égrenaient au rythme des études et des apprentissages et de Savoir, le Solitaire était toujours aussi vorace. Appliqué et rigoureux, c'est avec une certaine aise qu'il entamait sa quatrième année. Celle-ci verrait la compétition haussée d'un niveau et la spécialité à laquelle il se vouait requiérait l'excellence. Ce n'était pas le moment de faiblir tout bonnement. Le Quincy se fond dans la masse, serre quelques mains, échange quelques sourires mais reste pourtant peu loquace. Il a lié suffisamment pour ne pas éveiller les soupçons, aide tout juste pour ne pas susciter de jalousie et surtout pour ne pas diriger le projecteur sur son ambition démesurée visible à ses dents qui sournoisement rayent le parquet. La réussite, c'est le seul objectif qu'il s'accorde mais auquel il se tient. Les plus volages se laissent déjà allés à quelques soirées de bienvenue, et autres excès. Coucheries à gauche et à droite, mais tout ceci ne le concerne que peu. Installé au deuxième rang, il écoute avec attention le Professeur leur expliquer le programme. Puisqu'il s'agit d'un travail dirigé, ils formeront pour l'année des duos. Le Distant expie sa résignation en silence et attend d'une oreille impatiente le boulet désigné pour l'année. « Jared et Marin-Rhym. » Il se retourne machinalement. Parce qu'il connait chacun des étudiants de son année, en bon compétiteur, il se tient informé de ses rivaux. Et celle-ci est inconnue au bataillon. Ou plus exactement, c'est la nouvelle. Il n'y a prêté aucune attention jusqu'alors et voilà que ses prunelles ambrées fixent la jeune femme sans ciller. Une tête de parfaite idiote. Et adorable. Merde. « Salut . » lâche-t-il distraitement. Il ne connaît pas son niveau, ni même ce qu'elle a pu apprendre jusqu'à présent. Il se lève et rejoint sa table. Galanterie oblige. Et alors que le professeur leur indique le premier exercice, il reste sur sa réserve. Observer avant d'attaquer. « Je te laisse le premier. » lance-t-il doucement en tapotant de son crayon.

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I am and shall stay number 1
mise en page par mad loveJ'étais la nouvelle, celle qu'on regardait bizarrement et dont on parlait aux interclasses. La bête de foire, celle à regarder et celle à humilier. Comme toujours, j'avais su analyser chaque élève de cette promotion. Allant de la bitch superficielle qui se trouvait au dernier rang au premier de la classe qui se trouvait juste devant moi. Jared avait suscité un plus grand intérêt pour moi, il avait su animer ma curiosité. Je ne le connaissais pas mais je savais déjà dont-il était capable. Premier et bientôt deuxième. C'était l'objectif que je m'étais fixé cette année. Cela pouvait paraître bizarre, beaucoup se donnent l'objectif de coucher avec un nombre incalculable d'hommes. Moi je voulais seulement battre cet homme. J'aimais les défis et Jared M. Wentworth en était un. En pleine réflexion avec mon subconscient, j'en oubliais la réalité. « Salut » mon visage se releva aussitôt avant de bafouiller un vieux « salut » j'avais envie de me frapper, vraiment. Mon comportement était stupide mais bizarre soit-il j'étais vraiment intrigué par cet homme et par le résultat qu'allait donner notre coopération. Allait elle être catastrophique ou explosif. Je n'en savais rien et pour tout vous cachez, je ne savais même pas ou me ranger. Il s'installa à côté de moi et je finis par dire : « J'aurais pu me déplacer, tu sais » n'importe quoi Hamilton... joue l'idiote, il n'y verra que du feu. Voilà ce que me rappelait mon subconscient. Jared observait, je le voyais étant moi-même une grande observatrice. Il était clairement bon pour moi de donner l'image de l'abruti fini pour finalement mieux le surprendre dans ses retranchements. Le professeur commença à énoncer le premier exercice, facile. J'affichais un mince sourire à peine perceptible. « Je te laisse le premier » mes yeux se plissèrent légèrement. Il me testait, d'un geste affirmé, je pris mon stylo. Allais-je affirmer mes capacités ou allais-je le faire marmonner un peu. La deuxième semblait plus marrante et bien machiavélique. Quand il s'agissait d'étude, je pouvais être machiavélique. Je commençais l'exercice, simple, je fis expert de faire une faute rendant finalement mon résultat nul. La faute était voyante à des kilomètres j'en avais presque honte mais tampis. Il voulait jouer, j'allais jouer à ma manière. Je lui tendis la feuille et lui dis : « et voilà » cacher mes forces, voilà ce que je faisais..

Marin-Rhym & Jared
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Jared s'amusait presque sous son masque impassible de la voir si gauche. Mais rien ne laisse transparaitre cette légèreté soudaine, et puis, il ne sait pas vraiment ce qui l'amuse le plus. Sa maladresse ou bien l'énervement qu'elle ressent face à sa réaction. Les billes assurées suivent néanmoins placidement les frasques de la Demoiselle tandis que la voix grave rétorque: « Je ne voulais pas que tu te perdes. » Attention, humour, ou bien sarcasme ? Qu'elle prenne ce qui lui convenait davantage et qu'elle délaisse le reste. Le Placide observe ensuite la Brunette réaliser l'exercice. Il ne sait trop que croire. Est-elle complètement idiote ? Déstabilisée, ou bien teste-t-elle la propre intelligence du Quincy en feignant la bêtise. Le regard de l'Ecossais se pose sur l'exercice, quelques instants le temps de le déchiffrer, et puis, il décide de ne pas la blâmer histoire de soupeser un peu mieux sa réaction et d'évaluer une possible adversaire. Ses épaules s'approchent de celles frêles de la jeune femme, comme pour tester sa résistance, de la pressentir par ses palpitations et réactions corporelles « Tu es certaine de cette réponse ? » l'interroge-t-il en écarquillant légèrement ses prunelles et en approchant l'index de la ligne fautive. Il espère deviner au travers de sa réponse un peu plus sur elle, une réponse de parfaite idiote ou de fine stratège et il espère simplement se tromper sur sa réponse.

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I am and shall stay number 1
mise en page par mad lovePour tout vous avouez, je ne savais pas quoi penser de cette collaboration. J'avais toujours eu l'habitude d'avancer seul dans mes études. Et tout ceci me convenait jusqu'à présent. J'étais l'estime de moi-même et mon propre maitre. J'aimais ça. La feuille d'exercice glissa dans les mains du jeune étudiant avant qu'il ne me réponde : « Je ne voulais pas que tu te perdes. » mes yeux se plissèrent avant d'afficher un mince sourire et de rétorquer doucement mais assez distinctement pour qu'il entende. « entre deux chaises ? » j'étais peut-être intelligente mais ne crois pas là que je ne savais pas manier l'art du discours. Mes yeux scrutaient le comportement du mystérieux. Il l'avait vu, il venait de voir mon erreur. Je le savais. Mon subconscient frétillait d'impatience. Avoir le déçu s'était toujours très excitant et mon anonymat m'accordait aujourd'hui bien des privilèges. Jared s'approcha légèrement mais beaucoup trop prêt selon moi. Mes sourcils se froncèrent comme pour lui indiquer qu'il venait de dépasser quelque chose. Intimidation ? Bien sûr, ça ne devait pas m'étonner. Mes yeux se plantèrent dans ceux du jeune homme comme pour le mettre aux défis. J'étais première à Dublin et j'étais bien décidé à le rester ici même s'il fallait détronner cet effronté. « Tu es certaine de cette réponse ? » j'affichais un mince sourire, prenant soin de ne pas siller face à la pression du jeune étudiant. Mon crayon se posa sur la feuille, écrivant cette fois-ci la véritable réponse. « Maintenant, je suis certaine de ma réponse. » dis-je en étirant maintenant mon sourire. J'avais lancé ma bombe pleine de doute. Intelligente ? Débille ? Maligne ? Folle ? Je lui laissais le choix de penser ce qu'il voulait de moi. Il voulait en apprendre sur moi, il allait être déçu. « J'ai bien peur qu'il va falloir que tu essayes autres chose » dis-je en secouant la tête. « Jared » contrairement, à lui, je connaissais son prénom. Avantage. Je pris la feuille et lui la lui glissa devant lui. « A toi l'honneur pour le deuxième ».

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Les filles apprécient la galanterie en général et voilà qu'elle s'en plaint presque cette effrontée. « Sait-on jamais. » conclut-il d'un regard froid et sans appel. Elle avait volontairement rater son exercice, il en était désormais sûr. Feindre la bêtise pour mieux l'endormir, voilà qui était intelligent. Mais sa tactique de rapprochement avait fonctionné. Il avait peut-être trouver une personne qui supporte encore moins le contact que lui. Il la regarde corriger sa réponse d'un regard attentif et amorce un léger sourire avant de prendre la feuille qu'elle lui tend de ses mains. « Merci Marin-Rhym. » rétorque-t-il bien fier d'avoir retenu son prénom. Il ne le connaît que depuis ces quelques minutes où leur professeur l'a énoncé à haute voix, mais tout étudiant en médecine se doit d'avoir une bonne mémoire et c'est pour sa personne le cas. Il commence à lire l'exercice et à griffonner les réponses. « Tu étudiais où avant ? » demande-t-il tout à fait naturellement histoire de pouvoir jauger de sa force, c'est aussi en apprenant à connaître son ennemi qu'on peut l'apprivoiser pour mieux le battre.

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I am and shall stay number 1
mise en page par mad love« Sait-on jamais » ma tête se tourna vers celle de l'effronté. Je ne le connaissais pas mais je pouvais rajouter sur ma liste : énervant. Tout comme moi, Jared semblait aimé avoir le dernier mot. Pour simple réponse, j'osais les sourcils avant de rapporter mon attention sur l'exercice suivant. En parfaite adversaire, je contrôlais chacun de ses gestes et analysais de prêt ses réactions. « Merci Marin-Rhym » Mon visage se figea quelques secondes. Il connaissait mon prénom ? Un sourire se dessina sur mon visage avant de me rendre compte que le professeur avait dit mon prénom. Avantage à l'abruti qui se trouvait devant moi. Mon regard se retourna pour observer les autres duos. Beaucoup parlaient ensemble, rien à voir avec l'affrontement qui était en train de se dérouler maintenant. « Tu étudiais où avant ? » mon regard se reporta sur le mystérieux. « J'étudiais à l'université de Dublin » dis-je en regardant l'avancement de son raisonnement. Comme je m'y attendais pas, il ne se trompait pas. J'affichais un léger sourire avant que je ne dise : « Je présume que tu es écossais. » dis-je en prenant mon crayon. Il avait l'accent, un accent que je connaissais que trop bien pour faute, je l'avais moi aussi. « Tu as l'accent ».

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Dublin. C'est un fait surprenant et il s'apprête d'ailleurs à lui dire puisqu'il a très bien reconnu son accent. Pour cause, c'est celui de son pays natal et les Écossais ne courent pas les rues non plus à Harvard. D'ailleurs, il ne saurait dire ce que ça lui a fait lorsqu'il a entendu cette sonorité particulière à son oreille. Les prunelles ambrées s'étonnent toutefois de sa fourberie lorsqu'elle fait référence à son origine à lui. Il balbutie. « C'est ton accent qui a fait revenir le mien. » Celui que je m'applique à gommer depuis toutes ces années, parce qu'il me rappelle d'où je viens, parce qu'il me rappelle ce qui m'a brisé. Mais elle ne peut le réaliser elle, avec son petit minois frais et parfait, avec ce visage angélique qui lui donne envie de la serrer contre lui et de la frapper en même temps. Ses billes se ternissent d'ailleurs furtivement sous cette pensée. Elle a réussi à l'atteindre avec un sujet pourtant anodin. « Mais je ne le suis plus depuis bien longtemps. » se contente-t-il de dire en la regardant. « Pourquoi Dublin ? Glasgow ou Édimbourg sont de parfaites universités. » Tout autant que Dublin du moins. Parce que pour le choix d'Harvard encore, il pouvait comprendre, mais l'Irlande, vraiment ?

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mise en page par mad loveSon accent était perceptible et reconnaissable parmi mille. Les Écossais avaient cette petite légèreté dans la voix. Légèreté que j'appréciais contrairement au jeune étudiant. L'expression du jeune homme semblait différente, presque surprise par ma révélation pourtant si évidente. « C'est ton accent qui a fait revenir le mien » s'était probable, contrairement à lui, mon accent était plus prononcé. Mes épaules se levèrent légèrement et je lui fis : « Probablement, je ne fais rien pour le dissimuler... » mon regard scrutait le jeune homme. C'était étrange, vraiment. J'affichais un sourire et ajoutais-je pour rendre ma réponse moins amère. « Mais sa te va bien » dis-je en hochant légèrement la tête. L'attention que j'apportais à notre exercice s'était quelque peu dissipé. Toute ma concentration était maintenant centrée sur sa personne. Qui pouvait-il bien être. Un homme intelligent s'était indéniable. « Mais je ne le suis plus depuis bien longtemps » mes sourcils se froncèrent légèrement, ma déduction était donc fondée. Un mal trainait dans ce corps si parfait et quelque chose me disait qu'il n'y avait rien de beau à vouloir le découvrir. Je ne souhaitais pas m'aventurer sur cette route. Le personnel entrainait des choses personnelles. Il m'avait donné bien assez d'indice pour savoir que quelque chose n'allait pas et ses origines en étaient la cause. « Pourquoi Dublin ? Glasgow ou Édimbourg sont de parfaites universités. » le personnel entrainait du personnel. J'affichais un mince sourire et lui fis : « je suppose que c'est une histoire de famille » mon regard se porta une nouvelle fois sur la feuille d'exercice du jeune homme. J'affichais une grimace et lui prit tout naturellement son stylo pour y corriger une petite erreur. Erreur d'orthographe mais qui restait tout de même une erreur. « Tu devrais reporter ton attention sur ta feuille. Tu t'es trompé » dis-je en souriant avant d'ajouter : « Monsieur Wentworth ». Jared savait peut-être mon prénom mais j'étais curieuse de savoir s'il était au courant de mon nom..

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Ses intonations typiques du nord de la Grande-Bretagne étaient revenues sans même qu'il ne s'en rende compte. Cet aveu de faiblesse spontané l'énervait au plus haut point. Lorsque l'Ombrageux avait quitté ses terres sur sentence d'orphelinat, il s'était juré de tirer un trait sur cette partie de ça va. Parce que parfois, on préfère enterrer la douleur plutôt que de la vivre. Question de survie. Les billes dorées se risquent à jeter un nouveau coup d'oeil à la Demoiselle alors qu'il hausse les épaules. Que ça lui aille bien, ça faisait partie de lui et il n'y pouvait rien mais quelque chose lui intimait de se méfier de cette fausse ingénue et qu'elle pourrait être une adversaire redoutable. Redoutable puisqu'à peine le connaissait-elle qu'elle parvenait à distinguer ses faiblesses. Il se targue néanmoins d'une certaine réussite dans sa réplique lorsque celle-ci semble se déstabiliser sous l'assaut de sa propre question. Il tente un sourire amer. « La famille, c'est toujours compliqué. » Et c'était vrai, puisque c'était dans ce contexte qu'on s'élevait avec les bonnes et les mauvaises choses. Quoi qu'on y fasse ça influait sur la personne qu'on devenait. La première motivation de leur rencontre fût toutefois bienvenue lorsque la jeune femme attira son attention sur une erreur de sa part. Une simple erreur d'orthographe mais qui était déjà bien trop significative pour lui. Il reporte donc son attention sur la feuille et s'empresse de la corriger. Soudain muet, inattentif au brouhaha et quelques rires autour d'eux, il s'applique à continuer l'exercice et le termine finalement. Il lui tend la feuille et attend son avis. Il sait qu'il l'a parfaitement réussi mais puisqu'ils sont censés travailler ensemble. Force est de constater qu'il ne connaît pas son nom à elle. Mais il ne s'abaissera certainement pas à le demander.

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