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Mon nom est
Atlas Nereus, Wintergerst
C'est le 4 décembre 1996 à Berlin, que les membres de la famille Wintergerst m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Atlas Nereus. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuel et j'en suis fier, sans pour autant le crier sur tous les toits, je ne suis pas stupide putain. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine afin de devenir cardiologue et je rentre en première année. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Winthrop.
Tell me some more about you
ELIOT HOUSE.
Atlas chez les Eliot c'est juste une évidence. Et puis il a le fric non ? Alors c'est tout ce qui compte. Ambition héritée du directeur de Charité-Universitätsmedizin Berlin et d'une astrophysicienne grecque actuellement employée à la National Aeronautics and Space Administration, c'est en médecine, et plus particulièrement en cardiologie qu'il désire poursuivre ses études. Atlas possède également une volonté et une détermination hors normes qui le poussent toujours plus loin en quête de succès. Après tout, son parcours se doit d'être exemplaire pour rendre fiers ses parents dont il est l'unique héritier.
Atlas chez les Eliot c'est juste une évidence. Et puis il a le fric non ? Alors c'est tout ce qui compte. Ambition héritée du directeur de Charité-Universitätsmedizin Berlin et d'une astrophysicienne grecque actuellement employée à la National Aeronautics and Space Administration, c'est en médecine, et plus particulièrement en cardiologie qu'il désire poursuivre ses études. Atlas possède également une volonté et une détermination hors normes qui le poussent toujours plus loin en quête de succès. Après tout, son parcours se doit d'être exemplaire pour rendre fiers ses parents dont il est l'unique héritier.
WINTHROP HOUSE.
Ce serait stupide que de limiter Atlas à un compte en banque, certes impressionnant, mais qui ne représente en rien toute l'étendue de ses capacités : le jeune homme détient des qualités sportives très poussées, ainsi qu'une rage de vaincre très appréciée chez ses confrères, malgré une impulsivité marquée et un manque de tact flagrant qui pourraient en rebuter plus d'un. Il compte intégrer l'équipe de natation dès la rentrée et vise un poste à responsabilité en son sein tout en sachant que le manque d'ancienneté ne jouera certainement pas en sa faveur. Il est un ancien espoir de la SSV Undine 08.
De par son éducation, il sait parfaitement comment se comporter en société mais s'exprime toujours de manière très crûe.
Ce serait stupide que de limiter Atlas à un compte en banque, certes impressionnant, mais qui ne représente en rien toute l'étendue de ses capacités : le jeune homme détient des qualités sportives très poussées, ainsi qu'une rage de vaincre très appréciée chez ses confrères, malgré une impulsivité marquée et un manque de tact flagrant qui pourraient en rebuter plus d'un. Il compte intégrer l'équipe de natation dès la rentrée et vise un poste à responsabilité en son sein tout en sachant que le manque d'ancienneté ne jouera certainement pas en sa faveur. Il est un ancien espoir de la SSV Undine 08.
De par son éducation, il sait parfaitement comment se comporter en société mais s'exprime toujours de manière très crûe.
APRÈS LA BOMBE.
Rien qu'à l'idée que son magnifique corps est pu être mis en péril de quelques manières que ce soit par ce pauvre malade ... Oui, certes, un tel évènement est toujours tragique et empreint de souffrance : tant de vies gâchées, bafouées, ... Mais mieux vaut eux que lui pas vrai ? Et pitié ne prenez pas un visage si outré, vous pensez tous la même chose que lui, et ce n'est certainement pas son problème si vous n'avez pas les couilles pour assumer ce qu'au fond de vous vous savez être l'unique vérité.
Rien qu'à l'idée que son magnifique corps est pu être mis en péril de quelques manières que ce soit par ce pauvre malade ... Oui, certes, un tel évènement est toujours tragique et empreint de souffrance : tant de vies gâchées, bafouées, ... Mais mieux vaut eux que lui pas vrai ? Et pitié ne prenez pas un visage si outré, vous pensez tous la même chose que lui, et ce n'est certainement pas son problème si vous n'avez pas les couilles pour assumer ce qu'au fond de vous vous savez être l'unique vérité.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES.
Sérieusement ?? C'est quoi cette université de verrückt ?! Heureusement qu'il ne rentre seulement que cette année, et encore il n'est pas sûr de pouvoir échapper à la folie ambiante qui semble imprégner chaque mur de l'immense bâtisse. Cette fois-ci il n'aurait pas risqué grand chose puisque toutes les victimes étaient des femmes, mais qui pourrait travailler dans des conditions aussi peu productives ? Il a un doctorat à valider lui merde !
Sérieusement ?? C'est quoi cette université de verrückt ?! Heureusement qu'il ne rentre seulement que cette année, et encore il n'est pas sûr de pouvoir échapper à la folie ambiante qui semble imprégner chaque mur de l'immense bâtisse. Cette fois-ci il n'aurait pas risqué grand chose puisque toutes les victimes étaient des femmes, mais qui pourrait travailler dans des conditions aussi peu productives ? Il a un doctorat à valider lui merde !
#PLUSANGELIQUETUMEURS.
Oui, je l'admets. Mon bébé a un langage vulgaire. Et il est arrogant. Et narcissique. Et égoïste. Mais à part ses minuscules petits défauts, c'est un vrai petit ange ... Prenez le ! *agite des billets d'un geste nonchalant*
Oui, je l'admets. Mon bébé a un langage vulgaire. Et il est arrogant. Et narcissique. Et égoïste. Mais à part ses minuscules petits défauts, c'est un vrai petit ange ... Prenez le ! *agite des billets d'un geste nonchalant*
Mon pseudo internet est
Bast
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Bast et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Infinite-rpg. Le forum était plutôt attrayant, vivant même, et je n'avais entendu que des choses positives sur celui-ci alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Baptiste Radufe comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sahel RPZ. Je fais environ plusieurs mots par RP ah ah et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ FESSES. :minion:
Je souhaite ▲ adhérer un flood d'intégration (?)
Mot de la fin ? ▲ FESSES. :minion:
Je souhaite ▲ adhérer un flood d'intégration (?)
It's all about...
once upon a time !
Juin ◇ Berlin, Allemagne
«Bescheurt !» Atlas étouffa un ricanement tout en jetant un regard en biais _et qui n'avait absolument rien de désolé_ à son ami. Ami qui venait de se faire humilier par le blondinet, qui, accompagné d'une sculpturale créature aux jambes interminables, venait de lui faire signe d'un discret hochement de tête tout en savourant son instant de gloire. La dite créature papillonnait de ses longs cils ourlés de mascara d'un air ravi, langoureusement pendu au bras de son partenaire qui lui était ravi pour une bien toute autre raison : cela faisait plusieurs mois que Viktor tentait de séduire l'héritière d'une riche compagnie pétrolière, en vain à présent. Car Atlas ne pouvait permettre, et même à un si bon ami, de lier sa fortune colossale à une autre toute aussi colossale. L'empire de ses parents passait avant tout et il se devait d'écarter toute menace. Le jeune homme continua de siroter nonchalamment sa coupe de champagne, sa compagne minaudant, papillonnant, gloussant comme si sa vie en dépendait _et c'était peut-être le cas_ parmi les différents invités qui composaient le gala organisé par son père en l'honneur de l'ouverture d'une nouvelle aile de recherche en cancérologie au sein de l'hôpital. Pauvre conne. Une autre coupe de champagne. Il jeta un regard à la fille en grimaçant. Il ne voulait même pas la baiser. Abordant un serveur d'un geste sec, ses prunelles glacées le foudroyant sur place, il reposa son verre encore à moitié plein sur le plateau d'un geste à peine contenu qui envoya des gouttelettes se disperser à sa surface : l'alcool ne l'avait jamais rendu prudent, autant arrêter tout de suite avant de faire une connerie. Atlas lissa ses cheveux blonds platinés en arrière d'un geste élégant et durement étudié, et tenta un sourire plat à la jeune femme. Qui le lui rendit de toutes ses petites dents blanches. Vraiment, quelle petite conne. Mais que ne ferait-on pas pour le prestige de sa famille ?
Quelques jours plus tôt ◇ Cambridge, Etats-Unis
«Putain de casserole de merde ! Et putain de chats !» Zwei se fraya un passage entre ses jambes en miaulant d'indignation, tandis que Sechs, perché en haut du frigo, le fixait avec arrogance de ses prunelles dorées. Ouais, ouais, les félins n'étaient que simplement numérotés pour l'instant, manque cruel d'imagination supposons _plutôt qu'autre chose de moins reluisant pour le blond. Enfin presque tous : sa mère _qui travaillait dorénavant à la NASA et qu'il avait suivi sur le sol américain pour faire ses études_, avait insisté pour nommer le numéro huit, un superbe persan à poils longs : Naos, l'une des étoiles les plus brillantes de la Voie Lactée. Soupirant, Atlas avisa d'un air distrait l'ustensile qu'il tenait toujours entre ses longs doigts fins et qui à présent dégageait une légère odeur de brûlé. Kochtopf. Après un court instant de réflexion le jeune homme haussa légèrement les épaules, abandonnant à son triste sort le récipient dans l'évier _qu'il se lave de lui-même s'il n'est même pas capable de remplir sa fonction. Plus que sept à trouver ..
Laissant vagabonder son regard autour de lui à la recherche d'une quelconque inspiration, prophétie ou le plus simple tiraillement de neurone, une moue sceptique se creusant sur sa sale bouille en s'imaginant élever la panoplie du parfait petit cuisinier : casserole, poêle, et cie. Un ricanement le secoua et ses pensée finirent par dériver vers sa mère, celle qui aurait surement énumérer toutes les constellations de l'Univers afin de baptiser les chats jusqu'à ce que son unique rejeton la supplie de se taire. Puis, elle aurait argumenter en haussant un sourcil hautain, mimique étrangement semblable à celle d'Atlas, que cela portait malheur de ne pas nommer les choses. A cette simple idée, un frisson désagréable le parcourut de la pointe de ses orteils jusqu'à la racine de ses cheveux parfaitement coiffés : il devait absolument leur trouver un nom à ces petits cons. C'est à ce moment là que choisi Zwei pour venir se blottir contre ses pieds nus en ronronnant. Le jeune homme se pencha lentement, tout en continuant de grommeler des jurons entre ses dents, pour lui gratter les oreilles, et les ronronnement redoublèrent en vibrant contre ses os. «Sale petit enfoiré.». Mais son sourire difficilement contenu démentait toutes paroles qui auraient pu sortir de sa bouche à cet instant. Sa mère trouverait bien un nom pour celui-ci aussi. Enfin dès qu'elle consentirait à sortir de son laboratoire et à revenir parmi des êtres vivants et civilisés. Il ne l'aurait jamais admis à voix haute mais il ne regrettait absolument pas de l'avoir accompagné jusqu'en Amérique, de plus Berlin ne lui manquait pas particulièrement, même si Cambridge n'était pas plus de son goût. Un miaulement plus impérieux le ramena à la réalité et à la boule de poils toujours prostrée à ses pieds. «Ouais, t'as raison. La bouffe d'abord. Les états d'âme ensuite.».
«Bescheurt !» Atlas étouffa un ricanement tout en jetant un regard en biais _et qui n'avait absolument rien de désolé_ à son ami. Ami qui venait de se faire humilier par le blondinet, qui, accompagné d'une sculpturale créature aux jambes interminables, venait de lui faire signe d'un discret hochement de tête tout en savourant son instant de gloire. La dite créature papillonnait de ses longs cils ourlés de mascara d'un air ravi, langoureusement pendu au bras de son partenaire qui lui était ravi pour une bien toute autre raison : cela faisait plusieurs mois que Viktor tentait de séduire l'héritière d'une riche compagnie pétrolière, en vain à présent. Car Atlas ne pouvait permettre, et même à un si bon ami, de lier sa fortune colossale à une autre toute aussi colossale. L'empire de ses parents passait avant tout et il se devait d'écarter toute menace. Le jeune homme continua de siroter nonchalamment sa coupe de champagne, sa compagne minaudant, papillonnant, gloussant comme si sa vie en dépendait _et c'était peut-être le cas_ parmi les différents invités qui composaient le gala organisé par son père en l'honneur de l'ouverture d'une nouvelle aile de recherche en cancérologie au sein de l'hôpital. Pauvre conne. Une autre coupe de champagne. Il jeta un regard à la fille en grimaçant. Il ne voulait même pas la baiser. Abordant un serveur d'un geste sec, ses prunelles glacées le foudroyant sur place, il reposa son verre encore à moitié plein sur le plateau d'un geste à peine contenu qui envoya des gouttelettes se disperser à sa surface : l'alcool ne l'avait jamais rendu prudent, autant arrêter tout de suite avant de faire une connerie. Atlas lissa ses cheveux blonds platinés en arrière d'un geste élégant et durement étudié, et tenta un sourire plat à la jeune femme. Qui le lui rendit de toutes ses petites dents blanches. Vraiment, quelle petite conne. Mais que ne ferait-on pas pour le prestige de sa famille ?
Quelques jours plus tôt ◇ Cambridge, Etats-Unis
«Putain de casserole de merde ! Et putain de chats !» Zwei se fraya un passage entre ses jambes en miaulant d'indignation, tandis que Sechs, perché en haut du frigo, le fixait avec arrogance de ses prunelles dorées. Ouais, ouais, les félins n'étaient que simplement numérotés pour l'instant, manque cruel d'imagination supposons _plutôt qu'autre chose de moins reluisant pour le blond. Enfin presque tous : sa mère _qui travaillait dorénavant à la NASA et qu'il avait suivi sur le sol américain pour faire ses études_, avait insisté pour nommer le numéro huit, un superbe persan à poils longs : Naos, l'une des étoiles les plus brillantes de la Voie Lactée. Soupirant, Atlas avisa d'un air distrait l'ustensile qu'il tenait toujours entre ses longs doigts fins et qui à présent dégageait une légère odeur de brûlé. Kochtopf. Après un court instant de réflexion le jeune homme haussa légèrement les épaules, abandonnant à son triste sort le récipient dans l'évier _qu'il se lave de lui-même s'il n'est même pas capable de remplir sa fonction. Plus que sept à trouver ..
Laissant vagabonder son regard autour de lui à la recherche d'une quelconque inspiration, prophétie ou le plus simple tiraillement de neurone, une moue sceptique se creusant sur sa sale bouille en s'imaginant élever la panoplie du parfait petit cuisinier : casserole, poêle, et cie. Un ricanement le secoua et ses pensée finirent par dériver vers sa mère, celle qui aurait surement énumérer toutes les constellations de l'Univers afin de baptiser les chats jusqu'à ce que son unique rejeton la supplie de se taire. Puis, elle aurait argumenter en haussant un sourcil hautain, mimique étrangement semblable à celle d'Atlas, que cela portait malheur de ne pas nommer les choses. A cette simple idée, un frisson désagréable le parcourut de la pointe de ses orteils jusqu'à la racine de ses cheveux parfaitement coiffés : il devait absolument leur trouver un nom à ces petits cons. C'est à ce moment là que choisi Zwei pour venir se blottir contre ses pieds nus en ronronnant. Le jeune homme se pencha lentement, tout en continuant de grommeler des jurons entre ses dents, pour lui gratter les oreilles, et les ronronnement redoublèrent en vibrant contre ses os. «Sale petit enfoiré.». Mais son sourire difficilement contenu démentait toutes paroles qui auraient pu sortir de sa bouche à cet instant. Sa mère trouverait bien un nom pour celui-ci aussi. Enfin dès qu'elle consentirait à sortir de son laboratoire et à revenir parmi des êtres vivants et civilisés. Il ne l'aurait jamais admis à voix haute mais il ne regrettait absolument pas de l'avoir accompagné jusqu'en Amérique, de plus Berlin ne lui manquait pas particulièrement, même si Cambridge n'était pas plus de son goût. Un miaulement plus impérieux le ramena à la réalité et à la boule de poils toujours prostrée à ses pieds. «Ouais, t'as raison. La bouffe d'abord. Les états d'âme ensuite.».
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