ZOIEL + Won't you stay with me just for a little while ?

Can I take you home ?
mise en page par mad loveZoya montait sur ses grands chevaux. Je ne me tournais même pas vers elle, je ne la regardais même pas, préférant juste me concentrer sur la vue. Qu'est-ce qu'elle peut être chiante quand elle le veut ? Ne pouvait-elle pas agir comme une adulte. Elle m'annonce ça de but en blanc et je suis censé la prendre dans mes bras, lui faire des bisous et la remercier ? Mon cul ! Un peu de tact et de délicatesse ne lui ferait pas de mal. Elle continuait encore et encore. Profitant de l'occasion pour me dire que j'étais un con, trop gentil. Mais fermes là un peu, t'es obligé de crier comme ça tu peux pas agir comme une adulte ? Tu t'attendais à quoi ? Que je te saute dans les bras et que je te dise merci ? je riais en me tournant enfin vers elle, passant une main dans mes cheveux Tu réalises un peu ce que tu dis ?! T'es complètement conne ou aveugle ? Tu crois que si je t'aimais pas, je prendrais la tête comme ça ? Merde, je te dis que tu me manques, que je voudrais qu'on passe plus de temps ensemble au summer camp et madame me dit qu'on a des horaires différents ! Je te donne la putain de clé de cet appartement ça veut dire quelque chose, réfléchis un peu ! Poses toi les bonnes questions Zoya et me fait pas passer pour le méchant, tu savais bien ce que ça impliqué, tu savais que Teddy était enceinte avant tout ça ouai parce que finalement je savais pas tellement comment qualifié notre relation Alors me l'envois pas dans la gueule ! T'as pas le droit lui dis-je en pointant mon index vers elle, alors qu'elle prenait ses affaires, je la retenais par le bras, fortement afin qu'elle ne puisse pas partir. La main autour de son poignet en étaux Poses toi les bonnes questions, me rejette pas la faute dessus

Gabriel & Zoya
Won't you stay with me just for a little while ?
mise en page par mad love
Il ne se donnait même pas la peine de la regarder, c'était affligeant. Zoya se sentait complètement démunie, comme à chaque fois qu'ils se disputaient. Leur relation était beaucoup trop passionnelle, explosive, elle était incapable d'utiliser son cerveau quand elle était avec lui. Les mots devenaient de plus en plus forts, de plus en plus durs, et bientôt la jeune russe sentit les larmes lui couler le long des joues. Elle n'avait pas l'habitude de pleurer, elle ne tolérait pas qu'on puisse la faire pleurer, c'était montrer ses faiblesses. Mais Gabriel lui faisait bien trop de mal, il la touchait bien trop profondément : " J'ai pas envie d'agir en adulte, je serai jamais une adulte alors arrête d'essayer de me rendre conforme. J'croyais que tu m'appréciais comme j'étais. " Cela s'entendait maintenant à sa voix qu'elle était paumée, qu'elle ne comprenait plus ce que Gabriel attendait d'elle. Cette conversation lui donnait la nausée, elle ne pouvait plus tenir dans cette pièce, trop de tension. Elle l'écoutait lui déblatérer des tas d'accusations sur leur couple, pour la plupart justifiées, et au fur et à mesure, elle avait l'impression de se liquéfier. Sa vie devenait trop oppressante ces derniers temps, il y avait tellement de batailles qu'elle devait mener de front. Sans compter que lorsqu'elle rentrait chez elle le soir, elle n'avait aucun répit puisqu'elle vivait avec la meilleure amie de sa demi soeur. Alors les mots de Gabriel la faisaient gonfler, gonfler, et lorsqu'elle tenta de prendre la fuite avant qu'elle n'explose, sans avoir le temps de répondre, il la saisit par le bras, l'obligeant à lui faire face. Il découvrit alors le visage plein de larme de sa petite amie qui, cette fois, ne put plus se retenir : " Calypso va mourir ! " hurla t elle. C'était sortit comme ça, sans qu'elle sache d'où cela lui était venu si naturellement. Elle continua à pleurer, le visage boursoufler et ajouta : " Et moi aussi je vais mourir, peut être pas dans aussi peu de temps qu'elle, mais pour la même raison qu'elle, et j'ai besoin d'en parler ! Alors écoute moi bon sang, écoute moi ! " Elle avait envie de le secouer dans tous les sens, de le réveiller tant elle était envahie par la rage.

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Can I take you home ?
mise en page par mad loveZoya pleurait et même si cette vision me déchirait le coeur, que ma main avait envie d'aller sécher ses larmes, je ne le fis pas. Non, j'étais bien trop énervé contre elle. Je la regardais pleurer sans broncher, l'envie de lui tendre un mouchoir me prenait, de manière ironique bien entendu, alors, lui sortir la typique phrase " Vas'y pleures, tu pisseras moins ce soir " mais je me retins. Ses mots me firent lever les yeux au ciel. A aucun moment je n'avais tenté de la changer, je n'en avais pas envie, c'est sa personnalité qui faisait que j'étais autant attaché à elle, quand bien même, il m'arrive de la trouver exaspérante et enfantine, mon amour envers elle ne s'évapore pas en un claquement de doigt, d'ailleurs, à demi mot, je lui avais dit l'aimer, mais elle n'avait pas percuter. Tant mieux, c'était certainement mieux ainsi, parce que si elle en avait réellement quelque chose à foutre, cela lui aurait fit tilt. Elle partait et aussitôt, je la rattrapais en la maintenant par le poignet, il est vrai, sans vraiment de ménagement, mais je n'avais pas terminé, elle ne pouvait pas partir comme ça, sans me laisser le temps de terminer. Cette fois-ci, c'était elle qui foiré tout, d'ailleurs, par moment, il m'arrivait de me demander ce que nous foutions ensemble, parce qu'elle n'avait pas l'air de tenir à cette relation. Oui, des efforts elle en faisait, mais c'était plus de la tendresse à mon goût, quand bien même de mon côté, l'attachement s'était avéré plus fort que ce que je ne l'aurais pensé. Malheureusement. Ouep, à croire que je me prend le contre coup de ce que j'ai pu faire aux femmes ces dernières années, Teddy, Swan ... Cependant, je ne m'attendais absolument pas à ce qu'elle venait de me dire. Sa demie soeur dont elle en avait rien à foutre, soit disant passant, allait mourir, mais la suite me fit tout lâcher. Comment ça, elle allait mourir ? Je me reculais un peu, je n'étais pas bon pour encaisser ce genre de grosse nouvelle. mais je t'écoute merde dis-je en me calmant un peu. Je soufflais, passant mes deux mains dans mes cheveux que j'empoignais pour me les tirer. Je la regardais, me concentrant sur son visage, je ne savais pas quoi faire, je .... je m'approchais d'elle pour la prendre dans mes bras ? Oui, il me semble bien que c'était ce que j'étais entrain de faire, c'était une première, je n'avais pas l'habitude de faire ce genre de chose, je suis censé lui taper dans le dos ? Je suis là .. je t'écoute Zoya, je t'écoute ... dis-je en posant mon front contre le sien, plongeant mon regard dans ses yeux vert

Gabriel & Zoya
Won't you stay with me just for a little while ?
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Qui aurait crut que lâcher une telle bombe allait apaiser la situation? Et pourtant, cela n'empêcha pas Zoya de s'en vouloir d'avoir fait cette révélation d'une manière aussi incontrôlée. Gabriel sembla progressivement se calmer, souhaitant comprendre ces mots jetés en l'air par la jeune russe. Celle-ci le laissa s'approcher doucement et passa ses bras autour de ses épaules, se rendant soudain compte que c'était le remède dont elle avait tant eut besoin cette dernière semaine. Elle sentit sa crispation devenue permanente s'en aller et serra Gabriel encore plus fort, comme si cela lui permettrait de se sentir encore mieux. Elle posa ensuite son front sur celui du beau brun, ferma les yeux un instant et souffla : " Caly est malade, elle a une tumeur au cerveau a un stade si avancé que ses chances de survie à une opération sont très faibles. Du coup elle ne veut pas se faire soigner, elle préfère soi disant profiter de l'année qu'il lui reste à vivre. Le truc c'est que c'est une tumeur héréditaire.. J'ai dus faire des tests à l'hôpital pour voir si j'étais malade ou au moins porteuse du gène. Pour l'instant je vais bien mais un jour.. " Elle sentit sa gorge se serrer, l'empêchant d'articuler la suite de sa phrase, mais elle se força à continuer : " Je sais qu'un jour j'aurai ce foutu cancer, et même s'il peut survenir aussi bien dans 2 ans qu'à mes 60 ans, il va falloir que je reste sous surveillance médicale tout le long. " Zoya eut soudain peur que le brésilien la fuit, la laisse seule dans ce foutue pétrin, c'est pourquoi elle se blottit dans ses bras comme si c'était la dernière fois, inspirant son odeur tandis qu'elle touchait ses mèches de cheveux du bout des doigts. Elle avait besoin de lui, c'était évident, peut être aussi évident qu'il avait besoin d'elle d'un point de vue extérieur : " Me laisse pas.. "

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Can I take you home ?
mise en page par mad loveZoya venait de me clouer sur place. Jamais je n'aurais cru qu'elle me sorte une chose pareil. Autant dire que j'en avais rien à foutre de sa demi soeur, je ne la connaissais pas et les seuls choses qui m'étaient revenu aux oreilles n'étaient que négatives. Elle faisait du mal à Zoya alors comment pourrais-je l'aimer ? Cependant, je pouvais comprendre, comprendre que ça lui tienne tout de même à coeur. Cette femme a beau faire la forte, au fond, c'est encore une petite fille qui a besoin qu'on l'aime et qu'on prenne soin d'elle, quand bien même elle vous démontrera par A+B que ce n'est pas le cas, en tout cas, on ne peut pas dire qu'elle n'y met pas du coeur à l'ouvrage. Mes mains s'étaient posées dans ses cheveux que je caressais tendrement, mes yeux ne cessaient pas de la regarder, tandis qu'elle me contait le reste de l'histoire. Le principal c'est que tu ne l'es pas pour l'instant Zoya et s'il faut te faire surveiller, tu le feras, parce que c'est important, mais retient juste que pour l'instant tu ne l'as pas. C'est pas toi de vivre avec un compte à rebours au dessus de la tête, on est pas dans timeless oui j'ai aussi de la culture cinématographique (aa) Tu devrais encore plus profiter de la vie lui dis-je doucement, c'était assez risqué de lui dire ça, parce que peut être que ça voudrait dire, loin de moi, sans moi ... cependant, elle venait me dire le contraire en me demandant de ne pas la laisser. Je la serrais contre moi davantage en la soulevant du sol. Mes mains se posaient sur ses jambes pour les enrouler autour de ma taille tandis que je me laissais ensuite tomber sur mon tout nouveau canapé en cuir noir. Elle toujours assise sur moi Je serais fou de le faire doucement, je redressais son visage pour qu'elle me regarde, je lui souriais tendrement avant de poser mes lèvres contre les siennes partageant un baiser d'une tendresse infini tout en caressant l'une de ses joues avec l'un de mes pouces. Tu veux te reposer un peu ? ses yeux étaient encore bouffis et rouge, son maquillage avait légèrement coulé ce qui me faisait sourire, d'ailleurs, je le lui essayais du bout des doigts. c'est mieux comme ça

Gabriel & Zoya
Won't you stay with me just for a little while ?
mise en page par mad love
Les mains de Gabriel se balladaient dans ses cheveux, et elle se rendit compte que ce geste qu'elle appréciait tant venait à lui manquer, bien qu'ils soient en couple. Elle avait besoin de lui plus souvent ; il avait le don de la faire exploser quand elle accumulait trop de pensées négatives ou de tristesse et de lui permettre, ainsi, de s'apaiser. Elle vit dans ses yeux que cette histoire de maladie l'inquiétait mais il se montrait fort car il savait qu'elle avait besoin de quelqu'un pour la soutenir et non pas pour la faire vaciller. Elle lui sourit tendrement et souffla : " T'as raison, je dois pas trop y penser.. J'aurais assez le temps d'angoisser quand je serais vraiment malade. " Il la porta ensuite jusqu'au canapé et lui promit indirectement qu'il ne la laisserait pas tomber en lui disant qu'il serait fou de le faire. Elle se mordilla la lèvre en souriant et répondit à son baiser avec tendresse, savourant ce moment en toute intimité avec lui. Elle resta un moment dans ses bras et souffla : " Je serais pas contre " Elle s'allongea alors sur le canapé, toujours dans ses bras et glissa doucement dans ceux de Morphée

hj : on pourrait en démarrer un autre quand t'auras le temps ZOIEL + Won't you stay with me just for a little while ? - Page 2 2474380249

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Can I take you home ?
mise en page par mad loveJe n'aimais pas la voir ainsi, voir cette tristesse sur ce si beau et fin visage. Ce n'est pas elle ça. Ma Zoya, c'est une fille pétillante, une fille pleine de vie qui aime profiter, s'amuser, rire ... Et pourtant, là, elle semble si faible dans mes bras. Au fond, égoïstement, ça me plaisait qu'elle me montre enfin cette facette d'elle, qu'elle ne soit plus aussi fière, bien que la situation ne soit pas joyeuse. Finalement, je m'étais laissé glisser dans la longueur du canapé avec Zoya au dessus de moi, la tête contre mon torse, je laissais mes doigts se fondre dans sa douce et longue chevelure. Normalement, c'est un geste réconfortant non ? En tout cas, moi, ça m'apaisait. Si tu l'es ... , t'as une chance sur deux dis-je en caressant sa joue. Pourquoi ne pouvait-elle pas voir le bon côté ? Pourquoi ne pouvait-elle pas se dire, j'ai toute la vie devant moi, je suis en bonne santé et j'emmerde cette putain de maladie ? Je sais bien qu'elle venait de l'apprendre, je sais bien que c'est la peur qui la fait réagir comme ça, mais ... au fond ... j'ai peur aussi. On m'a déjà enlevé l'être aimé par le passé et je ne voulais pas que ça recommence. Pas une deuxième fois. Sinon c'est que j'ai une sacré malédiction ou une connerie dans le genre qui plane au dessus de moi. La prix a payé pour être beau surement (aa) S'en suivi un baiser d'une tendresse folle, je crois même que c'était la première fois que je l'embrassais ainsi. Je veillerais sur toi un baiser sur son front et mes bras s'enroulaient autour d'elle. Une de mes mains caressait le creux de ses reins, je sentais son épiderme frissonner et ses lèvres s'étirer dans un petit sourire. Zoya s'était endormie, elle avait rejoins les bras de Morphée mais moi, je n'y arrivais pas tout de suite. Mon regard était posé sur elle, détaillant le moindre de ses traits. Jamais je ne m'étais autant attarder sur cette femme que ce soir et c'est d'une connerie légendaire.

hj : on fait ça quand tu veux mon petit chat

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