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Comme une ressemblance ☼ Aria
L’inquiétude monte et je fais mon possible pour rassurer Aria comme je le peux. En vain, légèrement. Mais ma tentative est tout de même intéressée, je ne lui veux que du positif. Le petit plat, les mots rassurants. Nous sommes alors interrompus par son téléphone qui sonne, je secoue la tête affirmativement pour lui laisser répondre en dictant un léger « Vas-y. » Lui dis-je pour l’inciter à répondre. C’est peut-être important, qui sait. Il ne faut pas rigoler avec ça. J’en profite pour m’absenter dans la cuisine pour prendre une bouteille de soda, du coca-cola pour être précis, mon petit pêché mignon et revient pour m’en servir un verre. Tentant de ne pas faire attention à la conversation à mes côtés, sur le canapé. Mais c’est bien difficile. Pourtant je fais tout pour ne pas entendre, promis ! Je n’aime pas écouter aux portes et encore moins aux téléphones des autres, mais là, juste à côté, de cette façon. Franchement, qui peut résister à faire son petit curieux ? Je l’avoue, je suis faible. Portant mon verre de soda aux lèvres, je tends l’oreille, sans réelles mauvaises intentions, juste attentif. Une seconde. Ne percevant que très mal les paroles dictées à l’autre bout de la ligne, j’abandonne bien vite et me résout à rester seul avec mon soda quelques instants.
Et puis. Je finis mon verre d’une traite. J’avais soif finalement. Reposant ce dernier sur la table basse et m’aventurant à jeter un coup d’œil à la jumelle présente aujourd’hui. Elle a les larmes aux yeux. Mon sang ne fait qu’un tour et je lui lance un regard interrogatif, voulant savoir ce qu’il se passe. Pourquoi se met-elle dans un état pareil ? Je sens mon estomac se nouer et expire profondément. Cet appel. Ces yeux humides. Juste après notre discussion. Cela est point rassurant. Elle ne semble plus pouvoir parler. Ne comprenant plus rien, je chuchote pour comprendre. « Qu’est-ce qu’il se passe ? » Parce que là, oui, je m’inquiète vraiment pour le coup. Faisant les gros yeux. Ne pouvant plus me fondre dans le canapé, je sers la mâchoire et pose une main sur la jambe d’Aria, espérant que ce geste puisse la rassurer. « Hé ? » Demandais-je comme pour la faire réagir face au manque de mots dont elle fait preuve. J’ai peur … De sa réponse. De savoir ce qu’il se passe. De ce coup de fil.
L’inquiétude monte et je fais mon possible pour rassurer Aria comme je le peux. En vain, légèrement. Mais ma tentative est tout de même intéressée, je ne lui veux que du positif. Le petit plat, les mots rassurants. Nous sommes alors interrompus par son téléphone qui sonne, je secoue la tête affirmativement pour lui laisser répondre en dictant un léger « Vas-y. » Lui dis-je pour l’inciter à répondre. C’est peut-être important, qui sait. Il ne faut pas rigoler avec ça. J’en profite pour m’absenter dans la cuisine pour prendre une bouteille de soda, du coca-cola pour être précis, mon petit pêché mignon et revient pour m’en servir un verre. Tentant de ne pas faire attention à la conversation à mes côtés, sur le canapé. Mais c’est bien difficile. Pourtant je fais tout pour ne pas entendre, promis ! Je n’aime pas écouter aux portes et encore moins aux téléphones des autres, mais là, juste à côté, de cette façon. Franchement, qui peut résister à faire son petit curieux ? Je l’avoue, je suis faible. Portant mon verre de soda aux lèvres, je tends l’oreille, sans réelles mauvaises intentions, juste attentif. Une seconde. Ne percevant que très mal les paroles dictées à l’autre bout de la ligne, j’abandonne bien vite et me résout à rester seul avec mon soda quelques instants.
Et puis. Je finis mon verre d’une traite. J’avais soif finalement. Reposant ce dernier sur la table basse et m’aventurant à jeter un coup d’œil à la jumelle présente aujourd’hui. Elle a les larmes aux yeux. Mon sang ne fait qu’un tour et je lui lance un regard interrogatif, voulant savoir ce qu’il se passe. Pourquoi se met-elle dans un état pareil ? Je sens mon estomac se nouer et expire profondément. Cet appel. Ces yeux humides. Juste après notre discussion. Cela est point rassurant. Elle ne semble plus pouvoir parler. Ne comprenant plus rien, je chuchote pour comprendre. « Qu’est-ce qu’il se passe ? » Parce que là, oui, je m’inquiète vraiment pour le coup. Faisant les gros yeux. Ne pouvant plus me fondre dans le canapé, je sers la mâchoire et pose une main sur la jambe d’Aria, espérant que ce geste puisse la rassurer. « Hé ? » Demandais-je comme pour la faire réagir face au manque de mots dont elle fait preuve. J’ai peur … De sa réponse. De savoir ce qu’il se passe. De ce coup de fil.
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