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Comme une ressemblance ☼ Aria
La sonnette retentit dans la villa, mais je ne l’entends pas. La tête sous l’eau de la douche qui coule, je me remémore ma séance de sport et prépare un programme pour demain qui me permettrait d’améliorer les points que j’ai délaissé aujourd’hui. Je ne dois rien laisser au hasard, je dois absolument me préparer parfaitement pour la saison de football américain qui arrive à grands pas. Je coupe l’eau et sors de la douche, j’entends alors la sonnette. Et merde. J’attrape une serviette à la va vite, l’enfile autour de la taille. Je cours à moitié dans la grande maison, me cogne sur le canapé au passage me faisant boiter jusqu’à arriver à la porte d’entrée. Je m’arrête. N’ouvre pas tout de suite, je passe une main dans mes cheveux, histoire d’être un minimum présentable. Comment ça je ne le suis pas avec une serviette autour de la taille et le corps encore trempé ? On fait comme on peut mes amis ! J’ouvre la porte pour voir qui c’est et la surprise débarque bien trop vite ! J’écarquille les yeux, mais, mais, mais, qui ? Quoi ? Comment ? « Bon … » C’est un truc de fou ça ! « …Jour. » Je reste sur le cul, bouche bée. Comment elle peut lui ressembler autant ? C’est une blague, je ne vois que cette solution. Ce n’est pas possible autrement. J’ai envie de poser trente mille questions, mais je n’y arrive pas, subjugué par la ressemblance qui vient de frapper à cette porte.
La sonnette retentit dans la villa, mais je ne l’entends pas. La tête sous l’eau de la douche qui coule, je me remémore ma séance de sport et prépare un programme pour demain qui me permettrait d’améliorer les points que j’ai délaissé aujourd’hui. Je ne dois rien laisser au hasard, je dois absolument me préparer parfaitement pour la saison de football américain qui arrive à grands pas. Je coupe l’eau et sors de la douche, j’entends alors la sonnette. Et merde. J’attrape une serviette à la va vite, l’enfile autour de la taille. Je cours à moitié dans la grande maison, me cogne sur le canapé au passage me faisant boiter jusqu’à arriver à la porte d’entrée. Je m’arrête. N’ouvre pas tout de suite, je passe une main dans mes cheveux, histoire d’être un minimum présentable. Comment ça je ne le suis pas avec une serviette autour de la taille et le corps encore trempé ? On fait comme on peut mes amis ! J’ouvre la porte pour voir qui c’est et la surprise débarque bien trop vite ! J’écarquille les yeux, mais, mais, mais, qui ? Quoi ? Comment ? « Bon … » C’est un truc de fou ça ! « …Jour. » Je reste sur le cul, bouche bée. Comment elle peut lui ressembler autant ? C’est une blague, je ne vois que cette solution. Ce n’est pas possible autrement. J’ai envie de poser trente mille questions, mais je n’y arrive pas, subjugué par la ressemblance qui vient de frapper à cette porte.
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