(FF/walter) i'm still here, i'll always be here.

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w/ walter rutherford.

Je ne sais pas combien d'heures j'ai été dans les bras de Morphée, mais je dois dire que ça m'a fait un bien fou. Les vacances du Summer Camp étant terminée et les miennes aussi, par la même occasion, je devais rentrer à la maison. Reprendre la routine que j'ai laissé derrière moi au mois de juin. Laisser la vie reprendre son cours normal. Un jour où l'autre, il le fallait bien, non ? Assise dans le lit de l'hôtel, je m'étire et débute ma journée avec un bon déjeuner nutritif. Tout se déroule bien jusqu'à ce que ma sonnerie retentisse dans la chambre et que j'aperçoive le nom de la personne qui m'appelle : maman. Je m'empresse de répondre et elle entame immédiatement une conversation qui va durer des heures, je peux le sentir venir à des kilomètres. Sauf que je me trompe. Elle se dit être en retard, mais qu'elle avait envie de prendre de mes nouvelles et à la fin, elle me demande si je peux aller vérifier si Walter est toujours vivant. Répondre à son propre téléphone portable semble être trop difficile pour mon aîné. Je termine en lui disant que oui, je vais y aller. Puis, elle raccroche et je soupire en secouant la tête. Rapidement, j'enfile des vêtements qui conviennent à la température et me voilà en route jusqu'à Inman Square afin de rendre une petite visite à ce cher frère. Frère que je n'ai plus croisé depuis la fin des cours. Je m'arme de courage et je toque quelques coups à sa porte, ignorant s'il est toujours endormi ou même s'il est chez lui. Je vais le découvrir dans quelques instants.

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░░░░░░░░ feat. plamyr e. rutherford

Le Summer Camp vient de se terminer, le périple de deux mois en Arizona à touché à sa fin, nous voilà tous revenu aux Etats-Unis, de retour à Cambridge pour profiter des quelques derniers jours avant la reprise des cours. Je crois n'avoir été jamais aussi heureux de retrouver mon appartement dans un état qui montre au combien je ne suis pas bien dans ma peau depuis pas mal de temps, les volets à moitiés ouverts, ça sent le tabac froid dans toutes les pièces, et pas que le tabac, au moins la vaisselle est faite et rangée, je suis un dépressif oui mais pas au point de laisser moisir de la vaisselle sale et de retrouver une belle colonie de fourmis, enfin bref, c'est mon appartement quoi, je me rend compte que ma routine va reprendre et j'ai pas envie qu'elle reprenne, ce séjour en Arizona m'a fait du bien, ça m'a permit de m'éloigner, de penser à autre chose et là, en revenant ici, c'est retour à la case départ. Je me suis endormis dès la fin de soirée, sans m'en rendre compte avec la moitié de mon pétard entamé, c'est le voyage retour surement, la fatigue qui joue et oui, bon ok, mon état de défonce mais bon j'ai finis ma nuit dans mon lit, vraiment heureux de le retrouver lui. Je suis réveillé par quelques coups contre le bois de ma porte d'entrée, je trouve le courage de me tirer des draps du lit et d'aller ouvrir dans une tenue peu présentable, simplement vêtu d'un caleçon mais après tout je suis chez moi non ? J'ai tous les droits. La porte ouverte, c'est Palmyr que je trouve en face de moi, ma petite-sœur Ça va devenir habituel chez toi de venir me réveiller ou ça se passe comment ? lui dis-je d'une voix roque et d'un ton peu commode, je ne suis pas du matin oui enfin est-ce que matin est vraiment approprié ? Je ne sais même pas quelle heure il est.

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w/ walter rutherford.

De nature assez patiente, je dois avouer que patienter devant la porte de mon frère m'impatiente. À un tel point que je sautille pratiquement sur place en attendant qu'il ouvre la porte... S'il ouvre celle-ci, bien entendu. Au pire, je peux toujours m'y aventurer si dans deux minutes il n'a pas ouvert, certain que sa porte n'est pas verrouillé. Heureusement, je n'ai pas à le faire lorsque j'entends la porte s'ouvrir derrière mon dos et que la voix de Walter me parvient aux oreilles. Forcément, je l'ai réveillé. Une manie plutôt agaçante chez moi, semblerait-il. J'ai le don d'arriver chez les gens et de réveiller ceux-ci. « Tu n'y es toujours pas habitué ? » Répondis-je en lui offrant un sourire légèrement sarcastique. Déjà, ça débute mal. D'ailleurs, je commence à me demander si c'était une bonne idée de venir jusqu'ici. Enfin, trop tard pour reculer et quitter, il est éveillé alors autant terminer avec ça immédiatement que plus tard. Sans attendre sa permission, je me faufile à l'intérieur de chez Walter et jette un regard autour afin de m'assurer qu'une conquête ou peu importe en immerge. Je n'aurais pas priorité si c'était le cas et là, j'ai besoin d'être prioritaire. « Aloooors, comment est-ce que tu vas après tout ce temps ? » Je débute la conversation lentement afin de ne pas trop le brusquer. Avec Walter, je prends toujours des gants. Je me retourne et me fait une note mentale : acheter du désinfectant pour les mains en sortant.

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Si il y a un truc qui me met de mauvaise humeur, c'est quand on me réveille en toquant à la porte de mon appartement, je ne suis déjà pas du matin mais si en plus on vient me casser les pieds en espérant que j'ouvre dans les seconde qui suivent, ça me fait chier. Je vais quand même ouvrir, et j'ai la surprise de trouver Palmyr sur le seuil de la porte, ma petite sœur qui vient me rendre visite, qu'elle charmante attention. Pour que je m'y habitue, faudrait que tu passes plus souvent. aller c'est parti, des piques lancés en pleine face, c'est comme ça depuis longtemps avec elle, est-ce qu'on a vraiment voulu ça ? La mort de Caleb auraient du nous rapprochés mais malheureusement ça a fait tout le contraire. Elle entre dans l'appartement comme si c'était le sien, sans demander ma permission, venant d'elle ça ne m'étonne même pas, je referme la porte et je la vois scruter un peu partout, s'attendait-elle à ce que je sois en bonne compagnie ? Il n'y a que toi et moi dans cet appartement, t'en fais pas. dis-je me dirigeant vers la cuisine alors qu'elle voulait prendre de mes nouvelles, tout en me préparant un café, je lui répondais T'as ta réponse sous tes yeux, je suis en vie, je vais bien. je devrai peut-être lui proposer un café non ? Elle m'a énervé en débarquant à l'improviste, me réveillant en plus mais bon la famille avant tout non ? Papa et maman n'ont pas arrêtés de nous l'inculquer, c'est de l'histoire ancienne pour moi mais bon je peux quand même tendre la main Tu veux un café ? lui proposais-je sans lui adresser un seul regard, préférant porter mes yeux sur la cafetière en marche.

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Mer 2 Sep 2015 - 22:29

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w/ walter rutherford.

Ce n'est pas un peu con de penser à se désinfecter les mains en étant chez son frère ? Totalement inapproprié. Mais en même temps, je suis incapable d'oublier à quel point ce n'est pas du tout mon appartement ou même mon ancienne chambre à la Quincy. Comparé à moi, il est bordélique. Au moins, la vaisselle ne traîne pas dans l'évier où une espèce d'insecte se serait développé. Ouais, ouais est ce que je pense lorsqu'il me dit que je devrais passer plus souvent. Il n'a pas a parlé, il n'est pas mieux. Je ne sais même pas combien de fois je l'ai vue passant par la Quincy. Oh wait, je sais : entre un et zéro. Et j'ai une bonne excuse pour ne pas passer plus souvent par chez lui et elle est simple : je ne me sens pas la bienvenue. En tout cas, beau moyen de débuter une conversation... Je regrette presque d'être revenue de mon roadtrip d'une semaine avec Zéphyr. J'attends me dire qu'il n'y a que nous deux et je suis soulagée. Sinon, ça fait genre coucou, j'suis la sœur de Walter.. Désolé d'interrompre vos ébats matinaux. De quoi partir du bon pied. « Je savais déjà que tu étais en vie. J'ai des oreilles et des yeux et les gens parlent beaucoup trop parfois. » Si vraiment j'avais envie de savoir s'il était toujours en vie, je n'aurais qu'à demander aux gens. Ou directement aller voir chez lui. Ou chez les gens chez qui il achète sa drogue leur demander quand est la dernière qu'ils ont vus Walter. « Non, merci. » Je ne suis pas très café, bien plus thé vert. Ou les boissons que ma mère nous fait boire lorsque nous allons chez elle. En tout cas, je m'approche de sa cuisine tout en gardant une bonne distance, espérant qu'il me regarde. « Si je suis ici c'est parce que maman me l'a demandé. Elle n'a pas de tes nouvelles depuis un moment, tu devrais peut-être l'appeler. » Par la même occasion, appeler papa pour lui donner des excuses de ne pas avoir assisté à son remariage avec Rosie. Mais ce n'est qu'un détail et je le garde pour moi. Non, je n'ai pas envie de le mettre en colère dès son réveil.

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Sam 5 Sep 2015 - 22:17

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Est-ce que je suis quelqu'un de normal ? Enfin ce que je veux savoir c'est si ma relation avec ma petite-sœur est normale ? Nous avons un frère six pieds sous terre depuis deux ans maintenant, ce drame aurait du nous rapprochés mais à croire que l'effet qu'il a eu sur nos parents, nous à touchés aussi, on se voient très peu, on se parlent très peu, à croire que nous sommes presque des étrangers l'un pour l'autre, beaucoup le pensent surement si ils nous voyaient vu toutes les tensions qu'on dégagent. Je la provoque, lui lançant ce pique qu'elle ne passe pas me voir souvent, jamais même, tout simplement parce que moi je ne viens jamais la voir à la Quincy House, je ne sais pas pourquoi nous sommes ainsi, merde quoi au fond ça me fait tellement chier que je ne sois pas proche d'elle, qu'on ne soient pas si complices, j'aimerai tellement avoir la relation que j'avais avec Caleb avec elle mais parce que c'était Caleb, parce que c'était comme ça depuis toujours, non, je peux pas, j'ai toujours été distant de Palm, et encore plus aujourd'hui. Je te le confirme, j'ai appris que t'avais finis tes vacs à Barcelone. c'est si froid entre nous, même pas un sourire ou quoique ce soit qui montre qu'on s'aiment à en crever parce que nous sommes liés par le sang, rien de tout ça et même quand je fais un pas vers elle en lui proposant du café, elle me rembarre, en même temps je pouvais pas savoir, je connais pas ses goûts, à peine si je connais ce qu'elle aime et déteste. Je continue à faire mon café avant de l'entendre me dire qu'elle est juste venu ici sous les dires de maman, parce qu'elle n'a pas de nouvelles Tu sais, j'en étais sûr que t'étais venu parce que maman te l'a demandée. je lâchais ce petit sourire ironique enlevant la tasse remplie de café de la machine pour souffler et la porter à mes lèvres en la regardant enfin. J"ai plus de crédit, tu pourras l'appeler et lui dire qu'elle n'a pas à sans faire, je vais bien. et mon cul c'est du boulet, ça fait plus de deux ans que ma vie s'est écroulée, comment ça pourrait aller ? Je dis ça pour qu'on arête de me faire chier mais c'est vrai je devrai l'appeler, elle et papa, ça fait longtemps, vraiment longtemps.

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Mer 9 Sep 2015 - 1:47

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w/ walter rutherford.

Quand je dis que les gens parlent trop, j'ai raison. Walter sait que j'ai passé le restant de mes vacances en Europe à Barcelone, plus précisément. Bon, d'accord, c'est affiché sur mon Instagram, mais je ne crois qu'il prenne réellement le temps de faire un tour sur mon compte. Comme s'il n'avait rien de mieux à faire que visiter ma page. Enfin, ça me fait quand même rire qu'il soit au courant tout en trouvant ça complètement fou à quel point, les nouvelles circulent aussi bien dans une ville aussi grande. Ville et université. « Ouais et ailleurs. » Et ailleurs qui est inutile dans cette phrase, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai ressentie le besoin de l'ajouter. Comme si j'essayais de faire comprendre à Walter que, contrairement à lui, je n'étais pas restée au Summer Camp. Que je suis dans la capacité de visiter d'autres horizons alors que lui, il reste ici. Ça fait pitié de constater que nous en sommes là. Ce n'est pas un frère et sœur qui sont en face de l'un et l'autre, mais deux inconnus qui partagent le même nom et sang. Walter et Palmyr. Palmyr et Walter. Les deux inconnus. « Je ne vois pas pourquoi je me donnerais la peine de venir de mon plein gré alors que j'ai déjà de tes nouvelles. Sans avoir à te poser la question directement. » Répliquais-je à sa remarque en lui souriant de manière plutôt sarcastique même si je fais face à un mur. Comme je l'ai dit précédemment, je n'ai qu'à poser la question autour de moi. Et voilà, je roule des yeux tout en étant incapable de continuer à l'écouter. Tu.. Tu pourras l'appeler. Bien sûr, Walter, j'ai l'air d'une messagère, peut-être ? Rire sarcastique. « Incroyable. Vraiment, t'es incroyable. » OK, Palmyr, calme-toi. Il n'en vaut pas la peine. « Pourquoi tu ne le fais pas toi-même, hein ? Pourquoi tu n'appelles pas maman pour lui dire toi-même ? Quoi, tu n'as pas cinq minutes à accorder à quelqu'un d'autre que t'as petite personne ? O-ou ton portable est brisé ? » Je calcule quatre questions dans une même phrase tandis que je m'avance et balance mon portable sur le comptoir dans sa direction. « Tiens, je te prête le mien. » Je manque de souffle alors j'inspire profondément en évitant de croiser son regard. Pourquoi est-ce que j'ai acceptée de venir ? Pourquoi, bordel.

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Mer 9 Sep 2015 - 2:34

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░░░░░░░░ feat. plamyr e. rutherford

Tout se sait ici, que ce soit en ville ou sur le campus, j'ai pas parlé à Palmyr de l'été mais j'ai quand même su qu'elle avait quittée l'Arizona plutôt pour finir en Espagne à Barcelone Bah écoute tant mieux pour toi. complètement ironique, j'en ai rien à faire qu'elle passe la fin de ses vacs à Barcelone, ou ailleurs comme elle vient de me le dire, j'ai même un petit sourire qui se dessine sur les lèvres, ça me fait sourire ouais, on rentre en plein dans le sarcasme. Je ne me préoccupe pas d'elle, prenant ma tasse de café, l'entendant me dire qu'elle est là sous les ordres de notre chère mère, j'aurai du me douter qu'elle ne serait pas venu de son plein gré et elle ne se gêne pas pour me le confirmer à haute voix. Au moins ça prouve que tu restes la fille chérie bien élevée qui obéit à sa maman.. lui dis-je sans état d'âme, j'en ai rien à faire si ça blesse ou pas, moi t ma famille c'est plus ça depuis longtemps, voilà qu'elle veut que je l'appelle, bonne blague. Je trouve l'excuse de ne plus avoir de crédit, laisser la tâche de rassurer notre mère à Palm qui roule actuellement des yeux après m'avoir entendu, elle en revient pas, c'est vrai je partage son point de vue, je suis incroyable, j'irais même jusqu'à dire bizarre, c'est moi le mouton noir de la famille après tout. J'ai plus de crédit je t'ai dis. j'ai pas envie de me prendre la tête, c'est le matin, je suis à peine réveillé, la voilà qui sort son portable pour le déposer sur le comptoir, mademoiselle me le prête Non mais gardes ton tel, j'ai le mien, j'appellerais quand j'aurai du crédit. même moi je sais que je le ferai pas, je reprend une gorgée de café avant de poser la tasse sur le comptoir Au fait, tu pourrai me dépanner de cinquante dollars ? ouais j'ai quasi plus de conso, faut que je refasse le plein.

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Mer 9 Sep 2015 - 4:18

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w/ walter rutherford.

Ma bonne humeur de ce matin s’est complètement évaporée depuis que je suis ici. Et ça fait quoi ? Moins d’une demi-heure ? Pour ce coup, j’accuse Walter et son manque d’intérêt. De son je-m’en-foutisme légendaire et d’être lui. D’être Walter, le Mather. Walter, le drogué. Walter, le mouton noir. Il est une putain d’énigme que je suis incapable de résoudre… Tout serait plus simple si Caleb était toujours en vie, parmi nous. Il saurait quoi lui dire pour le faire bouger et je n’aurais pas à jouer à la babysitter pour lui. En même temps, ça c’est de ma faute. C’est moi qui continue d’insister pour garder un œil sur lui. C’est plus fort que moi, semblerait-il. Je suis incapable de le laisser aller sans savoir ce qui se passe avec sa vie et ce n’est pas parce qu’on me le demande, mais parce qu’au fond je tiens à lui. Même s’il est extrêmement chiant et emmerdeur. Encore plus lorsqu’il joue avec le fait que je sois l’enfant modèle des deux. Encore, est-ce que c’est de ma faute s’il se donne le rôle de l’enfant qui est détesté par tout le monde ? Non, il me semble que non. Mais ça va, j’encaisse, j’en ai l’habitude. Même si j’aimerais bien lui foutre sa tasse de café au visage. Non, bien sûr que non. Je n’en ai pas la capacité. Et je secoue la tête devant son excuse, j’en ai marre. Il se fout de tout le monde, c’est grave chiant. Crédit ou pas, il devrait être capable d’appeler sa mère. « Dis-moi, si Caleb te dirait d’appeler maman, tu le ferais ? » Je suis curieuse et j’essaie de jouer avec ces sentiments. Je suis assez de mauvais poil pour faire ça. Aucunement le comportement d’une Quincy. Je fais honte à cette confrérie, sérieusement. « Appelle les parents, vend ton corps, j’en ai rien à foutre, mais ne compte pas sur moi. » Ça ne fait pas un peu maman ça ? « Tu te débrouilles tout seul. Tu devrais réussir, tu excelles dans ce domaine. » Je soupirais, secouait la tête et regardait sévèrement ce qui devrait être mon grand-frère.

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Mer 9 Sep 2015 - 9:19

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░░░░░░░░ feat. plamyr e. rutherford

Je ne demande rien à personne, je sus majeur et vacciné, capable de prendre mes propres décisions, de faire mes propres choix, d'assumer la conséquence de mes propres conneries et non, faut que Palmyr soit là, gardant un œil sur moi, perdant son temps avec moi, je lui ai rien demander, je ne garde pas d'œil sur elle moi, pourquoi serait-ce la même chose pour elle ? C'est plus fort qu'elle je crois, elle a perdu un frère elle ne veut pas perdre l'autre ou je sais pas pourquoi elle est ainsi. Ca se voit qu'elle en a marre de moi, de la façon dont je me comporte mais moi si elle veut que tout soit différent, qu'elle arrive à remonter le temps jusqu'à l'attentat, qu'elle arrive à garder Caleb en vie et là oui ok, on pourra en rediscuter. Je la provoque oui, méchamment en m'en prenant directement à l'éducation de nos parents donc quelque part nos parents mais j'assume, j'ai rien à me reprocher, après tout je ne dis que la vérité, elle est la petite fille à ses parents, qui prend souvent des nouvelles, c'est pas elle le mouton noir de la famille, c'est moi, différence, incohérence, le défaut de la famille il est devant elle. Aucune idée, t'as qu'à aller déterrer sa tombe et trouver ta réponse par toi-même. si elle croit vraiment que je vais flancher par une prise aux sentiments, elle me connaît vraiment mal, bon oui Caleb c'est le sujet qui me fait péter un câble mais hors de question de flancher face à elle. Aller Palm, c'est juste cinquante dollars que tu sors de ton portefeuille, t'es une humanitaire de premier ordre chez les oranges, t'as le cœur sur la main pour aider ceux dans le pétrin . je souriais la regardant reprenant ma tasse de café pour la finir.

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