Was it real or was it all in my head? ♡ TORRYATT

All in my head

Wyatt & Torrey

I see you with her and it crushes me inside. Maybe this is what I needed maybe this is a sign. Maybe I've been blind to reality baby tell me ▬ TORI KELLY

Je voyais bien que c’était difficile pour lui d’entendre tout ça et, croyez-moi, ce n’était pas plus simple pour moi de le dire. C’était même terriblement dur. Chaque mot semblait rester prit dans ma gorge et c’était douloureux. Mon regard plongé dans le siens, je voyais ses iris bleus profonds s’emplir d’eau et mon cœur se sera encore plus dans ma poitrine. « Comment est-ce que tu peux en être aussi sur ? » Je serai la mâchoire et secouai lentement la tête de gauche à droite. « Je ne le suis pas.. » répondis-je d’une toute petite voix à peine audible. Il détourna la tête comme incapable de me regarder plus longtemps et j’eu l’impression qu’il allait en courant de l’autre côté du chalet tellement je le sentais loin à cet instant. « Ce que je ressens est réel. La vérité c'est que... » Que? Je m’accrochai à ce dernier mot comme s’il était le seul espoir encore présent pour nous deux. C’était stupide, tout me disait que la suite ne risquait pas de me plaire et pourtant j’étais là à espérer. Il se retourna et me regarda à nouveau. Je déglutis aussi difficilement que si j’avais avalé un bac à sable et reniflai aussi subtilement que possible. « Je t'aime et je sais que ça ne changera pas. Et j'ai honte de te faire tant de mal. J'ai honte de ressentir des sentiments pour une autre. Honte de ne pas être assez présent pour mon fils. Honte de laisser cette situation perdurer. Honte de ne pas savoir ce que je veux, mais la vérité...c'est que je ne sais pas ce que je dois faire... » J’ouvris grand les yeux, blessé et heureuse à la fois. C’est impossible et totalement stupide vous me direz. Mais figurez-vous que je n’avais que très rarement connu Wyatt aussi honnête et sa sincérité me faisait tellement chaud au cœur que je n’avais qu’une envie : lui sauter au cou. Pourtant, le hic dans son aveu était bien réel : il en aimait une autre. Ce n’était plus une question qui flottait entre nous, il l’admettait carrément. Et ça… c’était la preuve formelle que tout n’allait plus. Restait-il une chance pour nous? Avions nous la force de nous battre pour ladite chance? « Je ne sais pas quoi faire non plus Wyatt… mais.. » Les mots restèrent une fois de plus dans ma gorge et je du inspirer un grand coup avant de poursuivre, essuyant les larmes qui coulaient sans gêne sur mes joues. « Mais.. mon premier réflexe est de te laisser partir. » Voilà, c’était dit. Je n’avais plus la force de me battre, ni l’envie. J’avais tout fait pour faire durer notre couple, pour le ravoir lui dans ma vie, à mes côtés et pourtant, voyez où nous en étions. Il aimait Maëlys et elle l’aimait en retour. Qui étais-je pour les en empêcher? « Je t’aime…. » murmurai-je en me levant pour cacher un sanglot et en marchant un peu dans la pièce, dos à lui.

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Que venais-je de dire ? D'une certaine manière, je me sentais enfin libéré de tout mensonge. Cependant, la sensation d'être pris au piège dans une toile d'araignée me devenait de plus en plus réel. A quel prix devais-je payer ses révélations ? Torrey semblait ne plus avoir de souffle. Ses mots sortaient avec difficulté de ses délicates lèvres. Mais quoi ? Pourquoi redoutais-je ce qu'elle allait me dire ? Sur ses joues marbrés, coulaient des perles cristallines. De sa bouche, les mots tranchant prenait forme. Comme un coup au cœur, ma cage thoracique semblait s'être brisé. L'air avait des difficulté à emplir mes poumons. Me murmurant des mots qui ressemblaient à un au revoir, elle se levait pour me tourner le dos. La culpabilité mêlée à la tristesse s'emparait de mon être. Comment expliquer ce que je ressentais exactement à cet instant précis. Du chagrin ? De la frustration ? De la peur ? Perdre Torrey était plus palpable que d'être auprès d'elle. La jeune femme me donnait l'impression d'être tellement loin de moi. Avions-nous échoués ? Qu'allait-il advenir de nous ? Devions-nous tout arrêter ? Une théorie veut que si deux personnes sont faites l'une pour l'autre, elles se retrouveront. Était-ce le cas pour nous ? Avec hésitation, je me relevais du canapé. Doucement, je me rapprochais d'elle. Me plaçant derrière elle, je la forçais presque à s'arrêter. Légèrement effrayé, je posais une main sur son épaule pour descendre avec légèreté sur son bras. Caressant sa peau de velours, je fermais les yeux un instant comme pour savourer ce contact. Était-ce la fin ? Que devions-nous faire ? Je n'avais aucune réponse. Triste destin, je n'avais aucun indice sur la marche à suivre. « J'ai tellement peur de te laisser... » Je marquais une pause pour inspirer un bon coup. « mais, j'ai tellement peur de te faire du mal » Cette vérité cinglante prenait le dessus sur tout autre argument. Il était important de ne pas nous détruire. Pourtant, n'était-ce pas ce que nous faisions ? Remontant ma main sur son épaule, je dégageais ses cheveux, dénudant son cou. Remontant ma main, je posais ma paume dessus. Je pouvais sentir son pouls s'agiter. « J'aimerais trouver une réponse. J'aimerais savoir la marche à suivre. Est-ce que se quitter une nouvelle fois est à tes yeux la solution ? Est-ce que c'est la bonne ? ...Comme j'aimerais que les choses soient comme avant. » Amère, je laissais une larme perlé sur ma peau rugueuse. De dos, elle ne pouvait pas voir le tourment qui se reflétait dans mes yeux. D'ordinaire si bleus, ils avaient pris l'allure d'une mers en pleine tempête.

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Wyatt & Torrey

It feels like there's oceans Between me and you once again We hide our emotions Under the surface and tryin' to pretend ▬ SEAFRET

Me lever de ce canapé me demandait une force immense et pourtant, j’y arrivais. J’avais les jambes comme de la guenille, chancelantes et le cœur en petit morceau, mais je me tenais aussi droite que possible. Si ça devait être la dernière fois qu’il me voyait alors que ce soit la tête aussi haute que possible. Bien sûr, nous nous reverrions pour Devyn, mais… vous comprenez, ce n’est pas du tout la même chose. J’étais perdu, complètement perdu et j’avais si mal que ça m’étouffait. Sans avoir à me retourner, je le sentis qui s’approchait de moi et avec son odeur qui m’enivrait, j’avais l’impression de retrouver une parcelle de joie si fugace, aussi fugace que cette simple odeur. S’il venait vers moi c’était qu’il y avait de l’espoir, pas vrai? Sa main se posa sur mon épaule et je m’arrêtai. Ses doigts glissèrent sur mon bras et un frisson me parcouru de la tête aux pieds. Ses doigts étaient à la fois doux et rugueux, chaud et si familier. « J'ai tellement peur de te laisser... » J’étouffai un nouveau sanglot, incapable de lui dire que c’était pareil pour moi. « mais, j'ai tellement peur de te faire du mal » Et j’avais aussi peur qu’il m’en fasse que lui de m’en faire, croyez-moi. Et ça, c’était probablement pire que tout. La peur, l’incertitude, l’attendre de la fatalité. Certain dise que l’attente de la douleur est plus douloureuse encore que la douleur elle-même. Je n’ai aucune difficulté à le croire. Sa main remonta, dégagea mes cheveux et je frissonnai à nouveau, penchant instinctivement la tête sur le côté, lui laissant un libre accès à ma peau légèrement moite. « J'aimerais trouver une réponse. J'aimerais savoir la marche à suivre. Est-ce que se quitter une nouvelle fois est à tes yeux la solution ? Est-ce que c'est la bonne ? ...Comme j'aimerais que les choses soient comme avant. » J’inspirai un coup, et me mordit la lèvre, accumulant du courage, mais n’en trouvai aucun. Je me retournai donc lentement, très lentement pour finalement lui faire face. « Ce n’est pas la solution qui me plait, ni même celle que je veux suivre… mais je n’en vois aucune autre…. » terminai-je sur un ton une fois de plus faible et sans conviction. Je fis un pas vers lui, posai les mains sur son torse et crispai les doigts sur le tissu de son t-shirt. Mon regard cherchait le siens, mes yeux balayant l’océan qui dansait au milieu de son visage. J’aurais voulu dire autre chose, ajouter quoi que ce soit. Le supplier de rester, me jeter à ses genoux pour qu’il nous empêche de faire une bêtise. Mais je ne pouvais que le fixer, attendant que le bourreau abaisse sa hache et décide pour nous.

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Avec une lenteur presque suppliante, elle se tournait vers moi pour me faire face. De cette manière, elle rompait tout contact entre ma main et sa peau. Le regard pétillant d'autre fois semblait avoir disparus pour laisser place à une expression poignante, douloureuse. Aucune autre solution ? Était-ce réellement la seule qui s'offrait à nous ? Ses mains se posaient sur mon torse, m'arrachant un tressaillement. Me cherchant du regard, ses yeux finissaient par capter les miens. La gorge serrée, elle me donnait l'impression d'attendre quelque chose. Une chose était pire que tout. Elle me laissait choisir. Comment pouvais-je le faire, alors que je n'avais aucune idée de ce qui était réellement bien pour moi. Ce qui me surprenait le plus, c'était son calme. Elle voulait encore de moi, alors que je venais de confirmer ses doutes sur ce que je ressentais pour une autre jeune femme. Surprenante. Forte. Voilà les mots qui me venaient à l'esprit pour la décrire. Cependant, je n'allais pas réussir à faire un choix seul. Ramenant mes mains sur les siennes, je serrais ses poings. Baissant mon visage, je venais buter mon front contre le sien. « Ne me demande pas de choisir pour nous... » La voix étranglée, mon souffle était saccadé. Le mieux n'était-il pas de laisser le destin choisir ? Arrêter et voir s'il allait nous rapproché ? Néanmoins, cela n'était-il pas une erreur ? Cela n'allait-il pas briser notre relation davantage ? « Laissons le destin décidé pour nous... »

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Wyatt & Torrey

'Cause I can't be without you I'll be there when you need me most I'll be there if you're ever alone Together, will we grow old? I can't leave you I can't leave you, No. ▬ SEAFRET

Wyatt semblait surpris que je l’approche, que je le touche et pourtant… S’il savait à quel point j’avais envie de le toucher, de me blottir contre lui et de m’enfermer pour me couper du monde extérieur. M’évader de la réalité, oublier qu’il y avait là, dehors, des choses auxquelles il nous fallait faire face. Il prit mes poignets dans ses mains et j’eu un moment peur qu’il ne me repousse, me demande de ne plus le toucher. Au lieu de quoi il appuya son front contre le miens, me suppliant presque : « Ne me demande pas de choisir pour nous... » Je fermai les yeux, profitant de sa proximité. Si je le lui demandais, c’était simplement parce que je n’y arrivais pas moi-même. J’en étais tout bonnement incapable. Je lui avais dit ce que je pensais, j’avais pris mon courage à deux mains et lui avait avoué avoir longuement pensé à tout ça, être blessé et résigné. Pourtant, je n’arrivais pas à sauter le pas. « Laissons le destin décidé pour nous... » J’ouvris les yeux et reculai juste assez pour le regarder. Perplexe et à la fois pleine d’espoir. Proposait-il que nous restions ensemble pour voir ce que le destin nous apporterait? Parce que ça m’en avait tout à fait l’air. Refusant de manquer cette fenêtre d’opportunité, j’en profitai pour poser mes lèvres contre les siennes dans un baiser à la fois doux et désespéré. Je serai un peu plus son t-shirt, tant pis si je devais le déchirer, et approfondis le baiser aussi longtemps que ma respiration me le permettait.

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Laisser le destin choisir, c'était prendre le risque de laisser cette situation perdurer. Nous allions souffrir et cela, indubitablement. Je ne pouvais nier le fait que mon attraction pour Maëlys était toujours présente. Alors, était-ce saint de prendre un tel risque ? S'éloignant de moi, je crus d'abord qu'elle allait trancher. Pourtant, elle se rapprochait de moi. Gagnant mes lèvres d'un baiser doux, ses doigts resserraient leur emprise sur mon t-shirt. Glissant une main jusqu'à sa joue, j'approfondissais notre étreinte avec fragilité. Au final, nous n'avions pas réellement apporté de solution. Cependant, une nette amélioration se faisait ressentir. Nous avions parlés honnêtement et c'était là le principal. Pris d'inquiétude, je laissais échapper quelques mots. « Je ne veux pas que tu te sacrifie pour moi. Te faire souffrir serait trop insupportable...Je veux que tu me promettes que... » Avalant une goulée d'oxygen, je plongeais mon regard dans le sien. Allais-je vraiment dire ça ? « Si jamais, je te fais à nouveau souffrir quitte moi. Ne t'empêche pas de vivre par ma faute... » Il y avait toujours le risque qu'elle rencontre quelqu'un d'autre. Quand à moi, il y avait le fait que mon cœur pouvait trancher du jour au lendemain pour une autre. Pourquoi le nier ? Cela pendait au-dessus de nos tête comme l'épée de dame oclès. Malgré tout l'amour que nous ressentions l'un pour l'autre, cela planait comme une ombre. Il y avait le risque qu'elle ne puisse plus me supporter et que je la perde. Je voulais qu'elle en est conscience. Tout comme moi, je devais le prendre en compte.

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Wyatt approfondit notre échange lui aussi, sa main remontant sur ma joue et sa chaleur m’envahissant toute entière. Notre baiser rompu, je restai un moment à savourer tout ça, n’osant même pas bouger de peur de briser notre bulle de verre et de tout faire éclater. « Je ne veux pas que tu te sacrifie pour moi. Te faire souffrir serait trop insupportable...Je veux que tu me promettes que... » J’avalai difficilement à nouveau. Moins que tout à l’heure, mais tout de même. « Si jamais, je te fais à nouveau souffrir quitte moi. Ne t'empêche pas de vivre par ma faute... » Je fronçai les sourcils, cherchant quelque chose dans son regard que je ne semblais pas pouvoir trouver. Encore aurait-il fallu que je sache ce que j’y cherchais. Je relâchai doucement mes doigts encore crispés, mes mains simplement posées sur son torse maintenant. « Et promet-moi de me laisser avant de…. me tromper. » ce dernier mot me trancha la langue comme autant de couteau, mais c’était là ma seule requête. S’il sentait ses sentiments pour Maëlys grandir de plus en plus, je tenais à ce qu’il me le fasse savoir et termine notre relation. C’était notre dernière chance et nous le savions très bien tous les deux. S’il me blessait, s’il la préférait à moi, j’allais avoir du mal à m’en remettre, mais s’il avait au moins la décence de d’abord me laisser, ce serait au moins ça de gagné. Je le savais capable de tromperie puisqu’il avait trompé Feldt avec moi et je ne souhaitais ça à personne, vraiment personne.

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La pression de ses doigts diminuaient pour devenir un lointain souvenir. Ce que je venais de lui demander n'était pas une chose aisée, mais ce qu'elle me demandait en retour, était encore plus difficile. Si mon cœur penchait totalement pour une autre, je devrais être honnête avec elle et dans ce cas là, je prenais le risque de lui faire du mal. Cependant, c'était la moindre des choses. J'avais fait l'erreur avec Feldt. Encore aujourd'hui, je me souvenais de l'expression de son visage. La douleur que je lui avais fait subir était trop forte et je ne le souhaitais à personne. Sombre, j’acquiesçais de la tête. « Promis » C'était la moindre des choses. La fin de nos vacances allaient sans doute être décisif pour nous deux. Tôt ou tard, je devrais faire un choix comme elle. Fermant mon esprit, j'encerclais ses épaules de mes épais bras pour la serrer contre moi. Humant l'odeur de son parfum rassurant, j'enfouissais ma tête dans ses cheveux. Elle était mon premier amour et même encore aujourd'hui, là dans ses bras, elle me ramenait chez nous. Baissant une main, je la glissais sous son t-shirt. Paume contre la peau chaude de son dos, je me rassurais de ce contact. Derrière nous, Devyn s'était endormi dans son parc. Ce qui n'était pas aussi confortable que son lit.

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Wyatt & Torrey

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Wyatt semblait blessé. Par ma requête ou par ses souvenirs? Probablement un peu des deux. Mais il savait comme moi que je n’avais d’autre choix que de lui demander ça. Et il savait aussi que c’était la meilleure chose à faire que d’être honnête avec moi. « Promis » Ses bras m’encerclèrent et je glissai à mon tour les miens autour de son corps. Son visage contre mes cheveux, je fermai les yeux, profitant du moment comme si rien de tout ça ne c’était passé. Comme si nous ne venions pas d’avoir cette discussion tous les deux. J’avais encore peur, terriblement peur, mais Maëlys m’avait assuré qu’elle ne s’interposerait pas et Wyatt m’aimait encore suffisamment pour me choisir alors les chances étaient carrément toutes de mon côté. La balle était dans mon camp, pour l’instant du moins. Sa main remonta sous mon t-shirt et un frisson –agréable celui-là- m’envahit. « Mmh… » je soupirai en imaginant déjà où ses mains pourraient se poser ensuite. À quand remontait la dernière fois qu’il m’avait touché ainsi? Je tournai la tête, m’approchant de son oreille pour lui dire : « Tu voudrais pas qu’on aille poursuivre ça ailleurs…? » Comme quoi les mecs n’étaient pas les seuls portés sur la chose. Même après une conversation comme celle-là, je pensais encore à ce que nous pourrions faire dans un endroit plus intime. Si ce n’avait été des enfants, je ne me serais peut-être même pas donné la peine de changer de pièce. Mais là, avec Cadence qui dessinait encore dans la cuisine –totalement inconsciente de ce qui arrivait ici au salon- je me voyais mal pousser ma chance plus loin et risquer qu’elle me demande comment on fait des bébés et si c’était ce que moi et Wyatt faisions.

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Ses mots m’arrachèrent un sourire. Depuis combien de temps n’avais-je pas touché une femme ? Plusieurs semaines. Moi-même, je m’étonnais de cette longue abstinence. En général, j’avais du mal à tenir comme tout homme qui se respecte. « Tu me ferais pas des avances ? » Face à moi, je posais mes mains sur ses épaules, avant de descendre doucement vers ses mains. En moi, je sentais déjà l’excitation se répandre dans mon corps. Jetant un coup d’œil à Cadence, je fus rassuré en voyant la petite se dirigé vers la télé. Avec un peu de chance, elle ne monterait pas. Rassuré, je prenais sa main, avant de la pousser devant moi. Mes yeux rivés sur la courbure de ses hanches, je l’observais pousser la porte de sa chambre. Etant le dernier, je refermais cette dernière. Le dos collé à la porte, j’observais Torrey. Les volets légèrement refermés, la lumière dessinait chaque parcelle de son corps. « T’es tellement belle.. » murmurais-je plus pour moi-même.

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