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Annalynne ☼ Le diable s'habille en Malcom

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Le diable s'habille en Malcom
Annalynne & Léonora



«  Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer » Serment des gladiateurs.

La douleur était toujours présente. Il m'était impossible de cacher les bleus sur les épaules ou autour du cou. Ruby avait laissé sa marque de fabrique. Ça me faisait mal de l'avouer, mais elle était cinglée... Au point que l'on pouvait l'enfermer dans un asile ou l'enchaîner à une cage. Je ne comprenais pas pourquoi oncle Jack lui cédait tout. Enfant gâtée, peut-être, mais pas par la vie. Ma sœur jumelle était devenue dangereuse pour elle-même et pour les autres.  
La dernière fois qu'elle m'avait appelé au secours, elle m'a étranglé au centre commercial. Heureusement pour moi, Clay se trouvait dans les parages et était le seul à nous séparer. Il avait fallu d'une gifle pour réveiller ma sœur de sa paranoïa. À mes yeux, personne ne voulait l'assassiner. Mais cela ne m'empêchait pas de mener ma petite enquête. Ruby m'inquiétait, mais j'avais honte de l'avoir comme sœur. Honte de penser à cette phrase :  « J'ai honte de ma soeur ». Ce n'était pas quelque chose à penser, mais j'évitais toutes les personne qui m'avaient vu le premier août. Journée de merde.
Et pourtant, je me trouvais devant le Hit Wicket. Un restaurant qui ressemblait au Bukowski Tavern où j'étais habituée à boire des doubles whiskys toute une soirée. Peut-être devrai-je envier Cooper de vivre au-dessus d'un restaurant ? Non, j'aimais trop ma maison pour l'envier. Entre nous, vivre au-dessus d'un restaurant c'était comme si que l'on faisait du shopping, la carte bleue chauffait et tout devait donner faim. Le bruit de fond devait sans aucun doute l'emmerder quand il souhaitait dormir.
Frapper ou faire demi-tour ? Telle était la question. Même si ça ne me plaisait pas vraiment, je devais frapper. Il fallait que je remplace la veste que Grimm, mon chien, a déchiqueté lors du Summer Camp. Un soupire s'échappa de mes lèvres et j'appuyai sur la sonnette. Faîtes qu'il accepte la veste et que je me casse. Je n'avais pas envie qu'il me fasse la gueule. Même si je savais qu'il devait me prendre pour une folle alliée tout comme ma sœur jumelle. Quelle conne !
Il n'y avait pas de moyen, j'étais fichue.


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Allongée sur le canapé, j’ai en main une pomme que je mange sans y penser en regardant un programme idiot à la télé, je traine depuis ce matin, n’aie pas fait grand-chose mise à part me doucher et enquiquiner Clay avant qu’il ne parte travailler. Et puisque je ne prendrai mon service que dans quelques heures, c’est en short et en débardeur que j’ai décidé de rester à l’intérieur. L’envie de ne rien faire ne quittant pas mes membres et d’être tranquille aussi, je l’espère.

Cependant mes envies s’enfuient aux oubliettes lorsque de la porte j’entends la sonnette. Mes pieds nus foulent alors le sol et mes pas me mènent dans l’entrée, tout d’abord c’est dans le judas que je me contente de la regarder. Une jolie fille, comme je n’en vois pas souvent, aux vues de mon métier, je suis plus habituée aux paillettes et à une volée d’artifices collés sur les visages et corps de salopes qui pour une nuit pensent valoir aux yeux des hommes de l’or.

Ma main libre déverrouille la porte d’entrée, se pose sur la poignée, et s’ouvre le passage pour accéder à mon appartement, ou plutôt comme elle semble le souhaiter à celui de Clay. Et puisque je m’ennuie je me décide sans même le voir, de jouer avec ses émotions ou plutôt avant de le faire, d’attendre, comme une gamine à Noël, sa réaction.

« C’est pour quoi ? » L’espace de quelques secondes je réfléchis tout de même pour être certaine qu’elle n’est pas là pour moi, mais non, c’est certain que je ne la connais pas, alors je lui offre un sourire fin, un peu mesquin, avant de croquer dans ma pomme et d’attendre de sa part une explication, que sais-je, pourquoi pas un prénom, afin qu’à Clay je puisse faire passer la commission.

Mes prunelles la jaugent longuement, lentement, avec un dédain peut-être mais j’avoue ne pas franchement le souhaiter, pour l’instant, c’est juste ma façon d’être, ma manière d’exister. Je me décale sur le côté, histoire qu’elle voit que si elle le souhaite elle peut entrer, après tout, je ne vais pas la bouffer.
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«  Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer » Serment des gladiateurs.

J'espérais que Clay n'attendait pas derrière la porte juste pour me faire attendre. C'était encore l'un de ses coups vicieux. Je ne l'aimais pas quand il faisait ça, je me sentais obligée de me venger l'instant d'après. L'attente n'était pas si longue que je le craignais. La porte s'ouvrit à une femme que je ne connaissais pas du tout. Oh, m'étais-je trompée d'appartement ? Pourtant, Cooper était clair dans son adresse. Je jetai un rapide coup d’œil sur le numéro de la porte, me confirmant que je ne m'étais pas trompée. Apparemment, ce n'était pas du tout le cas. Ok... C'était évident ! Cette fille était sans doute sa petite amie. Oh génial ! Je la plaignais d'avance ou l'enviait plutôt. Non, ma pauvre fille, tu deviens tarée.
Mais à bien regarder, elle était magnifique avec ses longs cheveux bruns, sa peau typée, son nez fin et son regard de braise. Je n'avais aucune chance contre elle pour plaire au vieux Cooper. Mouais, j'allais me répéter, mais j'étais tout de même fichue. À sa façon de me regarder, j'avais l'impression de me trouver devant Bree VanDeKamp version indienne. Bon allez Léo, t'es une grande fille, montres que tu peux te montrer civiliser !
« C’est pour quoi ? »
C'est pour un menu McFIRST, une grande frite, des potatoes, la sauce potatoes, un mcflury Speculoos, une mandise, et deux donuts dont un au chocolat et l'autre à la fraise. Ouais non, ça ne fait pas très crédible comme ça... Juste après, elle planta ses dents parfaits dans la pomme rouge comme Blanche-Neige. Noooon elle est empoisonnée ! Ah non..Elle ne tombait pas encore dans les pommes...Quel dommage... Bon, à la place, elle se montrait « gentille » en voulant me laisser entrer. Mais -parce qu'il y avait toujours un « mais » avec moi- ça se trouve, c'était une psychopatate et Clay m'avait emmené dans cet endroit pour qu'elle puisse me couper les oreilles en pointes !
- Bonjour, suis-je bien chez Clay Cooper ? Je suis une amie de sa petite sœur, Clea, il a oublié son blouson en Arizona...
Je levai le sac et offris un petit sourire qui se voulait sympathique. Bon ok, il n'avait pas oublié le blouson, vu qu'il était carrément neuf ! Mais quand même.

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Mes pensées s’étiolent à mesure qu’elle semble me juger de son regard incertain, passer aux cribles par une inconnue qui de toute évidence ne semblait pas vouloir tomber sur moi. Pas de chance, Clay est au boulot, ça lui arrive parfois, mais je jure que si elle le souhaite, je suis d’humeur à jouter, j’ai passé bien trop de temps aujourd’hui enfermée. Oui, c’est tout ce que j’ai trouvé pour justifier. Alors je lui demande ce qu’elle veut, j’imagine qu’elle est venue pour le flic, et non pour dieu. Mon visage s’incline quand elle parait se perdre en réflexion, pour peu j’aimerai lui préciser que ma patience à des limites, et que c’est maintenant ou jamais, son explication.

« Bonjour, suis-je bien chez Clay Cooper ? Je suis une amie de sa petite sœur, Clea, il a oublié son blouson en Arizona... » Ce n’est pas comme si Clay et moi étions intimes jusqu’aux bouts des doigts, mais oui, j’ai déjà entendu parler de Cléa. Je soupire en posant mes prunelles sur le sac, experte en shopping et pour dépenser l’argent que pour l’instant mon père veut bien me donner, je me demande – ô pas longtemps – si c’est vraiment sa veste ce qui se trouve là-dedans. Mais je réalise bien vite qu’en vérité, j’en ai rien à faire et que si elle n’a pas plus de matière à me donner, je vais bien vite m’ennuyer. « Clay n’est pas là. » Comme si elle ne l'avait pas deviné.

« Tu veux que je l’appelle ? » Je suis certaine qu’il pourrait rappliquer, faut juste trouver une excuse qui paraisse … encrée dans la réalité. Son appartement est en train de cramer ? Ah non, c’est le mien qui l’a fait, c’est vrai. Je pourrai dire que l’évier vient d’exploser, et que tout est inonder. Ouais, c’est à méditer. « Au fait … Tu es ? » Je lui demande sans vraiment être intéressée, par politesse, ou quelque chose qui s'en rapproche, un semblant de gentillesse.

« Il me parle pas de toutes les filles qu’il saute … » Ce qui est présentement plus véritable que jamais. « Et encore moins des groupies étudiantes prêtes à lui offrir des fringues. » Tandis que je me fiche du fait qu’elle me suive ou pas, je me dirige vers le salon, avant de trouver mon téléphone portable et de revenir dans sa direction.
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«  Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer » Serment des gladiateurs.

« Clay n’est pas là. » « Hallelujah » Un soupire de soulagement s'échappa de mes lèvres. L'envie de revoir l'autre tête de plouc n'y était pas. Il m'a vu plusieurs fois énervée, et dans une situation délicate, pas besoin que nos chemins se recroisent. Je penchai la tête sur le côté lorsqu'elle jeta un œil curieux et expert sur mon sac. Oh non...Ne me dîtes pas que c'était une ancienne Cabot...Si ? Fais chier. J'allais me faire avoir comme une bleue sur mes petits mensonges à trois sous.
« Tu veux que je l’appelle ? » Je cachai ma surprise derrière le masque qu'il revenait petit à petit. Je refusais de lui montrer ce genre de réaction. Je gardais mon calme et m'apprêtais à répliquer que je ne voulais puisque je n'avais pas de temps à consacrer à Cooper. « Au fait … Tu es ? » Sans plus attendre, je répondis aussitôt. « Pas besoin, dis lui juste que Léonora Lockhart est passée » C'était clair, net et précis. Je ne voulais pas donner plus de détails. Après tout, je ne connaissais pas sa dulcinée...Ou bien la pauvre femme qui avait le courage de supporter l'ogre Cooper vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Elle était magnifique, mais elle me semblait ne pas être la première idiote que l'on croisait au coin de la rue. « Il me parle pas de toutes les filles qu’il saute … Et encore moins des groupies étudiantes prêtes à lui offrir des fringues. » Wow ! Ma vielle, tu t'es trompée de fille ! Je n'étais pas du tout comme cette inconnue, le prétendait, surtout vis-à-vis de Clay. Mais la première phrase raisonnait toujours dans ma tête. Minute papillon ! Voulait-elle dire qu'elle n'était pas la compagne de Clay ou étaient-ils un couple libertin ? Mouais... CS se trompait de personne. La débauche, c'était bel et bien Clay Fitzgerald Cooper et Mickaëla Stevenof, pas moi. Un rire nerveux s'échappa de ma gorge et je la suivis dans le salon, prenant soin de fermer la porte derrière moi. Je laissais mon regard se baladait dans toute la pièce, une télévision allumé, une décoration qui me plaisait et tout me semblait clean. Il n'y avait pas de signe qui pourrait me faire penser à une baraque de psychopathe. « Calmos, il a essayé une fois, il s'est retrouvé en caleçon en public » lui annonçai-je sur un ton innocent. J'étais très sage, le soir du 23 mai 2015. Il a voulu jouer, on a joué. Je repris la conversation avec un petit sourire en coin. « Bien vu, mais tu te trompes. Je ne suis pas une groupie, je lui ai juste promis de lui acheter une nouvelle veste parce que mon chien a déchiqueté la sienne. Tu veux une preuve de l'état de sa veste ou ça ira ? » Ce n'était pas une attaque, mais juste une question de...Routine ? Ouais, c'était ça. Et comme à mon habitude, je tenais pas ma langue. « Je ne suis pas intéressée par un vieux bouc qui saute les nids de morpions blonds au teints pâles dès qu'ils atteignent la majorité. » Là, je faisais référence à Mickaëla. J'ignorai l'âge de mon interlocutrice, mais elle me semblait plus jeune que moi. Le souvenir de l'article de CS me revint en mémoire. Tout me semblait si claire désormais. Si je me fiais à ce que la langue de vipère de Cambridge avait déclaré dans son avant dernier article, la jeune femme qui se trouvait face à moi se trouvait être celle qui avait offert son corps à Cooper en échange de son échange. Judicieux, mais qui ressemblait plus à de la prostitution. Génial... « Je présume que tu es Annalynne...Celle qu'une personne dit que tu as offert tes services en échange des billets de Cooper ? » Une grimace s'afficha sur mes lèvres. « Il est canon...Mais trop con...Sans vouloir te vexer. » Je haussai les épaules. Tu as voulu me juger ? À mon tour, maintenant. La balle se trouve dans les deux camps.


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A ma phrase au sujet de la présence ou plutôt non-présence de Clay dans l’appartement, la demoiselle se met à soupirer et a carrément laisser un « Hallelujah » de satisfaction, et pique par ce fait là, ma curiosité, je suis bien forcée de l’avouer. Alors je me propose de l’appeler, avant de lui demander, tout de même, son identité. « Pas besoin, dis lui juste que Léonora Lockhart est passée » Et dans ma tête, plusieurs fois, son prénom, je me le répète. Décide de le garder au cas où si un jour Clay décide de me faire trop chier, ce qui va forcément arriver, on ne sait jamais, ça pourrait peut-être devenir un argument en ma faveur. J’aime assez l’idée de torturer son petit cœur.

Je finis donc par me diriger vers le salon, la petite brunette sur les talons. Et je parle sans même y penser, juste pour ne pas rester dans le silence, qui sait. Mais si moi je m’en moque de ce que je suis en train de dire, il semblerait qu’elle ça la dérange, puisqu’elle se sent obligée de se justifier. « Calmos, il a essayé une fois, il s'est retrouvé en caleçon en public » Mes prunelles se redressent en sa direction et je m’entends lui répondre sans faire de grand débat. « Ah bon. » Je hausse les épaules un peu lasse, je dois l’avouer, parce que je pensais que ça serait plus drôle de jouer avec une de ses poupées sans la présence du flic à côté. « Bien vu, mais tu te trompes. Je ne suis pas une groupie, je lui ai juste promis de lui acheter une nouvelle veste parce que mon chien a déchiqueté la sienne. Tu veux une preuve de l'état de sa veste ou ça ira ? » Tu parles trop, on ne te l’a jamais dit ? Ouais, c’est ce que je lui aurai répondu si je n’avais pas un brin de politesse dans le sang, après tout, même si je les hais, ils m’ont – presque – bien élevé mes parents. Je grimace quand je commence à énumérer intérieurement ce que je sais d’elle, elle fait celle qui n’est pas intéressée, ils se connaissent assez pour que son chien ait pu déchirer sa veste, elle est amie avec sa sœur. Pour peu, je commence presque à la penser importante pour lui. Ou l’inverse, peu importe. « Je ne suis pas intéressée par un vieux bouc qui saute les nids de morpions blonds au teints pâles dès qu'ils atteignent la majorité. » Suis-je la seule à penser que je n’ai pas demandé autant d’information de sa part ? Mais puisqu’elle semble vouloir à tout prix se justifier, je lui donne de quoi en répondant simplement. « C’est moche de mentir, on te l’a jamais dit ? » Parce que putain, je suis certaine qu’elle est intéressée, jusqu’aux bouts des doigts. « Comme la jalousie, d’ailleurs. » Et là je pense aux morpions blonds, même si j’ai franchement aucune idée de qui était visé.

« Je présume que tu es Annalynne...Celle qu'une personne dit que tu as offert tes services en échange des billets de Cooper ? » Mon visage s’incline pour jouer les crédules qui ne comprennent pas. Et je ne me retiens pas pour lâcher entre mes dents, pour le coup énervée, par cette gamine qui se permet de me juger. « Il est canon...Mais trop con...Sans vouloir te vexer. » « Attends. » Un rire mesquin s’échappe de mes lèvres quand je reprends « Tu viens sérieusement de me traiter de pute ? » Chez moi, je devrai te virer pour ça. Le niveau de jeu est donc bien différent de ce que je pensais. Toujours ma pomme en main, je fais semblant l’espace de quelques secondes d’être une balance, et je prononce hésitante. « Groupie, prostituée, groupie, prostituée … » Finalement je la fais pencher vers son insulte, et faut avouer que ce n’est pas étonnant. Et je lui offre un sourire géant. « Dis-moi, chérie, à quel point c’est frustrant de te dire que malgré toutes les insultes et autres médiocrités que tu pourrais sortir, c’est avec moi ce soir qu’il va dormir ? » C’est un mensonge, évidemment, mais si ça peut la faire chier, autant l’utiliser. « Pour une fille qui ne s’intéresse pas à lui, je te trouve bien au courant de qui passe dans son lit. » Ou mal informée, mais peu importe, elle semble penser qu’elle a la science infuse à son sujet. « Vas-y, allez, vends-moi ton mélodrame, que je te prenne en pitié. » Tu l’aimes mais tu ne sais pas comment l’expliquer ? Il a fait quelque chose que tu ne peux pas lui pardonner ? Peu importe, l’option, rien ne me fera changer, sur toi, d’opinion.
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«  Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer » Serment des gladiateurs.

« C’est moche de mentir, on te l’a jamais dit ? »« Comme la jalousie, d’ailleurs. »
Mais... Raaaah ! Pourquoi tout le monde croyait que j'étais intéressée par Cooper, alors que... Ok, il m'attirait, mais c'était tout. Je ne le voulais pas comme petit copain, l'horreur ! Je vivrai un cauchemar avec ce mec. Je pris une grande inspiration et posai une question par rapport à l'ancien dernier article de CS. Je voulais savoir si c'était vrai ou non. Mais à voir sa réaction, j'allais me faire assassiner...Bien plus que ça. « Tu viens sérieusement de me traiter de pute ? »
Quoi ? ! Non, mais je ne l'avais pas insulté de pute, je lui avais juste demander si c'était bien elle qui... Ah ouais, je l'avais insulté de prostituée, du moins, elle l'avait prit dans ce sens là... Oh merde ! Moi et la communication, ça faisait deux. « Groupie, prostituée, groupie, prostituée … » Non, mais elle était sérieuse ? C'était la première à me faire sous-entendre que j'étais une groupie ! Je lui avais juste répondu que non. Malgré que je restais calme en apparence, je bouillonnai de rage en moi. J'avais fait une connerie et je comptais me rattra...Minute ! C'était quoi ce sourire de psychopathe ? Maman j'ai peur ! « Dis-moi, chérie, à quel point c’est frustrant de te dire que malgré toutes les insultes et autres médiocrités que tu pourrais sortir, c’est avec moi ce soir qu’il va dormir ? » Oh mais fais ce que tu veux, je m'en fiche de vos ébats amoureux. Cette fois, je la regardais blasée par son comportement et haussai les épaules avant de l'entendre répliquer :  « Pour une fille qui ne s’intéresse pas à lui, je te trouve bien au courant de qui passe dans son lit. » Remercie CS pour ça. Priape m'avait informé qu'elle n'était pas une prostituée, mais une simple serveuse. J'aurai dû réfléchir à deux fois au lieu de sortir une connerie pareille, putain !  « Vas-y, allez, vends-moi ton mélodrame, que je te prenne en pitié. » Mon..Quoi ? Me prendre en pitié ? Ah d'accord. Je soupirai pour tenter de me calmer face à cette peste et je secouai la tête. Cette fille avait tout pour plaire, et elle le savait. Elle le montrait en plus de ça. Je fourrai les mains dans les poches arrières de mon jeans. « On s'est mal comprises. Une personne raconte que tu es une prostituée. Ce n'était pas une insulte, juste une question pour savoir si tu en étais une. » Je pris une pause de quelques secondes avant de reprendre plus calmement. « Pour le mot groupie, tu as commencé à insinuer que j'en suis une. Je t'ai répondu que ce n'était pas le cas. » Pas besoin de donner d'autres détails puisqu'il n'y avait rien à raconter. Je la regardais avant de jeter un œil à mon sac. « Écoutes, je suis ravie de t'avoir rencontrée et je m'excuse pour ce malentendu. » Le souvenir de la discussion avec Priape à l'hôpital me revint tout d'un coup. Je lui offris un petit sourire sincère parce qu'elle n'était pas obligée de faire ce qu'elle a fait. « Je te remercie d'avoir raccompagner Priape chez lui. » Voilà, maintenant, il ne restait plus qu'à conclure avant de se barrer. Après tout, je n'avais rien à faire ici. « Et bonne journée. » Je posai le sac sur une table et lui tournai le dos pour sortir de là. Putain, moi qui ne voulais pas avoir de malentendus aujourd'hui, c'était raté ! J'ai failli lui lancer un Bon courage pour supporter Cooper. Mais ce n'était la peine, puisque je commençai à plaindre le vieux con.

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Mon visage s’incline afin de jauger un peu mieux le sien, en note chaque détails, pour ne pas l’oublier, c’est certain. J’imagine un tas d’histoire à leur sujet, leur prête un passé commun, comme je peux le faire souvent avec mes clients. Lorsque je m’adresse à elle une nouvelle fois, je deviens piquante, et je me dis que c’est plus fort que moi. Joue les outrées, d’avoir été traité de prostituée. Comme si c’était la première à le penser. Lui sers une tirade en guise de réponse, attends de sa part, peu importe la réaction, mais j’aimerai quelque chose de géant pour ne pas avoir quelque chose de trop con. Qu’elle occupe mon temps, qu’elle me serve de nouvel hobby, que je fasse semblant d’y jouer ma vie. « On s'est mal comprises. Une personne raconte que tu es une prostituée. Ce n'était pas une insulte, juste une question pour savoir si tu en étais une. » Une seconde de trop, je me demande qui raconte ça sur moi, et puis je me dis que je m’en moque, que je suis au-dessus de ça, des étudiants et de leurs loirs. « Pour le mot groupie, tu as commencé à insinuer que j'en suis une. Je t'ai répondu que ce n'était pas le cas. » Et c’est à ce moment-là que je commence à regretter, ouais, je le promets, parce que la gamine, c’est un moulin à paroles, un vrai. Puis faut avouer, je croyais qu’il n’allait pas arriver aussi vite, le moment où je commencerai à m’ennuyer. « Écoutes, je suis ravie de t'avoir rencontrée et je m'excuse pour ce malentendu. » Là, j’examine le mot « ravie » parce que je ne suis pas très fanatique de l’hypocrisie. Je la pense un peu prise d’une crise de folie, quand elle me sourit, et mes dents croquent la pomme une nouvelle fois, parce que clairement, je ne la comprends pas. « Je te remercie d'avoir raccompagner Priape chez lui. » Je le jure … ce monde est bien trop petit. « Et bonne journée. » Mes sourcils se froncent quand déjà je la vois s’éloigner, je jauge si je suis intriguée ou pas, je n’arrive pas franchement à le définir, et je dois me rendre à l’évidence, j’en suis agacée.

Les informations tournent un peu dans ma tête, et ma curiosité me force à aller dans le sac, regarder. J’en sors la veste, la trouve plutôt chouette, et m’aperçois bien vite qu’à côté, se trouve un trousseau de clés. Je soupire alors, posant ma pomme sur la table, la troque contre ses clés, et me revoilà dans le couloir à attendre de la revoir entrer. La sonnette retentit de nouveau, quand un sourire se place sur mes lèvres. Jonglant avec le trousseau, j’ouvre la porte en lui disant, d’un air, foutrement innocent. « C’est pour quoi ? » Je suis presque prête à rembobiner … « Si c’est pour une pute, c’est le mauvais palier. » Presque, hein, faut pas abuser. Acte deux, scène un, selon sa réponse, je veux bien coopérer, et jouer à celle qui se fait des amies, comme on joue à la poupée. Ce n'est pas de ma faute, si j'aime manipuler.
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«  Je promets de supporter le feu, les chaînes, les coups, la mort par le fer » Serment des gladiateurs.

Je pensais que j'étais une tarée, mais j'avais trouvé pire que moi :Ma sœur se servait de la violence lorsqu'elle était emprise par sa folie et Annalynne était une sacrée peste. Je n'avais aucune envie de rester à traîner dans l'appartement de Clay. Déjà, je l'évitais, maintenant que j'avais fait la connaissance du diable en personne, je pouvais mourir tranquille ! Je sortis du studio pour quitter le bâtiment. La chaleur de l'été était rude, au point que je dus retirer ma veste en cuir, dévoilant les bleus sur mes épaules et autour de mon cou, causés par ma jumelle. Je le portai sur mon bras, mais l'impression d'avoir oublié quelque chose m'envahit. M'arrêtant une seconde pour fouiller dans mes poches à la recherche de mon trousseau de clés, je m’aperçus que je l'avais perdu. Putain de bordel de merde ! J'essayais de me souvenir où est-ce que j'avais bien pu passer avant d'arriver ici. Je fermai les yeux pendant quelques secondes pour m'aider à retrouver la mémoire. Il a suffit d'un appel, de ma porte d'entrée que je fermai à double tours avant de me diriger vers l'appartement de Cooper. J'avais glissé mes clés dans le sac de shopping sans trop m'en rendre compte. Oh chiotte ! Je devais retourner voir Annalynne pour récupérer mon trousseau. Purée ! Je retournai sur mes pas et trouvais quelque chose à dire, mais non, je devais me montrer franche vis-à-vis d'elle. D'après ce que j'avais vu, elle me semblait joueuse, mais méfiante. En même temps, je n'étais pas une personne charmante et polie envers les gens. J'avais toujours du mal à communiquer avec les autres. Faute d'avoir été solitaire pendant mes cinq premières années à l'université de Harvard. Je sonnai à la porte en soupirant. Je n'avais pas le temps de penser à quoique ce soit que la porte s'ouvrit de nouveau face à Annalynne qui souriait et jonglai avec mon trousseau. Le chat a trouvé sa pelote de laine...Elle allait s'amuser avec mes clés, super. Ce sourire ne me disait rien qui vaille et pourtant, je ne laissais plus mes émotions transparaître sur mon visage. « C’est pour quoi ? Si c’est pour une pute, c’est le mauvais palier. » Nom d'une tête de citron mal lavé ! Je n'étais pas sauvée de l'auberge avec ça ! Je regardai mon trousseau de clés et tentai de l'attraper, en vain. Exaspérée par la situation, je retenais ma colère. Je n'étais pas d'humeur à jouer...Mais vraiment pas. « J'ai oublié mes clés, rends-les moi s'il te plaît. » Je ne relevais pas la fin de sa phrase. Elle était vexée, point final. Je tendis la main pour lui faire comprendre que je voulais récupérer mes clés et non autre chose. Au diable la politesse ! Ma patience avait des limites.

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Sur mes lèvres reste placé ce sourire que je n’arrive pas à chasser, sachant parfaitement qu’il est susceptible de l’agacer, ou au mieux, de la faire venir sur le chemin qui lui prouvera ma bonne foi. Fin … Si bonne foi il y a, j’avoue que parfois, je ne sais plus, je ne sais pas. Mes doigts jonglent toujours avec les clés, comme le ferait un chat avec sa proie, et j’attends que l’air exaspéré qui trône sur son visage disparaisse, j’attends qu’elle force les choses, qu’elle me rentre dedans même, mais qu’elle réagisse, qu’elle ne me laisse pas gagner aussi facilement, parce que c’est presque un peu trop désolant. « J'ai oublié mes clés, rends-les moi s'il te plaît. » Trop simple, vraiment trop. Et j’en suis certaine, elle doit la lire ma déception sur mon joli minois. Celle qui dit « j’espérai que tu valais mieux que ça. » que la différence que j’avais vu en elle a travers le judas était réelle.
De ce fait je soupire un peu, grimace aussi, avant de mordiller ma lèvre inférieure mesquinement, et de siffler entre mes dents. « Avant ça. » Parce qu’il n’est que question de prix avec moi, d’obtenir quelque chose en échange de ce que je dis, ce que je vois, ce que je suis. L’histoire d’une vie, celle de tous ses mensonges auprès d’autrui. Et même si je sais qu’ici je ne peux me permettre de demander des billets pour question de bienséance à conserver, je demande. « Je veux savoir, il t’a fait quoi, Clay ? » Vicieuse. « Parce qu'arrête de mentir, tu tentes clairement de l'éviter. Il t’a sauté pour jamais te rappeler, t’as décidé de bousiller sa veste, parce que l'excuse du chien, ça marchait peut-être avec tes profs mais avouons le, elle est à chier. Donc après ... t’as été prise de remord ? » Je joue encore et encore. J'oublie ses mots précédents, aussi vite que les regrets et le temps. Je m’intrigue de leur histoire, et je le fais plutôt bien avant de revenir sur mes pas. « Quoi qu’attends. » Je fais mine de réfléchir. « Ouais c’est ça, j’en ai rien à foutre. » Un nouveau sourire et ma main se tend en avant quand mon cœur désire partir en arrière. Qu’elle récupère ses clés, et qu’elle sorte de mon champ de vision, parce qu’elle a été une piètre occupation.
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