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COKA ✮ Say Something...

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Vous voyez ? Tu avais pris sur toi durant ces quelques jours, tu t'efforçais de tout faire pour ne plus flancher devant lui, la vérité c'est que, dès qu'il s'approchera de toi, absolument tous tes efforts partiraient en fumée. Il avait remarqué ton regard, ce regard qui signifiait que l'homme que tu voyais là sous tes yeux, tu ne le connaissais pas. T'avais peur, peur de lui et même peur qu'il te touche, peur qu'il te regarde, même peur qu'il s'approche ne serait-ce que quelques centimètres de toi, ce dont tu avais le plus peur, c'est qu'il te prenne à nouveau dans ses bras et que cette peur disparaisse aussitôt. Alors non, tu voulais garder cette peur, tu voulais qu'elle soit une protection contre lui et contre tes propres sentiments. Tu voulais prendre tes jambes à ton cou la toute suite alors qu'il s'excusait et tentait de se rapprocher de toi. Même le ciel ne voulait plus qu'il s'approche de toi. Des signaux lui parvenaient de là haut tout droit en plein dans ses jambes, mais non, Cody défiait tous ses signaux et se rapprochait encore et toujours. Pourquoi ?. « Non...ne fait pas ça. » Murmurais-tu la gorge totalement nouée alors que tu ne pouvais plus retenir tes larmes. Tu reculais à chaque fois qu'il avançait et tu le suppliais du regard. « S'il te plait... ne t'approche pas. » Tu secouais négativement de la tête tandis que tu essuyais machinalement les larmes qui se hissaient contre tes joues rosies. Il te rattrapa parce que tu sentais que tes jambes allaient lâcher prises elles aussi. Bloquant ses mains, t'essayais de te débattre, mais t'avais simplement plus de force là, maintenant et toute suite, t'avais plus de force. T'étais totalement vidée. « Arrête de faire ça... arrête de me prendre dans tes bras... arrête...arrête...arrête. » Ton poignet s'écrasa sans aucune force contre sa poitrine, serrant ensuite sa chemise du bout des doigts. Il n'avait pas le droit de te faire ça. Pas le droit de te prendre dans ses bras alors qu'il savait que c'était là où tu voulais être. T'avais envie de prendre le premier vol pour Cambridge, là maintenant, peu importe si tu manquais le dîner des Kova, Elia te comprendra.
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Cody n’avait jamais pensé qu’un jour, il effrayerait Diamantika. Pas lui-même quoi. Il savait qu’à plusieurs reprises, il l’avait fait flippé. Par exemple, le jour où elle l’a présenté à ses parents, elle se disait qu’à  tout moment il ferait une blague pourri qui descendrait le thermomètre de l’ambiance à -30, ou qu’il évoquerait les parties de jambes en l’air avec sa fille bien-aimée au père de celle-ci. Elle avait eu pas mal les pétoches aussi les soirs où il rentrait tard, voire ne rentrait pas du tout, parce qu’on le retrouvait au poste de police en salle de dégrisement. C’est vrai qu’ils n’avaient pas traversé que de beaux lagons bleus et des prairies verdoyantes. Il y avait des moments bien plus noirs dans leur relation, et bien plus nombreux qu’on ne pouvait le penser. Et c’était ces moments que Cody voulait que Dia se remémore chaque fois qu’elle croyait à une seconde chance pour leur histoire. Parce que des secondes chances, il n’y en avait pas. Pas pour eux. Non. On ne peut pas bâtir une histoire sur des fondations instables. Dans Astérix Mission Cléopâtre, ils font le palais au beau milieu d’un désert. Dans le désert, il n’y a rien. Pas d’histoire, pas de cadavre dans le placard, pas même de placard en fait. Mais sur les ruines de Coka, c’était juste impossible de bâtir quelques choses. Mais ne pouvant supporter de la voir pleurer, Cody se risqua à enlacer son ex petite amie, malgré les injonctions de cette dernière, malgré les vaines tentatives pour l’éloigner avec sa force de chaton. Il s’en fichait et referma ses gros bras autour de son corps frêle, blessé et usé par le comportement bipolaire de Bleeker. Mais il en avait marre. Il avait lâché une fille qui l’aimait à la folie pour une petite garce qui n’en avait absolument rien à foutre de sa gueule, qui avait joué avec ses sentiments. Il refermait ses grandes ailes autour d’elle, logea son visage dans le creux de son cou ; « Dis-moi que tu veux que je m’en aille à tout jamais. Dis-moi que tu ne veux absolument plus avoir affaire à moi. Dis-moi que tu ne veux plus m’aimer. Dis-moi. Je suis le génie de la lampe et j’exaucerais tous tes vœux. » souffla-t-il sans prendre le temps de respirer, dissimulant son visage contre sa joue qu’il caressait du bout de son nez. Et là, vous dites, une chance qu’elle l’avait un peu désinfecté quuuuuoi. Sinon Diamantika se transformerait en Pocahontas avec ses peintures d’indienne. Remarque, Cody cherchait toujours l’origine de son prénom …
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Cherche pas encore la signification de son prénom, c'est un Diamant oh !. Revenant au moment sad de coka où les fans devant leurs écrans sont super émueeees, mouchoir à la main et maudissent Cody de faire ça à leur Coka adoré. Honnêtement ? Que serait la vie d'un couple si tout était facile, si tout était rose, si tout était chiant ?. On s'en lasserait vite, alors que chez Coka, t'as une tonne d'adrénaline qui ne se termine jamais, t'as des fous rires, t'as des crac crac boum boum super sexy, t'as des moments hyper awkward et t'as des disputes qui en arrivent au point où ils découvrent qu'ils ont de superbes voix -Dia se lancera d'ailleurs dans cette voie, car ouai, plus elle chantait sous la douche, plus elle s'étonnait à aimer ce qu'elle entendait- Néanmoins, c'était la première fois qu'il te faisait autant peur avec sa rage et t'avais peur de ce que tu voyais ce soir. Il resserra son étreinte sur toi, t'enveloppant de ses ailes invisibles. Il ne faisait pas que ça, il nicha son visage dans ton cou alors que tu étais semi-horrifiée par cet instant, quoi que non, juste terrifiée et effrayée. Ta voix. Ta voix était littéralement partie en couille, putain. Sans compter les larmes qui envahissent tes joues. Merde, merde, pourquoi tu craquais comme ça ?. Et vint le moment où il te demanda clairement, l'impossible. Un énorme frisson te parcourait les entrailles alors qu'il laissa une caresse nez contre ta joue. T'essayais de mettre fin à ces putains de larmes qui ne s'arrêtaient pas. Comme si t'avais pas déjà assez pleuré. Tu levais ton regard bleuté au ciel alors que t'arrivais à peine à murmurer ces quelques mots. « M'demande pas ça... » Disais-tu presque le souffle coupé. A part tremper le chemisier du lowell de tes larmes, tu ne répondais rien. Rien du tout. T'avais le cœur lourd, trop lourd. C'était atroce et tu ne savais même pas comment réagir face à ça, ce sentiment d'être... ghjjjfjsjd. Juste perdue et effrayée. Tu serrais finalement les dents avant de secouer négativement la tête. « Comment veux-tu que je dise tout ça alors que je suis éperdument amoureuse et totalement folle de toi, CODY !. » Tu serrais de nouveau sa chemise au niveau de ses épaules. « Tu peux pas demander à mon cœur de cesser de battre, tu peux pas... Tu... » Coupée soudainement par ta gorge totalement lourde à cause de ton effondrement. « Je ne veux pas que tu t'en ailles à tout jamais, j'veux construire quelque de vraie avec toi et pas quelque chose d'éphémère. Je ne veux pas cesser de t'aimer Cody.... Et...J'ai tellement peur. » Peur de le perdre. Mais s'il ne voulait plus de toi, alors il ne pouvait pas te retenir de cette façon, il n'avait pas le droit. Si c'était vraiment un génie, il te demanderait de rester ou alors rentrerait avec toi, il te demanderait de l'aimer comme jamais aucune fille ne l'avait encore fait -même si c'était déjà le cas-, il te demanderait de ne jamais plus le quitter.
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Cody refermait ses bras autour de Diamantika, sans se soucier une seule seconde du déluge de sentiments contraires qui l’emportaient chaque seconde qu’elle passait à ses côtés. On apprenait en météorologie – je parle de ça, mais ni moi ni Cody n’étudiait ça heeeeinnnggg – que des vents contraires qui se croisaient à un même point pouvaient se transformer en réelle tornade, suivant la force et la magnitude de ces vents. On ne connaissait pas exactement l’emplacement de la planète Coka, sûrement à cheval entre la Terre et la Lune, mais la tempête se déchaînait sur eux. Diamantika déformait entre ses doigts la chemise de Bleeker, comme pour se rattacher au seul point d’ancrage qu’elle pouvait avoir sur lui. Elle le lui avait dit, il était un électron libre, pas décidé à se faire dicter sa loi par qui que ce soit. Il avait cru qu’il pouvait être heureux avec elle, il avait cru qu’il pouvait être heureux sans elle. La vérité, c’est que dans un cas comme dans l’autre, il se sentait misérable. Il avait cru qu’il pouvait trouver le bonheur ailleurs, mais tout espoir a été avorté par des bouches à oreilles. Et maintenant, le voilà totalement homeless, incapable pointer du doigt ce qu’il ressentait clairement pour la jeune femme. Et elle continuait à dire qu’elle était éperdument amoureuse de lui, qu’elle voulait construire quelque chose avec lui … Et la conclusion ne tarda pas à tomber. « T’es faible. » lâcha subitement Cody en se décrochant de Diamantika. Il fit un pas en arrière, et la détailla de haut en bas ; « Pourquoi t’es faible comme ça ? Pourquoi tu ne me dis pas juste d’aller me faire foutre ? Pourquoi tu t’accroches ? Pou-pourquoi t’as pas peur ? Pourquoi tu ne me libères pas ? Parce que j’ai besoin de ça. J’ai besoin que tu me dises de ne plus jamais revenir pour ne plus jamais revenir ? J’ai besoin que tu me dises ’mais va te faire foutre Cody, j’ai pas besoin de toi, pas besoin de tes bras, ton image reflète ce que j’aime pas’ et aussi ’j’en peux plus de voir ta gueule de torché à tout moment de la journée, ta barbe de trois jours que tu ne sais même pas soigner et s’teuplait, arrête avec les chemises à carreaux, t’en as tellement qu’on dirait que tu te changes pas’. ALLEZ DIS-LE. Libère-moi, libère-toi, arrête de pleurer et sois la femme forte que tu étais avant moi ! » s’écria-t-il en ouvrant grand les bras, espérant qu’elle crie, qu’elle gueule, qu’elle le frappe, qu’elle lui fasse bouffer de la poussière. Peu importe. Mais qu’elle fasse quelque chose d’autre que pleurer contre lui et le supplier à tout bout de champ alors qu’il ne méritait rien de tout ça.
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Quand on parle de bipolarité, Cody Bleeker entrait toute suite en jeu. A l'entente de ses mots, t'en avais juste marre. Mais tu ne comprenais pas ce qui lui arrivait, tu ne savais plus ce qu'il attendait de toi, t'étais perdue et encore plus ce soir. T'en avais juste marre. Il se recula pour te traiter de faible, pour te demander d'être forte et de le libérer, la vérité c'est que tu l'avais déjà fait depuis quelques jours et que ce soir, tu le lui avais dit avant qu'il ne se jette sur toi pour encore et toujours te tourmenter, te faire tourner la tête. Tu lui avais pourtant supplié de ne pas s'approcher de toi, il savait que tu voulais être dans ses bras, il le savait et pourtant, il ne cesse encore et toujours de te détourner à chaque fois que t'abandonnais. La tête baissée, tu serrais les poings, tu serrais les dents et tu te forçais à rester debout. Puis t'ouvrais enfin les yeux pour lui lancer un regard pire que le précédent, pas effrayé, non là, t'étais dégoutée, t'étais dégoutée par lui, là maintenant et toute suite, il te dégoûtait. « Va te faire foutre !. » Disais-tu sans même crier. Blasé de tout ça. Et ce sont les seuls mots que tu lui diras. Les seuls mots qu'il entendra et les seuls mots qui le feront agoniser à chaque fois qu'il se rappelera du regard que tu venais de lui lancer. Tu l'aimais, c'est vrai et t'étais prête à tout pour lui. Mais là, il n'avait pas le droit de jouer avec ton cœur de cette manière. Il voulait que tu sois forte, il voulait tu lui donnes mot pour mot ce qu'il attendait et bien voilà c'était fait. Tu le libérais de tout poids lourd. Tu le libérais de ta présence. Tu le libérais de Diamantika. C'est terminé. Là, t'étais fatigué, fatigué de tout ça et t'en avais juste marre qu'il remue le couteau dans ta plaie, qu'il te poignarde à chaque fois que tu pensais qu'il retrouvait la raison. Non, là c'était trop. Alors oui, va te faire foutre Cody Bleeker. Et sur ce, tu quittais ce lieu sans plus t'y attarder. T'avais juste plus envie qu'il joue comme ça, parce que ouai, tu étais faible et amoureuse, mais tu te soigneras, tu réussiras à te soigner, t'avais pas besoin de lui, t'avais plus besoin de lui. Qu'il aille faire sa vie, t'en avait plus rien à foutre.
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Salut Cody, enchanté de te rencontrer. Je m’appelle Fond. On se serre la main, oui ? Et bien voilà Cody Bleeker, je t’annonce que tu viens officiellement de toucher le fond. En fait, ce n’était pas un endroit si terrible que ça. Bon, ce n’était pas super confortable, et t’avais l’impression qu’un enculé d’acuponcteur confondait la tête de son patient avec ton cœur, mais il faisait bon vivre. Au moins, un vent de liberté soufflait contre le visage de Cody. Mais détrompez-vous ; ce n’était pas agréable. Pas agréable du tout. Parce qu’il aimait profondément Diamantika et qu’il venait juste d’officialiser leur rupture. C’est con. Quand on y réfléchit, ils auraient pu être super heureux ensemble, revivre la vie de couple, faire l’amour trois fois par jour – en se protégeant cette fois, quoique l’utérus de Kovache était devenu hostile – faire des repas en famille, passer leur dimanche après-midi en survet devant la télé, continuer de ne rien foutre de leur vie mais le faire à deux. Ils avaient tout pour être heureux, mais Cody avait choisi l’option de dégoûter Diamantika de lui pour qu’elle n’ait plus une once d’envie de le fréquenter. Puis après le dégoût viendra l’indifférence, et enfin elle retrouvera le goût au bonheur. Avec un autre, peut-être ? Sûrement. On ne dirait pas comme ça, mais Cody voulait qu’elle soit heureuse. Il l’espérait du plus profond du cœur pour elle, puisqu’elle méritait de belles choses. Elle méritait un petit ami aimant – sobre – pas une girouette perturbé par un déficit profond de confiance en lui-même. Et Cody ne faisait même pas ça pour se libérer d’elle, pour s’en aller draguer d’autres filles ou quoi. C’était pas le cas. Il était seul, complètement seul. Il n’était pas libéré de Diamantika, au contraire, il était maintenant emprisonné derrière un mur de verre à travers duquel il pourrait la voir vivre son bonheur, sans pouvoir y participer. Il devrait vivre avec cette vision jusqu’à la fin de ses jours, jusqu’à ce que la mort ne l’emporte enfin. Enfin elle s’en alla, et Cody se retourna avant de s’effondrer, posant un genou à terre et s’écriant à pleins poumons ; « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH. » jusqu’à ce qu’une quinte de toux considérable l’empêche de continuer. Bonjour, je m’appelle Fond et voici une pelle. En cherchant un peu, tu trouveras moyen de me creuser pour vérifier si tu ne peux pas tomber plus bas.
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