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Tu t'étais demandée tout ce temps pourquoi ton ex était distant, pourquoi d'un coup il te faisait des sous-entendus déchirants et un autre coup, il  ranimait la flamme en montrant l'homme qu'il était avec toi auparavant. Tu t'étais demandé pourquoi il hésitait tant et comme un vœu exaucé, tu avais reçu la réponse par la fameuse façon de tout savoir sur tout le monde. Non non, ce n'était pas Cambridge secret, mais c'était "de bouche à oreille". Il paraît que Cody s'amusait bien de son côté avec quelques nanas. Tu n'en savais pas plus, même pas le prénom de ses filles. Juste qu'il semblait prendre du bon temps et apparemment, c'était de source sûre. Et oui tu étais vénère et jalouse normal non ? Et oui again tu l'évitais comme la peste. Tu avais surtout hâte que ton dîner Kovafamily passe pour que tu puisses rentrer à Cambridge parce que pour toi clairement, ces vacances sont terminés. T'en avais ni l'envie, ni le courage de t'amuser. Tu feras bonne figure auprès des Kova pour ne pas gâcher votre soirée, mais le cœur n'y sera plus vraiment. Et ce soir, quoi de meilleur pour te défouler que danser ?. Attrapant ton portable et ta mini baffe, tu t'éloignais un peu des tentes, pas trop parce que t'avais pas envie de te perdre. Il y avait une table en bois et un banc, tant mieux. Tu déposais ton portable en activant le bluetooth et celui de la mini sono histoire de mettre un aléatoire de musique pour pouvoir danser jusqu'à en perdre complètement le souffle. D'ailleurs, tu débutais sur Say Something vêtue d'un mini short slim noir et d'un haut assortit. T'avais rien à foutre qu'on te regarde un peu trop et de toute façon, tout le monde étaient occupés. Puis lorsque tu dansais, tu étais coupée du monde, même si là, c'était sur une chanson un peu sad, mais c'était aussi ton humeur en ce moment. T'étais tellement à fond, que tu ne te rendais même pas compte de la présence masculine autour de toi. Ce n'est que lorsque tu avais failli faire un faux mouvement que ton regard croisa celui de ton ex et alors tu perdis l'équilibre en te rattrapant rapidement après trois petits sauts. Une chose est certaine, tu restais bouche bée parce que ce n'était pas très beau ce que tu voyais en face. Ton ex avec un visage presque totalement amoché. Putain, tu pouvais tout supporter, mais pas ça. Pas qu'il soit blessé, pas ça putain. Alors ton cœur s'alarma tandis que tu courrais vers lui.
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Ce Summer Camp, c’était vraiment la merde. Et le caca emoji rigolo avec un sourire que Cody met à chaque fin de phrase quand il est de bonne humeur, non non, il parlait bien de la bouse de vache intersidérale qui se plantait pile sous son pied chaque fois qu’il tentait d’avancer. Il venait en fait d’atteindre le bout du rouleau. Déjà, il avait fait l’erreur de faire sans faire exprès ce que tout mec Harvardien fait, c’est-à-dire s’amuser avec plusieurs filles en même temps. Sauf que pris de remords et parce qu’il ne s’était pas rendu compte assez tôt qu’il jouait sur plusieurs tableaux, il avait ’libéré’ son ex de ce fardeau. Diamantika était une fille géniale, elle méritait mieux. Dans le même temps, il avait appris que celle dont il tombait progressivement amoureux se tapait un autre pendant qu’elle dégainait le combo yeux de biches et baisers enflammés avec Cody. Et étant donné qu’elle était censée être son amie, elle lui planta juste un pieu en plein cœur. Donc c’est ainsi que Bleeker se retrouvait de nouveau juste sentimentalement seul, après avoir enchaîné les mauvais choix et blessé toutes les personnes qui souhaitaient l’aider. Ohhhh, mais c’est pas pour autant qu’il se laisserait abattre, nooooooon. Ne dit-on pas ’les potes avant les putes’, ’les cubi avant les petits culs’ etc etc etc ? Du coup, maintenant, il faisait encore ce qu’il savait faire de mieux ; boire. Boire. Boire. Et aussi manger. Un peu. Il buvait surtout. Ce soir, il avait eu le malheur de picoler avec des gars pas très sympa, qui souhaitaient lui voler tout son fric. Mais force est de constater que Cody n’a pas un rond, et ces mecs n’avaient pas trouvé de meilleure réponse que leur coller leur poing à la figure. Mais j’vous rassuuuuure, Cody ne sentit rien. En fait, il avait le corps tellement imbibé d’alcool que ça agissait comme anesthésiant. Donc non seulement il ne sentait plus ses peines de cœur, mais en plus, les poings lui faisaient aussi mal qu’une piqûre de mouche. Ça n’empêche pas qu’ils s’attaquèrent à son pif, aka la meilleure cible de chez Cody. J’veux dire, son nez patata était tellement proéminent qu’on pouvait l’atteindre facilement. Et c’est ce qu’ils firent. Finalement, après s’être pris une bonne dérouillée par ces gars, Cody parvint à s’extraire du groupe, réalisant qu’il venait juste de se faire passer à tabac quand il constata que son pif saignait. « Oups … » fit-il en passant ses doigts dessous, sans être plus que ça réactif. Pourtant, il n’était pas si ivre, c’est juste qu’il enchaînait les murges depuis quelques jours, et venait un moment où son cerveau se déconnectait complètement de la réalité. Il ne vit même pas Dia qui courait vers lui.
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Il n'y avait que lui pour se retrouver dans un état pareil. Il enchaînait gaffe sur gaffe et t'étais curieuse de voir où tout cela le mènera. Non c'est vrai, tu méritais mieux que lui et il méritait mieux que toi. Mais tu l'aimais et vous vous méritez tant bien même aussi. Sauf qu'il était le seul à ne pas le voir. Et peu importe ce qu'il adviendra, tu ne regretteras jamais d'être sortie avec lui. Alors oui, t'allais le foutre la paix, oui, t'allais le laisser sauter n'importe quelle fille d'ici ou d'ailleurs, oui, t'allais même le laisser se marier avec qui il désirait, mais pour ce soir, qu'il te laisse le soigner, qu'il te laisse apaiser ses douleurs qui étaient aussi les tiennes à cet instant. Courant vers lui, tu changeais rapidement de direction pour aller immédiatement chercher ta trousse de secours dans ta tente en espérant qu'il n'aura pas disparu dans la nature d'ici ce petit laps de temps. A ton retour, tu te calais derrière lui le temps de reprendre progressivement ton souffle. N'oublions pas que tu venais de danser aussi donc là, t'avais pas eu le temps de souffler. Une dernière inspiration et tu t'approchais finalement de lui, sans dire mot. Une de tes mains libres se refermait sur son poignet tandis que tu l'entraînais vers le banc en bois. « Pose ton cul !. » Ordonnais-tu en déposant la trousse sur la table et en passant une jambe entre le banc pour pouvoir t'asseoir. Inspectant son visage en posant quelques doigts sous son menton, tu secouais la tête. « Qu'est-ce qui s'est passé ?. » Demandais-tu en attente d'une vraie réponse, même que tu le fusillais du regard pour qu'il évite de raconter du n'importe quoi. Puis, tu ouvrais ta trousse de secours et attrapais de l'alcool que tu versais en petites quantités sur un coton. « Ça va piquer. » Disais-tu en te rapprochant de lui pour pouvoir bien nettoyer ses blessures, à commencer par celui près de son œil. Franchement, tu ne savais pas qui l'avait mis dans cet état et tu doutais un peu de la quantité de personne, mais t'étais certaine qu'il avait dû chercher la mouise et en plus il empestait l'alcool.
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Toujours aussi aimaaaable cette petite Dia quand elle demanda à Cody de s’asseoir, sisiiiii. Lui qui s’attendait à un ’je vous prie de déposer votre derche sur cette table de pique-nique en bois Louis XIV’ et ben non. ’Pose ton cul’. Paye ta poésieee. Mais Cody était bien trop dans les vapes pour réagir de toute façon. Il se contenta de marcher mécaniquement sur la table et de s’y asseoir, laissant Diamantika appliquer des cotons sur son visage. Mais la vérité, c’est qu’il ne voulait pas qu’elle l’aide, mais alors pas du tout. Il ne voulait plus d’aide, il ne voulait plus de femme, il ne voulait plus d’aide de femme, alors il pencha la tête sur le côté et soupira un ; « Laisse-moi. » Pas méchamment, juste il la priait d’arrêter. D’arrêter de le toucher, d’arrêter d’être serviable, d’arrêter d’être sympa. Il ne comprenait pas pourquoi elle s’était métamorphosée en ça, limite totalement soumise à lui alors qu’il la traitait comme la dernière des merdes. Résultat, c’est Cody qu’on détestait dans leur relation alors qu’il n’était pas foncièrement mauvais. Il avait l’impression que leur relation avait métamorphosé Diamantika, qu’elle n’était plus la garce imbue de sa personne sur laquelle il avait craqué en premier lieu. Elle était devenue fragile, et même aujourd’hui elle continuait de l’aider alors qu’elle n’avait pas à le faire. Ça l’énervait. Son comportement l’énervait, tout l’énervait. Même son Benco du matin l’énervait. D’ailleurs, ce matin, il s’était disputé avec son bol de chocolat chaud avant de l’envoyer valser au travers de la porte de la tente. J’vous rassure, Devyn s’était empressé de l’engueuler – Cody cette fois, pas le bol – mais il avait crié tellement fort – Cody toujours, pas le bol – que Devyn n’avait pas cherché à imposer davantage son respect. Puis le brunet est sorti et lui a flanqué un coup de pied au cul – au bol pas à Devyn – avant de s’en aller boire un coup. Belle vie. Bref, il grimaça et lui demanda par la suite ; « T’es pas censée être à Cambridge ? » Il était surpris de la voir encore au Summer Camp puisque, rappelons-le, il n’avait pas exprimé son envie qu’elle reste au moment où ils s’étaient quittés la dernière fois. En plutôt pas bons termes d’ailleurs.

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« Ferme là ! et réponds juste à ma question. » Posant tes doigts contre sa joue, tu ramenais de force son visage face à toi. Qu'il arrête de grogner ça va deux secondes là, il était lourd à force. Qu'il te laisse terminer ce que t'avais à faire parce que le connaissant, il était capable d'aller s'affaler sur son couchage sans prendre la peine de se désinfecter. Bon bon, une chose dont tu étais certaine, c'est que Devyn ne l'aurait pas laissé dans cet état et heureusement qu'il partageait la tente de Bleeker. En attendant, il n'avait toujours pas répondu à ta question. Au contraire, il s'empressa même de t'en poser une. Sauf que non coco, ce n'est pas à lui de poser les questions ici, mais toi ! Alors qu'il ne détourne pas le sujet ou quoi que ce soit d'autre. Cependant, connaissant sa tête d'andouille super têtue puissance mille, il allait encore te la reposer donc vaut mieux la lui donner de suite et comme ça, il n'évitera plus aucun sujet. « J'ai un dîner à passer avec les Kova, ensuite je rentre. » Voilà tout simplement. Oui oui, le temps où Dia lui courrait après était terminé. Même que Dia s'est décidée à ne plus courir derrière qui que ce soit à présent. Et non ! Même ce soir tu ne courrais pas après lui, ce soir tu le soignais parce que tu ne supportais pas de le voir dans cet état et on ne pouvait pas te blâmer pour ça, on ne pouvait pas t'enlever le fait que tu avais aimé cet homme plus que ta propre personne, alors tout le monde savait ce que ça faisait de voir son autre moitié au plus bas de sa forme. Et non, ce n'était pas un signe de faiblesse, juste que tu l'avais trop aimé pour vouloir lui souhaiter tout le mal. « Je répète, qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi t'es dans cet état ? T'as fait aucune gaffe j'espère ?. » Une gaffe qui l'obligera à séjourner entre les quatre murs d'une prison Arizonnenne. Tu doutais qu'il puisse en arriver jusque là, mais sait-on jamais. Remarquez d'ailleurs qu'elle ne posait aucune question sur ses fameuses "conquêtes", tout simplement que ce n'était plus ses affaires. Il n'avait pas jugé bien de t'en parler avant de l'apprendre par quelqu'un d'autre alors t'allais plus revenir la-dessus. Cody était un électron libre, il faisait ce qu'il voulait et toi, t'allais plus t'immiscer dans sa vie. T'avais même l'impression d'être de trop maintenant, m'voyez ?.
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Wouuuuuuuh, Diamantika râlait, ooooh. Là, Cody pourrait l’épouser sur le champ. Il aimait bien qu’on lui râle dessus, qu’on lui tombe dessus, qu’on l’agresse, ça devait être son côté à la Christian Grey. Ça devait être pour ça qu’il tombait sous le charme des filles qui n’étaient pas faites pour lui, genre Alaska, ou Alaskaka. Mais il chassa vite ses pensées, il ne voulait pas penser à cette peste. Dans tous les cas, il ne se laissait pas intimider par Diamantika, et ce n’était certainement pas parce qu’elle lui gueulerait dessus qu’elle répondrait. Elle a pris Cody pour un distributeur à snack ou quoi ? non nooon, ça ne marche pas comme ça. Elle précisa qu’elle était encore là uniquement parce qu’elle avait un dîner dans son champ de Kovaches, et donc elle répondrait à ses obligations avant de s’en aller vers une contrée lointaine. Il préférait ça plutôt que d’imaginer qu’elle restait là dans l’espoir que Cody retrouve la raison. Sauf qu’il l’avait retrouvé, il avait ouvert les yeux, et conclut que les filles qui l’entouraient actuellement n’étaient que poison. Qu’il fallait qu’il se concentre sur autre chose, comme sur le job incroyable qu’Andrew venait de lui offrir. Ça c’était cool, un bon centre d’intérêt, qui ne se foutrait pas de sa gueule ni ne lui briserait le cœur. « Cool, amuse-toi bien. » répondit-il en grimaça douloureusement, sentant peu un peu ses capacités analgésiques s’activer. Grouuur, il était si cassé que ça ? Heureusement que c’était les vacances hein. Et donc, elle lui demanda de nouveau ce qui s’était passé. Ah, c’était bien le truc de Dia, de flipper pour un rien, de chercher des problèmes là où il n’y en avait pas. Parce que c’est vrai, y avait rien. C’est juste qu’il avait trop bu et puis voilà, parfois ça dérape. « Il ne s’est rien passé d’intéressant. Ça ne te regarde pas. Maintenant, si tu veux bien m’excuser … » Il se redressa, enfin tenta, se rattrapant aussitôt car pris de vertiges. Oulalaa, il avait du mal à décuver, il avait l’impression que toute la Terre tournait autour de lui.
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"Cool amuse-toi bien". Oui pour quelqu'un en vacances qui retourne précocement à Cambridge c'était pour aller s'amuser évidemment. Tu préférais lever les yeux au ciel et ne répondre qu'un. « Yep... » Nah sérieusement ? T'avais une tête à vouloir t'amuser ? T'avais une tête à vouloir retourner à Cambridge pour t'amuser alors que vous étiez en Arizonna là ?. Franchement, bravo Cody ! Dans le genre dernier des imbéciles il faisait fort là. Mais de toute façon, tu ne pouvais pas communiquer avec un Bleeker en tort parce que si t'ouvrais la bouche pour dire un, il ouvrira la sienne pour en dire 10. C'était comme cela lorsqu'il savait qu'il gaffait, il se mettait rapidement sur la défensive pour ravaler ses excuses et ne laisser que des piques sortir comme une protection pour éviter que vous lui balancez des cailloux ou tout simplement, ses torts à la figure. Mais à un moment donné, il faut savoir aussi casser sa tête et arrêter de jouer aux hommes ultra forts et pratiquement inatteignable alors qu'on fond, il n'était rien de cela. Tu t'apprêtais à soigner son nez de Mario totalement amoché le pauvre nez nez, lorsqu'il répondit à ta question, enfin, si on pouvait appeler ça une réponse. Tu haussais les épaules en le laissant se redresser, quant à toi, tu rangeais ton matériel dans ta trousse parce que t'allais pas insister, non c'était impossible avec lui. Tu soupirais et en te redressant à ton tour pour partir, tu stoppais en fronçant les sourcils devant sa mine. Ben voilà, il aurait dû t'écouter, comme d'hab quoi. Tu secouais la tête de nouveau en posant tes mains sur ses épaules histoire de l'obliger à se rasseoir. « Ça va Bleeker, tu ne m'auras plus dans tes pâtes à compter de maintenant, j'ai compris, t'as gagné, j'avais trop d'espoirs et blablabla, alors écoute-moi une dernière fois et laisse-moi m'occuper de toi. T'es même pas en état de jouer les mecs forts là. T'arrives à peine à marcher. » Franchement, ce n'était pas la mer à boire, tu l'aidais, tu désinfectais ses blessures et puis basta la vie continuera et donc pas la peine de faire tout un drame hollywoodien pour ça.
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Alors ça, c’était typiquement Diamantika. À partir de maintenant tu m’auras plus dans les pattes, mais laisse-moi une dernière fois t’emmerder bien profoooond. Il le connaissait par cœur son refrain, ça voulait juste dire qu’elle trouvera toujours une excuse pour s’incruster dans sa vie, sous des multiples prétextes bidons. Il connaissait Diamantika comme si elle était sortie de son bide en fait. Il ne croyait plus un mot de ce qu’elle disait, pas plus qu’il ne croyait un mot de ce que disait toute la gente féminine. Il en avait marre d’être trompé, berné, moqué. Il avait cru arriver enfin au bout du tunnel, voir la lumière, un semblant de liberté, mais il avait juste foncé tout droit dans une cage et maintenant, il était temps pour lui de n’écouter que lui. Et même s’il savait que Dia n’était que bienveillance à son égard, il ne lui faisait pas confiance, même pas pour se faire soigner le pif par ses mains. Qui sait, elle aussi pourrait le poignarder dans le dos, c’est bien un truc de meuf avec un prénom en –ka. « Ne m’aide pas, OK ? Retourne à tes occupations, ne m’approche pas, je ne veux pas que tu t’approches ! » Il se leva du banc, et fit quelques pas, vacillant sur ses jambes qui se faisaient lourdes. Il mit les mains en avant, comme s’il était face à un velociraptor pas dressé du tout et qu’il devait l’apprivoiser par peur de finir en steak de Codynosaure. D’ailleurs, il n’était pas spécialement loin de cet état. « Je veux plus que tu m’approches, je veux plus qu’aucune de ton espèce ne m’approche, j’en ai fini, tu m’entends ? FINI ! Je suis fatigué, lassé, blasé ! » Le ton de sa voix grimpa, et il envoya valser d’un coup de bras la trousse à pharmacie et son contenu, dans une montée de rage. Y avait l’alcool qui jouait, mais c’est sa vie amoureuse qui le rendait totalement hors de lui. Il n’en revenait pas d’être tombé si bas, d’être devenu si con, d’avoir été aussi naïf sur toute la ligne. Lui qui s'était tant protégé, le voilà totalement désemparé.
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Vous voyez l'arnaque là ? C'est Cody qui trompe, qui berne, qui se comporte comme le dernier des enfoirés et après c'est lui qui fait la victime ? COKA ✮ Say Something... 3861440630 Nah, mais on aura tout vu avec ce mec. D'un coup là, il rageait et honnêtement ? Tu ne voyais pas très bien pourquoi il rageait. Non tu ne comprenais pas, tu lui donnais enfin ce qu'il voulait, c'est-à-dire que tu lui foutais la paix pour qu'il soit libre d'aller se taper toutes les nanas et le voilà qui rageait. Non tu ne comprenais absolument rien là. T'étais comme face à un homme qui ne saura jamais ce qu'il voudra. Après ce que tu avais entendu de ses journées à brouettes mouvementées, toi aussi t'avais plus confiance en lui. Oh que non, ce n'était pas toi qui avait flirté avec des mecs alors qu'il ne vienne pas te mettre dans le lot des filles qui n'ont rien à foutre de lui au final. Non, tu lui avais tout donné, absolument tout. Et ça, personne ne pourra le nier. Il te suppliait de ne pas l'approcher et tu restais dans ton coin en croisant tes bras sous ta poitrine. « Pourquoi t'es vénères à ce point ?. » Non parce que là, t'avais besoin de savoir ce qui ne clochait pas, t'avais besoin de voir ce qui ne tournait pas rond chez lui, c'était quoi cette façon de réagir ?. Tu le soupçonnais maintenant d'être plus que lunatique, changeant que lorsque ça l'arrange. « Mais pourquoi tu cries bon sang ! Cody pourquoi tu gueules !. » Surtout que là, tu fis un pas en arrière lorsqu'il balança ta trousse au sol. T'écarquillais les yeux parce que tu ne l'avais jamais vu dans cet état. Ouai, là tu avais peur, peur de lui. Et pour la première fois de ta vie, t'éprouvais pas ce besoin de l'approcher, là maintenant et toute suite, il te faisait peur. « Et tu crois que t'es le seul à être fatigué ? T'crois que j'suis un jouet dans tes mains ?. M'embrasser quand cela t'arrange et me déchirer quand tes pas content ? T'crois quoi ? Que je n'ai pas de cœur aussi ? Merde Cody ! J'suis en train de mourir à petit feu quand j'entends que tu... » Et là, c'était trop, t'en avais les larmes qui remontaient et tu te cachais le visage en levant légèrement la tête vers le ciel jusqu'à glisser tes mains dans tes cheveux presque humides. Ça faisait un putain de mal d'avouer qu'il flirtait dans son coin pendant que toi, t'étais là comme une conne à espérer qu'il te revienne. Tu respirais un bon coup, retenant le plus possible tes larmes. « Je te l'ai dit, que je t'approcherai plus et je ne me serai pas approchée ce soir si t'avais pas été dans cet état. Moi aussi j'suis à bout de force. » Et qu'il ne parle pas de confiance, parce qu'il était mal placé pour en parler. Mais oui, il verra bien, il sentira ton absence avec le temps et alors il verra que t'étais sérieuse. Déjà que depuis quelques jours tu l'évitais.
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Voyez le cerveau humain comme un baril de TNT. Immobile, il est inoffensif. Ce n’est jamais qu’une caisse au fond d’un entrepôt, pas de quoi s’exciter. Mais si vous tentez de le remuer, vous avez intérêt à faire attention. Mais ça passe encore, quand on le secoue gentiment, pas comme si tu faisais ton mojito dans un shaker. Mais alors, approchez une flamme, et là vous pourrez juste dire adieu à votre tête, votre corps, à tout. Le baril de TNT de Cody flirtait avec le soleil. Les rayons traversaient petit à petit et menaçait la stabilité du liquide explosif. Là, avec Dia, il côtoyait une source bien trop nucléaire pour lui, si bien que l’explosion ne tarda pas et les nerfs, à vif, transformaient Cody en une sorte de Hulk du désert. Et le pire, c’est le regard que lui lança son ex, comme si le monstre face à elle l’effrayait et, en fait, c’est la première fois qu’elle le regardait avec des yeux pareils. Et ça ne le plaisait pas. « Désolé, désolé, désolé … » Il mourait à petit feu chaque fois que des larmes parlaient sur le visage juvénile de Diamantika, si bien qu’il s’élança vers elle. Mais sur le chemin, il rencontre le banc et son genou tapa violemment contre ce dernier. « PUTAIN DE MERDE. PUTAIN. FAIS CHIER. PUTAIN. » s’écria-t-il en sautant sur un pied comme pour inhiber la douleur. OK, les vertus analgésiques de l’alcool se dissipaient peu à peu, signe qu’il fallait que Cody se remette à siroter vite fait bien fait. Mais il n’avait pas de bière sous la main mais une Dia qui chialait. Alors, désemparé, il s’approcha d’elle et tenta de la prendre dans ses bras, sans même se douter qu’elle serait tout à fait capable de lui coller une tatane en plein milieu de la figure. Et il l’aurait bien mérité. Plaintif, il fit ; « Calme-toi Dia, je t’en prie, calme-toi, j’veux pas te voir comme ça, j’en vaux pas la peine, j’vaux rien, j’vaux rien. » répéta-t-il, encore et encore. Et plus il enchaînait les merdes et plus on le laissait tomber, plus il le pensait. Il se remettait en question de fond en comble, sans parvenir à un projet de reconstruction concret. Il était une maison bâtie sur un terrain inconstructible et qui menaçait de s’effondrer et, malheureusement, même le meilleur architecte du monde ne pouvait faire quoique ce soit.
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