Invité
est en ligne
Invité
Gamin, voilà ce qu'il était. Et il te le prouvait encore maintenant là et toute suite en se bouchant les oreilles n'écoutant même pas ce que tu disais tout ça parce que t'avais raison et qu'il ne supportait pas qu'on lui dise les quatre vérités. Tant pis pour lui, tu les disais quand même jusqu'au bout parce que tu l'emmerdais profondément et qu'il n'avait rien à foutre sur le pas de la porte de ton chalet si c'était pour passer tous ses nerfs de mec en manque d'amour, sur toi. En vrai, t'aimais pas lorsque vous vous disputiez ainsi, t'aimais pas lui crier dessus et t'aimais pas vous éviter pendant des jours, mais c'était plus fort que toi et tu ne savais pas pourquoi. Toi-même tu ne comprenais pas, alors si toi-même tu ne savais pas, tu ne saurais quelle raison lui donner. Alors ouai, vaut mieux qu'il te fiche la paix, vaut mieux qu'il te lâche les baskets et comme ça, tu réussiras au moins à mettre toute cette histoire de côté et qui sait, l'oublier en passant. « A la base, tu ne devais même pas être là. » Bah quoi ? Ce n'était que pure vérité non ? C'était lui qui t'avait suivi alors que tu l'avais poussé pour avoir le passage afin de regagner ton chalet. Puis là, tu ne criais même pas. « Good night and sweet life !. » Ce n'était pas la première fois que vous vous disiez ça, so tu ne devrais pas avoir un petit pincement au cœur, alors pourquoi t'en avais un ?. Anyway, t'allais pas lui courir après parce que tu pouvais très bien te passer de lui, t'avais pas besoin de lui et t'avais pas besoin de vos parties de jambe en l'air pour survivre. T'avais même besoin d'aucun homme, tu faisais ce que tu voulais et ce n'était pas un Halberstam qui allait bouleverser ton train train. Alors, tu te retournais en fermant la porte à l'aide de ta jambe avant de te laisser tomber sur ton lit.
(Invité)