Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNon arrête, j'suis pas folle de toi ! ✮ LEO
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Non arrête, j'suis pas folle de toi ! ✮ LEO

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« Non, mais arrêtez vous n'êtes pas sérieux là !. » Dis-tu à l'intention de ta bande d'amis présents autour de ce feu de camp. « C'est soit ça, soit tu embrasses une chèvre des rocheuses avec la langue !. » Putain ! Qu'est-ce qui t'avais pris de jouer à un cap ou pas cap avec cette bande de fous ein ? Anyway, ton défi était de te faufiler dans un des chalets masculins je précise et de voler un boxeur que tu ramèneras comme preuve de réussite. Tu te facepalm toute seule en te levant et en regardant une dernière fois les copains, style yeux de chat potté. « Dégage MANU, va t'exécuter ! » Ok ok ça va ein. Toute façon, t'avais pas tellement envie de kisser une chèvre avec la langue, berkkkkk quoi et tes copains, ce sont des malades parce qu'ils sont capables de t'obliger à le faire en plus. Du coup, tu ne préférais pas trop t'attarder et puis voler un boxeur ce n'est rien. Au pire des cas, si le propriétaire t'attrape, tu pourrais faire semblant d'être totalement bourrée et d'avoir perdu ta culotte, d'où le fait que t'avais eu l'idée de venir emprunter un boxeur parce que ton chalet était un peu trop loin et que t'étais pas sûre d'y arriver dans cet état. OKEY n'importe quoi. Donc ouai, tu entrais peinard dans le premier chalet que tu croisais, ouvrant doucement la porte en mode une voleuse tandis que les lumières étaient éteintes. Apparemment, il n'y avait personne. Sooo, tu refermais rapidement la porte en allumant la lumière et en te dirigeant vers l'armoire. De temps à autre, tu regardais vers la fenêtre pour voir si personne ne venait et tu chopais enfin un boxeur que t'attrapais du bout des doigts en le tendant devant toi, loin de ton visage, loin de toi, toute grimaçante. Tu ne voulais pas toucher à ce truc, mais on t'obligeait. VDM. Quoi qu'il en soit, c'est en te dirigeant vers la porte, que celle-ci s'ouvra soudainement et...
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Lorsque Leo aperçut une silhouette féminine dans la chambre de son chalet, il eut une montée d'adrénaline, pensant d'abord que c'était bel et bien sa petite amie qui se trouvait ça. Mais rapidement, la déception se lut sur le visage du jeune homme jusqu'à en devenir une espèce de haine viscérale. Mais pourquoi et comment Manu pouvait-elle se trouver dans sa chambre là de suite à l'instant ? « Qu'est-ce que tu fais dans ma chambre avec un de mes boxers à la main Manu Francescov ? » demanda-t-il d'abord calmement tandis qu'il jugeait la scène. Mais c'était du grand n'importe quoi ! La brune avait cependant l'air aussi surprise que lui de ce qu'il devinait de l'expression de son visage malgré la pénombre. Sur le coup de l'énervement, Leo claqua la porte d'un geste sec, enferma ainsi Manu à l'intérieur de la pièce. Il respira profondément, oh la la, mais qu'est-ce qu'elle foutait là ? C'était de la pure provocation. Il ne voyait sa copine des vacances par contre son ex se débrouillait toujours pour revenir le provoquer. La danse c'était une chose, et même cette soirée avant de partir où il l'avait raccompagnée et qu'elle l'avait bloqué sur le lit, maintenant elle était dans sa chambre, Dieu seul sait en quelle tenue avec un de ses boxers aux mains. Elle tentait de lui faire passer un message ou quoi ? Le jeune homme finit par rouvrir la porte, ne prenant pas la peine d'allumer la lumière. Il se positionna dans l'embrasure de la porte avant de lancer sur un ton franchement plus énervé. « Je peux savoir en quel honneur tu t'es permise de violer mon intimité comme ça ? » Il la fusilla du regard avant de s'approcher d'elle et de lui arracher le vêtement qu'elle lui avait volé des mains. « Non mais pour qui tu te prends sérieux ? »
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« DOUX JÉSUS MARIE JOSEPH !. » Les yeux écarquillés, ce fut Le choc. Pitingggg dans tous les chalets qu'il y avait ici, fallait évidemment que tu tombes sur celui d'Halberstam. Non mais c'était quoi cette malchance qui te suivait depuis le début du summer camp là ?. Tellement que t'étais choquée, lorsqu'il claqua la porte, tu ne bougeas même pas d'un pouce restant telle une statuette. Leo te posa une très bonne question, mais au lieu de répondre, tu préférais fixer son boxeur que t'avais dans la main. « Je... » Mais attendez, il venait vraiment de claquer la porte ? La genre toute suite ?. Il était en mode Leo super vénère ou quoi ?. Ou alors c'est qu'il s'était disputé avec sa petite amie ?. Non sérieusement, il te cassait les tympans à crier de cette manière. Puis Leo et ces enchaînements de questions encore et toujours ein, non mais quand est-ce qu'il allait te laisser en placer une au moins ?. Il te fusilla soudainement du regard en se rapprochant de toi pour reprendre son boxeur. Peut-être qu'il voulait te faire peur en faisant ça, mais toi t'étais plutôt étonnée de la façon dont il t'agressait. Qu'il te laisse au moins t'expliquer avant de partir au quart de tour. « Ferme là un peu Halberstam ! » Tu te prenais pour personne, juste pour une fille tombée malheureusement sur le mauvais chalet voilà tout. « Tu me laisses en placer une oui ?. » Non parce que là, ça faisait trois questions en même pas cinq secondes vous voyez. « J'ai eu un gage et malheureusement je suis tombée sur le mauvais chalet. » T'avais pas besoin de lui expliquer le gage non ? Il venait de s'en rendre compte par lui-même. « Pas la peine de t'énerver, je partais de toute façon. » Nah mais ça va ein. S'il voulait passer ses nerfs et bien qu'il le fasse sur sa copine, ou au pire, sur un sac de boxe. Et pour sa gouverne, t'étais pas en petite tenue, juste en mini short marron et un haut à carreau bleu que t'avais attaché sous ta poitrine pour laisser voir ton nouveau piercing au nombril et surtout, ton nouveau tatouage sur ton pied, à côté de ta cheville, mais osef, il n'y avait rien de trooop sexy quoi. :siffle:
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De quel droit se permettait-elle de lui dire s'il avait le droit de crier ou pas ? Leo faisait bien ce qu'il voulait car il était chez lui, elle n'avait, elle, aucune raison de s'introduire chez lui de la sorte en pleine nuit. Surtout elle. Pas avec leurs précédentes altercations, pas alors qu'elle s'amusait à tenter de rendre leur relation plus compliquée qu'elle l'était déjà. Il n'en pouvait plus des engueulades à répétitions avec la brune, car chaque fois qu'ils s'en prenaient l'un à l'autre, le jeune homme avait la sensation qu'ils revenaient finalement l'un vers l'autre, qu'ils se sentaient obligés de se réconcilier. Et Manu aimait bien se montrer collante. En fait peu importe, avoir son ex dans les pattes posait soucis à Leo. Elle aimait semer le trouble, de plus il lui avait donné matière à l'emmerder, il n'avait pas forcément été délicat lorsqu'il lui avait balancé au visage qu'il n'avait eu aucun scrupule à la tromper tandis qu'il clamait haut et fort que ce n'est pas quelque chose qu'il ferait subir à son actuelle petite amie car il tenait à elle. Aussi lorsqu'il l'avait poussé à danser au risque de l'humilier, lui lançant remarque désobligeante sur remarque désobligeante, alors oui, elle avait des raisons de foutre la merde dans sa petite vie de petit garçon. « Ah ouais un gage ? Et je suis censé te croire. En même temps ça m'étonne pas, un truc aussi débile il n'y a que toi pour faire ça. » dit-il du bout des lèvres comme s'il lui proférait la pire insulte imaginable. Puis il la désigna d'un geste de la main. « Allez tu vas me faire croire que tu t'es habillée comme ça par hasard aussi ? » Sérieux comme il l'était rarement, il jugea utile de se rapprocher encore un peu de Manu. « C'est fini Manu j'en peux plus. » Il chercha son regard, histoire de lui faire comprendre qu'il ne rigolait pas, elle le connaissait assez pour savoir lorsqu'il avait fini de jouer. « J'en peux plus que tu t'introduises dans mon chalet, dans ma vie, je sais pas si tu fais ça intentionnellement ou pas et j'en ai rien à faire. Je peux pas croire que c'est le hasard, que tu te trouves pile dans mon champ de vision bien quand il le faut pas. Alors arrête, si t'es pas capable d'être mon amie, cesse de t'intéresser à mes boxers habillée en petite tenue. »
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Non mais il était sérieux là ? Il était vraiment sérieux ? Il croyait vraiment que c'était ton genre de voler des boxeurs, SES boxeurs ? Et puis quoi encore ?. T'avais voulu en placer une, mais il te coupa rapidement pour te faire une seconde remarque sur ta tenue. Alors là, c'était le comble du comble, il allait te faire croire qu'il ne savait plus comment tu t'habillais ? Il allait te faire croire qu'il ne savait plus que t'aimais bien montrer tes courbes ? Oh que non, il n'allait pas te faire croire tout ça. Ce ne sont juste que des excuses pour passer ses nerfs sur toi et t'avais rien demandé merde quoi. Il s'approcha de toi, mais tu reculais rapidement d'un pas. Non parce qu'après, monsieur était capable de rejeter la faute sur toi. Du coup, tu préférais garder une certaine distance. Et now, il acheva le tout par des propos complètement hallucinants. Il ne voulait plus de toi dans sa vie ? Comme si tu faisais exprès de croiser son chemin. Non mais il délirait complètement là, pas possible. « T'as terminé ?. » Dis-tu en croisant tes bras sous ta poitrine. Là toute suite, t'hésitais à lui en mettre une entre les jambes parce que les mots ne servaient à rien, il comprenait rien le mec. Soooo, lui arrachant son boxeur, tu lui attrapais son poignet de ton autre main. Où est-ce que tu le traînais ? Il verra bien tout seul. Une fois arrivée près de ta bande d'amis, tu balançais le boxeur sur l'un d'eux. « Voilà le boxeur ! » et tu te tournais vers Leo. « Et voici le propriétaire du boxeur qui me croit obsédée par lui au point de lui voler ses boxeurs. » Ouai osef des présentations et blablabla. « Ça va t'es content maintenant ?. » Oh et t'avais une petite chose à rajouter. « Si je suis habillée comme ça, c'est certainement PAS pour toi. Je n'ai absolument rien à foutre, mais alors rien à foutre de toi !. » Vraiment ? Pourquoi tu criais alors ?. Non mais il t'avait vraiment mise hors de toi à disjoncter de cette façon. « Et sache que je ne fais pas EXPRÈS de croiser ton chemin. T'sais quoi ? Moi aussi j'en ai marre. Ouai voilà, je dégage de ta vie et tu dégages de la mienne !. » Le pire dans tout ça, c'est que tes potes vous regardaient comme des zombies. « T'es juste qu'un con comme tous les mecs, en gros. » Tu tournais rapidement la tête vers les garçons du groupe. « Sans vous offenser messieurs. » Si le mather savait hausser de la voix, toi aussi tu savais le faire. « Oh et si tu t'es disputé avec ta meuf ou peu importe avec qui, ne viens pas passer tes nerfs sur moi OKEY !. » Sur ce, tu le poussais pour avoir le passage histoire de te rendre à ton chalet. Non mais on aura tout vu quoi.
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Il n'avait pas regardé la jeune femme tout du long de sa longue tirade. Quand il eut finalement terminé son petit discours, le jeune homme regarda son ex, visiblement consternée de s'être pris tout ça dans la figure sans avoir rien demandé. Sans qu'il ne puisse opposer une quelconque résistance, Manu entraînait Leo à l'extérieur du chalet jusqu'à un groupe de jeunes qui étaient les amis de la brune. Lorsque effectivement il sembla à Halberstam que son histoire de pari était la vérité, il fut soudainement gêné. « Oh excuse-moi de douter alors que tu te barres sans explication après une petite danse entre amis, t'es pas à l'aise avec moi, tu vas pas me faire croire que c'est pas parce que tu as une idée derrière la tête. Tu es toujours à l'aise avec tout le monde et là tu as rougi comme une adolescente ! Alors ouais j'ai des doutes ! C'est légitime non tu crois pas ? » Il jeta un vague regard aux potes de la jeune femme qui ne savaient pas trop où se placer. Il en reconnut même quelques uns qu'elle devait déjà avoir du temps où ils sortaient ensemble. Leo laissa échapper un rire, comment ils devaient se foutre de leur gueule, comment ils devaient le détester. Bah oui, il était lucide, on kiffe jamais trop le mec qui a trompé notre pote pendant six mois. « MAIS JE DEMANDE QUE CA ! » finit-il par crier, à bout de nerfs. Leo leva les yeux au ciel, excédé, oh ça va elle allait pas lui ressortir la carte du vilain garçon qui mérite de finir tout seul, elle l'avait suffisamment faite. Le jeune homme la suivait tandis qu'elle partait, cherchant toujours à gueuler plus puis ce fut la phrase de trop. Elle n'avait pas le droit de parler de sa copine, l'évoquer, c'était pas permis, il avait déjà du mal avec son absence pour permettre à son ex d'employer ce ton pour parler d'elle. « Pourquoi tu impliques ma copine dans l'histoire hein ? Tu vois t'es insupportable et t'es JALOUSE, voilà t'es jalouse, ça sonne comme une insulte quand tu parles d'elle ! »
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Heinnnnnnnnnnn ? Mais koaaaaaaaaaaa ? Tu rougissais ? Non tu ne rougissais jamais face un mec. Non mais où est-ce qu'il allait chercher ça oh god ! A moins que ce soit toi qui ne t'en rendais pas compte. Et par réflexe, tu posais tes mains sur tes joues en lui faisant de gros yeux. « T'sais ? Je savais que t'étais déjà fou, mais pas à ce point. Tu vis dans quel monde ?. Je n'ai jamais rougie pour aucun mec t'entends ? Ce n'est pas pour Leo Halberstam que je rougirai un jour. Et si je ne suis pas à l'aise avec toi, c'est parce que je te signale qu'on a jamais vraiment été potes okey ? Et puis...laisse tomber. » Non tu ne savais pas pourquoi tu prenais le temps de te justifier en fait. Tu ne rougissais pas un point c'est tout, qu'il arrête de jouer dans tes pensées, qu'il arrête de détourner ton cerveau. TU NE ROUGISSAIS PAS !.  « ALORS JUSTE CASSE TOI ! » Sauf que non, monsieur te suivait à la trace et ce n'est que lorsque tu zieutas par-dessus ton épaule, que tu le vis. WTF ?. Tu te mettais alors à marcher plus rapidement espérant le semer, mais il se cala juste à la porte de ton chalet tandis que tu t'apprêtais à la fermer. Et le voilà repartit pour parler de sa petite amie. Non mais t'avais rien à foutre oh. Du coup, t'essayais de le pousser pour qu'il dégage, mais il ne bougeait même pas d'un pouce. C'était toi qui bougeais comme un manchot au final. Awkward. « Mais putain Leo je m'en fous de tout ça, j'ai simplement supposé que si t'étais vénère à ce point pour passer tes nerfs sur moi, c'est que t'as dû te disputer soit avec ta meuf, soit avec quelqu'un d'autre. J'suis pas JALOUSE OK ! J'SUIS PAS JALOUSE !. » Et puis quoi encore ?. Il voulait te pousser à bout ou quoi ? Il voulait te faire dire ce qu'il voulait entendre ? Il voulait que tu lui donnes raison ?. Qu'il arrête, qu'il arrête ça et tout de suite. Il savait très bien que t'avais peur de personne, il savait très bien que t'étais capable de tout alors il devait arrêter de te pousser à bout parce qu'après, il ne pourra que s'en prendre à lui-même.
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Leo s'était déjà bien trop emporté pour revenir en arrière, il ne revenait jamais en arrière sur ce qu'ils pouvaient dire. C'était trop tard c'était sorti et il s'en moquait maintenant, il avait d'autres chats à fouetter que de savoir ce que Manu pouvait bien penser, de savoir si les insultes qu'il se recevait en pleine figure étaient justifiées ou non et si ce qu'il lui disait était la vérité ou s'il avait juste besoin d'un souffre-douleur. Le jeune homme suivit sans le vouloir la brune qui partait en direction de son chalet tandis qu'elle répondait avec véhémence aux accusations que Halberstam avait jetées à son encontre sous le regard médusé des amis de la jeune femme. Elle lui tapait sur le système pour de bon, bon alors si elle n'était pas jalouse, si ce n'était pas un problème d'hormones, pourquoi elle partait pas comme elle l'avait dit ? Ah oui c'est vrai qu'il l'avait suivi et qu'il ne lui laissait pas vraiment le choix. S'il avait d'abord tenté de lui bloquer le passage pour pas qu'elle ne s'enfuie dans le chalet sans lui avoir donné une bonne raison de ne plus lui parler, Leo lui laissa finalement le passage libre. Le jeune homme reprit d'un ton froid et calme, c'était trop facile pour elle lorsqu'il s'énervait. « Puisqu'il est évident qu'il est impossible que nous soyons amis un jour je propose juste qu'on fasse comme avant, on s'ignore, ça marchait très bien comme ça, ça était une erreur de penser qu'on pouvait de nouveau bien s'entendre. Alors crois bien ce que tu veux. Fais ce que tu veux, mais la prochaine fois avant de rentrer dans un chalet pour voler un boxer, assure-toi que c'est pas le mien. Assure-toi de me lâcher les baskets, c'est clair ? »
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Tu n'arriveras jamais à comprendre les hommes, en fait non, t'avais des hommes qui savaient ce qu'ils voulaient et t'en avais d'autre comme Halberstam qui n'en savait rien, mais alors rien du tout.  De toute évidence, c'était lui que tu ne comprendras jamais. T'étais pas là pour lui courir après, t'avais pas demandé au ciel de le croiser chaque fois que tu ne le désirais pas, t'avais même rien demandé et il te tombait dessus à chaque fois. Alors non, c'était trop facile de te demander de lui lâcher les baskets alors que c'était ce que tu tentais de faire depuis que t'avais appris qu'il avait une copine. T'essayais de l'éviter au maximum, mais tu tombais toujours sur lui et t'en avais absolument rien demandé. La dernière fois encore, c'était lui qui t'avait cherché pour une danse, alors qu'il ne se cache pas derrière des excuses bidons. Qu'il ne cache pas qu'ils ne pourront pas être potos parce que c'était beaucoup trop compliqué entre eux, il n'y avait pas longtemps, ils couchaient ensemble. Encore aujourd'hui, c'était lui qui te suivait à la trace et c'était encore lui qui te demandait de lui lâcher les baskets. Et puis quoi encore ? Il comptait te coller tout le temps la faute pour cacher la sienne ?. Okey, mais ça ne marchait pas comme ça avec toi, t'étais pas du genre à te taire et ce, même si t'étais en face de monsieur Leo Halberstam. « T'es gonflé toi !. Tu parles d'une possible amitié alors que tu m'agresses sans même demander ce qui s'passe, tu me traites de jalouse sous prétexte que t'as une nana, tu m'accuses de mettre des vêtements sexy pour toi et puis quoi ? Tu vas m'accuser d'être tombée amoureuse de toi ? » Tu fronçais les sourcils en croisant tes bras sous ta poitrine. « Redescend sur terre, me colle pas toujours la faute au dos okey !. Puis je n'ai même pas demandé de croiser ton chemin et je ne sais même pas pourquoi tout me ramène à toi, je ne sais même pas pourquoi je me retrouve toujours sur ton chemin alors que je tente malgré tout de rester loin, trèsssss loin. Tu me demandes de te lâcher les baskets ?. Commence par lâcher les miennes d'abord parce que là, je te signale que c'est toi qui m'a suivie. » Non mais ça va, s'il avait besoin d'un souffre-douleur sur qui passer ses nerfs quand ça n'allait pas, t'étais pas la bonne. Il connaissait bien ta grande gueule et donc t'étais pas le genre de nana à te laisser marcher sur les pieds comme ça.
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Et voilà qu'elle se lançait dans un logorrhée, sauf qu'en réalité il n'y avait rien à comprendre. Enfin si, elle avait déjà tout comprit. Leo était seul, Leo en avait marre d'attendre le retour d'une petite amie qui ne revenait pas, Leo avait besoin de se défouler et désolée pour elle mais Manu était tombée au mauvais moment. Finalement, pour une fois il accordait à la jeune femme qu'elle avait raison, c'est déjà pas mal non ? Le jeune homme écoutait son ex déblatérer ses arguments, alternant ricanements moqueurs, yeux au ciel, soupirs et croisements de bras dans l'espoir de lui montrer combien il en avait rien à faiiiire de ce qu'elle pouvait bien raconter. Même qu'à un moment il se boucha les oreilles le plus puérilement du monde pour lui montrer qu'il se moquait bien de ce qu'elle pouvait raconter. Quand elle sembla enfin se taire – il était temps il avait les tympans bon à être changés – Leo souleva un sourcil avant de dire du bout des lèvres. « C'est bon tu as terminé ? Je peux partir ? » Non parce qu'il faut arrêter les conneries au bout d'un moment, tout ça lui semblait bien clair : ils étaient amis, ils se prenaient la tête, ils n'étaient plus amants, il n'était pas amoureux, elle non plus, aucun lien de parenté qui les obligeraient à faire les hypocrites pendant un repas de famille, aucun enfant à charge qui les reliait, donc plus aucune raison de se revoir ? À moins que le prochain défi que lui donnent ses abrutis de potes soit d'aller chercher la petite culotte de Calypso, ou bien qu'elle doive prendre un selfie avec lui pendant qu'il dort ou une autre idée tout aussi débile. « Je te souhaite une bonne nuit Manu et à jamais ! » dit-il en tournant les talons, courant presque jusqu'à son chalet.

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