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C'était réel ? J'étais bien entrain d'embrasser Raphael prête à coucher avec lui ? Faut croire que oui. Je pensais vraiment pas que ça arriverait un jour mais nous voilà entrain de succomber. J'savais pas quoi penser, de mon côté j'étais certaine que c'était quelque chose que je voulais depuis longtemps maintenant, parce que j'ai clairement toujours été amoureuse de lui mais de son côté.. Je comprenais pas. Il s'était toujours comporté comme un ami avec moi, limite comme un frère alors forcement ça m'étonne que la situation dérive de cette façon. Mais d'un certain côté ça me plais et j'ai surtout pas envie que ça s'arrêt. Je l'avais ensuite vu avoir un peu de mal à enlever mon soutiens-gorge et finalement il réussit pour ensuite glisser au dessus de ma personne. Je venais alors prolonger assez fougueusement en venant glisser ma main dans ses cheveux que je serrais entre mes doigts quand il revint m'embrasser, ça se voyait dans nos gestes que c'était sincère et que c'était pas du sexe pour du sexe, je pense que tout le monde était capable de voir qu'on était fou l'un de l'autre mais nous on est malheureusement pas assez intelligent pour s'en rendre compte alors que la réalité est juste devant nous. Je le sentais vraiment désireux de ma personne et c'était aussi mon cas, je sentais la température montait de plus en plus et la seule idée que j'avais en tête c'est que je le voulais et vite. Je mordais alors le coin de ma lèvre assez fort en le sentant embrasser plusieurs partie de mon corps tout en frémissant doucement, il me faisait un effet de malade et j'avais l'impression qu'avec lui chaque parcelle de ma peau était devenue un point sensible. J'ai toujours tout moi. Dis-je d'un petit sourire en coin alors que je décalais ma main pour ouvrir le tiroir de la commode près de mon lit pour ensuite y sortir une capote, bah oui c'est les vacances et je profite plutôt bien donc faut toujours en avoir haha. Je venais alors lui donner mais je me pressa à nouveau pour revenir embrasser ses lèvres un peu plus sauvagement cette fois alors que l'une de mes mains se glissait le long de son torse pour ensuite arriver à son boxer que je lui enleva directement sans pour autant lâcher ses lèvres, maintenant que j'y avais goûtée j'étais simplement plus capable de les lâcher.(Invité)