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phoenix & leevymise en page par mad love Mon fils me manque énormément, sa petite bouille de chaton me manque, c'est pourquoi j'ai décidé de quitter le summer camp pendant une quinzaine de jours pour le retrouver. Cela tombe bien puisque ma soeur m'a envoyé un sms pour parler affaires, ça ne m'étonne pas d'elle. Le vol s'est passé rapidement, même si j'étais entouré de blaireaux, comme d'habitude, il y a des cons partout. Bref, je monte dans un taxi, voulant faire la surprise à mon fils. Les lunettes de soleil sur mon nez me donne un air assez mauvais, et m'évite de tuer ce chauffeur qui me parle de la vie de ses poules.. Mais qu'est-ce que j'en ai a foutre moi ? « Vas-y tu sais quoi, tais-toi ? Je veux juste que tu me conduises chez moi, tu iras voir tes poules pour faire le coq après ! » Le chauffeur me regarde et je soupçonne de la méchanceté, je lui souris rien que pour me moquer. Mais au moins, il ne dit plus rien jusqu'à la fin du trajet. Je ne prends pas la peine de sonner, et j'entends déjà les aboiements de mon chien, suivit de ses coups de lèche sur mon visage. Je lui caresse le sommet du crâne avec tendresse. Et là, je le vois enfin, il marche en face de moi. Je me baisse et lui tends les bras pour qu'il puisse venir s'y nicher. Et pendant cinq minutes, je le berce comme un bébé. Il m'a manqué, trop même. Je le relâche alors et le regarde, toujours aussi beau, comme son père. Je lui fais un baiser et regarde mes gouvernantes, je leur fais un sourire, et leur demande si tout se passe bien. Elles me répondent que oui, qu'elles sont allées au zoo avec le petit et qu'il a adoré les éléphants et les singes, je souris comme un crétin. Ne voulant pas perdre de temps, je fonce dans ma voiture direction Leevy. J'installe mon fils dans la voiture, et nous sommes partis. Sur la route je tombe dans les bouchons, ce qui fait que je roule à l'allure d'un escargot, tout pour m'énerver, mais j'ai retrouvé Liam, et rien que le fait de le voir ça me fait plaisir. Je me gare une fois arrivé chez Leevy. Je sonne à sa porte, elle a peine le temps d'ouvrir que je la serre dans mes bras, gardant tout de même la main de mon fils. « Putain ça y est, tu ressembles à une vache ! » Je lui fais un sourire, même si je sais que ma remarque ne lui plait pas. Je relâche ma soeur, et fais quelques pas dans sa demeure. Je me tourne vers elle et lui dis « Il n'est pas là ton porc ? » Je me reprends rapidement et dis pour rectifier « Non c'est bon, je plaisante, comment tu vas ? »
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