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Aïe Caramba ! ► Oksanna

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Marchant tête baissée, le regard fixé sur mon portable tandis que mes doigts tapotaient sur le clavier, je ne me rendais plus compte de ce qu'il y avait aux alentours, une baston ne se serait même pas faite remarquée. En effet, j'étais plus qu'occupé à cet instant, écrivant des messages en inconnu pour ensuite les envoyer à des personnes dont j'avais réussi à avoir le numéro et qui seraient peut être intéressé par de la lingerie. Cette lingerie je l'avais volé à ma victime favorite, à celle que je maltraitais plus que tout au monde : Oksanna, une fille de richoux qui ne valait pas grand chose mais assez pour que je l'emmerde. L'autre jour, de la bouse avait été déposé par mes soins dans son lit, elle était sorti comme une furie et tel un ange, je lui avais proposé de nettoyer la merde. Elle ne se doutait nullement de mon petit jeu, me poussant à en profiter un peu plus chaque jour, à l'humilier avec des idées plus saugrenues les unes que les autres, la dernière étant de vendre ses culottes. Elles avaient été volées lorsque je nettoyais son lit, il n'y avait personne et le tiroir était juste en face de moi, rater une occasion pareille aurait été stupide ! Voilà pourquoi je me retrouvais maintenant, en direction du terrain de basket, une culotte à la main avec marqué le prix à l'intérieur – selon les culottes, le tissu le prix baissait ou augmentait. Message envoyé. Je souris tout en relevant la tête, espérant bientôt arriver au lieu de rendez vous pour y voir l'acheteur. Malheureusement, une autre silhouette apparut : celle d'Oksanna, la femme que j'espérais voir le moins au monde là tout de suite. Profitant du fait qu'elle ne m'ait toujours pas vu, je changeais de direction, me tournant vers la droite, aller dans le sens inverse aurait été trop étrange. Pourvu qu'elle ne grille pas, qu'elle ne se retourne même pas vers moi.
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Ce matin j'avais sacrément la tête dans le derrière en me réveillant. J'avais oublié de fermer les rideaux de la fenêtre de ma chambre et c'est les rayons du soleil qui m'ont tirée hors du sommeil. C'est quelque chose dont j'ai horreur. Me faire réveiller par la luminosité du jour. Je trouve qu'il n'y a rien de plus violent et désagréable de bon matin. Ou midi, tout dépend de l'heure à laquelle je me lève. C'est pour ça qu'en sortant du lit, j'ai pas fait attention et ai mit mes tongs alors que je portais déjà des chaussettes à mes pieds. C'est ridicule mais tant pis. On est dans un camping pas vrai ? On fait pas gaffe à ce genre de choses. Après avoir pris mon petit déjeuner, je me dirige hors de mon chalet pour aller me balader quelques minutes histoire de me réveiller. J'ai des lunettes de soleil sur le nez afin de ne pas trop être éblouie par ce fichu soleil qui tappe depuis presque un mois maintenant. Elles sont tellement opaques que j'hésite quelques secondes lorsque je pense reconnaître Blake au loin. Je vois que la personne en question dévie vers sa droite et donc ma gauche et baisse un peu mes lunettes afin de vérifier qu'il s'agisse bien de lui. Et j'avais raison. J'essaye donc de le ratraper mais j'ai un peu de mal car il avance sacrément vite. Je décide de prendre un racourcis, ou du moins je pense que s'en est un car je ne me rends pas compte qu'il y a une vitre en plein milieu, que je prend en pleine face. Je peste quelques secondes, le temps que la légère douleur passe, puis reprends ma course. Puis par je ne sais quel miracle, je tombe juste nez à nez avec Blake. « Tiens, salut ! » je lui lance enjouée. « Je t'ai vu de loin tout à l'heure alors je me suis dit que je pourrais te faire coucou. » je lui explique. Je sais que c'est pas hyper pertinent dans une conversation mais ça fait toujours plaisir de voir que les gens sont contents de nous voir. Enfin je suppose car c'est pas trop mon genre en général.

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« Tiens, salut ! » me lança Oksanna, m'ayant rattrapé et se trouvant maintenant en face de moi, après s'être magistralement prise une vitre, m'arrachant ainsi un petit rire. « Je t'ai vu de loin tout à l'heure alors je me suis dit que je pourrais te faire coucou. » continua-t-elle toujours aussi enjouée, me prouvant ainsi que je n'étais pas encore démasqué, mon plan tenait toujours la route. Ce que les femmes pouvaient être idiotes parfois, Oksanna devait être tellement hypnotisée par mon regard qu'elle n'avait même pas remarqué la culotte que je tenais dans les mains, enfin, si ça se trouvait, elle l'avait vu mais n'avait pas réalisé que c'était une des siennes. Quoi qu'il en soit, je ne devais pas me faire griller maintenant, il fallait que je parte, sans attendre. Si l'acheteur arrivait et me rejoignait alors qu'Oksanna était en train de me parler, tout était fichu. Là tout de suite, j'avais peur pour ma vie. Heureusement elle voulait juste me faire 'coucou', je décidais de jouer sur les mots pour partir. « Coucou » lui répondis-je alors, accompagné d'un sourire si petit qu'il en était à peine visible, avant de passer à côté d'elle pour continuer ma route, espérant faire un peu plus que deux pas avant qu'elle me rattrape. Pitié Oksanna, laisse moi aller ailleurs que sur ce terrain, si tu tiens à notre amitié, continue d'être aveugle et de ne pas voir cette satané culotte. La culotte, il fallait que je la cache, ou, au moins, que je trouve un mensonge crédible. Presque sans réfléchir, j'enfonçais la culotte dans mon bas, pas dans ma poche, mais juste entre mon short et mon caleçon. Ce geste devait paraître bizarre lorsque l'on me voyait de dos mais, tant pis. Je n'avais pas le choix, pourvu juste que la culotte ne tombe pas du short.
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Je m'attendais à ce que Blake soit un peu plus enthousiaste envers moi. Je sais qu'on est pas spécialement très proches et qu'on ne se connait pas depuis bien longtemps, mais il avait eu un comportement tellement attentionné la dernière fois que nous nous sommes croisés. Il s'est de lui même proposé pour nettoyer ma chambre après que quelqu'un l'ait saccagée, sans que je ne lui demande rien. J'avais même refusé au départ. Alors quand je l'ai croisé quelques minutes plus tôt, je me suis dit que ce serait la moindre des choses d'aller le saluer, prendre ses nouvelles. En général je ne vais pas comme ça chez les gens s'ils ne m'ont pas vue, mais j'ai fait exception, en guise de reconnaissance. Mais Blake ne fait que me saluer d'un faible sourire avant de me contourner afin de continuer sa route. Je fronce les sourcils, ne comprenant pas pourquoi il était distant, limite froid envers moi. Je m'apprête à le rappeler, lui demander si ça va, bref tout ce qu'il faut pour entamer une conversation, mais je reçois un message. Je sais pas d'où il vient car il est envoyé en inconnu, un peu comme une publicité qu'on reçoit sur son portable. Sauf qu'en général j'en reçois jamais alors j'y jette un coup d'oeil intriguée. Et je vois qu'il s'agit d'une vente de culottes. Genre, MES culottes. Il n'y a pas écrit mon nom dessus, mais c'est dit "Culottes neuves d'une Eliot". Or je suis une Eliot, puis je me souviens que j'avais pris avec moi quelques sous-vêtements fraîchement achetés. J'hallucine sérieusement. Je suis sûre que c'est l'autre connard de l'autre jour qui recommence à me jouer des tours. C'est infernal et je sais qu'une fois démasqué, je n'aurais aucune pitié pour lui. Mais du coup, je sais pas trop quoi faire là. Si ça se trouve tout le camping a reçu ce message à la con. Je cours donc vers Blake et l'attrape par le bras pour qu'il se tourne face à moi. « Blake ! Dis, est-ce que tu as aussi reçu ce message ? » je lui dis en lui montrant l'écran de mon téléphone. Je fait attention à ce que personne d'autre ne m'entende ou ne voie le message, sait-on jamais. « Il s'agit de mes souvêtements ! Regarde, Victoria's Secret, Etam, Princesse TamTam, Passionata, Andres Sarda, RougeGorge, Rose, Rigby and Peller, Sarrieri, Barbara ... C'est tout ce que je me suis acheté pour venir ici. » je lui cite, prouvant que tout cela m'appartient bien. Ça m’embarrasse un peu de lui montrer ça car c'est hyper personnel comme truc et qu'il ne s'agit pas non plus de culottes petit bateau. Mais vu qu'il est le seul pour le moment à être au courant pour les bouses dans ma chambre ... Puis en baissant à nouveau mon regard vers mon écran, je vois que quelque chose est tombé de son short. Je n'ai pas besoin de me pencher pour qu'il qu'il s'agit d'un sous-vêtement. Drôle de coïncidence. « C'est quoi ça ? » je lui demande agacée. Je veux pas qu'il me dise qu'il s'agit d'un culotte, mais plutôt comment elle est arrivée là et d'où elle vient.

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Oksanna me retient, m'obligeant ainsi à lui faire face, que voulait-elle encore ? Cela m'agaçait plus que tout car j'avais prévu autre chose de ma journée que de faire tourner en rond ma victime. Pensant qu'elle me demanderait pourquoi je l'avais à peine salué, imaginez ma surprise quand elle me montra l'écran de son portable, le collant juste devant mon visage, me permettant ainsi de lire le message. Quel con j'étais. Pour vendre ces culottes, j'avais envoyé des sms à tout ceux dont j'avais le numéro, même ceux à qui je n'avais plus parlé pendant un moment, bien sûr tout ça avait été fait en inconnu pour ne pas faire griller, au cas où une amie d'Oksanna voyait le message et lui montrait. Mais comme un boulet je l'avais envoyé à la victime en question, oubliant de mettre de côté son numéro. Heureusement sa question me prouvait qu'elle ne se doutait de rien. Sortant alors mon portable, je pris un air désemparé pour lui annoncer : « Non, j'ai pas reçu ce message.. La personne ne doit pas avoir mon numéro.. C'est quand même bizarre comme message ». Mais le pire restait à venir, en sortant mon portable, la culotte était tombée de mon short. Ne baisse pas le regard, Oksanna, je t'en supplie. J'avais une chance qu'elle ne le remarque pas, trop obnubilée par le fait que ses culottes étaient à vendre. Mon air désemparé se changea en air de pitié lorsqu'elle énuméra toutes les marques de ses petites culottes, il fallait que je passe au plan B. Sale gosse de riche qui a un nombre inimaginable de culottes, nous, on se démerde avec juste quelques caleçons pendant la semaine. Occupé à l'insulter dans mon esprit, je ne remarquais pas que son regard se posa sur la culotte par terre. « C'est quoi ça ? » C'est quoi quoi ? Me demandais-je, suivant son regard pour tomber sur la culotte. Oh merde. Plan B d'urgence, c'était parti. Ramassant le sous-vêtement, je lui montrais : « C'est une culotte Oksanna » avouais-je alors, exécutant la première partie de ce nouveau plan. « Je l'ai trouvé dans les mains d'un mec qui venait de l'acheter, prends moi pour un pervers mais je voulais juste m'assurer que ce n'était pas celle d'Elysia. » continuais-je faussement embarrassé. Lui tendant sa culotte, je lui dis alors : « Mais bon vu que tes culottes sont apparemment à vendre et que celle là ait été acheté, elle doit sûrement être à toi. »
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Je sais que Blake n'y est pour rien dans cette histoire, en tout cas de ce que j'en sais, mais sa première réponse me fait hausser les yeux au ciel et soupirer d'agacement. Oui, merci, je pense que j'avais vu que c'était une culotte. Quelle perspicacité. Ce que je veux réellement savoir, c'est ce qu'elle fait là. Pourquoi ma culotte est-elle tombée de son short ? Qu'est-ce qu'elle y fichait bon sang ? J'ai bien conscience de mon manque de patience, mais il faut admettre que cette situation est quelque peu déconcertante. Je reçois un sms d'un inconnu, qui dit qu'il vend des culottes, mes culottes, puis je tombe sur Blake avec l'une d'elles. Il aurait beau ne pas savoir qu'elles m'appartenaient, je trouverais ça très étrange de sa part de voir qu'il est intéressé par ce genre de marché. Même si en fin de compte, chacun fait ce qu'il veut hein. Tant que ça n'implique pas mes sous-vêtements, je suis une personne assez tolérante. Il m'explique alors qu'il l'a trouvée dans les mains d'un mec, d'un pervers et qu'il l'a prise seulement pour s'assurer qu'elle n'était pas à Elysia. Sa copine probablement. J'arque un sourcil, suspicieuse. Il a l'air assez embarrassé et sincère. Je décide donc de croire à son histoire. Puis comme je l'ai dit, si c'est son délire ce genre de trucs, pourquoi pas. Il avance ensuite que celle en sa possession doit sûrement être la mienne. « En effet, elle m'appartient. » je répond en la lui prenant, sans même attendre qu'il me la tende pour me la rendre. C'est bon à la fin, c'est à moi, j'en fais ce que je veux. « Au moins tu peux être soulagé, elle n'appartient pas à ta copine. » je lui réponds avec ironie. Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Mais bon, cela reste parfaitement compréhensible, je ne vais pas lui en vouloir pour si peu. Autant orienté toute ma colère et ma rancoeur vers le vrai coupable dans l'histoire. Le taré qui s'est amusé à voler mes sous-vêtements et à les mettre en vente dans le camping. « Tu ne sais pas qui était ce pervers ? Ou à quoi il ressemblait ? » je lui demande alors. Je suis pas mal déterminée à mener mon enquête tout de suite, maintenant que j'y suis. Autant récolter le plus d'informations. Ne fut-ce qu'une couleur de peau, de cheveux, une taille. Forcément j'aimerais un nom, mais je pourrais me contenter d'une description physique. Je me vois déjà essayer d'effectuer un portrait robot. D'ailleurs maintenant que j'y pense, les empruntes de ce fou doivent sûrement se trouver dans la culotte que j'ai récupéré. Je me dis que la police pourrait éventuellement prendre le relais, ou au moins m'aider à mettre la main sur mon harceleur. Car il s'agit bien de harcèlement. Cela fait maintenant deux fois que cette personne s'introduis dans ma chambre, c'est une effraction et de l'acharnement.

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Oksanna m'arracha la culotte des mains, sans même un merci, ayant apparemment hâte de récupérer ce que je lui avais volé. Elle ne semblait pas se douter de quoi que ce soit, ou en tout cas, elle ne me faisait pas part de ses suspicions si elle en avait, ce qui me réconforta, mon plan n'étant donc pas fichu. Quelques fois je me félicitais d'être un si bon menteur, en même temps je n'avais pas manqué d'exemples dans ma vie, apprenant à mes dépends que l'honnêteté ne fera jamais avancer quiconque dans ce monde de merde. Regardez, il suffisait de prendre les riches qui se faisaient de l'argent sur le dos des pauvres, qui les surexploitaient et prétendaient à l'égalité dans ce monde. En somme, il suffisait de prendre les parents d'Oksanna, fille gâtée. Mais, malgré cette rancune, une partie de moi voulait apprendre à la connaître, intrigué par un tel comportement. Elle me faisait confiance, était gentille avec moi alors qu'elle me connaissait à peine, pourquoi ? Personne ne lui a jamais apprit à se méfier des inconnus ? Il fallait croire que non, étant donné qu'elle ne semblait pas se poser de questions sur ma sincérité, me disant que je pouvais être soulagé car elle n'appartenait pas à ma copine. Elysia ? Ma copine ? C'était un bien grand mot. En vérité, j'avais juste sorti le nom de la première femme qui m'était apparu en tête et, Elysia hantant mes pensées ces temps-ci, elle s'était donc retrouvée en tête de liste. Fronçant les sourcils, agacé, je rétorquais : « Elysia n'est pas ma copine. Elle est juste.. ». Juste quoi hein ? Je n'avais aucun mot pour définir notre relation pour le moins spéciale. « ...quelque chose » finis-je par ajouter, ne sachant pas trop quoi répondre. Heureusement Oksanna changea de sujet, se renseignant sur l'apparence du coupable. Les sourcils toujours froncés, je n'avais pas de réponse à lui donner étant donné que le coupable n'était personne d'autre que moi-même. Soupirant, je soutenais alors le mensonge raconté plus tôt : « J'en sais rien, je suis pas tombé sur le voleur mais sur un acheteur. En tout cas c'est ce que le type qui avait la culotte m'a dit, presque sur le point de se pisser dessus ». Un sourire en coin se dessina sur mon visage, laissant le plaisir à Oksanna d'imaginer pourquoi il avait si peur, de visualiser la scène fictive : moi menaçant un pervers.
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J'observe Blake face à moi, tentant de m'expliquer ce que représentait cette Elysia pour lui. On peut dire que ça a l'air sacrément compliqué entre eux. A moins que ça ne soit justement trop simple pour qu'il ne sache ce que ça veut dire. Parfois, on a beau avoir l'évidence en face des yeux, on continue à se poser des questions, à tout remettre en cause. Faut pas chercher à comprendre, les Humains ont tendance à se compliqué la vie, particulièrement lorsqu'il s'agit de relations avec d'autres Humains. J'ai moi-même été très stupide quand j'ai été face à une telle situation. J'ai fichu en l'air ma relation avec Misha parce que j'était pas capable de mettre un mot sur ce que je ressentais pour lui. De la fierté et de la peur, voilà mes grandes faiblesses. J'espère donc que Blake ne fait pas les mêmes erreurs que moi. Ce serait dommage qu'il passe à côté de quelque chose qui pourrait être beau. Mais je ne me permets pas de lui donner le moindre conseil ou de s'immiscer dans sa vie privée. Je le connais pas assez pour ça, puis j'admets considérer mon soucis un peu plus préoccupant et urgent. En effet, je suis littéralement victime de harcèlement depuis plusieurs jours et cela commence à prendre une ampleur qui ne me rassure pas du tout. C'est vrai quoi. Me voler mes culottes pour les revendre, ça relève de la folie. De la perversion. J'essaye donc d'avoir le plus de renseignements possible de la part de Blake, qui a été vraissemblablement en contact direct avec un potentiel suspect. Mais le blond m'explique qu'il n'est pas tombé sur le voleur, mais plutôt un client. Franchement, ça me dégoûte à l'idée que des tarés puissent poser les mains sur ma lingerie. C'est pas comme si cette dernière était destinée au tout public ... Je soupire alors de découragement. Mon enquête n'a donc pas vraiment avancé pour le moment. A moins que je retrouve le client en question et qu'il me mène jusqu'au vendeur. Mais j'ai pas l'impression qu'il me sera d'une grande aide. « Tu aurais dut lui demander qui la lui avait vendu, avec ta grosse voix. » je réponds, déçue qu'il n'en ait pas eu le réflexe. C'est fous ce que les garçons peuvent être heureux s'ils voient qu'ils font peur à quelqu'un. Typiquement masculin. « Je devrais peut-être aller à la police. » je finis par dire, défaitiste. « Et mettre fin à mes études en quittant Harvard. Je vais pas pourquoi retrouner en cours si tout le campus a vu mes culottes. » C'est vrai quoi, tout le monde peut mettre la main sur mes sous-vêtements depuis que l'autre taré a envoyé ce sms.

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Oksanna lâcha un soupir à ma réponse, visiblement déçu de ne pas avoir plus d'indices ou tout simplement, de ne pas avoir attrapé le coupable. Personnellement, cela m'arrangeait qu'elle ne me demande pas plus, m'évitant ainsi de m'enfoncer dans mes mensonges. Elle me reprocha cependant de ne pas lui avoir demandé, sous entendu menacé, avec ma 'grosse voix', ce qui eut pour effet de m'arracher un sourire, imaginant très bien la scène : moi tentant de retrouver un coupable qui n'était autre que.. moi même. Tout cela faisait quand même carrément schizophrène. Mais Oksanna, elle, avait vraiment l'air de mauvaise humeur, découragée car son enquête avançait peu, voir pas du tout. Dans un sens, je me sentais un peu mal pour elle, être harcelé ainsi n'était pas une partie de plaisir. Non. Je n'avais pas droit de compatir, pas maintenant alors que j'étais si proche du but, de la faire craquer, il suffisait de regarder son visage, son air désespéré. Il fallait que ça continu, que je reste sans cœur, niant tout mes sentiments. Cependant, la panique prit possession de moi lorsqu'elle parla de mettre la police au courant, harceler quelqu'un étant un crime. Elle voulait vraiment aller voir les flics pour une petite histoire comme ça?! Ruiner toute la scolarité d'un étudiant ? Mais merde je n'allais lui gâcher que quelques mois de sa vie, pas des années ! Quelle peste. « Et mettre fin à mes études en quittant Harvard. Je vais pas pourquoi retrouner en cours si tout le campus a vu mes culottes. »  finit-elle, comme si ceci était son dernier recours. Étrangement, mon cœur se serra à ces mots, comme si ne plus la voir à Harvard me ferait de la peine alors qu'au fond, c'était ce que j'avais chercher à faire depuis le début. « Ne pars pas. » lâchais-je, non comme un ordre comme un service. Je ne voulais pas qu'elle parte, qu'elle laisse tomber sa scolarité à cause d'une blague stupide. « Peu importe si des personnes ont vu ta culotte, si une seule rumeur se propage, je m'occuperais de celui qui l'a lancé, promis. Mais fuir ne servira à rien, au final, si tu fais ça, le mec qui te harcèle aura gagné ! »
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Je suis une personne très impulsive et sensible, alors forcément je suis complètement abattue quand il m'arrive un truc pareil. Quand je découvre que quelqu'un dans ce camping se donne tout le mal du monde pour me faire la vie dure, pour me faire limite regretter de m'être inscrite à Harvard il y a quelques mois. C'est bien la première fois que quelque chose comme ça m'arrive et j'ai beaucoup de mal à gérer mes émotions à ce propos. D'une minute à l'autre je peux passer du désespoir à la haine, de l'envie de partir à l'envie de me battre. Et là tout de suite, j'ai qu'une envie : fuir, disparaître, ne plus jamais entendre parler de tout ça. Qui ne réagirait pas comme moi ? Qui peut prétendre avoir la force de ne jamais baisser les bras ou perdre tout espoir ? Je pense qu'on est pas invincibles, qu'on peut pas toujours savoir comment gérer une situation délicate comme celle-là. Alors d'accord, dire que je vais quitter Harvard est peut-être prématuré et exagéré, mais je ne supporterais pas de ne jamais savoir qui est la personne qui s'acharne comme ça sur moi. Vous vous imaginez vous ? Marcher tous les jours dans les couloirs de l'Université sans savoir qui est le connard qui s'amuse à vous harceler, à pourrir votre vie, à voler vos sous-vêtements pour les revendre au plus offrant ? Franchement, c'est limite maso de ne pas vouloir s'en aller. Mais quand j'entends Blake me demander de ne pas partir, je me dis qu'il y a des personnes qui comme lui, ne voudraient pas que je les laisse. Misha, Antonia, Lukà et tous mes autres proches et amis. C'est chiant mais je peux pas vraiment leur faire ça. Puis Blake a part tort, si je pars, c'est comme si je m'avouais vaincue. D'autant plus que l'autre taré se trouvera bien une autre victime et je peux pas laisser une telle chose arriver. Faut que je fasse tout pour découvrir son identité et lui rentre la monnaie de sa pièce. « Ouais, t'as raison ... Je peux pas me laisser faire comme ça. Heureusement que t'es là n'empêche, sinon j'aurais fait mes valises en rentrant à mon chalet. » je lui réponds, exagérant peut-être un peu sur l'histoire des valises. Mais j'étais quand même à moitié sérieuse, c'était la deuxième fois qu'il me soutenait avec cette histoire dont j'avais pas encore osé parler à qui que ce soit d'autre. Je dépose alors une bise sur sa joue, pour le remercier de vouloir m'aider à trouver qui avait fait ça. Je me dis que Blake c'est un peu comme mon ange gardien. Il est là pour garder mon secret et pour combattre le mal à mes côtés. C'est bon de savoir qu'on peut compter sur les autres de temps en temps.

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