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HARSKA ✰ if i had a heart i could love you

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Il était pas loin de dix huit heure et le soleil tapait encore. La chaleur ici c'était un truc de dingue, et dieu sait que j'ai beaucoup du mal à supporter les excès de température. Les gars, j'viens de Londres, c'est pas la ville la plus exotique connu pour sa sécheresse les temps d'été hein. Du coup j'passais mon temps à la piscine à me baigner, malgré le monde présent là bas. J'avais même presque pas mis les pieds à Phoenix, ou alors une ou deux fois, mais la chaleur c'était intenable. Beaucoup de choses étaient intenables ces temps ci et je dois dire que j'en attendais plus de ce summer camp. Il y a pas grand chose qui tournait rond, moi en particulier, encore moins depuis ce que j'avais appris de la bouche de mon meilleur pote. En plus de ça ma meilleure amie était même pas vu voyage, alors j'étais dans un trou en ce moment. Je tentais de trouver une solution au problème mais elle venait pas aussi facilement qu'elle serait venue auparavant. J'en revenais toujours pas, si ça n'avait été au début que des rumeurs c'en était visiblement la vérité, du moins je l'avais déduis, et comme on dit, pas de fumée sans feu. Alaska et Alexander. J'étais sur le cul, je l'avais pas vu venir. J'sais pas ce qui m'énervait le plus, qu'elle se soit tapé un autre gars ou que ce soit lui. Ma foi, j'étais dégoûté d'elle et dans un élan de stupidité j'avais pris le chemin jusqu'à sa tente, espérant au fond de moi qu'elle n'y serait pas. Mais je voulais voir ce qu'elle dirait, comment elle agirait après cela. Voir si la franchise fait partie de ses "qualités". J'arrivais devant, j'allumais une clope, bah voyons c'est vrai qu'il fait pas assez chaud. J'donnais un léger coup dans la tente, en mode sors donc de là. « Sors d'là Hamilton, devine qui est là. » déclarai-je d'un ton neutre. Non j'allais la jouer comme si de rien n'était, mais c'était au dessus de mes forces d'être agréable quand même.
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J'étais allongée sur mon nouveau matelas gonflable -inutile de rappel que l'affreux Wade avait réussi à exploser l'ancien à cause de sa corpulence. Faut dire, quelle idée de se jeter comment un ours sur un matelas ? Surtout quand sa meilleure amie se trouve déjà dessus ? J'avais eu la frousse de ma vie et je ne parle pas du mal de fesse qui a suivit cet épisode. Donc, j'étais allongée dans mon compartiment de ma tente quand tout à coup, celle-ci se mit à trembler. J'ouvris un oeil en restant immobile et c'est à ce moment que j'avais compris que je m'étais assoupie. À faire la fête tous les soirs comme une délurée et sous une chaleur pareille, il y avait un moment où je n'avais plus d'autre choix que de recharger les piles. Je me redressais alors, me demandais si c'était intentionnel ou non. Je ne me sentais pas la tête dans le cul, non, j'étais bien comme si je me réveillais d'un sommeil réparateur. « Sors d'là Hamilton, devine qui est là. » Je reconnais la voix masculine et peu aimable d'Hardin. Je suis plutôt surprise de la savoir là, mais une vague angoisse m'empare. Allez savoir pourquoi... Je finis donc par me lever, prenant le soin de mettre un short en jean noir. Je restais cependant en bikini pour c'qui était du haut. Je dézippe rapidement la toile de la tente avant de sortir enfin. Comme depuis mon arrivée en Arizona, il n'y a pas d'air et j'ai juste envie de retourner dans ma tente pour être au moins à l'abri du soleil. Mais, quand mon regard croise celui d'Hardin, mes habitudes ronchons s'évaporent aussitôt pour laisser place à un large sourire. Je me jette alors dans ses bras, pour le serrer contre moi. Contente de voir mon "amoureux". Je mets fin rapidement à mon étreinte, je savais qu'il n'était pas du genre tactile et je ne voulais pas le gêner. « Ça fait un bail ! Qu'est ce que tu fais ici ?! » Bah oui quoi. C'était pas vraiment son genre de venir me tenir compagnie. Il avait besoin d'un truc ?
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Je cherchais encore à comprendre pourquoi je m'étais décidé à me pointer là. A croire que j'avais envie de me prendre la tête, de me torturer encore un peu plus l'esprit. Je devais avoir un petit côté sadique avec moi même finalement, surtout à cet instant. J'attendais qu'Alaska sorte la tête de sa tente, je savais encore pas ce que j'allais bien pouvoir lui dire mais je risquais certainement pas de lui faire une magnifique scène dramatique à propos de ce qu'elle a fait. Non j'ai trop de fierté pour ça même si je meurs d'envie de lui en mettre une pleine face là maintenant. Elle sort finalement, en short et haut de maillot de bain, grand sourire aux lèvres et j'ai à peine le temps de dire quoi que ce soit ou de bouger qu'elle me saute au cou. Je ne la rejette pas, bien que l'idée m'ai traversé l'esprit. Je ne lui rendais cependant pas le geste, de toute façon moi et les câlins ça a toujours fait deux, et elle le sait. Dans le feu de l'action j'en avais presque fait tombé ma clope, j'aurais bien pu foutre le feu au camping avec la sécheresse tiens. Ca aurait reflété mon état d'esprit au moins. « Ça fait un bail ! Qu'est ce que tu fais ici ?! » J'en sais rien. C'est ça le problème, tu me l'as faite à l'envers, je suis énervé contre toi, j'ai juste envie de t'arracher la tête et d'en décoller une à l'autre mais non, je suis là. Quel con je fais. « Je passais dans le coin, alors je suis venu ici. » J'savais ou était sa tente, me rappelant du soir où je l' avais trouvé elle et Emma complètement défoncée dans la boue. Mais ça c'était avant le drame.  « Alors, cava ? Tu t'amuses bien ? » Naaan j'avais pas de sous entendus pour l'instant, j'dis bien pour l'instant car je sentais que j'pourrais pas la jouer comme si de rien n'était encore bien longtemps. Le calme avant la tempête.
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Comme je me l'étais dis, Hardin ne bougea pas d'un poil quand je vins lui faire un câlin. Pas même il me serra contre lui. J'avais l'impression que ce mec était tellement accro à la propreté -j'le connaissais un minimum- qu'il ne devait pas supporter qu'on le touche. J'sais pas, il devait avoir peur qu'on lui refile des microbes. Je mis alors un terme à mon accolade en me pinçant les lèvres pour masquer ma petite déception. Je ne comprenais pas pourquoi je m'accrochais à ce type. C'est vrai quoi, depuis le bal de fin d'année, il m'avait simplement demandé d'être patiente et depuis, je n'avais eu aucun signe d'affection de sa part. Je devais réellement me montrer patiente ? Mais il était là non. Alors, autant profiter de se moment et positivement. « Je passais dans le coin, alors je suis venu ici. » Me répond t-il. Ouais, à mon avis, c'était pas la première fois qu'il "passait dans le coin", elle put son excuse. « Alors, ça va ? Tu t'amuses bien ? » Je retrouvais un peu mon sourire et je passais ma main dans mes cheveux, gênée au final qu'il soit là. J'avais pas envie d'être son bouche trou pour la fin d'après-midi. Vous voyez ? J'arrivais pas à me montrer positive quand j'étais avec Hardin. Parce que je savais très bien que de toute façon, rien de ce que je voudrais de lui un jour ne m'appartiendra. « Ça peut aller... et toi ? » demandais-je dans un mouvement d'épaule. « Ouais... même si j'aurais préféré passer du temps avec toi... un peu ! » lui avouais-je en détournant un peu le regard avant de revenir sur lui et de reprendre dans un soupir, « mais j'me suis faite une raison hein ! Bon tu veux quoi ? C'est trop beau pour que tu sois venu me voir sans raison ! » Ouais, il était clairement pas là pour moi !
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Je prenais de ses nouvelles comme un con, alors qu'elle devait penser que j'étais encore là par un moment d'ennui ou juste parce que j'avais envie de coucher avec elle. Faut dire que rares sont les fois où c'est moi qui suit venu à elle, encore plus quand on regarde la dernière fois qu'on s'est retrouvé tous les deux chez moi à Cambridge. C'est jamais parce que je veux pas la voir mais plutôt parce que je pense pas à faire ce genre de chose, je l'ai jamais fais après tout. « Ça peut aller... et toi ? » J'hochais la tête brièvement pour dire que ouais ça allait, alors que non ça allait pas du tout. Mais plutôt crever que lui avouer que j'étais blessé et dégoûté. « Ouais... même si j'aurais préféré passer du temps avec toi... un peu ! » Je recrachais la fumée de ma cigarette en l'écoutant, sans vraiment la regarder. Je trouvais ça très hypocrite dire quand on sait ce qu'il en est vraiment pas derrière. « mais j'me suis faite une raison hein ! Bon tu veux quoi ? C'est trop beau pour que tu sois venu me voir sans raison ! Je plissais les yeux à cause de soleil, avant de changer de place pour tourner le dos au soleil et plus faire face à Alaska. Je réprimais un rire moqueur, c'était plus fort que moi. « Ouais, je doute pas que tu t'es faite une raison » dis-je un rictus sur le visage. Et la raison, elle s'appelle Alexander. Tous sauf lui quoi, non même pas tous, mais vraiment pas lui. Bon ok, j'étais assez mal placé pour parler de coucherie parce que quelques jours plutôt j'avais passé la nuit avec une nana, mais Alaska la connaissait même pas et ça faisait pas le tour de toutes les oreilles du camping. Je sais bien que concrètement j'ai rien à dire sur qui elle se tape, mais elle comme moi on sait qu'on est incapable de pas se reprocher les coucheries de l'autre.  
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Je commençais à stresser. Je n'avais aucune idée de comment m'y prendre avec lui. Il avait le don de me frustrer, de me rendre heureuse et de me mettre en colère pour finalement me faire culpabiliser et tout cela en moins d'une minutes. J'étais amoureuse de ce type et j'm'en voulais toujours de l'être parce que bon sang, il était pas baisable comme type. Façon de parler bien sûr... mais, il était sans cesse de mauvaise humeur et c'était flippant pour une fille qui passait 90% de sa journée à rire. Je me retrouvais alors face à lui, comme une conne, on peut le dire. On échangeait des banalités comme si on était deux inconnus alors qu'il en savait bien plus sur moi que n'importe qui d'autres. Et il m’assassinait clairement avec ses répliques cinglantes. Il avait un problème avec moi et quand ça allait me tomber dessus, j'allais mourir dans d’atroce souffrance. Ou bien, ça allait être un énième moment pour moi, pour lui avouer ce que j'avais sur le cœur. « Ouais, je doute pas que tu t'es faite une raison » me dit-il en riant. Je suis triste et j'm'en veux d'avoir dis ça comme ça. C'était pas vraiment ce que je voulais dire et il prenait la mouche, comme à chaque fois. Je laisse échapper un sourire en le regardant, « Tu sais très bien que c'était pas ce que je voulais dire Hardin ! » On parlait à peine et ça tournait déjà en rond. « Tu sais très bien que je n'attends rien d'autre que de passer du temps avec toi, j'ai envie d'être avec toi ! » je passe mes mains dans mes cheveux pour les remettre en arrière. Qu'est ce que je pouvais lui dire ? Qu'est ce que je pouvais faire ? Il ne m'offrait rien, il ne faisait rien, il ne faisait même pas acte de présence et pourtant, j'étais la fille la plus débile au monde, je l'attendais, désespérement.
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En y repensant bien je crois que la relation qu'on a restera toujours étrange, peut être importe comment elle évolue. On est bizarre tous les deux alors comment voulez vous qu'on fasse quelque chose normalement hein ? Alors peut être que se faire une raison était la meilleure chose ouais, comme elle l'avait dit. J'voyais bien qu'elle s'en était trouvé une mais pour ma part j'savais pas comment ça marchait je savais juste que j'étais en colère et que j'allais être d'une humeur massacrante avec tous les gens avec qui je serais dans les prochains jours à venir. C'est certain. « Tu sais très bien que c'était pas ce que je voulais dire Hardin ! » Nos échanges étaient des perpétuelles répétitions, j'avais l'impression de rejouer les scènes encore et encore et pourtant, aucun d'eux n'avaient eu un goût aussi amer que ce lui ci. Cette fois c'était moi le con dans l'histoire, c'est moi qui me faisait avoir et le supportais pas. « Tu sais très bien que je n'attends rien d'autre que de passer du temps avec toi, j'ai envie d'être avec toi ! » J'haussais les sourcils, en pouffant. Big lol. « T'avais envie d'être avec Strudwick aussi ? » déclarai-je du tac au tac, tirant sur ma clope pour ensuite rejeter la fumée, plantant mon regard perçant dans le sien. Vas-y, réponds Alaska. J'attends ton baratin de petite prude fragile qui se fait manipuler par le grand méchant Hardin qui profite de toi. J'étais impatient de voir ce qu'elle allait pouvoir me dire cette fois ci. Elle pouvait pas nier, quand on s'tape le président des mathers, ça se sait, faut assumer après.
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« T'avais envie d'être avec Strudwick aussi ? » me dit-il en riant. Apparemment, il l'avait mauvaise. Mince alors, moi qui m'étais faite un plaisir de succomber au charme du beau Alexander Strudwick. Aha. C'était partie pour l'engueulade de la journée. Même pas encore commencé que j'en avais ma claque. Je passais pour la millième fois une main dans mes cheveux. « Ouais. » Ouais, j'avais envie d'être avec Alexander. Bien sûr, comme amie. Il était cool et il me faisait rire, alors si en plus on pouvait se réconforter mutuellement, j'voyais vraiment pas où était le mal. « Mais ça tu vois, je comprends pas en quoi ça t’intéresse... » m'exclamais-je dans un mouvement d'épaule. Je lui adresse un léger sourire histoire de masquer le malaise qui se trouvait derrière. J'allais pas cacher ce que j'avais fait, j'étais pas une victime, mais putain, lui non plus. « Tu peux dire toutes les saloperies que tu veux sur moi, Hardin, j'en ai rien à foutre. Je sais très bien que j'suis pas la meuf la plus facile à vivre, que j'ai un caractère de merde et tous les défauts du monde. Mais si tu croyais vraiment que j'allais me montrer patiente avec toi, tu te mets un doigts dans l’œil. On est pas ensemble et même si j'aurais pu l'espérer, -et qu'au fond de moi je l'espère toujours- je sais très bien que c'est une chose impossible. Parce que je n'ai aucune envie d'être avec un mec qui n'en a absolument rien à foutre de moi et qui est inexistant ! » Tu m'étonnes que j'aille voir ailleurs. Et j'vous l'dis, même si j'étais assez stupide pour lui sauter dans les bras. J'avais pas oublié la façon dont il avait relooké Emma sous mes yeux. « Mais je suis heureuse de voir que tu portes un semblant d'attention à mon égard. Si j'avais su, je serais aller voir ailleurs plus tôt. Peut-être que tu serais enfin venu vers moi pour me montrer, que tu le veuilles ou non, que je compte assez pour toi au point de pouvoir te blesser. » Lui dis-je calmement. Avec le temps, j'avais appris à rester cool avec lui. « Tu n'as pas le droit de venir vers moi pour me rappeler à l'ordre, je ne suis pas ta petite-amie ou alors, tu n'as pas été assez clair dans tes propos la dernière fois... j'en sais rien ! » Je ne savais plus quoi lui dire. En même temps, valait peut-être mieux que j'me taise.
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La bombe était lâché et je savais que ça allait à nouveau exploser, comme d'habitude. « Ouais. » Ouais ? Sérieusement ? « Mais ça tu vois, je comprends pas en quoi ça t’intéresse... » En quoi ça m'intéresse ? Je m'en serais passé en fait, d'apprendre ce genre de truc mais heureusement que je l'ai su tiens. Et elle me sourit, comme si de rien n'était. « Tu peux dire toutes les saloperies que tu veux sur moi, Hardin, j'en ai rien à foutre. Je sais très bien que j'suis pas la meuf la plus facile à vivre, que j'ai un caractère de merde et tous les défauts du monde. Mais si tu croyais vraiment que j'allais me montrer patiente avec toi, tu te mets un doigts dans l’œil. On est pas ensemble et même si j'aurais pu l'espérer, -et qu'au fond de moi je l'espère toujours- je sais très bien que c'est une chose impossible. Parce que je n'ai aucune envie d'être avec un mec qui n'en a absolument rien à foutre de moi et qui est inexistant ! » J'haussais les sourcils, perturbés malgré moi par ses paroles. J'étais sur le cul mais j'étais tellement énervé que je ne pouvais pas sentir que ça me blessait. Ouais elle arrivait à me blesser et je détestais ça. « T'as raison on est pas ensemble et on le sera jamais, tu peux en être certaine maintenant. » déclarai-je froidement en écrasant ma cigarette au sol dans un élan de colère.  « Mais je suis heureuse de voir que tu portes un semblant d'attention à mon égard. Si j'avais su, je serais aller voir ailleurs plus tôt. Peut-être que tu serais enfin venu vers moi pour me montrer, que tu le veuilles ou non, que je compte assez pour toi au point de pouvoir te blesser. » J'me sentais con, con parce que j'avais l'impression de passer pour je ne sais qui. J'pouvais lui avouer que j'étais blessé de ce qu'elle avait fait, et je pense que ça lui ferait d'autant plus mal que je lui dise et que je la laisse après. « Ah c'est ce que tu cherchais ? Me blesser alors ? Non, réponds rien après tout je m'en fou. J'aurais vraiment du m'en foutre de toi et te jeter comme toutes les autres dès que t'as commencer à déconner. » C'était le seul moyen que je connaissais maintenant de lui rendre le mal qu'elle m'avait fait, avec les mots. J'sais pas si je le pensais vraiment, mais je l'avais dis. Je m'étais attaché à elle, mais j'suis pas comme tous les gars qui arrivent à faire les choses facilement, elle a pas été capable de le comprendre alors tant pis pour elle. Au fond, qu'est-ce que je pensais hein ?  « Tu n'as pas le droit de venir vers moi pour me rappeler à l'ordre, je ne suis pas ta petite-amie ou alors, tu n'as pas été assez clair dans tes propos la dernière fois... j'en sais rien ! » Je pouffais légèrement en l'entendant s'emballer. J'ai fais une remarque et elle en a fait une montagne. Quel merdier. « Nan t'es pas ma petite amie et non je te rappelle pas à l'ordre. Mais j'veux juste que tu comprennes que t'as plus intérêt à jouer les mielleuses avec moi quand tu vas te faire sauter par le premier venu après. » dis-je d'un ton froid. J'me fichais de savoir si elle connaissait mes rapports tendus avec Alexander. Au final même si ça m'dégoutait qu'elle soit allé avec lui, c'était plus une excuse pour cacher le fait que ce qui me faisait le plus chier c'était qu'elle soit aller voir ailleurs. « Tu me dégoûtes. » lâchai-je finalement, en serrant les dents alors que des campeurs passaient par ici, nous regardant comme un couple en train de s'engueuler. Sauf que non, nous n'en étions pas un. Fail.
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Je n'avais aucun regret de ce que j'avais pu faire avec Alexander. Je passais des bons moments avec lui et celui-ci avait été particulièrement plaisant. Je ne l'avais pas calculé à l'avance, les choses s'étaient faites simplement et putain, c'que ça pouvait faire du bien de se laisser aller de cette manière. Et même en voyant Hardin blessé en train de s'acharner sur moi, je ne pouvais pas m'en vouloir. J'étais célibataire, libre, jeune et en manque d'affection. Comme à chaque fois que je me disputais avec Hardin, je m'emportais et je parlais beaucoup. J'en avais besoin parce que j'étais perdue avec lui, j'étais stressée et il ne faisait rien pour me rassurer. Alors j'essayais de lui expliquer un maximum ce que je ressentais afin qu'il puisse comprendre, mais depuis le début, j'étais face à un mur. « T'as raison on est pas ensemble et on le sera jamais, tu peux en être certaine maintenant. » Et voilà, première gifle et j'avais envie de pleurer. Ça allait s'entendre dans ma voix. Mais je crois qu'Hardin - à moins d'être vraiment stupide - avait compris que sous ma carapace se cachait une fille apeurée et sensible. Merci maman pour ce cadeau. Je voulais que lui aussi il ressente quelque chose, qu'il comprenne pourquoi je m'acharnais... mais, rien à faire. Je ne pouvais rien répondre à ses propos. J'allais pas le supplier de quoi que ce soit. Nous n'avions jamais été un tout. C'est à ce moment précis que je comprends pourquoi les gens se colle des étiquettes. Parce qu'Hardin et moi, on avait rien fait de tout ça, c'était un peu un sujet tabou au fond. On jouait, on couchait, on se confessait et après, c'était le bordel pas possible. Là, il était furieux et j'étais encore plus perdue qu’auparavant. « Ah c'est ce que tu cherchais ? Me blesser alors ? Non, réponds rien après tout je m'en fou. J'aurais vraiment du m'en foutre de toi et te jeter comme toutes les autres dès que t'as commencé à déconner. » J'étais immobile face à lui, je le regardais simplement. J'avais une boule dans la gorge et le cœur qui battait avec intensité. « Je n'ai jamais voulu te faire de mal Hardin ! J'voulais simplement que tu arrête d'agir comme ci tout ça n'avait aucune importance pour toi, comme ci ça ne voulait rien dire ! » m'énervais-je alors. Nous étions en train de boucler un truc qui n'avait jamais commencé, c'était pathétique à voir. Et moi, j'essayais de me justifier alors que je n'avais pas à le faire. C'était le monde à l'envers. J'étais certaine que je comptais bien plus que les autres. Certaine parce que si j'étais là à me disputer avec lui à cause d'un garçon, c'était parce qu'il ne m'avait justement pas jeté comme les autres. « Nan t'es pas ma petite amie et non je te rappelle pas à l'ordre. Mais j'veux juste que tu comprennes que t'as plus intérêt à jouer les mielleuses avec moi quand tu vas te faire sauter par le premier venu après. » Je secoue doucement la tête de gauche à droite, une main sur le front et l'autre sur la hanche. Je tourne le regard, non pas parce que j'ai honte, seulement pas ce que ça me fait mal. « Que je n'ai plus intérêt ? » C'était clairement un rappel à l'ordre. Et c'était aussi une rupture en quelques sortes. Et j'me sentais mal. « Tu me dégoûtes. » Ma vue se brouillait et j'avais un peu honte de cette scène que l'on offrait aux autres étudiants d'Harvard qui occupaient les tentes. J'haussais les épaules machinalement. « Au moins tu n'as plus à te poser de question Hardin, tu l'as dis à l'instant, on est rien et on ne sera jamais rien ! » dis-je d'une voix tremblante. Fin de l'histoire.
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