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TIMOTEI † what the fuck ?

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Une soirée ? Ouais, tu avais passée une bonne journée mais ce soir tu avais envie de boire un verre tranquillement. Pas forcément de te retourner la tête mais tu avais envie de prendre un petit peu de temps pour toi mais tu n’irais pas toute seule c’était clair et net. Qui tu pourrais bien prendre pour boire un verre ? Tu n’hésitais pas un instant et tu comptais aller chercher Timoteï qui devait être posé dans son chalet. Mais avant tout tu décidais d’aller prendre une petite douche afin d’enfiler un string ainsi qu’un pantalon noir. Pour ce qui est du haut, tu n’avais pas l’intention de te prendre la tête avec un haut qui te tiendrait chaud. Tu optais donc pour un petit soutien-gorge brassière qui était en réalité un haut court à porter en été et non un soutien-gorge à mettre en dessous d’un haut. C’était très sexy mais en même temps c’était toi. Tu étais sexy mais jamais vulgaire. Tu faisais des beachy waves dans tes cheveux et tu maquillais légèrement tes yeux mais foncé un peu plus ta bouche pour donner de la profondeur à ton regard et te rendre sexy mais irrésistible. Tu ajoutais quelques bijoux, une pointe de brume parfumée et de déodorant et tu étais enfin prête pour quitter ta caravane. Petit sac sur l’épaule, tu sortais de la caravane que tu partageais avec Eugène et tu te déplaçais dans le camping jusqu’au chalet de Timoteï. Une fois devant son chalet tu ne prenais même pas la peine de frapper et tu entrais directement. « Bon, tu enfiles un pantalon rapidement et on va boire un verre ! » Tu t’arrêtais net après avoir fermé la porte derrière toi lorsque tu te rendais compte qu’il n’était pas tout seul. Tous ses potes étaient là et d’un coup tu te sentais gênée. « Ah autant pour moi tu es déjà occupé. » Tu t’attrapais à faire demi-tour.
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Tu passais une bonne journée, tu te promenais tranquille dans le camping, allant de chalet en chalet avec tes potes. Et au final, tu partais en promenade un peu partout, empruntant une voiture qu'ils avaient loués. Tu avais profité de toute cette journée, pour fumer et boire et bien rigoler. En gros, une bonne journée et tu avais l'intention de continuer ainsi jusqu'à la fin de la journée. En gros, tu allais certainement te mettre une sacrée mine à ne plus te souvenir du lendemain. Après une longue baignade, quelques bières et un joint, tu avais décidé de bronzer tranquillement au soleil. Te retrouvant seulement en boxer, tu avais pris pas mal de couleur. Et au final tu avais fini ta sieste à l'arrière de la voiture. Alcool plus drogue et soleil, ça ne faisait jamais bon ménage. Au final tu passas plus de trois heures dans la voiture en train de dormir et c'est seulement quand la nuit commençait à tomber et que la fraîcheur pointait le bout de son nez, que tu te réveillais. Tu sortais de la voiture pour retourner à ton chalet, allant prendre une bonne douche. Mais en poussant la porte d'entrée, tu te retrouvais en face de tes potes. Les salops, ils venaient squatter chez toi, sans même te réveiller. « Bon j'vais me doucher les gars, au faite merci de m'avoir réveillé. » lançais-tu en rigolant. Tu traversais le chalet et tu te glissais sous la douche. Prenant une bonne douche fraîche histoire de te réveiller. Quelques minutes plus tard, tu étais là, enfilant un t-shirt et un bermuda ainsi que des baskets. Tu retournais dans le salon, sortant toutes les bouteilles qui traînaient dans ton chalet ainsi que des joints et tout le bordel. Mais pas que ça, ton pote sortait de sa poche plusieurs aiguilles avec du produit. Que tu connaissais par cœur bien évidement. Alors que tu vidais ton premier verre, la porte s'ouvrit d'un seul coup, sur une demoiselle. Tu rigolais doucement « Restes, ça ne va pas te gêner de te retrouver avec 5 mecs, tu as l'habitude. » lançais-tu avec un léger sourire.
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Alcool, drogue et baise normalement c’est ce que tu faisais pendant tout ton summer camp mais il fallait avouer que tu n’avais pas pris grand choses ces derniers temps à pars peut-être ces quelques piqûres que tu t’étais faite mais il fallait vraiment que tu gardes ça pour toi sinon certaine personne dont Eugène risquait de te péter la gueule s’ils apprenaient. Enfin bref, tu t’étais dirigeais vers le chalet de Timoteï afin de lui faire une petite surprise mais malheureusement pour toi il était déjà avec ses potes et tu étais un peu gênée pour le coup. La dernière fois que tu les avaient vus c’était au Nirvana. Mais bon, tu décidais quand même de rester vu que Timoteï te le proposer avec gentillesse. Enfin pas trop mais tu lui souriais avant de lancer. « Ouais, mais d’habitude je ne joue pas aux cartes avec les mecs et j’ai peur que c’est toi qui soit gêné de me voir finir dans des positions que je ne t’ai même pas réservée quand nous étions ensemble. » Tu lui faisais un petit clin d’œil avant de prendre place à côté de Max en face de Timoteï. Tu sortais ta bouteille de téquila du second sac que tu avais emmenée. Tu cherchais tes bouteilles de diluant mais tu les avaient oubliés. Tant pris ça sera téquila pure. Tu regardais un peu sur la table avant de découvrir des seringues. What the fuck ? C’était une blague, tu levais ton regard vers Timoteï pour le fusillais du regard. Te servant un verre t’en bu un cul sec puis un autre que tu buvais aussi cul sec. « Moi qui croyais que tu allais me tuer quand j’allais te dire qu’il y a quelque jours je me suis shooter de nouveau à l’héroïne mais finalement tu n’as juste qu’à fermer ta gueule ! » Tu lui lançais une seringue à la gueule en secouant la tête. « T’es vraiment abruti de faire ça ! Je croyais que de me voir comme un déchet à prendre cette merde ça te ferait réfléchir mais apparemment non. » Et puis, tu te tournais vers ses potes. « Et puis vous que vous vous défonciez à ça c’est votre problème mais franchement n’entraînait pas Tim dans vos conneries parce que je vous jure qu’il lui arrive quoique ce soit par rapport à ça je vous coupe les couilles et je vous les fait bouffer bande de cons ! » Tu te levais brusquement préférant quitter le chalet parce que tu risquais de devenir méchante surtout que tu avais pris ta dose avant de venir alors il ne fallait pas accélérer ton palpitant de la sorte.
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Tu tournais mal et personne ne s'en rendait réellement compte à part toi-même. Tu souffrais, mais tu ne voulais pas le montrer. La preuve tu avais mis ta fierté de côté pour retrouver Alexys ainsi que Grace, les deux femmes de ta vie. Tu les avais perdu et ton monde commençait à sérieusement s'écrouler autour de toi. Tu ne pouvais pas continuer sur ce chemin, tu ne pouvais pas te permettre de détruire ta vie comme tu l'avais fait à cause de la mort d'Isadora. Pourtant qu'est-ce que tu étais en train de faire ? Tu te piquais, tu fumais des joints, tu te faisais des rails et tu n'étais plus le même Tim que tout le monde connaissait. En même temps, tu n'étais pas le seul à être sur une pente dangereuse. Non, tout ton groupe, tout tes potes retapaient leurs années, ils étaient devenu des déchets comme toi et tu l'assumais. Peut-être pas devant les yeux de tout le monde, mais devant eux, tu n'avais rien à cacher. D'ailleurs, cela se voyait aux nombreuses marques sur tes bras. Que tu dissimulais à la plupart des personnes en mettant une chemise ou ce genre de chose. Pourtant, quand Grace était rentrée, tu n'avais pas bronché. Certainement ta manière d'essayer de cacher ton complot, tu l'avais même incité à s'installer. Et au lieu de se mettre près de toi, elle préféra s'installer vers ton pote. Et en plus de ça, elle t'en foutait pleins la gueule. Tu levais les yeux, et comme d'habitude tu te refermais sur toi-même. Reprenant une gorgée de ton verre, que tu venais de remplir, mais cette fois-ci de vodka. Tu soupirais doucement, tournant la tête dans la direction opposé de celle de la jeune femme. Elle te provoquait et elle avait le don de t'énerver. A chaque fois, l'image d'elle sur sa barre de pool, te revenait en tête. Tu n'allais jamais tourner la page, tu ne pouvais pas et tu ne pourrais jamais. En plus de ça, elle t'avait parfaitement fait comprendre qu'elle n'arrêterait pas le pool. Elle l'avait fait une fois par amour pour Konrad. Mais, elle ne le ferait pas pour toi, car au final, tu ne comptais peut-être pas autant que lui et tu ne compterais certainement jamais autant que lui. Ton cœur se sert et pourtant, tu fais comme si rien ne se passait. Laissant un simple sourire sur tes lèvres. Elle te fusillait du regard, et tu haussais un sourcil ainsi que les épaules pour comprendre ce qu'il se passait. D'un seul coup, la colère s'était abattue sur toi, ainsi qu'une seringue. Qui tombait pile dans ta main, tu respirais doucement. « J'pense que tu n'as rien à me dire non plus. Déjà que tu préfères montrer ton cul et tes seins pour gagner de l'argent, et tu reprends l’héroïne. Tu m'as très bien fait comprendre que tu n’arrêterais pas ton boulot, pas pour moi en tout cas. J'vois pas pourquoi j'devrais arrêter tout ce que je fais. » Oui ta réponse dérive sur un autre sujet, un sujet qui te tracasse depuis un bon moment. Tes potes comprennent rien, et pendant genre quelques minutes ils ont arrêté de parler de boire. Pour au final reprendre de plus belle, quand elle s'éloigne et surtout quand tu te barre du chalet. « T'as pris ta dose, c'est pour ça que tu me pètes les couilles ? Et tu vois, j'étais pas comme toi à me piquer genre une dizaine de fois par jour. J'le fais pratiquement jamais. » tu balançais des conneries, histoire de descendre l'atmosphère. Mensonge, mensonge tu te piquais de plus en plus et à vrai dire, tu devenais totalement accroc.
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La soirée cool risquait encore de partir en vrille mais bien trop vite cette fois-ci. Tu venais à peine d’arriver et Timoteï était déjà complètement ivre et défoncée et franchement il n’était pas hyper agréable pour le coup mais tu ne disais rien et tu le provoquais comme tu aimais le faire. Cela l’énervait mais tu ne comptais pas le laisser te ridiculiser devant ses copains. Il ne disait rien à ta provocation mais tu pouvais voir sur son visage que cela le gavais. Et puis tout se passait très vite, les seringues, tes verres d’alcool, ta colère et la colère de Timoteï qui ne tardait pas à éclater également. Il venait te dire que tu ne tenais pas à lui pour vouloir danser au Nirvana mais sur le coup tu ne disais rien et puis de toute manière tu avais déjà franchie la porte mais il te rattrapais et t’incendier une fois de plus. Tu respirais calmement mais s’en était trop pour toi. Alors que la porte du chalet était encore ouverte, tu te retournais brusquement, l’attrapant par le col tu venais le plaquer contre cette dernière devant tous ses potes qui ne semblait pas perturbé par la situation. « Non, tu as raison je n’ai rien à te dire mais ne dis plus jamais que je ne tiens pas à toi. Je remuerais ciel et terre pour ton bonheur mais tu ne seras jamais heureux, car tu n’as pas envie de l’être tu préfères rester dans ta merde. Et arrêtes avec le Nirvana s’il-te-plaît aujourd’hui c’est un besoin, car j’ai besoin d’argent mais de mon argent pas du tien et crois-moi que j’en suis pas fière. Quand j’étais avec Konrad c’était pour m’amuser c’est un fait. J’ai arrêtée parce qu’à cette époque je croyais en notre couple et je savais qu’il était incapable de comprendre quoique ce soit mais toi putain ! Je pensais que tu étais un peu plus intelligent pour le coup ! » Tu resserrais ton étreinte autour de lui, ton regard était froid et méchant. « Mais ne dis plus jamais que je ne tiens pas à toi. Je pense pas avoir été une si mauvaise amie que ça, une copine affreuse je le conçois mais malgré tout si je pouvais me racheter je le ferais mais tant que tu n’auras pas fait un trait sur ton ex tu ne pourras jamais avancer et aimer les gens comme tu dois les aimer. Parce que par moment tu ne m’aimes pas tu m’étouffes, car tu as toujours peur que je m’en aille mais comprends que je ne te laisserais jamais tomber, car je serais bien trop malheureuse sans toi mais t’es bien trop con pour t’en apercevoir ! » Tu le relâchais rageusement, tapant du poing contre la porte. « Eh oui j’ai pris ma dose parce que je suis qu’une putain de camée mais ne dis pas que tu ne fais pas comme moi, car ça commence par une piqûre puis deux puis dix par jour et après tu meurs c’est ça que tu cherches ? C’est pour la rejoindre ? T’es égoïste si c’est ça parce que putain de merde je suis là moi ! Ouvre les yeux ! J’essaye d’être l’amie la plus parfaite pour toi mais j’ai l’impression que c’est jamais assez tu m’en demandes toujours plus mais je suis moi. Je suis comme ça un peu paumée à faire des conneries, des mauvais choix c’est comme ça, je suis Grace merde ! » Tu avais les dents serrées, tu avais envie de pleurer mais tu n’y arrivais pas pour le coup.
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Tu comprends rien de ce qu'il se passe, en même temps tu es déjà bien atteint par l'alcool et la drogue. Mais aujourd'hui tu n'as même pas pris ta dose d’héroïne, contrairement à certains de tes potes. Tu as préféré prendre tes joints, comme d'habitude et boire, comme toujours. Pour une fois que tu n'as rien fait, tu en prends encore pleins la gueule et sérieux, tu en as pleins le cul. Limite, tu te demandes pourquoi tu es retourné près d'elle, elle t'aime ? Tu en as plus vraiment l'impression et ces sauts d'humeurs, te font péter royalement un plombs. Putain, tu sers les dents, t'as la mâchoire qui commence à se crisper, comme quand tu t'énerves. Et ton regard n'est pas le même que d'habitude. L'alcool n'aide en rien, au contraire, ça t’excite encore plus. Te pousse un peu plus dans l'excès et pourtant tu ne réagis pas au quart de tour quand elle te provoque. Tu essayes de garder ton calme, comme ton amie te l'avait conseillé. Te donnant quelques astuces pour te calmer et faire disparaître cette colère, un peu trop grandissante à son goût. Tu respires comme tu le peux, pensant seulement à ta respiration et à plus rien d'autre. Elle n'avait pas tord, puisque tu retrouves ton calme, seulement quelques secondes malheureusement. Grace pousse le bouchon peut-être un peu trop loin en t'envoyant la seringue dans les mains. Ton regard se pose un instant sur cette seringue puis sur tes potes et enfin sur elle. Tu parles, ou plutôt à la limite d'hurler, tu n'en peux plus. Tu vas finir par sauter d'un pont pour être tranquille, c'est moche de devoir en venir à là. Pourtant au lieu de la laisser se casser comme elle sait si bien le faire, tu la rejoint sur la terrasse, bien trop rapidement. Tu lui balance ce que tu penses à la gueule, tu n'as plus envie de te retenir. Tu as toujours été franc et tu n'as plus envie de la prendre avec des pincettes. Que tu la blesse ou non, tu t'en fou, tu as besoin de lui dire ce que tu penses. Tu ne veux plus être le con de service, le débile à récupérer les pots cassés. Non, après tout, tu as le droit de faire ce que tu veux de ta vie, tu veux crever, c'est pareil. Tu veux t'envoyer le campus entier, tu fais ce que tu veux. Personne n'a le droit de te dicter ta vie, et tes devoirs. Ni même ta meilleure amie ou tout simplement ton ex, Grace. Sans t'y attendre, elle te plaqua contre la porte, qui bien évidement sous ton pois se ferma en claquant. Tu la laissais faire, après tout, tu n'allais pas l'en empêcher, car tu étais bien plus fort qu'elle et tu le savait. Tu n'avais qu'a serrer tes mains autour de ses poignets et de la pousser brutalement pour qu'elle lâche prise. Mais, si elle avait besoin de se défouler, qu'elle le fasse. Tu n'étais plus à une minute près. « A force j'commence à réellement aimer ma merde, c'est peut-être même plus jouissif que d'être heureux. » un sourire moqueur sur les lèvres, tu la poussais à bout, en même temps, elle t'avait bien cherché dans le chalet. « La preuve que non, puisque j'dois retaper mon année, à croire que tu me connais pas suffisamment. » lançais-tu avec une pointe d'ironie. Tu lui coupais à chaque fois la parole, pour lui lancer des pics. Insupportable, tu l'étais et tu t'en foutais. Quand le mot ex, résonnait dans ton oreille, ton expression devenait plus grave. Moins sympathique, tu n'appréciais pas qu'une personne te parle de ce sujet, te rappelle comment tu avais souffert avec ça. « Tu ne peux pas comprendre, ce que je ressent. Tu n'as pas perdu ton mec lors de la bombe, il n'a pas crevé dans tes bras. Non, ce connard s'est juste barré x fois, t'a trompé et te prends pour une conne. J'préfèrais encore ça, que d'avoir vu ma meuf crever dans mes bras, se vider de son sang dans mes bras. » lançais-tu froidement et surtout méchamment. « J'chui dingue, j'ai été voir un psychologue et rien n'a changé. Tu ne m'as pas connu quand j'étais au cimetière tout les soirs pendant plusieurs mois. J'étais dingue d'elle et ça personne ne pourra le changer, car elle est toujours dans mon cœur. Donc oui j'chui égoïste, et je l'assume. Et tu m'aimes peut-être, comme un simple ami. Ne me dis pas que tu m'as aimé réellement, ça serait te mentir à toit-même. » soufflais-tu d'un seul coup. Elle te relâchait, elle te laissait respirer une seconde, mais au final, tu savais qu'elle allait reprendre la parole. « Et peut-être que je t'étouffais, mais réfléchis une seconde, pourquoi j'étais comme ça. Car je t'aimais, même si je ne t'aimais pas comme elle, tu étais importante à moi. Et j'avais peur de te perdre, comme j'ai pu la perdre. Je n'ai rien pu faire pour la retrouver, la sauver et je n'ai pas envie que ça recommence. Voilà pourquoi je suis comme ça, pourquoi je suis possessif, jaloux et tout le reste. » tu reprenais doucement ta respiration pour planter tes prunelles dans les siennes. « Mes excès de colère, la drogue et la picole. Tout ça c'est lié au même problème et personne n'a jamais réussi à m'en sortir. Et ce n'est certainement pas toi, ni même Alexys qui vont m'en sortir. »
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La soirée idyllique avec coucher du soleil toussa toussa c’était un peu mort pour le coup. Tu avais plaquée Timoteï à la porte, le tenant par le col de son t-shirt et tu venais lui balancer tout un tas de choses à la gueule pensant le faire réagir un minimum mais c’était peine perdue, il était ancré dans sa connerie, dans sa merde et lorsqu’il te disait que finalement il n’avait pas plus envie d’être heureux que ça, tu cognais dans le mur au lieu de lui cogner dessus, car tu risquais de ne pas te contrôler. « Mais putain tu peux pas dire ça merde ! Tu ne veux pas être heureux ? Mais moi j’ai pas envie d’être avec un Timoteï malheureux alors tu n’as pas besoin de moi ! » Tu étais folle de rage, tu n’arrivais plus à te contrôler. Ton cœur battait de plus en plus vite et tu risquais de faire une syncope si tu continuais à t’énerver de la sorte. Mais Timoteï ne semblait pas vouloir se calmer et il continuait encore et encore te parlant de Konrad. Certes, son histoire était différente mais tu ne supportais pas qu’on te rebalance ça dans la gueule comme ça et là ce fût le coup de trop. Tu resserrais encore ton étreinte autour de son t-shirt. « Ne me parle pas Konrad s’il-te-plaît ! Oui c’est différent, je le sais que t’as souffert mais moi aussi j’ai souffert à cause de lui et je souffre encore alors que je ne devrais pas mais viens pas comparer nos histoires, car ça n’a rien à voir. Et puis y’en a marre de vivre dans le passé, il faut que t’ailles de l’avant merde ! » Tu le relâchais parce que tu risquais d’arracher son t-shirt si ça continuait. Tu comptais partir mais Timoteï venait te répéter une nouvelle fois que tu ne l’avais jamais aimée comme tu le prétendait. Tu bouillais et ta main venait s’écraser violemment contre sa joue. « T’es le seul mec, le seul mec à qui j’ai redonné ma confiance et réouvert mon cœur après le départ de Konrad, d’Emrys et la perte de mon bébé alors s’il-te-plaît Timoteï arrête de prétendre des choses tout ça parce que tu crois être plus malheureux que les autres. » Tu t’éloignais un peu de lui pour venir poser tes mains sur tes hanches. Tu lui tournais le dos jusqu’à ce qu’il parle d’Alexys. Tu te retournais brusquement. « D’ailleurs en parlant d’Alexys s’il n’y à qu’elle qui sait t’écouter, te calmer et tout et tout va la voir surtout si elle, elle t’aime, parce que je ne tiens pas à toi et je n’ai jamais eu aucun sentiment pour toi ! » Tu le poussais de devant la porte du chalet et tu ouvrais cette dernière. « Maintenant, je pense qu’il vaut mieux qu’on coupe les ponts au moins durant le summer camp. Parce que j’en ai marre de me faire incendier tous les quatre matins. Tout ce que j’aimerais c’est qu’un moment donné ça se calme et qu’on retrouve ce qu’on avait avant parce que oui tu m’attires mais ça tu le sais et tu en joues. » Tu rentrais dans le chalet pour récupérer ta bouteille de téquila. « Bonne soirée les gars ! » Tu buvais au goulot une grosse gorgée avant de récupérer une seringue sur la table. « Merci Max, je te la rendrais demain. » Tu déposais un baiser sur sa joue pour le remercier et tu décidais de quitter l’intérieur du chalet toisant Timoteï qui était toujours dehors.
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Ta soirée venait d'être totalement détruite, pour seulement quelques mots et surtout quelques seringues. Tu ne pouvais pas t'expliquer qu'elle t'en foutait pleins la gueule. Au final, le sujet change très vite pour se retourner contre toi. Tu ne faisais pas d'effort pour aller mieux, mais en même temps tu ne voulais pas aller mieux. Tu avais cette peur au fond de toi de te lancer dans l'inconnue, tu ne voulais pas souffrir comme tu l'avais fait avec Isadora. Tu en avais beaucoup trop souffert et tu avais peur que tout recommence, que tu sois mal, que tu ais envie de sauter d'un pont, de faire une overdose et de la rejoindre. Tu ne pouvais pas prendre ce risque, d'aimer une nouvelle personne, de s'y attacher pour la perdre. Tout simplement parce que toi et l'amour ça fait mille, tu n'es pas du genre romantique et encore moins doux et adorable. Tu ne savais pas comment t'y prendre, la preuve avec Grace. C'était une relation plus qu'étrange, des engueulades pour au final revenir vers l'autre. Et a vrai dire tu ne voulais pas t'engueuler tout le temps avec ta petite amie, dans le fond, ce n'est pas que tu voulais pas tenter, c'était juste la peur que tu avais. « Oui car toi, il te faut un mec qui a envie d'avancer, joyeux et tout le reste. Qui se drogue mais pas trop, qui te laisse faire ce qu'il veut mais pas trop. Que tu puisses danser et montrer tes miches, aller voir ailleurs et tout. Genre un couple libertin, moi j'ai déjà assez donné avec Isa. Et je ne recommencerais pas, et même si j'avais des sentiments pour toi. » lançais-tu sauvagement, essayant de se débarrasser de l'emprise de la demoiselle. N'utilisant pas ta force, de peur de lui faire mal. Tu arrivais encore à t'inquiéter de sa santé, alors qu'elle était tout simplement en train de te trucider et de te couper en petit morceaux comme les apéricube. Alors que tu balançais ce qu'il te venait à l'esprit, tu avais certainement du dépasser les bornes et elle te gifla, comme elle savait si bien le faire. Ta mâchoire se crispait, ainsi que tes poings que tu serrais, serrais tellement fort que la circulation du sang avait du mal à se faire. Ton regard noir, oui noir comme le néant, comme la mort. « Tu m'as peut-être ouvert le cœur, mais je pense qu'à se moment là. Il y avait encore un mec, que tu es allé rejoindre un peu plus tard. C'est pour ça que j'te disais ça, car même si on était en 'couple', tu as rampé à ses pieds. » soufflais-tu comme un serpent, susurrant ces paroles cinglantes. Tu rigoles, oui tu rigoles jaune, nerveux, tellement nerveux que tu perdais totalement le contrôle de toi-même. « Elle, m'aimer, oui en amitié. Elle n'a jamais eu aucun sentiment, mélange pas les rôles. » Car oui, c'était toi qui l'avait aimé, toi qui avait espéré bien plus qu'une simple et belle amitié, malheureusement son cœur était déjà pris. Tu avais mis du temps avant de penser à autre chose et remarquer, qu'il ne s'agissait pas de réel sentiments. « Tu préfères fuir, car après tout qui a commencé à s'enflammer, toi. Donc si tu veux tout arrêter, faisons-le, mais je ne reviendrais pas comme je l'ai fais la dernière fois. Peut-être que j'le sais ou même pas. J'en sais rien de ce que tu penses et à vrai dire si tu me crois capable de jouer avec les sentiments et tout ça, c'est que dans le fond tu ne me connais pas. » Tu t'écartais, la laissant entrer, l'observant du coin de l’œil. Toujours aussi proche de ton ami, tu levais les yeux au ciel, t'appuyant sur la rambarde en bois. Ou là, tu lâcha ta colère, en tapant un coup dedans, laissant les bouts de bois rentrer dans ta peau. T’abîmant la main et laissant une douleur, laissant quelques gouttes couler. Tu n'en pouvais plus, l'envie de rentrer et de te casser de l'université était de plus en plus forte.
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La discussion était complètement partie en vrille et après avoir accroché Timoteï et l’avoir giflée, tu préférais t’en aller parce que ça risquait de finir en bain de sang surtout s’il se mettait à te cogner dessus ce qui n’arrivera pas mais il était temps pour toi de te retirer. Mais avant ça tu comptais tout même lui répondre parce que ses paroles ne t’avaient pas plu. Tu le regardais une dernière fois droit dans les yeux et tu déversais ton venin une nouvelle fois, une énième fois depuis le début de cet échange plutôt houleux. « Timoteï j’ai fait une erreur, une seule erreur et je m’en veux encore de t’avoir trompé alors me le rebalance pas à la figure toutes les trente secondes parce que moi je ne dis pas que tu étais un mec qui avait plus d’attention pour ta pote que pour ta petite-amie. Et t’es gonflé de dire que je veux un mec qui se drogue mais pas trop et tout le bordel parce que t’es exactement pareil alors ne me fais pas la morale. Pour finir, le couple libertin ne m’intéresse pas loin de là mais j’ai besoin d’un mec qui ait des attentions pour moi hors je ne pense pas que m’abandonner pendant le spring break ça fasse partie des bonnes intentions. » Tu rentrais dans le chalet, empruntais une seringue à Max, le remerciais d’un bisou sur la joue. Et tu t’apprêtais à partir lorsqu’un bruit sourd te fit te retourner vers Timoteï. Cet abruti venait de cogner dans le bois et évidemment il venait de s’exploser la main bien comme il le fallait. Tu levais les yeux au ciel en regardant Max. « Lève-toi et retire ton t-shirt. » L’ami de Timoteï s’exécutait. Tu lui prenais son t-shirt et le déchirais en deux. Tu lui tendais un bout. « Va mettre de la glace là-dedans ! » Tu attrapais une serviette de bain posée là et tu allais vers Timoteï. Tu lui donnais la serviette de bain. « C’est pour mordre dedans, car ça risque de piquer. » Tu prenais te bouteille de téquila et tu imbibais le t-shirt de ce liquide. « Donne ta main. » Tu ne le regardais pas. Attrapant délicatement sa main tu venais la désinfecter avec le morceau de t-shirt imbibé de téquila. « T’es vraiment un guignol toi ! Putain mais arrête de cogner partout comme ça. » Tu soupirais calmement en le soignant. « Il va falloir qu’on trouve un terrain d’entente. On ne sait pas être ami, on n’y arrive pas et ne dis pas le contraire. Tu as du mal à me voir avec d’autre mec que toi et inversement, ce n’est pas être ami ça enfin pas pour moi. Alors, il va falloir qu’on trouve une solution, car tu ne peux pas te comporter comme mon mec sans l’être à me faire des scènes dès que je fais un truc qui ne te convient pas et inversement. » Tu n’osais pas le regarder, tu préférais le soigner alors que Max arrivait en courant avec la glace.
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Tu échoues toujours au même endroit, tu ne veux pas avouer tes sentiments, tu ne veux pas souffrir. Et tu t'empêches de vivre vraiment ta vie. Tu soupires, tu t'énerves, elle te rend totalement dingue. Elle te mène par le bout du nez, elle te contrôle comme elle le désire. Elle a un effet si négatif comme positif sur toi, ça t'effraie, ça te fait tellement peur. Elle n'avait pas tord, tu l'avais abandonné et tu avais continué ta soirée en compagnie de ta meilleure amie, Alexys. En même temps, tu l'avais croisé dans ce bar, là ou tout le monde lui payait des verres. Tu n'avais aucune envie qu'un homme la trimballe chez lui, une fois pleine et lui fasse diverses choses. Tu avais préférer la protéger et la prendre sous ton aile que de la laisser au milieu de ce bar. Tu aurais du envoyer un message à ta petite amie, tu aurais du la tenir au courant. Mais, tu n'avais pas pensé à tout ça, tu avais encore du mal avec le mot petit amie car au final, tu appréciais énormément Alexys. Tes sentiments se mélangeaient, ne pouvant plus séparer petite amie et amie. Voilà pourquoi tu avais totalement tout gâché et tu arrivais encore à t'en vouloir. En guise de réponse, tu tournais la tête, après tout, tu n'avais plus rien à dire pour ta défense, préférant t'isoler dans un coin de la terrasse en bois. Au lieu de te contrôler et de retourner sagement à l'intérieur et de faire comme si rien ne s'était passé. Toi, tu tapais d'un seul coup dans la palissade en bois, une fois puis deux. T'ouvrant totalement la main, laissant du sang couler, sentant ton cœur battre plus rapidement. La colère qui commençait à se dissoudre et à s'évaporer. Te blesser, tu n'avais trouvé que cette solution pour te débarrasser de toutes ses pensées négatives. Alors que tu pensais qu'elle allait te laisser seul, malheureusement tu te trompais. Elle déchirait en deux un t-shirt et elle s'avançait avec une bouteille à la main. Plus d'un fois tu avais eu le droit à ça, n'ayant pas de désinfectant sous la main. « Je n'en ai pas besoin. » posant la serviette sur la rambarde. Après tout, ça allait te brûler, te piquer et alors ? Tu ne méritais que ça non ? Elle déposait une première fois le bout de tissu imbibé d'alcool, tu serrais doucement ton poing avec ta mâchoire légèrement tendue. « Tu préfères que j'tape sur quelqu'un ? » lançais-tu avec une légère froideur. Elle n'avait pas tord, au contraire elle avait totalement raison. Tu n'étais pas qu'un simple ami, tu n'étais pas non plus son petit ami. Même si dans le fond, tu pouvais peut-être l'être ? Tu baissais un instant les yeux pour au final, regarder Max avec son t-shirt en deux. Un léger sourire sur le bord de tes lèvres, tu prenais la glace et son t-shirt dans ton autre main, repartant tranquillement vers ses potes. « Je suis d'accord... » tu soulevais doucement le menton de ton amie avec tes doigts et sans lui demander son avis, tu déposais tes lèvres contre les siennes.
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