Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility∟SURVIVRE L'UN SANS L'AUTRE, JAMAIS ▬ blake
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∟SURVIVRE L'UN SANS L'AUTRE, JAMAIS ▬ blake

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∟SURVIVRE L’UN SANS L’AUTRE, JAMAIS✗ Voilà, j’étais de retour du Summer Camp, je devais bien retourner travaillé, les vacances avaient été de courte durée, j’avais pas vraiment vu grand monde, j’avais essayé de m’amuser comme à mon habitude. Je devais avouer que retrouver mon bar, me faisait du  bien, j’aimais être ici, je rencontrais du monde, je pouvais discuter avec eux, une fille qui aimait écouter comme moi, se sentait à sa place. Travailler j’en avais besoin, ça me permettait de me vider la tête, la soirée ne faisait que commencer, les gens allaient et venaient, j’enchainais les préparations de cocktails, les shooters. Je commençais à fatiguer mais c’était mon boulot après tout et être le bar le plus fréquenter de la ville, avait ces problématique. Ce qui me faisait rire dans mon métier c’est les hommes qui passaient leur temps, à me draguer, j’étais nul pour ça mais je les laissais faire, d’ailleurs j’étais en pleine discussion avec l’un d’eux. Je me pinçais les lèvres cachant mon malaise, souriante comme toujours, seulement lui devait prendre ça pour de la drague réciproque. Je me demandais si j'allais sortir de cette situation, alors je commençais à préparer la nouvelle tournée qu'un client venait de me demander.
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Fonçant comme un dingue, j'appuyais encore sur l'accélérateur. Pourvu que je ne me fasse pas arrêter, pourvu que j'arrive vite. J'étais parti à Summer Camp il y a quelques jours pour plusieurs raisons, une d'elle étant Arwën, ma meilleure amie. Elle me manquait, elle et ses paroles rassurantes, elle et sa naïveté. J'avais foncé dans le Sumer Camp pour la retrouver et j'apprenais qu'elle était partie. Pourquoi ? Qu'est ce que j'avais fait de mal ? Tu vas bientôt le savoir. En effet, j'étais arrivé devant le bar où elle travaillait d'habitude. Etant donné qu'elle ne répondait pas à son portable, ni à son fixe, autant aller la voir sur son lieu de travail non ? Poussant les portes, énervé, je n'eus besoin que de quelques secondes pour la trouver, discutant avec un homme, donnant l'impression de le draguer. « Une bière s'il te plait » lui commandais-je une fois au bar, la fusillant du regard. Elle avait intérêt à avoir des arguments, et des bons parce que, honnêtement, cette rage qui me possédait n'était pas prête de s'en aller. « Dégage » lançais-je au type à côté de moi. Découragé ou fatigué, je ne sais trop, il m'obéit. « Alors voilà pourquoi t'es parti du Summer Camp ? Pour draguer des clients ? Bravo, quel exploit. »
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∟SURVIVRE L’UN SANS L’AUTRE, JAMAIS✗ Je continuais cette discussion qui ne menait nul part, essayant de prendre sur moi pour être la plus aimable possible. Je terminais de préparer la commande tandis que je reprends ma discussion, il est bavard et il ne fait que parler de lui, je crois que j’en sais plus sur lui que sur moi même là. « Une bière s'il te plait ». Je lève les yeux et je tombe sur mon meilleur ami, un large sourire étire mes lèvres, il m’avait manqué, je ne l’avais pas vu depuis une semaine. Il faut dire que j’avais filé au Summer Camp et ensuite, j’étais rentré, j’avais pas eu le temps de le prévenir, de plus tout était allé très vite. J’avais envie de faire le tour du comptoir et de lui sauter dans les bras. « Dégage » Oh, oh, il semblait en colère, je reconnaissais bien là, la jalousie de mon meilleur ami, alors l’envie de câlin allait attendre parce que je sentais que j’avais fait quelques chose mais je ne savais pas quoi. « Alors voilà pourquoi t'es parti du Summer Camp ? Pour draguer des clients ? Bravo, quel exploit. » Quoi ? Mais qu’est ce qui allait pas chez lui, il était super en colère, je draguais pas j’étais rentré pour travailler, c’est pas les retrouvailles que j’avais espéré là, lui et moi, ne se lachant plus. Je suis partie parce que comme tu le vois, je dois travailler ! Et puis mince, j’allais pas me justifier, lui il était le gars qui passait son temps avec des filles, bien qu’il savait à quel point je détestais ça. Il était à moi et rien qu’à moi, le partager me rendait cingler. Non, mais c’est quoi le problème, Blake ? Quand c’est toi qui drague les meufs, je te vois pas leur dire de dégager ! Je draguais pas d’abord ! Dis je un peu véxé d’avoir un tel accueil.
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« Je suis partie parce que comme tu le vois, je dois travailler ! » se justifia Arwën tandis que je buvais quelques gorgées, tentant d'ignorer ses paroles. De ce que j'avais vu, le pincement de lèvre et tout le reste, elle était entrée dans jeu du mec – qui d'ailleurs n'avait pas l'air très fréquentable. Malgré le fait que ce n'était pas son genre, que je ne la connaissais pas ainsi, je ne pouvais m'empêcher de me faire des films, et si elle avait envie d'aller voir ailleurs ? De se rapprocher d'autres mecs ? Tais toi Blake, t'arranges pas les choses là. Ouais, il fallait que je me calme. On s'était enfin retrouvé, ce n'était pas pour passer la nuit à s'engueuler, si ? Apparemment, Arwën ne semblait pas être de cet avis puisqu'elle continua : « Non, mais c’est quoi le problème, Blake ? Quand c’est toi qui drague les meufs, je te vois pas leur dire de dégager ! Je draguais pas d’abord ! » Je posais brutalement la bière sur la table, fusillant Arwën du regard. Pour qui se prenait-elle ? Je n'étais pas aussi sensible qu'elle, moi ! Mon cœur ne se brisait pas aussi facilement, entre nous deux, elle était celle qui avait besoin d'un protecteur, pas l'inverse ! « Parce que tu n'a pas à leur dire de dégager, j'évalue tout seul si la fille en vaut la peine ou non, contrairement à d'autres » balançais-je, la voix tremblant de colère. Retiens toi Blake, ne va pas plus loin. Trop tard. La machine était lancée. Inspirant un grand coup, je rajoutais : « Peut être que je saute sur tout ce qui bouge, peut être que t'écartes trop tes jambes mais, entre toi et moi, t'es la plus faible donc ouais, je dis aux mecs pas fréquentables de dégager. » Que ça te plaise ou non, Arwën, je veillerais sur toi. Même si pour ça tu finis par me haïr.
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∟SURVIVRE L’UN SANS L’AUTRE, JAMAIS✗ J’étais énervée, moi Arwën la fille la plus douce du monde, j’étais en colère contre mon meilleur ami, en même temps y avait que lui pour me mettre dans cet état. Je préparais les verres et je perdais patiance, je m’arrêtais et le fixais d’un regard glaciale. « Parce que tu n'a pas à leur dire de dégager, j'évalue tout seul si la fille en vaut la peine ou non, contrairement à d'autres » Non, mais je rêve pour qui il se prenait lui seul pouvait savoir ce qui était bon ou non pour moi, je pouvais pas le croire qu’il se la joue comme ça. Tu es sérieux en plus, mais j’en ai rien à foutre qu’elles soient bien ou non, tu devrais même pas en voir devant moi donc déjà ça devrait te calmer ça. C’est vrai, il pensait que ça me faisait quoi à moi de le voir avec d’autres filles à se faire draguer et séduire sous mes yeux. Je prenais toujours sur moi, la gentille meilleure amie, compréhensive et bien là, elle avait envie de dire merde. « Peut être que je saute sur tout ce qui bouge, peut être que t'écartes trop tes jambes mais, entre toi et moi, t'es la plus faible donc ouais, je dis aux mecs pas fréquentables de dégager. » Wow, le verre que j’avais dans la main se brisa sur le sol, du au choc que je venais de me prendre du à ces paroles, j’avais envie de le giffler à cet instant. Mon coeur se brisa en mille morceaux face à ces mots blessant du jeune homme. Je sentais la rage me prendre en plein coeur. Non mais pour qui tu te prends au juste, tu m’as prise pour une pute ou quoi ? Pour une faible ? Putain mais j’ai vu mes parents mourir sous mes yeux, j’ai fini en pension et tu me parles de faiblesse ! T’es vraiment un gros con ! Je jetais mon tablier et je quittais le bar en claquant la porte, les larmes coulant sur mes joues.
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Tais toi. Arrête de parler, je t'en supplie. Je suis un connard, ça on le sait depuis longtemps, mais ces temps-ci on dirait que tu ne me supportes plus. Je sais pas ce que j'ai fais mais s'il-te-plaît, me laisse pas tomber. Pas comme mon père. T'a tout le temps été là pour moi, tout le temps été sympa avec moi, peu importe les pires merdes que j'ai pu te faire. T'avais raison, je n'avais aucun droit de dire ça. J'avais aucun droit de te pourrir ta soirée et pourtant j'étais là, totalement déstabilisé, le regard baissé sur mon verre de bière pendant que tu te lâchais, me demandant pour qui je t'avais prise. Une pute ? Une faible ? Rien de tout ça, Arwën. S'il y avait bien une chose que je savais, une chose dont j'étais sûr, c'était la force dont tu faisais preuve. Pas besoin de me rappeler ton passé, merde ! Tu comprends pas, Arwën ?! Tout ça, ça me fait peur, l'amitié, les beaux sentiments, c'est pas pour moi ! Un jour j'aurai grandi, un jour je serai un homme bien mais pas aujourd'hui, ma fierté m'en empêchait. Cette fierté qui m'avait accompagné toute ma vie, celle qui m'avait empêché de souffrir mais là, elle était un handicap. Alors, me levant, je la mettais de côté pour te suivre, pour essuyer ces larmes que j'avais vu perler. « Arwën.. » murmurais-je d'une voix brisé. Un silence de quelques minutes s'écoulait, le temps que je trouve mes mots, de simples excuses n'étant sûrement pas acceptables. « Je sais pas quoi te dire.. Tout ce qui me vient à l'esprit, ce sont des excuses, j'ai pas voulu te blesser, c'est juste que.. ». Je m'arrêtais là, ma voix se cassant tellement le reste était dur à admettre. Pourtant j'inspirais un grand coup et finis : « ...que je suis une ordure. »
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∟SURVIVRE L’UN SANS L’AUTRE, JAMAIS✗ Je me retrouvais dehors, devant le bar assise sur les marches à me ridiculisé, les larmes coulant à flot sur mes joues, je m’attendais pas à ce qu’il soit aussi cruel, pas lui, par ma moitié, la personne qui comptait plus que tout pour moi, après tout on s’était sauver mutuellement et voilà que c’était lui qui me faisait du mal. Je tentais de surmonter ça mais je me rendais compte qu’en effet face à Blake j’étais faible. Comment pouvait il être aussi dure avec moi, j’avais rien fais de mal, il était tout pour moi et je comptais pas changé ça, je savais qu’il m’en voulait d’avoir pris mes distances mais c’était volontaire d’une certaine manière, allé au Summer Camp ensemble, c’était se voir mutuellement entourés d’hommes et de femmes. Mais il refusait de comprendre, il m’en voulait tellement qu’il en devenait aveugle, je tentais d’essuyé mes larmes pour récupérer la vue. « Arwën.. » Le son de sa voix, me fit frémir, je sentais à quel point il était mal, on se connaissait par coeur tous les deux, une part de moi le comprenait mais l’autre lui en voulait de m’avoir juger aussi mal. Je gardais la tête baissé. « Je sais pas quoi te dire.. Tout ce qui me vient à l'esprit, ce sont des excuses, j'ai pas voulu te blesser, c'est juste que.. ». Attention, suspence, je réfléchissais à comment j’aurais pu le qualifier ce soir. « ...que je suis une ordure. » Bingo, il avait tapé dans le mile, j’aurais pas trouvé mieux, je devais bien l’avouer, je relevais la tête pour le regarder, les yeux rougit par les larmes, je voulais pas qu’on en arrive là mais cette fois on avait touché le fond, les sentiments j’y comprenais rien, comment on pouvait aimé quelqu’un et ce faire autant de mal. Qu’est ce que je t’ai fais pour que tu sois aussi méchant.. oui je t’évitais parce que je voulais pas qu’au Summer Camp je sois obligé de te partager.. J’arrivais à prononcer ces quelques mots, bien que j’avais toujours des larmes dans la voix. Je me mords la lèvre alors que j’ai juste envie d’être contre lui.
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Ses yeux étaient rouges à cause des pleurs, à cause de la tristesse, celle que je lui avais imposé alors que je m'étais juré de ne jamais lui faire de mal. Et pourtant. Ce soir était le pire qu'on ait pu passer ensemble car, la plupart du temps, il suffisait d'excuses et tout était réglé, l'on retrouvait notre complicité d'antan mais là était différent. Ce sont ces situations que je qualifierais de catastrophiques, celles-là que je voudrais oublier car rien ne fait plus mal que de voir pleurer nos proches par notre faute. Dans ces moments-là, on avait l'impression d'être le méchant dans les contes de fées, celui sans morale, qui n'a pas le droit à une fin heureuse. Mais un méchant peut se rattraper si une personne lui ouvre les yeux. Cette personne là, pour moi, c'était toi Arwën. Je ne pouvais pas te blesser et ne rien faire. Surtout quand tu me traites de « méchant » en m'expliquant que, si t'étais partie, c'était pour des intentions que tu pensais être bonne même si, pour moi, elles s'avéraient être insignifiantes. « Tu sais que ça sert à rien que tu partes, là ou pas là, je me serais amusé avec d'autres filles.. » je me tus d'un coup. Décidément je ne faisais vraiment que des conneries ce soir. Dire ça n'était vraiment pas la chose à faire. Je détournais le regard, le temps de trouver par où commencer. Finalement, je préférais être franc et qu'elle encaisse tout d'un coup, le tact n'étant pas vraiment mon truc : « On appartient pas l'un à l'autre d'accord ? Je veux dire.. On sort pas ensemble toi et moi et on a aucun droit sur l'autre. Alors ouais ça me fait mal quand je te vois avec d'autres mecs parce que je veux pas que tu me laisses tomber et ça sera toujours comme ça, j'en suis désolé ». Je l'observais d'un air triste, tentant désespérément de me faire pardonner. « Je changerai pas Arwën, faut que tu comprennes ça, j'agirai souvent en connard et comme ce soir, je m'en voudrais à mort mais je suis comme ça alors, s'il-te-plaît, me laisse pas tomber. »
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∟SURVIVRE L’UN SANS L’AUTRE, JAMAIS✗ « Tu sais que ça sert à rien que tu partes, là ou pas là, je me serais amusé avec d'autres filles.. » C’était facile à dire pour lui, alors qu’il venait de me faire une scène parce que je parlais à un homme, c’était tout lui, quand il s’agissait de lui, il avait droit mais moi il ne supportait pas, fallait qu’il se mette à ma place aussi parfois, je disais jamais rien mais ce soir, j’étais sorti de mes gonds. Puis un silence douloureux s’installa, je savais que ce qu’il allait dire serait dure parce que c’était sa manière d’être et de fonctionner, moi j’apprenais les sentiments et le fonctionnement de l’humain mais lui, il faisait tout pour rayer ces choses là de sa vie, pour se protégé du à son passé. Je savais que nous étions des opposées mais on se complétait, on devait juste apprendre à surmonter cette nouvelle épreuve. « On appartient pas l'un à l'autre d'accord ? Je veux dire.. On sort pas ensemble toi et moi et on a aucun droit sur l'autre. Alors ouais ça me fait mal quand je te vois avec d'autres mecs parce que je veux pas que tu me laisses tomber et ça sera toujours comme ça, j'en suis désolé ». Je l’écoute et les mots me manquent, je me contente de le laissé parlé sur le moment, je réfléchis à ce qu’il dit et il a pas complètement tord, je vois juste pas toujours les choses de la même manière que lui. « Je changerai pas Arwën, faut que tu comprennes ça, j'agirai souvent en connard et comme ce soir, je m'en voudrais à mort mais je suis comme ça alors, s'il-te-plaît, me laisse pas tomber. » Mes yeux se posent sur lui et je peux sentir sa détresse dans la voix, il a réellement peur que je le laisse tombé, ça me touche et je pose ma tête sur son épaule en essayant de trouvé les mots pour exprimer ce que je peux ressentir moi aussi, après tout c’est le moment des confidences. On s’appartient pas c’est vrai, mais je refuse que tu prennes tes distances, que tu sois plus autant là parce qu’il y a une fille dans ta vie. Tu sais que l’amour ça va, ça vient, ce qu’il y a entre nous c’est plus que ça et je préfère finir seule que te perdre toi Blake. Tu es ma moitié, même si t’es un connard, je sais que tu veux pas me blesser volontairement, jusque parfois réalise à qui tu parles. Tu me perdras jamais, je te le promets.
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Elle posa sa tête sur mon épaule, peut être pour me rassurer, peut être dans un élan de compassion, je n'en savais rien et, honnêtement, la réponse ne m'intéressait pas. J'entourais sa taille de mes bras comme pour répondre à son geste, comme pour la convaincre que j'étais véritablement désolé, même si ceci se reproduira encore et toujours. Finalement, elle se décida à parler, lâchant un flot de paroles rassurantes, qui me calmèrent aussi tôt, appuyant le fait qu'on ne s'appartenait pas mais que, elle aussi, refusait qu'on s'éloigne l'un de l'autre. Mais la partie que je retins véritablement dans ce mini discours était la suivante : « Tu sais que l’amour ça va, ça vient, ce qu’il y a entre nous c’est plus que ça et je préfère finir seule que te perdre toi Blake. Tu es ma moitié, même si t’es un connard, je sais que tu veux pas me blesser volontairement, jusque parfois réalise à qui tu parles. Tu me perdras jamais, je te le promets. » C'était tout nous ça, exprimer en plusieurs phrases ce qui aurait pu être dit en seulement trois mots, je t'aime. Mais c'est comme ça qu'on se comprenait, on avait trop de fierté pour tout admettre mais on faisait des efforts, lisant à travers les lignes. Caressant ses cheveux de ma main gauche, je déposais un baiser sur son front avant de lui dire : « Même si je passe au stade supérieur de connard ? Parce que c'est ce qui risque d'arriver si quelqu'un te fait du mal. Il redéfinira le terme d'ordure. » C'était une tentative de plaisanterie pour alléger l'atmosphère, celle que je ne supportais plus. Me décalant d'elle, je lui fis un clin d'oeil pour qu'elle comprenne : j'allais faire des efforts mais si je rechutais dans la jalousie alors je m'excusais d'avance. Après tout l'homme n'est pas prévisible, l'homme est un animal qui suit son instinct.
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