maybe i need to apologize.

Il était vrai que Tate était quand même assez canon, et que je n'avais pas eu de mal à dire oui quand j'avais vu sa gueule d'ange alors que j'allais intégrer la maison Eliot. Même si je n'avais pas eu ce défi à réaliser, je l'aurais tout de même fait puisque je le trouvais canon. Canon et sexy, il ne faut pas se mentir. Ce qui me fait le plus rire dans cette histoire est sans doute le fait qu'il vient presque me réprimander d'avoir fait cela, mais aussi que je suis quasiment sûr qu'il n'est pas capable de me résister. C'est bien ce que j'allais tester dans quelques minutes, mon idée restant coincée dans un petit coin de ma tête. « Cela me rassure tellement de savoir que tu as confiance en toi, je ne voulais pas briser ta confiance en t'annonçant cela, si je l'avais perdu, j'aurais regretter tu sais. » Autant mettre les cartes sur table, établir la vérité et repartir sur des bases solides et claires. Mettant mon plan à exécution, j'arbore mon sourire séducteur, ce sourire que j'aime faire quand je ne veux pas qu'un homme me résiste, laissant mon doigt vagabonder sur sa veste, tentant une nouvelle fois de l'attirer dans mes filets. « Pourquoi je te fais quoi Tate ? Je ne fais rien pourtant.. » Le regard emplit de malice, je me recule pour m'asseoir sur la table et laissait balancer mes jambes dans le vide. Je ne savais pas ce que j'attendais qu'il fasse mais il s'approchait de moi, ce qui déclenchait en moi une entière satisfaction. Peut-il me résister ? Je ne sais pas, j'en doute mais je ne veux pas m'avancer trop vite. Je ne veux pas me faire de fausses idées et me dire que nous allons encore terminer dans le même lit, alors que peut-être il me stoppera et me dira qu'il veut que du physique mais pas aujourd'hui. Je serais frustrée, mais j'encaisserais la chose, je ne dirais rien, mais je retiendrais. « Purement physiquement... Tu sais très bien que je ne demande que cela Tate. » Mes yeux se plantent dans les siens, et ma main vient trouver sa fermeture éclair pour la faire descendre légèrement. Mes lèvres viennent trouver sa mâchoire, lentement, subtilement. Puis je le repousse doucement et me dresse devant lui, joueuse. « Tu aimes ma robe ? » Que le jeu commence.

Il m'en fallait plus pour perdre confiance d'habitude mais je crois que sa me prendrait juste du temps pour diriger ce sale coup fait pour Phoenix, j'avais pas assez de soucis comme sa, voilà que sa venait rajouter une couche sur mes épaules. Toujours en étant hypnotise par cette belle blonde, je lui dis: ''Phoenix mon ange, il m'en faut plus pour douter de moi mais je vais juste avoir besoin de temps c'est tout.''. Définitivement, j'avais un faible pour les femmes Eliots et surtout les blondes, je savais que je devais être en colère en ce moment contre la demoiselle Cahill mais un côté de moi ne pouvait pas lui faire la tête, j'avais besoin de sa presence mais aussi de son honnêteté. Je m'étais approché d'elle, je luttais mais on dirait que la seule solution qui s'offrait à moi pour passer ma colère était d'être près d'elle, mon esprit était confus et je ne savais plus ce que je voulais. Devrais-je seulement partir et la laisser là sur un souffle? Lui faire la tête jusqu'au temps que je pouvais lui pardonner? Il semblait qu'il y avait aucun raisonnement possible pour moi ce soir. Je me renfrognais un peu et lui dit mon visage tout près d'elle: ''Je ne sais plus quoi penser Phoenix, tu n'aides pas.''. Je sentis sa main qui s'attardait sur ma fermeture éclair, mon corps se détendit, la vilaine elle était douée. Encore un baiser plutôt féroce, elle se dressa devant moi, ce qui me frustra un peu mais c'était le but du jeu quand même. Je la suivis du regard et elle me demandait si j'aimais sa robe. Je souriais et m'approchait de nouveau d'elle. Mes mains caressa ses bras et toujours en la regardant, mes mains se fit un peu plus baladeuses pour que je réussis à faire tomber sa robe sur le sol. Je dis: ''Elle est super ta robe mais elle est mieux sur le sol.''. Je venais l'embrasser sur la joue et fit mine de partir vers la porte de sortie.

J'ai le chic pour perdre la confiance des gens ou pour la mettre au défi. Oui, j'ai déçu beaucoup de personne mais je m'en fiche, parce que personne ne pourra m'atteindre, enfin c'est ce que je crois encore mais je suis sûre qu'au bout d'un moment je finirais par être impacter par les personnes que je perd. Comme j'ai pu perdre mon père ou du moins m'éloigner de lui après que j'ai fais un scandale quand j'ai appris pour la tromperie qu'il a fait à ma mère. « Oui je comprend totalement » Je ne peux que comprendre parce que de toutes façons, c'est toujours ça. Il me faut du temps Phoenix, laisse moi du temps Phoenix. Bla. Bla. Bla. Mais même dans des situations cocasses comme celles-ci, je trouve encore le moyen de jouer, d'aguicher, de tenter le diable. Pauvre fille. Une jour, je ne serais plus la joueuse mais la jouée et je crois que je ne rigolerais pas autant que je peux le faire la. Jusqu'au jour où j'en aurais assez. Quand il me dit que je ne l'aide pas à réfléchir, je me contente de sourire. Tant mieux, c'est le but recherché. J'aime tellement me jouer de Tate parce qu'il ne se laisse pas faire, parce qu'il n'est pas comme les autres, il est autant joueur que moi, bon avant de savoir que j'étais juste impliqué dans un jeu stupide de fratrie, mais je suis bien heureuse qu'il soit comme ça. Qu'il soit comme ça avec moi et certainement avec les autres filles, mais tant pis, de toutes façons, le jour ou je voudrais être stable avec quelqu'un ça se saura, il faudra peut-être faire une annonce dans Cambridge's Secrets ou je ne sais quoi. Lorsque ses mains s'attardent sur mes bras, je me demande s'il craque, je sens un frisson me parcourir la peau et non. Je sens ma robe qui glisse sur le sol et je fronce les sourcils, mécontente parce que je vois qu'il file, qu'il s'échappe après avoir dépose ses lèvres sur ma joue. « Vraiment ? Tu vas partir ? Après avoir fait ce geste tentateur ? » Je me mords la lèvre avant de me placer rapidement devant lui. « Tu vas vraiment partir ? Tant pis alors... » Je dépose alors mes lèvres sur sa joue pour un baiser furtif avant de me caler sur le côté de la porte pour que personne ne me voit dans cette tenue, même si avec mon boulot j'ai l'habitude et j'ouvre la porte « Tu connais le chemin de mon chalet maintenant... » Mais reste...

C'était bon et peut-être con mais j'aimais tellement jouer le jeu avec Phoenix. Elle m'avait peut-être rendue en colère mais cette tension entre nous, c'était dur à contrôler. J'avais toujours eu de la misère à ne pas écouter les pulsions de mon corps lorsque j'étais vraiment attirée par une jolie fille. Je jouais le jeu depuis longtemps et Phoenix avait rapidement appris que si elle cherchait un mec aussi joueur qu'elle, j'étais le candidat idéal. Après avoir utiliser mes mains plutôt baladeuses pour lui enlever sa jolie robe sachant fort bien qu'elle en aurait pas besoin, je lui tournais le dos et poussa l'audace de me rendre jusqu'à sa porte pour quitter le chalet. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire de façon malicieuse, bien fier de mon coup, sachant qu'elle ne l'accepterait pas. Je voulais que Phoenix puisse goûter à sa propre médecine. J'allais mettre ma main sur la poignée de la porte lorsque je me fis rattraper par la bizut Eliot. Je riais en voyant sa mine, mi-énervée mi-joueuse et presque décue. J'écoutais ses paroles en remontant ma fermeture éclair que j'avais oublié de remonter au passage. Je savais ouais où se trouvait son chalet. J'ouvrais la porte et la fixa un moment. Hmmmm je sentais que j'allais le regretter mais...

''Et puis merde.''

Je fermais la porte avec ma jambe, verouilla la porte et rejoignis Phoenix en l'embrssant. Elle m'avait poussé à bout. Je l'accotais contre le mur et l'embrassait encore plus, comme si nous étions seuls au monde. Je la soulevais, enroula ses jambes autour de ma taille. Je collais mon front contre le sien en reprenant mon souffle et lui dit:

''J'en ai loin d'en avoir fini avec toi mais c'est bon.''

Je l'apportais avec moi et me déplaca et prit la première chambre que je vis.

Tate était le seul homme avec qui j'aimais vraiment jouer, les autres personnes n'étaient que des pions pour moi parce qu'il tombait trop vite dans mes filets mais Tate non. Lui, il est joueur, taquin et il ne supporte pas que sa fierté soit atteinte comme ce soir. Et j'aime bien le provoquer, provoquer sa colère. Sauf qu'il est beaucoup plus joueur que moi das certains cas et aujourd'hui encore plus que d'habitude, surtout quand il m'ôtait ma robe et qu'il me laissait en plan en sous-vêtements, là dans mon chalet. Il me cherchait clairement et je ne voulais pas qu'il gagne c'est pour cela que je le doublais avant qu'il parte pour lui ouvrir la porte et lui dire de partir sans vraiment lui dire Au Revoir. Il savait où se trouver mon chalet même avant que je ne lui dise puisqu'il était la. Mais je me contentais de lui rappeler. Je le voyais qui me fixer et je me mordillais la lèvre attendant de voir ce qu'il allait faire. Sa phrase me fit sourire et je n'ai pas eu le temps de répondre qu'il prenait mes lèvres en otage, je prolongeais son baiser de façon hargneuse, laissant ma langue cherchait la sienne, tandis qu'il me plaquait contre le mur. Lorsqu'il me portait, mes jambes se serraient contre sa taille et je laissais mes soupirs s'échappaient. Lorsque nos lèvres s'éloignent, je reprend mon souffle et je le fixe, me mordant la lèvre et entourant sa nuque de mes bras. « Moi non plus j'en ai pas fini avec toi... » Je le laissais m'emporter dans une chambre qui était heureusement la mienne, je ne voulais pas coucher dans la chambre d'un de mes colocs. Allongée sur le lit, je retirais sa veste en la balançant dans la pièce tandis que mes lèvres s'écrasaient sur les siennes. « Je n'attendais que ça... » Oui, il faut que je le dise, il fallait que je lui dise que j'avais envie de lui depuis le moment où il était entrer dans mon chalet.

Phoenix rendait fou, elle avait un petit truc spécial qui faisait qu'on voulait la connaître un peu plus. Elle était une superbe fille et n'importe quel mec tomberait à ses pieds. J'avais trompé mon ex-copine en couchant avec Phoenix et depuis on avait remis sa à plusieurs reprises mais je ne pouvais pas m'empêcher de la vouloir, de me battre pour qu'elle pose le regard sur moi. Je n'avais pas prévu que notre dispute se termine sur l'oreiller mais il semblait que c'était juste naturel. Je l'avais nargué, elle avait répliquée et sa tombait seulement que j'allais lui concéder la victoire une nouvelle fois, elle était douée miss Cahill pour sa.  Je l'avais tout contre moi et j'avais pris la première chambre qui était apparu dans ma champ de vision pour aller régler sa avec elle. Je l'allongeais sur le lit, je l'avais déjà mis en sous-vêtements alors je la laissais me débarasser de ma veste et la balanca dans un coin. Je l'embrassais aussi ardent à chaque fois. Elle murmura qu'elle attendait que sa de ma part, je souriais et lui dit en venant l'embrasser dans le cou: ''Tu es une vilaine fille Phoenix.''.

J'aimais l'emprise que j'avais sur lui et je comptais bien continuer d'avoir cet foutu emprise. J'allais jouer encore et encore avec lui, le rendre fou à lier, parce que je savais qu'il n'attendait que ça. Il n'a aucune motivation, il venait ici pour me prendre la tête et nous étions dans le même lit, à moitié nus. J'aimais me sentir victorieuse autant que j'aimais avoir ses doigts le long de ma peau, et autant que j'aimais sentir ses lèvres contre ma peau. Il est capable de me rendre fou autant que je suis sûre que je le fais. Nos moments étaient à la fois doux et bestiaux, comme si nous n'étions deux animaux. Ses affaires volaient à travers la pièce et je lui laissais prendre le contrôle de nos ébats. « T'es une vilaine fille Phoenix » Je ne dis rien et je me contente de sourire en coin, fermant les yeux au contact de ses lèvres contre mon cou, tandis que mes mains se baladent contre sa peau, retirant son dernier vêtement.

Lorsque nos corps se relâchent, je soupire doucement avant de caresser sa joue du bout du doigt, glissant à ses côtés, reprenant une respiration normale, il va me faire devenir folle. « Vous n'avez aucune volonté monsieur le président... » Et je dépose doucement mes lèvres sur les siennes.

J'allais devoir trouver de nouveaux moyens de me contenir avec Phoenix, mais c'était difficile. Avant que je sache ce qu'elle avait fait, je devais avouer qu'elle était une de mes faiblesses. Je tenais énormément à elle, autant comme une amie à la Eliot House, comme sexfriend également, elle était tout simplement divine. Elle réussissait à me rendre fou genre, dans le sens que j'avais besoin d'elle, pas juste pour combler un besoin physique mais c'était qu'elle exerçait un pouvoir sur moi, elle levait le petit doigt et j'exécutais ces désirs, je devais me corriger. Je menais nos mouvements et en peu de temps, Phoenix pouvait savoir tout ce que je ressentais pour elle et ...

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Après des moments doux comme intenses, nos corps n'étaient plus unis ensemble, prenant une pause. Je reprenais mes forces et mon souffle, c'était intense comme à chaque fois. Je lui souriais et caresser son corps sous les draps qui nous couvrait tous les deux. Ah Phoenix, comment je pouvais me passer de toi, c'était tout simplement impossible. Je souriais à ses remarques et dit lui en prenant son visage entre mes mains: ''Vous êtes la raison de mon manque de volonté trésor, qu'est-ce que tu me fais Nix?''.