maybe i need to apologize.

Le paréo autour de la taille, j'enfile mes lunettes de soleil avant de regrouper toutes mes affaires dans mon sac de plage, j'ai envie de cuisiner ce soir, il va falloir que je passe à l'épicerie, je compte faire le plat préféré de Will à défaut de pouvoir m'occuper de mon frère, je m'occupe de mon cousin. Roth-Spiegelman toujours à s'occuper de sa famille. On ne pourra pas me reprocher cela si un jour je finis six pieds sous terre à cause de cette foutu maladie. Je salue Livia avant de me diriger sur le chemin du retour dans l'espace chalets. J'aime bien la chaleur, mais il faut dire que la, c'est un peu trop, je déteste avoir trop chaud, je suis un peu compliquée comme fille, je sais. J'envoie un sms à Will pour le prévenir que c'est moi qui cuisine ce soir et pour savoir s'il serait accompagné ou non. Parce que quand je l'ai quitté avant de partir, je pouvais percevoir qu'il était en bonne compagnie. Mais je ne pense pas que cette fille restera, j'ai l'habitude de le voir arrivé avec une fille, de l'entendre faire son affaire et de la voir partir. C'est comme que marche Will Roth-Spiegelman. Rangeant mon téléphone, je vois Tate devant mon chalet, je fronce alors les sourcils. « Tate ? Un souci ? » Je ne pense pas qu'il veuille qu'on couche ensemble, il préfère être discret et moi aussi en vérité, et vu sa tête, il ne semble pas de bonne humeur.

J'adorais le Summer Camp, c'était la meilleure période de l,année pour pouvoir tout simplement être nous-même et profiter des joies de l'été. J'en avais profiter avec mes colocataires de chalet pour aller faire une randonnée matinale à cheval et ensuite on avait flâner au bord de la pisicine une bonne partie de la journée pour se rafraîchir et faire bronzette. Les membres de mon chalet avait convenu de faire un BBQ ce soir alors il faudrait aller faire quelques courses à l'épicerie pour preparer ce festin digne de roi. Je laissais les autres un court-moment pour aller faire un arrêt aux toilettes mais quelque chose m'empêcha d'aller sur le côté des mecs. Me cachant sur le bord de l'endroit ou abriait les toilettes, j'avais entendu mon nom revenir dans une conversation. Curieux de nature, je voulais savoir pourquoi on parlait de moi et surtout si c'était en bien ou mal, personne n'était à l'abri de se retrouver dans les gros titres de Cambridge's Secrets. Je restais cacher assez longtemps pour entendre toujours le même refrain qui revenait de la bouche de ses filles: pari, moi, president de l'Eliot House, Bird, copines. Je restais contre le mur et mon esprit faisait une rapide analyse de ce que je venais d'entendre: Bird avait eu comme défi de m'avoir dans son lit dû à un pari qui lui disait qu'elle ne pouvait pas se taper le president de l'Eliot House en place. Je comprenais maintenant ce que ressentait Clea mais dans ma tête, Bird avait qui j'avais développé une relation assez intime pour qu'on se retrouve à faire des galipettes plus qu'une fois allait me devoir des explications. J'étais en colère honnêtement, j'allais pisser et retournait d'un pas décidé à la piscine, les autres me demandaient ce qui se passait pour remarquer un changement d'attitude de ma part, je balancais mon porte-feuille à Jake et dit: ''Excusez-moi les amis, j'ai un petit souci à régler je vous retrouve pour manger.''. J'enfila mon t-shirt et ma casquette et je savais exactement ou était le chalet de Bird. 5 minutes plus tard, je grimpais les deux marches des escaliers et donnait de solide coup dans la porte en gueulant son nom mais personne répondait alors j'allais attendre tout simplement. Dans ma tête, j'étais trahi et j'espérais que ces filles racontaient n'importe quoi parce que aussi non...J'attendais sur les marches et patient un bon moment. Une demi-heure plus tard, on dit mon nom et je relevais la tête pour voir qui me parlait quand je vis que c'était Bird. Je me levais d'un seul coup et alla la rejoinder, un souci? Je lui répondis clairement: ''Dis-moi que c'est faux Bird que c'est des fausses rumeurs.''

J'ai toujours le don de me fourrer dans des coups foireux. Comme quand j'ai accepté de relever le défi de coucher avec le président de la Eliot House, il faut dire que ce n'était pas très très compliqué et que je savais... usé de mes charmes on va dire. Il suffit que je mette mon petit short favori, mon débardeur un peu large, que je fasse mes yeux de biche et je pouvais me mettre n'importe qui dans la poche, fille comme garçon. Au moins, je ne suis pas comme ces filles qui montrent leur cul à tout bout de champ et qui ont le vagin encore plus visité qu'une aire d'autoroute dégueulasse. Non, moi je fais tout ça dans la finesse, on peut pas dire que j'ai du mal à prendre mon pied, et même si j'ai couché avec d'autres garçons que Tate, il est facilement dans mon top 3. Bon, en même temps, si je n'avais pas aimé la première fois, je n'y serais pas retourné, je ne suis quand même pas masochiste. Ou conne. J'peux pas dire, j'suis pas blonde, parce que je le suis alors. J'aurais peut-être pas dû accepter ce pari en fait, après réflexion trop tardive. Je sais que ça va me retomber sur le coin du nez du jour au lendemain et que je vais être un peu dans la panade parce que je ne saurais pas quoi dire comme la dernière des abruties. Ou la première, je n'en sais rien. Lorsque je me rend à mon chalet dans le but d'aller récupèrer mon porte-feuille pour aller faire les courses, je ne m'attend pas du tout à ce que l'homme assis sur les marches de mon chalet soit Tate. Mais pourtant c'est bien lui, avec sa casquette sur la tête. Eh merde Je n'ai pas le temps de me rapprocher de lui que je le vois débouler devant toi, droit comme un piquet, tel un militaire qui fait l'armée. oh oh. Rumeurs ? Quoi ? Rumeurs ? Déjà des rumeurs, c'est quand on a fait quelque chose... Bon on a fait quelque chose, mais pas à la vue de tout le monde. Bon mes copines sont peut-être au courant. Mais que une. Enfin deux, et trois. Ah quand même. « Hého, calme toi, détend toi. Quelle rumeur déjà ? T'es gentil, mais si tu m'énonces pas clairement, je peux pas te répondre. On a été discret hein. Je vois pas pourquoi il y aurait des rumeurs sur nous. Quoique ça me gênerait pas. » Qu'on pense qu'on est ensemble, ou qu'on couche ensemble, parce que Tate n'est pas le plus moche des Eliots alors, autant en profiter non?

Je bouillais sur place mais je ne voulais pas m'énerver sans aucune raison valable. J'espérais sincèrement que c'était simplement des ragôts de filles mais les paroles que j'avais entendu avait paru un peu trop réelle à mon gout. J'avais une confiance presque aveugle envers Bird depuis son arrivée chez les Eliots et surtout que c'était la dernière bizut que j'avais eu. D'accord, on avait couché ensemble et remis sa plusieurs fois mais c'était parce qu'on le voulait tout les deux et je sentais qu'elle n'était pas comme les autres. Je tenais à elle et si jamais elle me confirmait que les propos que j'avais entendu était vrai, je serais vraiment triste de l'apprendre. Je pris une bonne respiration pour me calmer un peu et suivait Bird jusqu'àa l'entrée de son chalet. Hein? Oh mais sa me dérangeait pas que les gens savent qu'on finissait quelques fois entre les draps de chacun, c'était autre chose. Je lui dis: ''Moi aussi sa me gênerait pas, oiseau du paradis c'est autre chose.''. Je pris de nouveau une bonne respiration, pliant mes bras contre mon torse et je la regardais dans ses jolies petites yeux de biche et y alla franc jeu: ''Bird, je veux que tu sois honnête. J'ai entendu des ragôts et je voulais savoir le fond de la vérité. Est-ce que tu as été mis au défi de coucher avec le president Eliot dont moi avant la fin du semestre?''

Bon il est vrai que sur ce coup la, j'avais un peu merdé. J'aurais pas dû accepter ce défi qui m'avait été donné par mon frère mais le jeu est bien plus tentant qu'autre chose, j'aime jouer et j'aime gagner surtout. Bon la, on avait pas parié grand chose mais bon, j'avais écrasé mon frère. Je ne pensais que Tate serait au courant si rapidement. Enfin, ça fait un petit moment que nos galipettes ont eu lieu mais bon, les rumeurs ça se répand vite, surtout ce genre de rumeur. Je me doute bien que je vais me prendre une soufflante mais tant pis, faut faire passer la pilule quoi. « Ca me rassure que ça te dérangerais pas, c'est que je suis pas si nulle que ça au lit. » T'as raison Phoenix, ironise, aggrave ton cas. Toujours ironiser même dans les pires situations, je pourrais être entrain de crever que je trouverais encore le moyen de faire de l'ironie. Et la, ça tombe, un peu comme le ciel qui tombe sur la tête des gaulois dans les BD Asterix, ça tombe comme les feuilles en Automne. Il me balance tout. Et j'ai envie de me cacher. Ca y'est, il sait. « Bon, je suis grillée comme une tartine, ça y'est. Enfin, j'ai pas été mise au défi de coucher avec toi avant la fin du semestre, j'ai juste été mise au défi de coucher avec toi tout court. Mais j'm'en suis voulue après tu vois, parce que t'es quelqu'un de bien et j'aime bien nos moments comme ça. » (#CSPOTINS) Je serais presque en train de m'excuser que c'est mignon, mais la ne retire en rien ce que j'ai fais et à mon avis, je vais me faire souffler dans les bronches. Ouvrant la porte de mon chalet, je me décale « Tu entres qu'on en parle ? » Je préfère en parler à l'intérieur, à l'abri des regards indiscrets.

J'avais envie de hurler honnêtement. J'en revenais tout simplement pas. Alors il semblait que je sois l'objet de pari ridicule. À l'intérieur, j'en revenais tout simplement pas que Phoenix m'aille fait le coup. J'avais tellement confiance entre elle, j'aurais voulu jamais être au courant. Ce qui me fit encore plus mal, c'était que je croyais qu'on partageait quelque chose, en plus que c'était ma bizut mais tout parti en fumée. J'enlevais ma casquette et passa ma main dans mes cheveux , bouillant sur place. Je riais à ma peine à son commentaire et répondit plutôt froid: ''Justement c'est ce qui est le pire.''. Je me sentais trahie, sa m'aurait pas étonner d'une Mather mais la c'était de Phoenix dont on parlait. Je frappais de toute mes forces dans une bouteille parterre. Honnêtement, je ne savais même pas quoi faire ou lui dire. Le pire c'était qu'elle avouait la vérité, elle n'essayait même pas de le nier. Je devais me sentir flatter que j'étais l'objet d'un pari de couchette? Ou on me considérait comme un homme facile? Je ne savais pas, je ne savais plus. J'explosais: ''Mais Phoenix, j'en reviens pas! Tu me prends pour qui ? Je croyais que tu étais différente des autres. quelqu'un de bien? Mais est-ce que tu me l'aurais au moins dit un jour ?''. J'avais presque envie de refuser son invitation mais je voulais connaître sa version du fait et qui lui avait donner son foutu défi. Je maugréais en replacant ma casquette sur la tête et remonta la fermeture éclair de ma veste. Je la regardais froidement: ''Ouais allons à l'abri des regards indiscrets.''

J'avais certainement été trop loin avec Tate. Je n'aurais peut-être pas dû accepter ce foutu pari, mais il était simple, bien trop simple pour la joueuse que je suis. Tate était mon bizuteur, il était donc facile de l'avoir dans ma poche et dans mon lit, je n'avais pas eu beaucoup de choses à faire pour qu'il craque. J'aurais dû me douter que cela se finirait comme ça, en crise, en cris. Bon la réconciliation sur l'oreiller ne sera peut-être pas de mise, mais je lui dois tout de même des explications. Moi, Phoenix Cahill, offrir des explications à quelqu'un... Bon c'est bien parce que c'est Tate et qu'il a l'air tellement énervé qu'il ne répond pas à ma petite réflexion que je trouvais pourtant amusante. Jusqu'à ce qu'il explose, je retiens mon souffle pendant qu'il parle, je ne sais même pas quoi lui dire, quoi faire. Reste qu'à dire la vérité. « Mais oui j'allais te le dire Tate, tu crois vraiment que si un jour on aurait encore fini dans les même draps, j'allais encore jouer le jeu ? Non le jeu est fini, over, j'ai couché plusieurs fois avec toi. Je ne voulais pas faire ce pari, mais tu sais bien que je suis une fille très joueuse Tate. » Je soupire et entre à l'intérieur de mon chalet et ferme la porte après lui. « Faut pas que tu m'en veuilles, je sais que c'est difficile tout ça. Mais je m'en veux aussi. Et tu sais bien que je suis pas du genre à avoir pitié des gens, loin de là. Mais toi, je sais pas c'est différent. J'aurais dû te dire les choses dès le début. Mais je sais que ça aurait été la crise, comme la. J'avais même peur que ce soit pire. Excuse moi. » Oula, je lui demande de m'excuser, bon s'il le fait pas, je risque de le prendre mal mais bon, je n'ai que ce que je mérite de toutes façons.

J'avais un sérieux problème. Le problème de tomber sous le charme de la gente feminine. Pourtant, j'avais toujours eu ce principe d'établir des barrières strictement amicales avec les apprenties Eliots mais avec Phoenix sa l'avait été trop loin et pas seulement qu'une fois. Je m'étais attaché à elle, je l'appréciais beaucoup et jamais j'aurais continuer ce petit jeu avec elle si je n'aurais pas sentie que c'était réciprocque de son côté. Je lui accordais le benefice du doute et j'appréciais le fait qu'elle me disait qu'elle aurait mis un terme à cette histoire, me rassurait. Je souriais faiblement: ''Ca'est sûr que tu es joueuse et c'est une des qualités que j'apprécie tellement chez toi.''. Dans quoi m'étais-je embarquer sans le savoir? Une chose était sûr, c'était que je ne pourrais plus bizuter Phoenix, si je n'obtenais pas un poste de présidence chez les Eliots à la rentrée, j'allais demander qu'elle aille un autre bizuteur que moi, ma confiance se mérite, on l'obtient pas en claquant des doigts. Je suivais Phoenix à l'intérieur de son chalet, à l'abri des regards indiscrets, je m'en voulais d'avoir péter les plombs. Je m'excusais aussitôt: ''Désolé pour mon manqué de sang-froid Nix, c'était pas voulu.''. Je m'asseoyais sur une chaise de la cuisine et l'écoutait. Déjà elle s'excusait ce qui me procurait le plus grand plaisir et surtout ce que j'appréciais, c'était qu'elle était honnête. J'analysais la situation, me penchant sur le pour et le contre et surtout j'essayais déjà de penser à tourner la page. Je regardais cette magnifique blonde et dit: ''On dirait que le plus douloureux la dedans Phoenix c'est que toi, TOI tu ailles accepter de reliever un tel défi. Je me sens flatter et à la limite un homme facile mais tu es si différente des autres, c'est une des raisons qui a voulu que je te prenne en bizutage..Ma confiance se mérite Nix, elle s'obtient pas en claquant des doigts.''. Je me levais et m'approchait d'elle, je regardais le plancher un court instant en mâchant chaque mot, les peser pour faire sûr de ne pas regretter mes paroles. Ensuite, je regardais de nouveau Phoenix qui avait l'air vraiment désolé, je dis: ''Je peux pas nier que je suis blesse mais j'accepte tes excuses belle gosse.''

Pourquoi est-ce que je m'en voulais à ce point d'avoir trahi le président de ma maison ? Ce n'était pas du tout dans mon habitude et je ne m'en voulais pratiquement jamais. Mais là, c'était différent. Je m'en voulais, bon cela ne m'empêchait tout de même pas de dormir, il ne faut pas abuser, mais j'avais un sentiment amer qui avait pris place dans mon esprit quand j'avais aperçu Tate devant mon chalet. Peut-être un sentiment d'échec. J'avais échoué dans ma mission, mission qui était de coucher avec le président Eliot sans m'en vouloir, enfin surtout de coucher avec le président Eliot. Ça j'avais réussi, fort heureusement. J'entendais déjà mon frère qui me charrier si je n'avais pas réussi ce fameux cap ou pas cap. Je lui proposais de rentrer dans mon chalet pour que CS n'est pas à mettre ses affaires la-dedans, pour être à l'abri des cancans des élèves. Une fois ça suffit, deux fois c'est trop. « Ne t'inquiète pas, c'est une réaction compréhensible, je ne peux pas t'en vouloir pour ça. Je crois que tu aurais réagis calmement, je t'en aurais voulu, j'aurais pensé que tu voulais me préserver, sauf que je ne suis pas en sucre. Loin de la. » Je lui souris en passant ma main dans mes cheveux, regardant Tate afin de déceler ce qu'il pensait, dommage que la télépathie ne soit pas un réel don, ça m'aurait clairement arrangé dans ce cas précis. « Tu n'es pas un homme facile Tate, arrête de dire ça. Je ne te considère pas comme un homme facile loin de la. Et j'espère que ta confiance est restée intact, parce que j'aime beaucoup nos petits jeux à l'abri des regards indiscrets. » Une petite moue joueuse se dresse en coin sur mes lèvres quand il se rapproche de moi. « Tu es blessé ... ? » Mes lèvres s'étirent en un rictus triste et je laisse doucement courir le bout de mon index par dessus sa veste « On pourrait rectifier cela tu sais, mes colocataires ne sont pas la avant un petit moment... » Je lui tirais la langue avant de m'asseoir sur la table derrière moi. « Enfin c'est toi qui voit, je ne veux pas que tu te considère comme un homme facile... » Je voulais pousser le vice, le jeu jusqu'au bout, je voulais savoir s'il allait craquer une nouvelle fois, qui sait peut-être une dernière fois.

J'étais dans de beaux draps, sérieusement. C'était quoi la meilleure solution à prendre dans de tel cas? Je ne savais plus comment penser, tellement que j'avais des questions qui se bousculait dans ma tête. Un côté de moi était vraiment blessé d'avoir été dans un coup si pendable et j'avais envie de couper tous les ponts avec Phoenix et un autre côté de moi voulait pardonner à Miss Cahill et me disait peut-être que j'étais simplement victime de mon propre karma en ayant fait le même sale coup à Clea, quelques années auparavant. Je me levais de ma chaise et commençait à faire les mille et un pas, en quête d'une idée de genie. Une chose qui était sûr, je ne prendrais pas Phoenix en bizutage pour septembre, je voulais rétablir mes principes lorsqu'il est question de bizutage, m'en tenir à une relation strictement d'amitié et confident s'y il le fallait. Ses commentaires me fit sourire: ''J'aurais pas voulu t'épargner, tu es trop fière pour sa, petite coquine.''. Pouquoi j'adorais cette fille? Grrr sa rendait les choses tellement compliqué, peut-être qu'on pourrait passer au-dessus de cette histoire et faire comme s'y il n'avait jamais eu de pari bidon? C'était une option que je me verrais considerer dans mon top 3. Je m'arrêtais alors que Phoenix s'était approchée de moi et je la regardais et surtout l'écoutait, lui laissant la chance de faire un plaidoyer crédible. Je la regardais et haussait des épaules: ''Ma confiance est encore bonne, c'est ce que je ressens envers toi que je ne sais plus.''. J'adorais nos jeux aussi, je devais l'avouer et sa serait dommage que sa se termine. Je secouais la tête pour reprendre mes esprits ayant peur de prendre la mauvaise decision concernant Phoenix. J'observais Nix de prêt et je suivais son index parcourir le long de ma veste..Elle était douée pour jouer même en tel situation. Je lui répondis: ''Ah Nix pourquoi tu me fais sa...''. Je la vis aller savoir sur la table de cuisine et qui me testait. Son cas restait un mystère pour moi mais j'acceptais de jouer, qui sait si c'était la dernière fois. Je marchais jusqu'à la table, je mis mes bras de chaque côté de Phoenix sur la table comme si je m'appuyais sur la table en étant extrêmement proche d'elle. Je lui murmurais à l'oreille: ''Et si on gardait sa purement physiquement, pour le moment?''.Je tournais la tête pour que mon regard croise le sien, me demandant que serait son prochain coup comme si on jouait une partie d'échec.