Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI hurt people, but when I say sorry, I mean it. | feat. skyiam
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I hurt people, but when I say sorry, I mean it. | feat. skyiam

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C’est pas un peu la pire chose qui puisse arriver à une mère. Plutôt une femme enceinte qui est en attente de le devenir ? Perdre son enfant. Dans son bide. Son propre bide qui est censé protéger notre chair, notre sang qui s’appelle un enfant. Toutes filles normales serait dégoutés, au fond du trou. Elle devrait même se sentir nulle. Vraiment nulle. Mais moi.. Héé moi. Moi j’suis heureuse. Heureuse de m’être libéré de ce fardeau qui mettait en danger ma liberté, ma relation avec Konrad, les autres. Surtout ma relation avec la vie. J’ai pas eu de mère, de parents. Je sais pas comment ca marche d’élever un gosse. J’voudrais pas qu’il devienne comme moi. Quoique c’est plutôt flatteur, heein ? Non. En aucun cas je veux que quelqu’un vive ce que j’ai vécu, ce que je vie et surement aussi ce que je vais vivre. Je prévois ma vie de merde, faut bien le dire. Faut s’y préparer. C’est comme l’épargne retraite, ca craint, mais ce prépare à l’avance. Je suis sortie de l’hôpital depuis.. Quelques jours. Un, peut être deux. J’en sais rien, j’ai même pas notion du temps. Je n’ose pas bouger de mo chalet pour aller voir Konrad. Je n’ose pas sortir de mon chalet, tout court. J’ai pris la peine d’envoyer un sms à William pour m’excuser, juste m’excuser. Je suis sincère vraiment. Je regrette tellement de l’avoir mis à bout comme ça. Et c’est peut être ce qui me ronge le plus maintenant. L’idée de perdre William, une nouvelle fois. Par ma faute cette fois. Parce que oui, j’lai déjà perdu une fois. Quand il s’était mis à boire. C’était plus lui. J’lavais perdu dans les fin-fonds du cul d’une bouteille de vodka. JE sais même pas si il va me répondre, d’ailleurs je sais même pas si il a encore mon numéro, si il l’a bloqué.. si il est parti. Je sais pas. J’en sais rien. Je suis vautré dans le petit sofa du chalet, en boule à côté de la fenêtre. Mes yeux rivés vers le ciel à regarder ce qui passe, bien que ce soit très chiant. J’ai vraiment envie de rien faire, de pratiquer la non-activité. Je baisse mes yeux quelques instants sur mes mains. Une ombre cache la lumière qui s’y projette, je relève la tête, sans grand enthousiasme. Je n’imagine pas un truc de fou. Peut être un piaf qui vient de passer, ce qui ferait que je vais encore m’emmerder pour le reste de la journée. Je relève la tête, maaais nan. C’est pas un oiseau nan ! Une tablette de chocolat au lait sur patte, peut être ! Mes yeux s’écarquillent, je n’ose même pas bouger. Je réagis quelques secondes après l’avoir vu passer pour finalement me lever, les jambes toutes engourdies devant la porte. Une grande inspiration£. Ma main tire la porte vers moi pour que je lui fasse face. Je suis même pas sûre qu’il est eu le temps de toquer, de prévenir de sa présence enfaîte. Ce qui fait que je passe pour une grosse stalkeuse là ! Je n’ose même pas parler. Skyler qui ne parle pas c’est trop choquant. C’est signe de grande détresse dans ma vie. Non sérieusement. Je le fixe, étrangement. T’as eu mon message ? Héééé, super phrase d’accroche. Tu veux rentrer ?
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Je croyais rêver. Avoir fumé un joint ou je ne sais quoi. Je me trouvais peut-être dans un autre monde. J’en savais trop rien pour être franc. Je venais de recevoir un message de Skyler qui s’excusait. Et elle s’excusait vraiment. Elle ne remplissait pas le message de tout en tas de conneries qu’elle aurait habituellement mis autour pour décorer l’excuse. Pour limite faire en sorte qu’on ne la voit pas, non. Elle s’excusait vraiment, point. Il n’y avait rien que des excuses. Je croyais rêver, sérieusement. Je veux dire, je sais pas mais la dernière fois qu’on c’était vu elle et moi, ça ne c’était pas forcément très bien passé. Elle m’avait tellement poussé à bout que j’avais fini par la cogner au sens propre du terme. Je lui avais bien foutu mon poing dans la figure. Il faut dire que j’avais fait un beau mélange d’alcool et de… Certaines substances. Chez moi, ça ne faisait pas forcément bon ménage, encore moins quand on me poussait à bout. Elle m’avait provoqué jusqu’à ce que je craque et la laisse seule, en plan en train de saigner et de souffrir contre un arbre. Et je souffrais également. Je souffrais parce qu’elle m’avait fait exploser de l’intérieur, jusqu’à ce que j’en vienne aux mains, comme avant et… Je détestais ça. Je détestais ce William-là. D’où on frappe les gens et surtout les femmes ? Je me détestais quand j’agissais ainsi mais là, je détestais encore plus Skyler. Comme si ça l’avait excité ou que sais-je de me pousser à bout. Et de toute façon, elle aussi était allé jusqu’à son point de non-retour. Elle avait fait une fausse couche ce jour-là. Il faut dire qu’avec toutes les conneries qu’elle faisait et prenait, elle l’avait bien cherché. J’en venais même à me demander si elle n’avait pas fait exprès de consommer toutes ces choses. Pour en quelque sorte perdre l’enfant sans avoir à avorter et donc sans avoir sa pseudo mort sur la conscience. De toute façon, venant de Skyler, plus rien ne m’étonnait. Elle m’avait redemandé que je la cogne, elle voulait que je le fasse, elle me provoquait, me poussait à bout. Elle buvait aussi et fumait, se droguait alors qu’elle était enceinte. Et par-dessus tout, elle disait me vouloir à nouveau dans sans vie mais rien ne l’empêchait de se foutre à poil dans le lit du père de son enfant aujourd’hui crevé. Je marchais en direction du chalet où elle dormait. Je me demandais encore ce que je pouvais bien y faire. Pourquoi j’y allais. J’en venais à me demander si son message d’excuse n’était pas un moyen de mieux m’appâter, un de ses pièges, de ses mauvais tours. C’est pour dire et montrer à quel point je n’ai plus aucune confiance en elle. Je n’eus même pas le temps de frapper à sa porte qu’elle s’ouvrait devant moi, laissant apparaître devant moi une Skyler étrange. « Non non, je suis venue faire une visite guidée du chalet ! ». Je roulais des yeux. Putain mais elle en avait de ces questions. Qu’est-ce que je pouvais bien faire ici si ce n’était que j’avais reçu son message et que je voulais en savoir un peu plus sur tout ça ? Je sais pas. Elle était spéciale cette fille. « Ouais, j’veux bien ! ». Je haussais les épaules. J’imagine qu’elle me fit ensuite entrer dans sa demeure de vacances. Je regardais autour de moi, ne prenant même pas la peine de lui jeter un regard, même pas un infime regard, de compassion, de joie, de tristesse. Rien ! « Alors, pourquoi tu t’es excusé au juste ? ». C’est facile de dire qu’on est désolé quand on donne pas les raisons. Elle pourrait être désolée de m’avoir faussé compagnie pour aller faire sa fausse couche par exemple. Bien que ce soit un mauvais exemple, mais ce n’était qu’un détail ça.
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Rester dans un canapé à s’emmitoufler dans une couette alors que la température extérieure atteint les températures estivales d’un été en Arizona, c’est simple. C’est facile de passer sa journée à rien faire. C’est bien ce qu’on peut penser. Ce qui est plus dur c’est quand c’est journées sont consacré à réfléchir à comment on en est arrivé à faire ce genre de journée. Moi la réponse est simple je pense. J’ai tout mélange. Dans un mixeur avec vitesse rapide. J’ai voulu tout avoir, vite, dans l’immédiat. Je voulais tout, tout de suite. A croire que tout ça m’a perdu en chemin. Tout c’est passé bien trop vite en trop peu de temps. Mon corps n’a pas compris, mon cerveau n’a pas suivit. J’ai profité de mes quelques jours d’hospitalisation pour réfléchir, purger mon corps et mon esprit d’une partie des mauvaises choses. Et je pense avoir réussi à trouver quelque chose de stable. Un plan qui semble pas mal. Attention j’te dis pas que je vais devenir la super hippie du coin du jour au lendemain. Je sais juste que j’ai fait beaucoup de mauvais choix ces derniers temps. Et qu’il est temps de réparer les conneries. En premier lieu. Le plus important, William. Un message d’envoyer. Un message d’excuse. J’ai pas mis longtemps à l’écrire et à l’envoyer. J’ai pas hésité une seule seconde. J’ai peut être eu un peu peur, faut l’avouer. Peur parce que.. C’est moi qui m’excuse après déclenché la guerre. C’est comme si la tornade s’excuser d’avoir détruit des maisons après avoir soufflé sur la moitié de la ville. Je me suis levée. Levée pour ouvrir la porte à William qui est finalement venu. Damn it. Je crois que c’est pire que tout de le voir en face de moi. Je crois que je sens même mon cocard au visage qui commence à me picoter comme quand on dit qu’un bouton de moustique gratte parce que l’auteur du délit n’est pas très loin. Des légendes urbaines à la con. C’est psychologique ces merdes. Je suis fixe devant lui. Timide, comme ci.. Comme ci j’avais peur, tout simplement. Non non, je suis venue faire une visite guidée du chalet ! Non ta gueule. Je dois pas répondre. Ca pourrait tout gâcher douée comme je suis. Je me pince la lèvre en le laissant entrer sans rien dire. Une fois la porte fermée derrière lui, il me pose the question à laquelle je sais pas répondre. Alors, pourquoi tu t’es excusé au juste ? Je.. J’ai dépassée les bornes. Gaaaaad damn. J’avoue avoir eu tord, pour une fois, dans ma vie. Depuis le début. Tu es venu pour moi et je t’ai nexté sans chercher à connaître le nouveau William. Je t’ai fait ressortir tes mauvais démons et.. C’est pas cool. Alors je m’excuse. C’est pas cool non. Il fait l’effort de venir pour moi, de changer apparemment et moi je l’ai juste repoussé en le rabaissant à ce qu’il était avant. J’ai eu le temps de bien réfléchir et t’avais raisons sur toute la ligne. Je suis devenue qu’une trainée sans valeur et sans respect pour personne. Attends trop de rabaissement la, ca le fait pas. T’as juste à me demander d’te laisser vivre ta vie et j’le ferais. Je n’arrive même pas à croire que j’ai dit ça. Moi. La jalouse née. Mes doigts jouent entres eux nerveusement. Je sais pas comment me mettre.. Je calle mon dos contre la porte histoire de l’avoir bien en face de moi.. Sans pour autant le regarder. Mes yeux fixent juste mes doigts.
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Elle avait consommé un truc ou bien ? Je ne comprenais pas ce soudain revirement de situation. Sûrement qu’en perdant son bébé, elle avait perdu un bout de son cerveau, je ne sais pas. Le côté le plus mauvais vous voyez ? Et je trouvais ça plutôt cool. Mais avec elle, j’avais cette habitude que, quoiqu’elle dise, la situation changerait le jour suivant. Alors, là elle s’excusait, c’était bien. Mais je préférai attendre de voir les jours suivants. Voir si, avec le temps, son comportement suivrait ses excuses. Je préférai me méfier. Même si cela aurait été mieux de lui faire entièrement confiance après tout ce que je lui avais fait, non, je ne pouvais plus remettre mon destin entre ses mains. « Tu me laisses vivre ma vie comme je l’entends depuis le début, en prenant soin de t’exclure de cette vie que je voulais avec toi ! Sauf que maintenant, je ne suis plus sûr de vouloir continuer mon chemin à tes côtés car il y a d’autres choses qui entrent en compte… ». Nayla était partie par ma faute. Parce qu’au lieu de ne penser qu’à elle, de lui donner toute mon attention, j’en donnais en partie à Skyler et ce, pour rien. Il y avait aujourd’hui Phoebe dans ma vie, même si pour le moment, nous n’étions qu’amis, je voulais laisser le temps faire les choses et ne pas m’encombrer d’un poids lourd qui dans le fond, ne voulait pas de moi. Si elle le voulait réellement, elle y aurait réfléchit depuis mon retour. Elle ne m’aurait pas déclaré la guerre à tout prix. C’était ce que je me disais en fait. Cela m’aidait à relativiser. Mes mains sur la tête, je regardais au loin. Elle s’était posé contre la porte, elle ne bougeait plus mais je ne voulais pas croiser son regard. Je ne voulais pas craquer. Si elle se la jouait chien battu, je baisserai certainement les bras pour la prendre dedans et lui dire que je serai là quoiqu’elle fasse. Et cela, je ne devais pas le faire. « Qu’est-ce qui se passe au juste ! Konrad t’a jartée donc tu te rabats sur le bouche trou nommé William ? ». Jouer les durs à cuire m’allait tellement mieux que jouer le petit con neuneu qui lui cède tout.
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Je pense. Je pense vraiment que ca doit être un truc d’hormones, post-natal, post-grossesse un délire dans le genre avec post, dedans. Sinon c’est pas cool, ca fait pas scientifique. Je vois que cette solution pour expliquer ce que je dire, faire, ressentir actuellement. Je suis perdue, dans une sorte de petit coin parallèle, come ci on m’avait nextée de la vie, pendant quelques temps. Dégaaaage Skyler. Naan. Pourtant je lutte mais les mots sortent tout seuls, saaans.. Sans pourvoir les retenir. Il est là, à côté de moi. Sa présence me fait peur et me rassure à la fois, c’est complètement con et paradoxale mais.. Je le ressens comme ça. Tu me laisses vivre ma vie comme je l’entends depuis le début, en prenant soin de t’exclure de cette vie que je voulais avec toi ! Sauf que maintenant, je ne suis plus sûr de vouloir continuer mon chemin à tes côtés car il y a d’autres choses qui entrent en compte… Ouais, mais.. C’était difficile pour moi. J’sais pas gérer ce genre de situation de crise. Demande moi de gérer un meurtre, j’y arriverais très bien, mais gérer mes sentiments mon cœur, mes réactions, c’est mission impossible façons Tom Cruise en version deux mille quinze. Je sais pas.. Je suis perdue, m’embrouille pas, c’est pas le moment. Je reste contre la porte, le dos en union avec celle ci. Sans bouger sans même oser faire un moindre mouvement. Qu’est-ce qui se passe au juste ! Konrad t’a jartée donc tu te rabats sur le bouche trou nommé William ? Il s’est barré. Bien sûr, il s’est barré. Tu peux rire, si tu veux. Moi ca m’ferait rire. Tu vois. Tout ce que je pensais stable, s’effondre autour de moi. Et finalement j’me rends compte d’une chose. La seule personne à qui je tiens vraiment est venue juste pour moi et moi je l’ai juste ignorée. J’ai ricané nerveusement en frappant le poing contre la porte. Je peux rien faire pour m’excuser plus que le semple fait de me rendre compte de la situation.
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Elle ne savait pas. Mais le problème dans l’histoire, c’était que je ne pouvais pas savoir à sa place. Je ne suis pas extra lucide et comme on dit, un grand pouvoir implique de grandes responsabilités alors, je ne voulais pas l’être de si tôt. Je la regardais s’énerver contre elle-même et me donner la permission de rire de son malheur, du départ de Konrad. Je ne savais pas si c’était une bonne chose pour elle ou pas. Alors je ne disais rien. Et surtout, je ne riais pas car il n’y avait rien de risible dans tout cela. Je levais les yeux au plafond. Elle me voyait vraiment étrangement. Elle pensait vraiment que j’étais toujours le même salaud, même si en face elle disait savoir que j’avais changé. J’avais de rire fort, à gorge déployée, mais je me contentais de sourire. « Je trouve ça tellement facile de faire celle qui se rend soudainement compte de tout, de faire celle qui ouvre les yeux maintenant qu’elle a perdu son gosse, son gigolo d’ex qui aime fourrer son engin dans n’importe quel trou. Enfin, je trouve ça trop facile, surtout venant de toi ! L’option de facilité, tu la prends toujours en jouissant et en espérant que tout s’arrangera ! ». Actuellement, je la méprisais plus que je ne l’aimais car à mes yeux, l’aimer ne m’avait apporté que de douleurs et de contrariétés. Cela ne m’avait rien apporté de positif alors je ne voulais pas voir les choses en rose. De bonnes nuances de gris m’allaient très bien. J’applaudissais en lui répondant… « T’as voulu jouer avec moi, me jarter et maintenant tu reviens avec tes excuses à la con et ta soudaine prise de conscience… Désolée de te dire que maintenant, c’est toi qui va galérer à ne serait-ce que retrouver ma confiance ou même ma patience avec toi ! ». Elle avait voulu jouer avec moi, me faire patienter comme je n’avais jamais patienté de ma vie. Je trouvais que c’était à présent à moi de lui faire attendre des choses qui n’arriveraient probablement pas. Je n’avais même pas envie de lui accorder mon amitié car même cela, je n’avais pas envie qu’elle l’abime en l’écrasant comme si ce n’était rien d’autre qu’un insecte… Tout cela était terminé !
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Je trouve ça tellement facile de faire celle qui se rend soudainement compte de tout, de faire celle qui ouvre les yeux maintenant qu’elle a perdu son gosse, son gigolo d’ex qui aime fourrer son engin dans n’importe quel trou. Enfin, je trouve ça trop facile, surtout venant de toi ! L’option de facilité, tu la prends toujours en jouissant et en espérant que tout s’arrangera ! Venant de moi ? Cet à dire venant de moi ? Il m’la bien déjà dit, j’prends toujours la solution de facilité, ouais. C’pas nouveau, au point de me le rabâcher toute ma vie, ca va être compliqué. Tu veux que je fasse comment pour m’en rendre compte sans toucher la facilité ? Non parce que concrètement tu t’en rends compte, tu sais que t’as fait une connerie la première chose c’est d’aller voir la personne, de s’excuser, de s’expliquer, j’en sais rien. A quel moment c’est une solution de facilité que de s’excuser. T’as voulu jouer avec moi, me jarter et maintenant tu reviens avec tes excuses à la con et ta soudaine prise de conscience… Désolée de te dire que maintenant, c’est toi qui va galérer à ne serait-ce que retrouver ma confiance ou même ma patience avec toi ! J’ai relevé la tête, genre choquée, blasée, j’sais pas encore. On va en revenir, encore et toujours sur le fait que j’ai moi, pardonné beaucoup de chose bien plus pire que ce que je lui ai fait. C’est vrai que le repousser quand monsieur revient s’excuser c’est beaucoup plus dramatique que trois ans à taper sa nana. Maaaais, je dis rien. Je me contente de prendre un peu d’air, beaucoup d’air. Pour rester zen. J’crois que j’pourrais même en trembler de garder tant de contrôle sur moi. J’pourrais m’énerver contre lui, contre moi. Contre le monde. Faire une connerie, plusieurs conneries. Pleurer, crier. Mais non, j’fais rien. C’est peut être la pire des réactions venant de moi. Skyler qui ne dit rien c’est une Skyler.. Tuée, de partout à l’intérieur. En gros je dois comprendre que quoi que je dise, que je fasse pendant le reste des années à venir, pour ne pas dire, ma vie. Tu sera aussi froid qu’un glaçons ? J’te cherche pas la guerre, t’y es pas. J’m’excuse parce que j’estime que c’est peut être la meilleure des réactions. Mais apparemment c’est signe de faciliter. Je passe ma mai dans mes cheveux, la main tremblante, les yeux qui ne savent même pas où se poser plus de trois secondes sans faillir vers un autre endroit. Dis moi c’que j’dois faire putain. Je suis triste, triste à tel point que je lui laisse le choix de me dire comment faire pour rattraper mes conneries.
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Skyler, il fallait apparemment tout lui dire, tout lui décortiquer pour qu’elle comprenne enfin où je voulais en venir. Mais non, je n’en pouvais plus. Je n’étais pas son père et encore moins son père, alors qu’elle se démerde ! Si elle n’avait pas elle-même remarqué qu’elle usait de la facilité en faisant ses conneries et en s’excusant après, comme si j’allai revenir vers elle en rampant comme auparavant, elle se fourrait le doigt dans l’œil. Je haussais les épaules en regardant au-dessus d’elle. Genre, la porte. J’avais envie de sortir. Actuellement, je voulais être loin d’elle. Mais tellement loin ! « Démerdes-toi Skyler écoutes ! Tu veux pas non plus que je te tienne par la main et te guide dans tout ce que tu dois faire, histoire de te montrer le droit chemin ? ». J’avais tellement envie de la prendre dans mes bras pour lui dire qu’au final, j’étais là pour elle. Mais d’un côté, je voulais envoyer valser tout ce qu’il y avait autour de moi et… Elle se trouvait autour de moi. Je serrai le poing… Non, en fait, je serrai les deux et je regardais au loin. En réalité, je fixais toujours le haut de sa tête, mais mes pensées étaient ailleurs… Déjà à Cambridge même. Putain, je n’aurai jamais cru dire ça, mais j’aimerai tellement y être. Retourner à mes études… Et là, alors que je pensais aux études, une putain d’idée me vint en tête. Je m’approchais d’elle, posant mes mains de chaque côté de sa tête… J’approchais mon visage du sien, pour que mes lèvres soient vraiment proches des siennes. « Tu comprends vraiment rien à rien la blondasse ! ». Je posais mes mains sur ses fesses, l’approchant brusquement de moi tout en l’embrassant sauvagement. Etrange retournement de situation, je le sais bien. Mais c’est ainsi. Tout cela ne faisait que commencer…
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Démerdes-toi Skyler écoutes ! Tu veux pas non plus que je te tienne par la main et te guide dans tout ce que tu dois faire, histoire de te montrer le droit chemin ? Mais bordel de merde. C’est quoi son problème ? Je m’excuse ? Je putain de m’excuse devant lui après tout ce qu’il me fait et il trouve encore le moyen de se mettre au dessus de tout le monde, de moi. C’est ce qu’il fait depuis toujours d’ailleurs. Se mettre au dessus de moi. Je sais pas ce que ca lui procure comme sensation de force, peut être. Pourquoi il le fait qu’avec moi ? J’le rend dingue à ce poiny ? Dans ce cas c’est un compliment ou pas ? Parce qu’arriver à pousser à bout un mec comme ça, c’est quand même grandiose. Amoins qu’il fasse une fixette sur moi et ma faiblesse à son égard. Je sais pas encore qui est le plus con et fou de nous deux au final. Celui qui continue d’enchainer les actes psychopathes ou celle qui en redemande presque ? Je le regarde à peine parce qu’il m’embrouille encore plus, rien que de le voir. Rien que l’entendre me donne des frissons. Ca m’fait même presque mal. Comme la sono qu’on met à fond et qui fait bouboum à l’intérieur de sois. Pourquoi pas. Je marmonne entre mes lèvres, je sais même pas si il a entendu ou pas. Il s’approche de moi, rapidement, je rigole assez spontanément ausssi pour au final me retrouver toujours un peu plus collée à la porte qui m’empêche de partir plus loin`. Qui m’empêche de garder une distance de sécurité en cas d’attaque psychopathe de sa part. Je suis figée sur place, littéralement. La bouche entre ouverte, les yeux qui fixent les siens, je suis presque tétanisé. J’ai peur ? J’ai carrément peur qu’il.. profite de ce moment de total solitude pour faire je ne sais quoi d’horrible sur moi. Comme avant. Il m’a dit avoir changé, certes, mais les souvenirs sont là. Après trois ans ca en devient presque un instinct de survie d’avoir peur de ce genre de situation. Tu comprends vraiment rien à rien la blondasse ! Rapidement je me retrouve encore plus proche de lui, complètement trop proche de lui. Mes lèvres entre les siennes pour un baisé fougueux comme il m’y avait habitué. Je reste sur le cul, littéralement je suis censée répondre quoi, comment.. ? Mes mains tentent de se loger dans son dos, au niveau de ses épaules, mais le contact est assez timide d’ailleurs. C’est ta façons de me montrer le chemin ? Parce que si c’est ça.. C’est vraiment pas un chemin que j’aurais emprunté.. J’aurais eu trop peur de l’embrasser ou même le prendre dans mes bras. William.. Vraiment tu m’casses les couilles. Une de mes mains se déplace le long de son torse sans que mon regard ne le quitte. Tu vas vraiment me prendre pour une p’tite blondasse qui comprend rien mais, j’comprends vraiment rien. C’est ça ta façons de me faire souffrir ? Je me recule légèrement en fronçant un peu les sourcils. Tu veux me donner un espoir qui n’existe pas ? Ou alors j’me complique trop la vie. Je le repousse sur le côté en essayant de le plaquer contre le mur, me retrouvant à sa place en quelques instants, avec ma force de mouche. Dis moi t’as ressentis quoi quand je suis partie sans prévenir y’a des années ? Mon visage frôle toujours le sien, mes mains contre lui. Je fais la fille en excès de confiance alors que.. pas du tout. Ta meuf qui se tire avec Sahel, c’était ton pote, nan ? Je sais pas trop à quoi que je joue. Même pas pour le provoquer, taquiner ? Peut être.. Je pose mes lèvres sur le coin des siennes pour un baisé furtif.
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Je levais les yeux au ciel. Sans arrêt, sans cesse. Elle m’exaspérait. Comme si elle en faisait exprès. Comme si elle cherchait toujours ce petit truc qui pourrait me faire péter les plombs. Pourquoi pas ? C’était vraiment la réponse d’une personne qui cherchait à s’excuser ? Non, absolument pas. Je haussais les épaules. « En fait, tu me prends vraiment pour le roi des abrutis et t’essaies de faire ta rebelle alors que, t’es qu’une petite victime qui essaie de se donne un certain genre ! ». Est-ce que j’avais détesté le fait qu’elle me rembarre ? Oui ! Est-ce que je comptais le lui dire ? Non ! J’avais tenté un certain rapprochement avec elle, tentant de laisser les choses… Les mauvaises choses de côté, derrière nous quelques instants. Mais elle voulait toujours, toujours revenir à cela. « Putain mais c’est toi qui me les casse en fait ! Ouais tu comprends rien ! Je veux pas te faire souffrir et ça n’a jamais été le cas ! J’ai juste fait des erreurs ! D’énormes erreurs que je regrette aujourd’hui ! MERDE ! ». Elle reculait. Prenant à nouveau ses distances avec moi. Je restais bouche bée, comme un con devant elle. Je ne savais pas quoi lui dire. Comme si, tout ce que j’avais dit ces dernières semaines n’avaient servi à rien hormis gâcher ma salive. J’aurai pu me déshydrater à force d’user de ma voix, de mon temps et ma salive pour lui déclarer ma flamme, mes sentiments et pour m’excuser. Mais c’était apparemment rentré par une oreille et sortit par l’autre et ça, ça avait le don de me mettre en rogne. Je reculais à mon tour, désignant la porte de la main. « C’est bon je me barre ! Je vois pas pourquoi tu me parles de connard et ensuite, je vois pas pourquoi tu me demandes ce que j’ai pu ressentir comme si je t’en avais pas parlé à plusieurs reprises ! T’aime te jouer de moi, te foutre de moi, mais j’en ai fini avec toi, bouge de là ! ». Je ne voulais pas la pousser. Je ne voulais pas me montrer violent alors elle avait intérêt à me laisser passer. Pour moi, elle était morte et il valait mieux qu’elle le reste sinon, elle risquerait de l’être pour de bon. On ne sait jamais ce qu’il peut m’arriver, ce que je peux faire sous l’emprise de certaines drogues. Et, par sa faute, je m’étais relancé dans certains de mes putains d’anciens démons.
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