Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCUPIDON SE FOUT DE NOTRE GUEULE ₪ SOLVEIG - Page 3
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CUPIDON SE FOUT DE NOTRE GUEULE ₪ SOLVEIG

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sa flèche, je sais où elle va finir
Solveig, avait-elle été douanière dans une autre vie ? Agent de transport ? Pilote d’avion ? Hôtesse de l’air ? Alors pourquoi détruisait-elle les idées de Cody quant aux transports aériens d’ornithorynque nommé Bernard ? Ouais, il venait de décider que son ornithorynque s’appellerait Bernard, puisqu’il n’était pas foutu de prononcer ’ornithorynque’. Cody, se sentant insulté, rétorqua en vitesse ; « On peut mettre des oiseaux en soute. On peut mettre des chats en soute. Alors pourquoi ne pourrait pas mettre un croisement entre un chat et un oiseau ? C’est noté quelque part que les hybrides sont interdits ? » OK, les Toyota Lexus et autres voitures hybrides, c’est pas facile à prendre en avion. Les mutants, pareil. Les dinosaures hybrides comme l’In Dominus Rex, le méchant dans Jurassic World, n’en parlons même pas. Mais un ornithorynque ? Ouais je sais, je commence à vous prendre la tête. Même Cody est au bout du rouleau, c’est pour cela qu’il était tombé aussi sec sur le lit de Solveig, avant de décréter qu’il aurait du mal à coucher avec elle ce soir. Bon, c’est cool, apparemment, ce n’était pas dans ses plans. Ça enlevait toute ambiguïté entre eux, enfin presque. Pfiouuu, Cody était de toute manière trop saoul pour notifier une quelconque ambiguïté. Il se contentait de parler, parler, parleeeeeeerrrrrrrr……. « J’ai juste retenu que je t’attirais. » répéta-t-il avec malice, fermant doucement les yeux. Elle avait aussi dit qu’il ne l’attirait pas, en gros qu’elle était neutre à ce sujet, mais le cerveau de Cody avait toujours été très sélectif et ne retenait que ce qu’il voulait. Puis, il se redressa et jeta un coup d’œil à Solveig, elle qui avait toujours son visage fourré entre ses mains. Il se risqua à se pencher sur elle, déposant légèrement sa main sur son ventre. De l’autre, il dégagea le visage de la rousse, l’obligeant à mettre ses vilaines paluches ailleurs. Sans demander d’autorisation, sans chercher de réponse dans son regard, sans même prononcer le moindre mot, il se pencha davantage sur elle, effleurant ses lèvres. Puis, il l’embrassa, d’un baiser où la pudeur et la maladresse rencontraient la tendresse pour un éveil des sens tout en douceur.  Il ne se pendit que quelques secondes à ses lèvres, avant de se rallonger sur le lit. « C’était plutôt ça que j’essayais de faire toute à l’heure. » Sans le coup de boule à la Zidane, c’est mieux.  
Martin Solveig
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Cupidon se fout de notre gueule
« Eh oh monsieur ronchon, tu vas te calmer oui ? Pète un coup je sais pas, j'ai jamais dis que les hybrides étaient interdits mais bon, je suis pas trop pour les animaux de compagnie en soute c'est tout rooooh. » elle soupirait alors, pourquoi fallait-il qu'il prenne tout au sérieux ? On dirait Chuck quand il était saoul. Il était comme ça, à parler comme s'il avait un train à prendre, mais contrairement à avant, Solveig chassait cette image de son esprit et ne gardait qu'en mémoire toute cette soirée, coincée dans un coin de son cerveau pour ne pas se mettre à déprimer, après tout, elle ne voulait plus déprimer et c'est pour cela qu'elle était sortie ce soir. Pour se changer les idées. Alors elle remerciait intérieurement Cody pour avoir été saoul à côté d'elle ce soir. Mais elle ne lui disait pas en face, peut-être qu'il se vexerait encore. Et elle ne voulait pas ça du tout. Elle aurait peut-être fait mieux de lui dire cela au lieu de devenir un vrai moulin à paroles, à dire toute les choses qui lui passent par la tête alors que ces choses sont un peu stupides, mais totalement véridique. Elle ne voulait pas coucher avec lui, du moins pas ce soir, elle ne voulait pas coucher le premier soir, il la prendrait pour une fille facile et c'est tout ce qu'elle ne veut pas. Passer pour une fille facile. Bref, Solveig ou l'art de se mettre mal à l'aise toute seule à parler comme un moulin à paroles. La réponse du jeune homme la fit sourire et elle levait les yeux au cien en soupirant « Tu retiens que les choses qui t'intéressent toi ! » Elle restait immobile, tentant de se calmer, ses tensions, faisant taire toutes ses choses qui squattent dans sa tête comme des poux sur la tête d'un singe. Lorsqu'elle sentit le rapprochement du jeune homme, elle cessait de respirer et le regarder du coin de l'oeil, déposant ses mains de chaque côté du matelas après y avoir été contrainte. Elle le laissait s'approcher sans sourciller et lorsqu'il déposa ses lèvres sur celles sur de la rousse, elle se laissait faire. Une sensation étrange prenait part dans tout son corps mais elle ne disait rien, prolongeant légèrement le baiser avant de le regarder se rallonger sur le lit, elle s'allongeait alors à ses côtés, posant ses deux mains religieusement sur son ventre « En espérant que tu ne paniques pas demain quand tu te réveilleras, et que tu te souviendras de moi, enfin du peu de soirée qu'on a passé ensemble. Et au passage, tu embrasses bien, monsieur Robocop. » Elle rit, se tournant sur le flanc avant de regarder le jeune brun « Tu verras on dort mieux que dans une tente ! Tu me dis quand tu veux dormir, j'irais dormir dans le canap' &Elle se relève alors, en fixant Bleeker « Tu veux que je pique un tee-shirt de mon coloc ? Il doit dormir ailleurs ce soir ! » Elle souriait alors, il faut dire que l'hospitalité ça la connait. Elle ne préférait pas s'attarder sur l'épisode du baiser. Même si au fond d'elle, elle préférerait continuer ce petit jeu, jouer avec cette attirance qui s'était installé entre eux, elle aime jouer, il devra le savoir pour plus tard, ça risquerait d'être très amusant.
(c) toxic heart.
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sa flèche, je sais où elle va finir
À peine allongé sur le lit, et alors qu’il venait clairement de stipuler qu’il ne coucherait pas avec Solveig ce soir, il n’empêchait pas que Cody s’empressa de s’éprendre de ses lèvres, tendrement, fougueusement, et en toute âme et conscience. Enfin j’dis ça, mais son cerveau imbibé d’alcool y était pour beaucoup. Le Cody sobre ne serait même pas dans cette caravane avec elle. Ou alors si. Mais il se serait transformé en Valérie Damidot illico presto pour arranger l’habitation de façon à ce qu’elle lui corresponde mieux, c’est-à-dire sans les rideaux un peu trop vintage à son goût et avec un lit plus confortable. Mine de rien, son matelas à eau était meilleur pour le dos. Même si Cody craignait quand ses conquêtes féminines s’aventuraient dans son couchage avec leurs talons aiguilles. Une chance donc qu’il n’ait aucune conquête féminine en fait. Son abstinence faisait du bien à son matelas à eau, c’est cool. Bref, après avoir happer non sans une envie grandissante les lèvres de Solveig, il se laissa tomber sur le matelas, sur le ventre, la joue écrasée sur un morceau de la couverture qu’il roula en boule sous sa tête. « J’ai toujours su que ma vocation dans ce monde était d’être un serial kisser. Merci Solveig, tu me rassures et me confortes dans mes choix. » murmura-t-il, les paupières se fermant doucement. « T’embrasses super bien aussi. Tu pourrais être ma partenaire serial kisseuse. Comme Batman et Robin, sauf que Batman pécho Robin dans mon histoire. » Et il se mit à rire pendant deux secondes top chrono avant de se stopper et de juste, plus répondre à Solveig. Il venait de s’endormir, comme ça, instantanément.
Cody se réveilla aux premières lueurs du soleil le lendemain matin. Comme un ours se réveillant après six mois d’hibernation, il se mit à grogner, grognement qui augmenta crescendo au fur et à mesure qu’il étira ses bras contre le matelas, en profitant pour se retourner sur le dos. « Mais qu’est-ce qui se passeeeeee... » Il appuya ses deux mains sur son crâne, éprouvant une migraine juste insupportable. Il avait l’impression qu’on faisait de l’acupuncture sur son cerveau tant il le tiraillait de toute part. Mon dieuuuu, il fallait que Bleeker prenne rendez-vous avec son pote Ibu. Vous ne connaissez pas Ibu ? Ibu Profen et sa sœur Dolly Prane. Histoire de l’aider à faire passer son mal de crâne. Mais le pire, ce ne fut pas ça, c’est quand il se rendit compte qu’il n’était pas dans sa tente, qu’il ne connaissait même pas l’endroit où il était. Il devina une caravane vue comment l’installation était foutue tout autour de lui. Mais ce fut quand il se redressa et qu’il vit une rousse dans le canapé à l’autre bout de la chambre qu’il comprit qu’il devait être chez elle. Oh mon dieu. Mais c’était qui cette fille ? Il n’avait que de vagues souvenirs de la soirée et, les vapeurs d’alcool dissipées, son esprit restait dans le flou. « Qu’est-ce que j’ai fait … » Il se redressa et tenta de regagner la sortie sans trop se cogner à tous les murs. Il ne voulait pas réveiller la jeune femme, il sentait que ça serait un moment encore plus gênant que ça ne l’était déjà. Puis, récupérant ses chaussures, il quitta la caravane le plus silencieusement possible. Et c'est là que son regard se posa sur son bras sur lequel était noté un numéro de téléphone. Ça le fit rire. Il ne se rappelait pas de la fête de hier, mais elle avait dû être mémorable d’une certaine manière. Et il ne laisserait sûrement pas ce numéro en suspens.  
Martin Solveig
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